Commentaires de Frère Coleman

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A l’Affection fraternelle, ajoutez la Charité,
la Pierre de Faîte d'Amour dans l'espace du Saint-Esprit
Commentaires de Frère Coleman du 8 août 2010
II Pierre 1:3-10
3 Comme sa divine puissance nous a donné tout ce qui regarde la vie et la piété, par la
connaissance de celui qui nous a appelés par |la| gloire et par |la| vertu,
4 par lesquelles il nous a donné les très grandes et précieuses promesses, afin que par elles vous
participiez de la nature divine, ayant échappé à la corruption qui est dans le monde par la
convoitise…;
5 ¶ pour cette même raison aussi, y apportant tout empressement, joignez à votre foi, la vertu; et
à la vertu, la connaissance;
6 et à la connaissance, la tempérance; et à la tempérance, la patience; et à la patience, la piété;
7 et à la piété, l’affection fraternelle; et à l’affection fraternelle, l’amour;
8 Car, si ces choses sont en vous et y abondent, elles font que vous ne serez pas oisifs ni stériles
pour ce qui regarde la connaissance de notre Seigneur Jésus Christ;
9 car celui en qui ces choses ne se trouvent pas est aveugle, et ne voit pas loin, ayant oublié la
purification de ses péchés d’autrefois.
10 C’est pourquoi, frères, étudiez-vous d’autant plus à affermir votre appel et votre élection, car
en faisant ces choses vous ne faillirez jamais
Donc, je vous apporte les salutations de la part de Frère Coleman et Soeur Coleman, ce matin. Et
nous vous demandons de continuer à prier pour le serviteur de Dieu. Amen ! Je ne pouvais pas
m’empêcher lorsque je suis arrivé d’entendre, alors que Joseph demandait : « Combien disent :
amen ? » Environ vingt pour cent l’ont dit. Mais je regarde, dépendant de vous qui avez une
révélation : ne laissez aucun esprit mort, aucun esprit de vacances venir sur vous, aujourd'hui.
Soyez déterminés dans votre cœur. « Je ne laisserai pas cela se produire. C’est tout ce que je
dirai ! » Béni soit le Nom du Seigneur ! Amen.
Donc, j’aimerais premièrement attirer votre attention que nous sommes dans le huitième mois, le
huitième jour du huitième mois. Nous sommes à la fin des événements célestes qui se sont produits
dans le ciel, qui ont débuté le premier jour du huitième mois. Et cela se termine aujourd'hui, le
huitième jour du huitième mois. Des événements célestes, une conjonction de trois étoiles qui a été
rejointe par une quatrième étoile. La quatrième ligne, la Parole, annonçant aux croyants, aux élus
de Dieu, un nouveau commencement. Quelque chose d’une grande importance qui se passe pour
les élus de Dieu ! Nous ne sommes pas ignorants de ce que Dieu va faire. Le monde peut regarder
et dire : c’est simplement un évènement céleste. Mais pour l’Épouse, c’est un nouveau
commencement. Béni soit le Nom du Seigneur !
Et comme nous le savons, le huitième jour est un appel à une sainte convocation, une marche
sainte. Une marche sainte avec votre Seigneur. Une marche où vous oubliez tout le reste. Une
sainte convocation, un nouveau commencement. « Tu veux dire après cette épreuve ? » Oui ! Un
nouveau commencement. Vous avez été appelés : un nouvel ordre des choses. Noé et sa famille,
huit furent appelés : un nouveau commencement. David - un nouvel ordre - le huitième fils mais
pour être oint comme roi. Le numéro huit, un nouvel ordre. Donc, j’ai été appelé et vous avez été
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appelés. Béni soit le Nom du Seigneur ! Alléluia ! Gloire à Dieu ! Que les rachetés le disent !
Nous croyons qu’aujourd’hui - le huit du huit - nous commençons un nouvel ordre des choses en
devenant une nouvelle créature, préparés pour l’Éternité par un appel à la résurrection et à
l’Enlèvement. Donc, Satan : j’ai déjà été appelé. Tu ne peux pas arrêter ce que Dieu a planifié
dans ma vie. C’est le genre de foi que nous aurons aujourd'hui. Peu m’importe ce que le diable
dit. Amen ! Continuons.
Église, (c’est Frère Coleman) je veux que vous sachiez que les réunions à Lesquin en France, dans
l’Amour Divin, ont été simplement cela. Le Saint-Esprit les a amenés à un niveau plus élevé après
la grande convention de Penn Harris. Donc nous aurons quelques témoignages de Lesquin, France.
Mais avant d’y aller, nous aurons des témoignages concernant les grandes réunions de Penn Harris.
Et juste avant cela, j’aimerais récapituler pour vous ce qui s’est produit pendant 36 ans, depuis le 9
juin 1974 jusqu’à aujourd'hui.
Comme vous le savez tous, les réunions de la Géorgie du 29 juin où « De certains ayez
compassion » a été prêché, l’Affection fraternelle et le Pardon, cela a tonné. Et l’Affection
fraternelle et le Pardon sont sortis comme signe de maturité. Et ce puissant événement spirituel à
Macon, en Géorgie, a identifié l’exigence du septième âge de l’Affection fraternelle comme signe.
Oh, le diable dit, comme le Prophète le dit : « Ne les laissez jamais avoir cette révélation. » Mais
c’est sorti comme signe en 1974.
Puis est venue la révélation des Sept Tonnerres, le 20 septembre 1974. Et la révélation des Sept
Tonnerres a révélé toutes les promesses cachées pour l’Épouse pour les trente-six dernières années.
Donc, l’Épouse est devenue consciente de toutes ses promesses qui ont été apportées par les paroles
du Fils de l’homme, le prophète de Dieu.
