Chapitre 4: La théorie monétaire de Keynes
I/ La rupture avec l'école néoclassique
1. L'introduction de l'incertitude
Knight en 1921 va introduire la différence entre une situation de risque et une situation
d'incertitude. Nous sommes face à une situation de risque lorsqu'il est possible de calculer des
probabilité objectives concernant des éléments futurs cad être capable de faire une liste de toutes les
éventualités concernant le risque possible et pour chacun de ces éventualité être capable de calculé la
probabilité objective cad calculer à partir d'une loi mathématique précise. Si ce type de calcul est
impossible alors nous sommes dans une situation d'incertitude. Il s'agit alors d'une situation dans
laquelle il est toujours possible d faire la liste des éevntualités futures mais il est impossible de calculer
des probabilités objectives pour chacune de ces éventualités futures car:
- Le problème étudié à un degrés de modernité tel que nous n'avons pas d'historique sur
ce phénomène.
- Le phénomène est trop complexe pour suivre une loi mathématique simple.
- Situation d'ignorance avec une incapacité d'évaluer la liste de toutes les éventualités. Ce qui
permet de gérer les situations d'ignorance c'est le principe de précaution.
L'accord de Keynes se situe au niveau de l'incertitude. Keynes va affirmer que dans une situation
d'incertitude, certe il n'est pas possible de calculer des probabilités objectives mais il est possible de
calculer des probabilités subjectives, cad des probabilités qui représentent le dégrès de croyance à un
moment donné sur une éventualité future, degrès de croyance qu'il est raisonnable (et non rationnel)
d'entretenir compte tenue des informations détenues.Cela à deux conséquences:
- ces probabilités objectives sont hétérogènes car dpéendent des nformations possédées par
l'agent qui n'ont pas accès au mêmes information et n'en tire pas les mêmes conclusion.
- En plus d'être hétérogènes elles sont fortement instables et volatiles, elle peuvent être
brusquement remises en causes suite à une nouvelle information voir une information déjà
connue mais qui jsuqu'a lors ne paraissée pas importante.
Il n'empêche qu'a un moment donnée ces probabilités peuvent se cristaliser et prendre la forme d'une
croyance partagée qui pour Keynes prend la forme d'une convention. La conséquence c'est que pour
Keynes certains prix ne sont pas fixés par la procédure de marché, mais sont fixés par procédure
conventionnelle. Il y a deux grands prix qui sont déterminé pr des procédures conventionnelle a savoir
les taux d'intérêt monétaire et les salaires nominaux.
2. Les prix visqueux
Keynes affirme que certains prix nominaux ne sont pas fléxibles, en tout cas à court terme
(opposé aux classique car pour eux parfaite fléxibilité des prix nominaux dans la théorie quantitative), ce
qui aura pour conséquence que la monnaie cessera d'être neutre puisque la vitesse d'ajustement des
prix nominaux ne sera plus la même pour tout ces prix ainsi les prix relatifs vont varier alors les décisions
des agents économique vont être modifiés qui porten t sur des variables économique réelle (produciton,
investissement...) donc la monnaie n'ets effectivement plus neutre. Chez les classiques les prix
nominaux s'adaptent instentanément, ainsi les prix relatif sont inchangés et leur comportement ne
change pas donc la monnaie est neutre. Les prix nominaux sont surtout visqueux surtout à la baisse et
pas tellement à la hausse.
La viscosité à la baisse est vérifiée parce que la baisse des prix n'intervient pas à la même
vitesse, elle va impliquée une baisse du pouvoir d'achat plus rapide pour certains agents
économique que pour d'autres.
Parce que les prix échappent aux procédures de marchés et sont déterminées par des prix
conventionnelle.
Possibilité d'une trappe à liquidité:
Convention cr il renvoient à une situation d'incertitude du fait que leur horizons soit très éloigné. Il y a
deu xvaleur pour lesquelle les probabilité objectives se cristalise et prennent la forme de conventions (i
min et max).
Déduissent de ces informations que les taux d'intérêt ..ne peuvent pas dépasser 10 ans.
Symétriquement il y a un taux d'intéret min de 20 % on ne eut descendre en dessous cad qu'un
emprunteur le moin risquer possible ne trouvrait pas de capiraux échéance 10 ans si il n'était pas prés
de trouver un taux de 1% (??).
Il y a de moins en moins d'opérateur qui pensent que le taux peut augmenter. PLus il y aura d'opérateur
qui pense que c taux va se stabiliser voir même diminuer cela veut dire qu'il pensent que les actif
échéance dix ans va lui commencer à augmenter car titres et taux d'intérêt varient en sens inverse. Il y
aura un nombre d'oprétateur de plus en plus grand acetant des titres de long terme car anticipe une
augmentation de ces titres. Ces opérateur vont en faite transformé leur portefeuille financier en titres.
Si on arrive à 5 % le marché financier disparait car si le taux arrive au max alors partir de ce moment il
n'y a plus aucun d'opérateur qui pensent que le taux va augmenter, il pensent tous que le taux d'intérêt
va forcément baisser et donc que le prix des titres vont augmenter donc tout le monde va chercher à
transformer son portefeuille en titree. Marché ou il y aura une demande et c'est tout car ceux qui
dispose de titre les garderont sinon tout les autres acheteront des titres.
Quand taux min il n sert plus à rien d'essayer de relancer l'activité par croissance de l'activité monétaire
car pour les keynésiens le supplémént de monnaie sera thésauriser cad que ce suplément les opérateurs
ne vont pas l'utiliser pour acheter des titres. Pour qu'il est reprise de l'activité économique il faudrait
que le taux d'i serait à 0,7 or on ne peut pas car il est à un, donc politique monétaire innéficace.
