REMERCIEMENTS
Je ne me serais jamais engagé dans un travail aussi exigeant que la rédaction
d’une thèse de doctorat si je n’avais pas eu la passion de la recherche. Je
remercie profondément le professeur Bernard Schmitt, source unique de cette
passion. Cette thèse s’inspire totalement de sa pensée. Ce fût et c’est encore un
immense honneur d’avoir été initié à la théorie quantique par son génial
fondateur. Sans ses enseignements, ses conseils, ses critiques et ses corrections
je n’aurais jamais pu terminer ce travail. Il est cependant clair que j’assume
l’entière responsabilité de tous les propos qui vont suivre.
Mes remerciements s’adressent aussi au deuxième rapporteur de cette thèse,
le professeur Heinrich Bortis. Ses conseils et ses critiques m’ont permis
d’affiner l’analyse présentée ici.
J’ai également une dette immense envers Sophie Gay et Isabelle Chabloz qui
ont eu la difficile tâche de corriger mon français parfois approximatif. Si ce
travail est devenu lisible, c’est grâce aux efforts qu’elles ont fournis. Je suis
bien conscient d’avoir souvent mis à l’épreuve leur patience, j’espère qu’elles
ne m’en voudront pas.
Mes amis schmittiens, le professeur Alvaro Cencini, Sergio Rossi, Marcello
Corti, Nadia Piffaretti et Alberto Bentoglio m’ont constamment soutenu, merci
à eux pour leur courage, leur esprit d’innovation, et ce côté « aventureux » qui
ne devrait quitter aucun chercheur. Un remerciement particulier au professeur
Philippe Deschamps qui a su fournir des conditions de travail propices à la
recherche scientifique, ainsi qu’au professeur Maurice Villet organisateur des
séminaires St. Ponsiens, lesquels furent une source d’inspiration importante.
Je tiens aussi à remercier Isabelle Chabloz. Notre rencontre dans les couloirs
de l’université m’a distrait de ma thèse, mais a éclairé ma vie.
Je remercie Flavia Giorgetti, Sophie Gay, Alberto Gamboni, Curzio Guidotti
et Stefano Pozzi pour leur appui constant, signe indubitable d’une profonde
amitié. Une reconnaissance particulière va à mon collègue et ami Björn
Schmolck avec lequel j’ai partagé non seulement un bureau mais également
l’intérêt pour la théorie économique. Merci également à Maria Josefa Redondo,
Alen Vukic, Rainer Häberle et Angelo Ranaldo pour leur indispensable soutien.
La mè pusèe viva riconoscénssa la va a l’Angela e l’Eros. Domà n’a màma e
un pa i po da el sostegn incondizionò, l’indipendenza e la fiducia che sempro i
ma dacc. Stò lavor l’è anca el sò !