Puis après cela, sont venues les réunions de la moisson auxquelles vous avez participé à Penn Harris
entre six et neuf, dans le chaud soleil de juillet. Amen. Donc, nous sommes dans un voyage de 36
ans. Et à Penn Harris, là, l’Amour est descendu et a révélé l’Affection fraternelle à beaucoup de
personnes. Et l’Esprit d’Amour est descendu et s’est posé sur la convention, et la drachme perdue a
été trouvée, l’Amour fraternel a été trouvé. Amen.
Ensuite, le Saint-Esprit a élevé l’Affection fraternelle et le Pardon à une octave plus haute.
L’Affection fraternelle, le Pardon et l’Amour fraternel ont été manifestés. Remarquez :
Penn Harris, révélé, puis cela a été manifesté à Lesquin en France ; cela a été manifesté. Et
aujourd'hui, nous avons quelques témoignages limités. Frère Coleman dit : Je n’ai pas eu
l’occasion de regarder toutes les réunions, je les ai vues seulement en partie, mais elles étaient
formidables. Soeur Joanne, ma fille, Soeur Rebecca et Frère Nathaniel qui sont là-bas, sont
d’accord que cela a été les plus grandes réunions auxquelles ils ont participé. Et en ce qui concerne
Frère Nathaniel, Frère Kevin Blewett et tous les frères du ministère qui ont prêché, ce sera un
témoignage en soi comme ils viendront de cette convention. J’en ai vu une partie et je vous dirais
que c’était vraiment un octave plus haut, une manifestation ! Mais continuons avec les
commentaires de Frère Coleman.
Frère Blewett, à nouveau, s’est avancé par la foi, à la convention, et il a demandé à toute l’Europe,
tous les ministres, tous les anciens, les diacres, les gens, de lui pardonner pour ses erreurs du passé.
Et alors qu’il faisait cela, il disait : « S’il vous plaît, pardonnez-moi. J’ai apporté une chose qui
vous a fait chuter. J’étais trop enthousiasmé. Pardonnez-moi. » Puis, quelque chose s’est passé
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comme il a fait cela – j’ai vu cette partie-là ; je me suis levé tôt ce matin-là – l’Amour s’est posé sur
le bâtiment et est demeuré là. Il n’est jamais parti, Il est demeuré là jusqu’à la fin des réunions pour
manifester les plus grandes réunions depuis que Malachie 4 était ici sur la terre. Amen !
Donc, vous avez l’ordre ce matin, et je veux que vous compreniez l’ordre de ce qui s’est produit.
Premièrement, la Géorgie, en 1974, un signe de maturité. Deuxièmement, Penn Harris en 2010,
entre six et neuf, une révélation est venue sur les gens. Et troisièmement, Lesquin en France, en
2010, une manifestation de l’Affection fraternelle et du pardon. Donc, la Géorgie : un signe de
maturité. Penn Harris : la révélation entre six et neuf. Puis Lesquin, France : une manifestation.
Donc, j’aimerais donner un court récapitulatif de comment nous sommes arrivés à l’exigence du
septième âge comme le Prophète a dit que nous le ferions. Dieu merci, nous l’avons atteint ici en
2010, tout comme Malachie 4 avait dit que nous le ferions. Donc pour résumer, j’aimerais lire un
extrait de mon message « La Charité, la Pierre de Faîte d’Amour », le 18 octobre 1998. Vous avez
ces brochures à la maison. Page 26-27-28, citation de Frère Coleman :
Le 11 novembre, le Seigneur m’a dit, en 1974, et j’ai prêché les Sept Tonnerres (donc c’était en 1974)
« Ils vont te maudire. Ils vont te mépriser, te traiter de toutes sortes de noms. » Mais il n’y a pas un
seul d’entre eux vers lequel je ne puisse aller aujourd'hui et dire : « Comment vas-tu, mon ami ?
Laisse-moi t’acheter un steak. » Et je savais exactement ce qu’ils avaient dit durant toutes ces
années, parce qu’Il m’a dit qu’ils le feraient. Mais Il a dit : « Ne t’occupe pas d’eux parce que Mon
peuple est là-dedans. Et toi, prêche Sept Tonnerres. » Donc, je l’ai fait pendant 24 ans, il n’y a
aucune église nulle part, même avec mes ennemis où je ne puisse m’asseoir là : « Alors, comment
vas-tu, mon ami ? Gloire à Dieu, frère ! » Oui Monsieur !
Ils tremblent, ils ne savent pas ce qui se passe. Mais je dis : la Charité couvre une multitude de
péchés. Qu’est-ce qui ne va pas avec vous ? Je suis ici dans l’Affection fraternelle. Eh bien, gloire
à Dieu ! Est-ce ainsi que vous vous sentez ? Pouvez-vous retourner dans une église quelque part,
où peu importe d’où vous venez, hein ? Est-ce que l’un de vous peut retourner d’où il vient ? Un
endroit difficile, pouvez-vous y retourner ? Pouvez-vous retourner là, et vous asseoir dans la
réunion, et serrer la main de tout le monde. « Que Dieu te bénisse, pasteur ! Que Dieu te bénisse,
frère ! » Hein, pouvez-vous faire cela ? Si vous pouvez le faire, alors là, vous entrez dans le matériel
de l’Épouse. Et alors, vous arrivez, vous arrivez, vous arrivez. Alléluia ! Pouvez-vous, les sœurs,
pardonner à celles qui ont fait des commérages contre vous ? « Ah, c’est très bien, je suis désolée
d’avoir dit ceci et cela. » « Ah, non, tout va bien, sœur. Tout va bien, je t’aime. » Pouvez-vous
imaginer ce qu’elle a dit : « Psitt, psitt, psitt. » Pouvez-vous arrêter cela et devenir cela ? Je vous
défie de le croire ! Je vous défie de laisser tomber vos commérages et toutes les impuretés ! Je
vous défie de le croire pour que la Pierre de faîte puisse venir sur vous, et que vous ne deveniez pas
un membre d’église. Gloire à Dieu ! Mais que vous puissiez prendre la Parole comme Marie : « Qu’il
me soit fait selon ta Parole ! »
Très bien ! Tout le monde se sent bien ? dit Frère Coleman. Eh bien, gloire ! Quelques minutes.