3. L'illusion monétaire des agents
Point de rupture aussi très important avec les néoclassques car pour eux les agnets sont
rationnelele donc non soumis illusion monétaire et raisonne en terme de salaire réel. Pour Keynes l'offre
de travail dépend des salaire nominaux et non réels.
Pour quand salarié offre leur travil la variable qui compte c'est le slaire nominal. La conséquence est qu'il
n'y a plus de marché du travail. Le niveau des salaire n'est ainsi pas une variable expliquée par un
système de marché.
Pour Keynes je peux faire deux schéma.
Pourquoi les salarié sont ils incapable de raisonner en terme de salaire réel?
Keynes dit que les salarié raisonnent en salaires nominaux car ils n'ont pas accès à l'informations qui leur
permettrai de raisonner en terme de salaire réel.
Pour Keynes les ménages ne peuvent aps raisonner en terme de salaires réel car pour cela il leur
faudraient disposer de deux informations qu'ils n'ont pas:
- Le volume de production que l'entreprise s'apprète à mettre en oeuvre
- La quantité de travail que l'entreprise s'apprète à mettre en oeuvre pour atteindre le volume
de production.
4. L'intoduction d'une demande spéculative de monnaie.
Pour les néoclassque la monnaie ne remplie que deux focntion : unité de compte et moyen de
paiement alors que Keynes introduit une troisème focntion à savoir la monnaie comme réserve de
valeur, comme actif financier. Selon Keynes il devient rationnel de thésauriser de la monnaie dans deux
types de circonstances:
- en présence d'une situation de trappe à liquidité
- une situation d'ignorance dans laquelle les agents économique ne savent plus quelle forme il
faut donner à leur patrimoine.L'agent économique ne sait pas quelles sont les formes à privilégiés dans
leur patrimoine ou dans ce type de sitiuattion l'agent va concerver son patrimoine sous la forme qui ne
l'engage pas cad sous la forme la plus liquide donc sous la forme de monnaie. La conséuqence est que la
vitesse de circulation de la monnaie ne peut plus être postuler comme étant constante. La vitesse
dépend d'un terme qui n'est plus constant: i. Cela veut dire qu'en fonction des taux d'i créditeur sur les
différents actifs financiers, l'agent économique va arbitrer ,or certains actif fnanicers font partir dela
masse monétaire qui va ^tre soumise à des fluctuation ératique, imprévisible car provoquer par des
arbitrages microéconomique que personne ne contrôle. Ce sont les revenus percut par les ménages qui
détermine leur demande.
II/ Les implications de l'analyse de Keynes
I. Le rejet de la théorie quantitative de la monnaie
Keynes rejette la loi de Say: Pour Keynes la monnaie est une rserve de valeur, elle est un actif financier
et en conséquence elle peut être conservée dans un portefeuille financier sous sa forme monétaire,
donc ne pas prendre la forme de titres financiers, ou encore la monnaie peut être thésaurisée qui pour
lui est tout à fait rationnelle. Keynes affirme la possibilité de crise de surproduction ou encore la
possibilité de crise de sous production, car une partie de la monnaie va être thésaurisée et
momentanément sortir du circuit économique.
D'autre part il rejette la propriété de neutralité de la monnaie: Keynes rejette cette propriété si nous
sommes en situation d'équilibre de sous emploi. Parc contre si nous sommes en équilibre de plein
emploi alors Keynes affirme comme les néoclassique que la monnaie est neutre. Cela veut dire qu'en
équilibre de sous emploi une augmentation de la masse monétaire conduira à une augmenattion de la
production sans augmentation des prix nominaux donc une augmentation des volumes produits.
Plus on se rapproche de la situation de plein emploi et plus une croissance de la masse monétaire
provoquera alors ont aura à la fois croissance réelle des quantités produites et croissance de l'inflation.
Cette dernière possibilité pose deux question:
La première celle d'une explication du partage entre effet prix et effet volume?
Existe-t-il un arbitrage entre lutte contre l'inflation et lutte contre le chômage?
2. Le rejet de l'encaisse réelle
L'encaisse réelle mesure le pouv
mANQUE UNE HEURE
Ces agents vont cherchre à réequilibrer leur portefeuilles, et pour cela ils vont utiliser une partie ou la
totalité du supplément de monnaie à l'achat d'obligation de LT.
Pour les titre de LT il y une variation en sens inverse avec les taux d'intérêts. Cette baisse des taux
d'inté^rts va inciter à investir plus et va entrainer un delta I > 0 et ou à la fin on aura delta Y = kdelta I.
Premier cas possible: l'entreprise en..
Deuxième possibilité: l'entreprise s'autofinance donc elle n'a pas à supporter des coûts financier, dans
ce cas le taux d'intérêt à LT représente un cout d'opportunité il s'agit du cut des ressources finnacières
que l'entreprise aurait pu obtenir en placant ses capitaux plutot qu'en les investissants.
(Néoclassique: effet d'encaisses réelle :deltaM>0 : delta(M/P)>0 : delta C > 0 et delta I > 0)
2ème possibilité : ...
§;;;;;;
Le problème qui se pose pour passer à l'équilibre de sous emploi à celui de plein emploi, il faut utiliser
en même temps polituque budgétaire et monétaire et dans le même sens. Le problème est la
coordination entre la poltique monétaire de la Banque Centrale et budgétaire de 16 Etats membres.
Trois limites essentielles:
exemple: l'épargne est elle nécessaire pour Keynes ? Au niveau micro oui mais pas macro
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