Oh, oui, vous voyez l’Affection fraternelle. Savez-vous qu’avant que je ne commence, le 9 juin, et le 6
et le 29 juin, en Géorgie, je devais recevoir l’Affection fraternelle premièrement ; avant que cela ne
tonne. C’était l’ordre. Et l’Affection fraternelle est l’exigence de l’âge – le Septième Age – c’est
l’exigence. Donc, vous ne pouvez pas aller de l’avant sans recevoir cela premièrement. Il dit :
même si nous sommes appelés en silence, Dieu taille les pierres. Vous ne pouvez pas entendre un
marteau ou une scie partout à travers le monde. Dieu taille Ses pierres des Sept Tonnerres. Il les
ajuste là-dedans maintenant-même. Gloire à Dieu ! J’espère et je prie que je sois là-dedans.
Pourquoi ? Je sais une chose : si je fais ce qu’Il m’a dit de faire, je serai certainement là par la grâce
de Dieu. Gloire à Dieu ! Nous verrons l’Affection fraternelle.
Maintenant, vous espérez qu’un jour… C’est pour cela que j’y suis retourné sans cesse. Et
plusieurs de ces pasteurs, certains des gens pensent que je devrais être contre eux, espérant qu’un
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jour ils viendront. Vous pensez que je devrais être contre ces différents ministres ? « Ils m’ont fait
ceci, Frère Coleman ! » Eh bien, je ne peux pas faire cela. C’est ce qu’il vous a fait, voyez ? Ils m’ont
fait pire, mais je les aime. Voyez-vous ce que je veux dire ? C’est l’Affection fraternelle. Ce n’est
même pas la Charité ! Oh, mon gars, cela vous donne de quoi réfléchir, hein ?
Espérant qu’un jour, la patience avec eux, la tempérance, être patient envers eux, le contrôle de soi,
la connaissance de comprendre ce qu’ils croient… « Eh bien, Dieu soit béni, je crois ceci et cela, et
quelqu’autre interprétation. » Je me suis assis avec eux durant les années soixante, durant les
années soixante-dix. Nous avons mangé ensemble, et tout. Il m’a dit : « Eh bien, Frère Branham va
venir ici. » Et j’ai dit : « Ah, oui, est-ce juste ? » J’ai dit : « Donne-moi cette citation, hum ! » C’est
comme cela que je communiais avec eux, voyez ? Peu importe ce qu’ils disaient ou ce qu’ils
pensaient. Je ne me fâche pas contre eux. « Dieu soit béni, les Tonnerres ne sont rien ! » Non !
Écoutez ce qu’il a à dire, c’est tout. Je sais où je me tiens. Oh, alléluia !
C’est cela, je sais où je me tiens ! Amen. Vous n’avez pas à vous défendre. Je sais où je me tiens !
« Mais, tu vois, tu vois… » Non, non, je sais exactement où je me tiens.
La connaissance pour comprendre ce que lui pense. Et souvenez-vous, c’est dans son cœur. Donc,
si quelque chose est dans leur cœur, vous ne pouvez pas les ébranler. Ils vont vous épuiser, je vous
le dis. Vous allez être épuisés. Frères, vous devez prier ! Vous devez prier avec les gens. Votre
gorge sera sèche, à l’intérieur votre estomac, et tout le reste, cela va vous épuiser avec l’esprit
humain. Voyez, ce sont ceux qui ont des choses dans leur cœur, et vous êtes là, et vous le savez,
mais vous priez pour eux. Amen. Et Frère Branham dit : « Vous pourriez verser un seau d’huile sur
leur tête, mais rien ne va se produire. » Et vous priez sincèrement. Vous savez. Et ils restent assis
là, attendant. Ils ont quelque chose à l’intérieur, mais rien ne bouge. Alléluia ! Oh, comment me
suis-je rendu là ? Eh bien, Dieu soit loué !
Peut-être que j’essaie de vous montrer comment être délivrés afin que vous puissiez recevoir le
Saint-Esprit, la patience, la tempérance, l’endurance, la connaissance pour comprendre ce qu’il croit.
Et souvenez-vous, c’est dans son cœur !
C’est ce que c’est, la vertu en vous-même pour qu’elle sorte avec douceur, avec gentillesse, ayant la
foi qu’un jour Dieu les fera entrer. – Non pas rester assis en jugeant, mais un jour, un jour, Dieu les
fera entrer. – L’Affection fraternelle, la septième chose : un-deux-trois-quatre-cinq-six-sept. Voilà la
Pierre de couronnement. (Fin de la citation)
Quelle leçon ! Pendant 36 ans, ceci est manifesté devant nous !
Continuons. Nous avons un extrait que nous allons écouter. Cet extrait est une prophétie
concernant l’Affection fraternelle et le Pardon. Et ces récentes conventions ont certainement
confirmé cette révélation de l’orge. Donc cet extrait prophétique traverse de la révélation de l’orge
à la Parole-blé dans le chaud soleil de juillet dans la saison de la moisson. Cet extrait qui dure
environ 15 minutes, vient de « Où est le Dieu d’Élie ? » du 9 juin 1993.
[Extrait]
Pouvez-vous dire : amen ? Quel extrait ! Frère Coleman, mon Dieu, une prophétie ! Nous avons
tourné le coin. La saison de l’orge est terminée, le temps du blé est ici, et la révélation de l’orge a
gardé cette semence humide par une révélation de Sept Tonnerres. Et le diable n’a pas pu l’arrêter.
La révélation de l’orge a été confirmée. Penn Harris et Lesquin, cela a été confirmé. La dernière
pluie est prête à tomber. Vous recevrez une double portion, vous serez remplis ! Il y aura une
manifestation dans le temps de la moisson, béni soit le Nom du Seigneur ! Cette semence a été
gardée humide, la semence a été séparée de la balle, et elle est dans le chaud soleil de juillet. Elle
produira la vie ! La vertu va être déversée en vous maintenant, et elle sera scellée par la Charité
dans le chaud soleil de juillet. Frère Coleman, merci ! Quelle parole prophétique ! Vous pouvez
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restez comme cela, mais nous devons continuer. Frères, cela devrait vous stimuler !
Avançons, nous avons beaucoup de choses au programme. Si vous devez rentrer à la maison, allezy. Mais frères, nous sommes à l’église. Dieu a ordonné ce jour. Continuons avec ce voyage de 36
ans avec un extrait du message « La nuit est avancée et le jour est proche » du 25 juillet 1999.
Citation, il dit ici :
Aujourd'hui, les messages… Les frères ici du Nigéria, ils étaient là et Frère Musgrove m'a envoyé la
bande le 11 juillet et pour moi c'était au-delà d’un chef-d'œuvre, parce que les choses que j'ai essayé
d'amener aux gens depuis des années… Ensuite, le 4 avril nous avons dû revenir le 4, le 11, le 18 et
le 25 ; et ceci pour New York et Pennsylvanie, c'est une réunion de l'église ici ; c'est ce qui a été
appelé.
Puis en mai, le Seigneur m'a dit qu'à moins de revenir avec l'Affection fraternelle et le Pardon,
l'Esprit ne descendrait pas dans les réunions. Cependant je regardais les gens, ils n'avaient aucune
idée de ce que je parlais, ils étaient tout simplement à se préparer pour aller aux réunions. – Ça vous
dit quelque chose ? Ajouter la dernière valeur nutritive ! – Et cet immense fardeau qui était sur moi
– c’est en 1999 – m'épuisait. Et je répète sans cesse, sans cesse à nouveau, mais je savais que le
Saint-Esprit ne pouvait descendre que sur l'Affection fraternelle et ne peut tomber nulle part ailleurs,
Il ne peut pas tomber sur des rancunes, des rancœurs et tout le reste.
Cependant les gens continuaient avec cela et ils se préparaient pour la convention et tout le reste.
Donc en dépit d'eux, parce que la saison avait avancée, le Saint-Esprit est descendu de toute façon.
Donc j'ai dû souffrir et aller de l'avant avec cela, amen. Mes amis, New York, Pennsylvanie, je ne
répète pas sans cesse : « l'Affection fraternelle, laisser tomber vos rancunes », je ne répète pas cela
en vain. J'essaie de vous dire ce qui est dans la Bible et ce que le prophète a apporté ! C'est son
Message et il a dit que son troisième Pull a confirmé son premier.
S'il est sorti et il a détecté quelque chose dans sa femme, il y a des années, avec le signe dans la
main. Vous connaissez l'incident : Soeur Branham, ils avaient eu un petit incident et il était à NewYork en novembre 1963 et il est retourné à Shreveport. Et puis il s'est arrêté à la maison et il s'est
étendu sur son sofa. Et le Saint-Esprit lui a dit de se lever et il a dit : « Avant que la main du médecin
ne touche ma femme, la tumeur de ma femme sera partie ». Il a parlé la Parole comme cela. Puis il est
allé au Life Tabernacle et c’était complètement parti. C'était le troisième Pull qui a confirmé le
premier Pull.
Donc j'essaie de vous dire, depuis la première phase, l'Affection fraternelle, la seule façon que le
Saint-Esprit descende, quand Il le fera, Il confirmera ce que je vous ai dit en 1974.
Et Il l'a fait à Penn Harris, à Lesquin 36 ans plus tard. La Charité sur la Troisième Phase a
confirmé l'Affection fraternelle de la première phase. Et il dit ici : « Et Il l'a fait, et Il l'a fait ! »
Donc le ministère de l'Esprit est ici et Il est venu à cause de l'Affection fraternelle, et l'Affection
fraternelle devait être ramenée à nouveau afin que le ministère de l'Esprit descende.
Puis les commentaires du 9 mai 1999. Juste quelques commentaires ici, citation : La seule façon que
vous puissiez recevoir le Saint-Esprit, c'est de pardonner. De le faire ! Pour le faire, vous avez besoin
d'une situation dans l'église afin que vous puissiez appliquer la Parole afin que la Dynamique puisse
tomber. L'Affection fraternelle et le Pardon sont ici afin que le Saint-Esprit puisse descendre.
Avez-vous remarqué, Église, ce qui a été dit ? La seule façon de le faire, ce sont les situations dans
l'église afin que vous puissiez appliquer la Dynamique, qu'Elle puisse tomber. Vous voulez dire
pendant 9 ans ? Oui. Les situations dans l'église, la seule façon de le faire afin que vous puissiez
appliquer la Parole et que la Dynamique puisse tomber.
Donc (c'est Frère Coleman qui parle ici) Église, puis-je m'arrêter ici et récapituler un peu plus? Le
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13 août 2000, un « Avertissement puis jugement » est sorti. Quelque chose était sur le point de se
produire et plusieurs choses se sont produites pendant la pause-café de 9 ans. (Si vous étiez ici
mercredi soir, vous avez entendu parler de cela.) Plusieurs choses se sont produites durant cette
pause-café de 9 ans. Toutes sortes de situations se sont présentées et plusieurs, dans la sphère
intellectuelle, ont essayé de comprendre pourquoi, qui, quand et où. Ces situations sont venues afin
que nous puissions arriver à la fin et que nous puissions appliquer l'Affection fraternelle et le
pardon.
Et nous sommes juste ici maintenant, l'appliquant aujourd'hui. « Comment faire, Frère Coleman ? »
Nous l'appliquons aujourd'hui durant cette situation judiciaire qui se déroule maintenant. Allez-vous
et pardonnerez-vous ? Parce que si nous n'appliquons pas l'Affection fraternelle et le Pardon
maintenant-même et pour chaque situation… « Mais tu vois celle-là est différente. » Non ce n'est
pas différent ! Les situations sont permises, ce n'est pas différent. Donc si vous n'appliquez pas
l'Affection fraternelle et le Pardon pour chaque situation, tel que ce procès qui a lieu maintenant
même, nous ne pourrons pas avoir la Foi des Sept Tonnerres et vous ne pourrez pas recevoir le
Baptême du Saint-Esprit.
Donc vous ne pouvez pas rester assis là avec des sentiments résiduels, Il ne vous a pas demandé de
qualifier ce qu’Il voulait dire mais Il a dit « Peux-tu pardonner ? Peux-tu pardonner ce qui s'est
passé ici ? Peux-tu pardonner 2006, 2005, 2004 ? Peux-tu pardonner? » Il le faut. Vous dites :
« Mais c'était un membre de ma famille, il a fait ceci, il a fait cela. » Vous devez pardonner, parce
que la Foi des Sept Tonnerres est basée sur le Pardon.
Vous ne pouvez pas avoir la Foi, vous ne pouvez pas recevoir le Baptême. Oui, même dans ce
procès, vous devez pardonner parce que la Foi des Sept Tonnerres est basée sur le Pardon.
Donc je dis en tant que votre pasteur, la clef de l'Affection fraternelle a été tournée. L'Amour est
descendu et le test est en cours pour plusieurs. Peux-tu et pardonneras-tu ? Sinon, vous vous
retranchez. L'Esprit de Pardon est ici. Il est ici, Il a été identifié et maintenant la Charité, le SaintEsprit peut descendre à travers ce canal du pardon. Vous voulez dire qu'il s'ouvre quand je
pardonne ? Oui ! Quand vous allez vers cette personne-là que vous pensiez ne pas pouvoir y aller,
spontanément, le canal s'ouvre. Et nous avons deux signes puissants pour prouver que c’est arrivé.
Et vous êtes ici, beaucoup parmi vous étaient à Penn Harris et à Lesquin en France. Frères et sœurs,
nous y sommes ! Amen. On sent une telle onction du Saint-Esprit ici !
Donc, Église, (c'est Frère Coleman, continuons), l'Affection fraternelle et le Pardon ont ouvert la
porte pour l'Amour, la Charité, pour que l'Amour descende parmi nous et Il l'a prouvé dans les deux
dernières conventions. Donc je dis que l'Affection fraternelle est l'exigence du septième âge et le
Pardon est ici, cela a été révélé en France ; cela a été manifesté. Ainsi je dis maintenant : le SaintEsprit peut descendre parmi nous comme Dynamique sur notre mécanique. Église, voici ce qui a été
manifesté à Penn Harris et à Lesquin en France ; du message du prophète « Dieu tient Sa Parole »,
Jeffersonville Indiana, 7 avril 1957 :
(…) Je crois qu’il viendra un temps où, quand les saints se réuniront comme ceci, un esprit
d’amour envahira tout simplement l’auditoire. Et tout simplement, toutes les personnes
présentes, tout ce qui est mal sera ôté d’eux. Il y aura une telle Présence du Saint-Esprit.
[218]
(...) - mais je crois qu’il viendra un temps où l’Église de Dieu sera tellement appelée à sortir,
comme ça, que les saints seront assis ensemble, et alors le Saint-Esprit entrera, simplement, et Il
[219]
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se déplacera sur l’auditoire, tout comme au Jour de la Pentecôte. Voyez? Et qu’Il guérira les
gens, tout simplement, et ressuscitera les gens, et des choses glorieuses.
[224]
(...) Je crois que les dons, c’est merveilleux, nous en avons besoin et nous les respectons.
Mais je crois que l’heure vient où ce sera à un niveau plus élevé que cela. Eh bien, “après
que toutes ces choses auront disparu, c’est l’amour, voilà ce qui demeurera pour toujours”.
Voyez? C’est l’amour de Dieu. Nous serons là à prêcher, tout simplement, comme ceci, ou à
parler, et l’amour va simplement s’installer partout dans le bâtiment.
[225]
Frère Coleman dit : c'est ce qui est arrivé à Frère Kevin Blewett quand il a demandé pardon à tous
les ministres, à tous les gens. C'est ce que vous ne pouvez pas contourner : la Foi des Sept
Tonnerres est basée sur le Pardon. Et cet Amour, cette manifestation est descendue quand notre
frère a eu le courage de s'avancer juste-là et de leur dire : « Voulez-vous me pardonner ? Voulezvous me pardonner ? »
Continuons, j'aimerais partager un article de Soeur Pat Faccinella qui concerne le numéro 8.
[Témoignages de Soeur Pat Faccinella, Soeur Cathy Redhead, Soeur Joanne Durrett, Frère Johnny Griffin, Frère
Gabriel Aylestock et Soeur Anne Ciccone (présenté par Frère Blewett) ]
Sœur Joanne a envoyé ce témoignage le 19 juillet en fait, le jour après notre réunion du 18 juillet.
Écoutez bien ce témoignage.
Cher précieux Frère Coleman, bonjour. Comme les larmes d’un poussé à bout pour votre guérison
sont dans mes yeux maintenant-même, je prie qu’aujourd'hui la colombe puisse vous emmener dans
le pays de la santé et la force (ce qui est relié à ce que nous venons juste d’entendre.) Votre guérison
est devenue ma priorité. Prenez courage, cela ne peut pas être beaucoup plus long, Frère Coleman.
Merci pour l’inspiration de la convention. Je ne peux pas décrire correctement ce que cela signifie
pour moi. De dire que c’était la plus grande convention serait sévèrement insuffisant. Je sens que
nous avons participé au Corps et au Sang du Seigneur Jésus-Christ d’une façon nouvelle et vivante.
Dès l’ouverture du premier chant de la convention, j’ai senti la présence de Dieu descendre sur
l’auditoire. Durant toute la semaine, il n’y avait rien qui pouvait me séparer de cette présence.
J’avais mes trois petits enfants avec moi, et j’ai passé la plupart des réunions entrant et sortant de la
salle des mamans, mais il n’y avait rien qui pouvait me séparer de cette onction. J’ai dû rentrer à
Baltimore mercredi, et me connecter au service du soir depuis la maison ; mais il n’y avait rien qui
pouvait me séparer de cette onction. Elle traversait chaque bataille d’esprit que le diable essayait de
me donner.
Durant la semaine, il y avait une vision dans mon cœur de ce qui se produisait. J’étais poussée sur la
septième marche, juste devant la chambre du Roi. Et comme j’étais à la porte, le challenger (celui
qui défie) est sorti. Et je m’attendais à une grande bataille dramatique avec l’épée, les lumières, les
tonnerres. Mais plutôt, il est venu avec une petite voix douce en me posant une question : « Veux-tu
être parfaite ? Veux-tu pardonner ? »
Là, cela y était ! Un grand test sur la Parole. Une question pour moi : « Veux-tu pardonner ? » Et
avec les blessures du passé, les petites colères que j’avais, toutes les choses auxquelles j’avais droit
en tant qu’être humain, tout le mal qui m’avait été fait, et auquel je n’avais pas réagi […] en étant
une bonne chrétienne, j’avais retenu cela secrètement à l’intérieur, attendant la confirmation. Et la
porte était là. Derrière la porte, la promesse : l’enlèvement, ma famille, mon adoption. Et soudain,
le chalengeur, après avoir posé la question, s’est mis de côté. Et la porte était maintenant
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complètement visible. Et je devais m’avancer pour l’ouvrir mais je ne pouvais pas le faire avec ma
main. Donc, j’ai levé ma main et j’ai gémi dans l’Esprit : « Roule, Jourdain, roule ! » Et j’ai tout
laissé derrière. Et comme l’Esprit d’Amour est descendu, après le message de Frère Ben Achut, j’ai
expérimenté une paix que je n’avais jamais connue. Mes larmes ont complètement lavé mes
inquiétudes, mes tourments.
Durant la réunion, une sœur était assise derrière moi. Je connaissais un peu de sa vie, qu’elle avait
enduré plusieurs difficultés, et que plusieurs injustices lui avait été infligées, dont certaines qu’elle
endurait encore. Je ne connaissais pas grand-chose de sa vie… Mais durant cette effusion, je l’ai
entendue adorer derrière moi. Elle disait ces paroles : « Seigneur, tu as été si bon envers moi. » Et je
pense que si elle, elle peut dire cela, alors quelle victoire a été manifestée entre six et neuf à
Harrisburg 2010. L’Épouse est en marche, nous ne pouvons plus jamais être les mêmes.
Donc, à la lumière de ces grandes réunions de 2010, et vos commentaires de dimanche matin, le 18
juillet, je me sens conduite à partager ce témoignage avec vous. Je sens qu’il vous encouragera
d’une certaine façon. C’est quelque chose qui m’est arrivé il y a environ 5 ou 6 ans, alors que je
vivais toujours à Trinidad.
J’avais été accusée à tord par une chère amie, et sévèrement réprimandée pour quelque chose que
j’avais fait avec la meilleure des intentions. Il semblait que j’avais offensé grandement quelqu’un
alors que je voulais l’aider. A mon tour, j’ai été offensée parce que j’avais été réprimandée si
durement et sans qu’on m’offre la chance de m’expliquer. J’étais vraiment profondément blessée.
Je sentais que j’avais le droit d’être très fâchée.
Mais juste là, au plus fort de ma colère, une forte voix a soudainement dit une parole très ferme dans
mon cœur : « Pardonne ! » Frère Coleman, je ne peux expliquer que de cette façon : cela a tonné. Je
pouvais à peine croire ce que j’avais entendu. « Quoi ? Pardonner ? Maintenant, au plus fort de ma
colère ? Certainement, un peu plus tard, quand ma colère sera terminée. » Mais je savais que c’était
le Seigneur. Donc, j’ai pris quelques profondes respirations, je me suis calmée, et j’ai décidé : « Ok !
Je vais pardonner à mon amie. »
Mais Dieu était déterminé avec moi, ce soir-là. Je me suis assis là en pensant : « Certainement, je lui
pardonne. Mais c’était vraiment terrible de sa part. Elle devra s’excuser si elle est chrétienne. » Et
immédiatement, à nouveau, la voix a tonné comme je pensais cela : « Pardonne ! » Et à ce momentlà, j’ai commencé à reconnaître que Dieu traitait avec moi. Alors j’ai commencé à me calmer. Et à
nouveau j’ai pensé : « Je lui pardonne. Je ne tiendrai pas cela contre elle. C’était simplement un
malentendu. Les gens font des erreurs. » Et j’ai murmuré au Seigneur : « Dieu, je lui pardonne ! »
Je n’étais plus fâchée. Mais je me sentais quand même un peu blessée. J’ai pensé en moi-même :
« Je vais dire à mon fiancé ce qui s’est passé, parce que lui comprendra la blessure que je ressens, et
il saura quoi dire pour me réjouir. »
Comme je pensais appeler mon fiancé, la voix a parlé à nouveau et cette fois doucement, comme un
ami qui donne un bon conseil : « Si vraiment tu pardonnes, tu n’en parleras même pas. »
[Fr Bellomo : Voyez-vous le processus ? Une compréhension intellectuelle en transition vers une
révélation.]
« Si vraiment tu pardonnes, tu n’en parleras même pas. » Frère Coleman, en tant qu’être humain, je
peux dire qu’à ce moment-là, c’en était trop pour moi. J’avais vaincu la colère, mais la blessure était
trop importante pour la laisser partir. Et j’avais besoin d’aller pleurer sur l’épaule de quelqu’un.
Comment Dieu pouvait-il exiger ceci de moi ? Ce n’était humainement pas possible. Mais avec
Dieu, tout est possible ! En réalisant cela, à ce moment-là, je suis tombée à genoux, brisée. Et j’ai
prononcé ces paroles au Seigneur : « Seigneur, ce que Tu me demandes, je ne peux pas le faire par
Commentaires de Frère Coleman du 8 août 2010
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moi-même. C’est humainement impossible d’effacer cette blessure. Mais parce que Tu l’exiges, Tu
peux m’aider à le faire. S’il te plaît, Seigneur, aide-moi à vraiment pardonner. »
Et comme je priais, la plus douce et aimable présence a rempli la pièce. Elle a rempli mon cœur. Je
pouvais la sentir partout dans mon corps. Et aussi rapidement que c’est venu, c’est parti. Et avec
cela ma blessure est partie. Mon ressentiment est parti. Avec cela, chaque parcelle de sentiment
résiduel que j’avais hébergé dans mon cœur est partie. Il n’y avait plus besoin d’en parler, c’était
parti. Il a frayé un chemin et l’a enlevé au loin. J’étais tellement libre que j’ai commencé à chanter,
j’ai commencé à adorer.
Et à ce moment-là, la personne avec qui j’avais eu ce malentendu a frappé à la porte et a dit : « Je
suis désolée ! » Mais, oh ! C’était déjà parti. Il n’y avait plus rien en moi à pardonner. Je lui ai
souri et je l’ai embrassée, et j’ai dit : « C’est très bien ! C’est terminé ! »
Je n’ai jamais oublié cette expérience. Je l’avais partagée avec mon père en ce temps-là, et il m’avait
dit : « Maintenant, tu sais qu’il y a une manifestation de l’Esprit en tant qu’Affection fraternelle. »
De penser que nous y sommes maintenant où c’est une puissance plus élevée qui vient en nous, ce
n’est pas surprenant que l’Épouse sera une super-race. Elle fera ce qui est humainement impossible
parce qu’il y a un puissant Esprit qui se manifestera à elle comme l’Affection fraternelle pour ouvrir
la porte à la manifestation de la Pierre de Faîte, l’onction de la Charité. Non pas seulement une
vertu, mais la Charité va oindre les Sept Vertus. « Attendez que ces Sept Tonnerres fassent entendre
leur voix à ce groupe qui peut manier la Parole. » A ce groupe qui manifeste l’Affection fraternelle.
Prenez courage, précieux Frère Coleman, nous sommes à la porte avec des mains pures levées,
maniant la Parole de la perfection. Merci pour votre persévérance. Cela a été une œuvre fructueuse.
Que Dieu vous bénisse !
Sœur Joanne Durrett
Église, voici une citation qui est reliée à la conclusion de ces commentaires « Le seul endroit
d'adoration pourvu par Dieu » page 6. [ GOD'S.ONLY.PROVIDED.PLACE.OF.WORSHIP_ SHP.LA V-7
N-4 SUNDAY_ 65-1128M ]
Et je regardai la femme. Ils semblaient être des millions... – nous avons lu ceci – avec des
longs cheveux, des vêtements blancs. Celui qui me parlait me dit : « Tu ne la reconnais pas ? »
[37] Je dis : « Non. »
[38] Il dit : « Elle avait environ quatre-vingt dix ans quand tu l'as conduite à Christ. »
[39] « Grâce étonnante, quel son si doux. » Aucune façon d'expliquer ce que c'est. Prenez
seulement ma Parole si vous me croyez. Brûlez tous les ponts du monde derrière vous.
[36]
[40] Je
crois que l'Église commence à entendre le Message et commence à le comprendre. Mais,
mes amis, écoutez, nous devons demeurer dans la Présence du Fils, nous devons mûrir. Notre
Foi n'est pas mûre. Intellectuellement nous entendons le Message que Dieu nous a donné et
nous voyons les signes qu'Il nous a montrés, le prouvant par la Bible. C’est là, mais oh! Combien
l'Église a besoin de demeurer dans Sa Présence jusqu'à ce qu'elle s'attendrisse dans le cœur,
qu'elle devienne douce dans l'Esprit afin qu'Il puisse la baigner.
Vous l'avez entendu pendant plusieurs années, intellectuellement. Oui, je dois pardonner. Vous avez
entendu la bataille que la sœur a eue. Oui, mais la colère demeurait en elle et vous devez reposer
dans Sa Présence jusqu'à ce qu'Il attendrisse le cœur et qu'elle devienne douce dans l'Esprit, qu'Il
Commentaires de Frère Coleman du 8 août 2010
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puisse la baigner. – Parfois en prêchant le Message, vous êtes durs, vous devez briser cela, comme
ça, parce que vous devez enfoncer le clou pour que ça tienne. – Pourquoi le prophète a-t-il parlé
ainsi ? Pourquoi l'écho apostolique a-t-il parlé ainsi ? Ils devaient l'enfoncer, enfoncer le clou.
Mais une fois que l'Église saisit Cela, les Élus sont appelés à sortir et séparés, alors dans la
Présence de Dieu… – 2010 ! – Quand l'Église saisit Cela, les Élus sont appelés à sortir et
séparés, alors dans la Présence de Dieu, je sais que ce sera quelque chose… Le prophète dit : je
sais que ce sera quelque chose comme les gens qui étaient là lorsque l'Enlèvement aura lieu.
Donc les gens vont le recevoir. Quand elle le reçoit, le diable ne peut plus l'arrêter. Quand elle
entre dans la réalité manifestée de l'Affection fraternelle, le diable ne peut pas l'arrêter, l'intellect
ne peut pas l'arrêter. Vous pouvez regarder votre frère, votre sœur dans les yeux, les étreindre.
Quel péché ? Quelle rancune ? Je t'aime !
Fr Branham dit : Une fois que l'Église saisit Cela, les Élus sont appelés à sortir… la balle est
morte, la balle est sèche. – l'Église…les Élus sont appelés à sortir et séparés, alors dans la
présence de Dieu… Observez ce qu'il dit : je sais que ce sera quelque chose comme les gens qui
étaient là lorsque l’Enlèvement aura lieu.
Elle est appelée à sortir. Elle est élue. Cri, Voix, Trompette. Elle sait exactement où elle s'en va.
Comprenez-vous maintenant mon titre de ce matin ? A l'Affection fraternelle, ajoutez la Charité, la
Pierre de Faîte d'Amour. Où? Dans l'espace du Saint-Esprit.
Donc maintenant, comprenez-vous ? Nous devions atteindre l'exigence du septième âge avant de
pouvoir aller dans l'espace du Saint-Esprit. L'exigence du septième âge a été révélée : 6 et 9, et
manifestée en France. Voyez-vous l'ampleur de ce qui s'est produit ? Voyez-vous ce qui s'est passé
? Quand nous recevons une révélation de l'Affection fraternelle, alors nous pouvons avoir une
manifestation de la même chose. Mais vous deviez avoir une révélation premièrement. Puis il y aura
une manifestation. Et la manifestation ne peut venir que lorsque vous êtes dans l'espace du SaintEsprit, juste là-haut ; quand vous êtes dans le Saint-Esprit où le Seigneur, où l'A-M-O-U-R, la
Charité se trouve, qui fait quoi ? Qui oint L'Esprit de Pardon.
Donc vous devez demeurer là-haut, dans l'espace du Saint-Esprit, où il y a l'A-M-O-U-R, la Charité
pour oindre l'Esprit de Pardon. Oui, je sais que je dois lui pardonner (à elle), je dois lui pardonner
(à lui). Oui, il y a eu des situations incroyables, mais maintenant vous devez être en haut dans
l'espace du Saint-Esprit où votre Affection fraternelle est ointe avec l'Esprit de Pardon.
L'espace du Saint-Esprit, c’est I Thessaloniciens 4:16 en trois parties, à travers l'Affection
fraternelle. Je vais le dire à nouveau : l'espace du Saint-Esprit qui est I Thessaloniciens 4:16 en trois
parties à travers l'Affection fraternelle, vous êtes entrés dans la révélation du Cri, à travers
l'Affection fraternelle, j'ai dit, vous êtes entrés dans la révélation du Cri. Et vous avez dit : « Donnemoi le Livre, Donne-moi le Livre ! » Vous êtes entrés dans cette révélation.
Puis la deuxième partie de I Thessaloniciens 4:16, la Voix de l'Archange qui est ici pour vous
délivrer de chaque démon, chaque diable dans la deuxième partie de la Venue du Seigneur. Et le Cri
et la Voix sont l'Apparition de Jésus-Christ. Et la Voix vous appellera à la résurrection qui est la
dernière Trompette, la dernière Trompette de Dieu. Vous avez été appelés à la résurrection. Donc
voyez-vous pourquoi l'Affection fraternelle est l'exigence du septième âge ? Parce que sans cela
vous ne pouvez pas y aller, vous ne pouvez pas partir, vous ne pouvez pas aller dans la résurrection,
vous ne pouvez pas partir dans l'Enlèvement. Ne vous trompez pas, ne faites pas d'erreur, vous ne
Commentaires de Frère Coleman du 8 août 2010
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pouvez pas contourner l'Affection fraternelle.
Donc voyez-vous I Thessaloniciens 4:16 dans cet espace du Saint-Esprit ? Numéro 1 : le Cri.
Numéro 2 : la Voix, l'Apparition. Numéro 3 : la Trompette de Dieu, Sa Venue. Puis l'Amour, A-MO-U-R apparaît et Frère Branham s'écrie comme l'Amour apparaît : « Voici l'Agneau de Dieu! » Et
souvenez-vous, ça rétrécit. Et juste dans le ciel, un rétrécissement de plus en plus étroit a fait une
Pyramide parfaite. Mais Elle sera là. Et le prophète criera : « Voici l'Agneau de Dieu! » comme elle
crie : « Grâce, grâce à la Pierre de Faîte! »
Que Dieu vous bénisse, comme nous nous préparons à aller à Penn-Harris. A l'Affection fraternelle,
ajoutez la Charité, la Pierre de Faîte d'Amour. Où ? Dans l'espace du Saint-Esprit. Que Dieu vous
bénisse richement, nous allons aller à Penn-Harris, Frère John Conteh va prêcher pour nous ce
matin : « Père tout est prêt, que le Feu de la Charité de la manifestation des Sept Tonnerres tombe. »
Et je vais vous dire ceci, si vous voulez votre portion, vous pouvez l'avoir ce matin. Ces
commentaires sont venus directement de Dieu, ainsi que les témoignages. Donc si vous en tant
qu'individus vous le voulez, avancez-vous. Les autres doivent rentrer à la maison ce matin, passez
une bonne après-midi ! Mais moi je crois que le Saint-Esprit va se déverser ce matin. Que Dieu vous
bénisse !
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