
personne en séance de psychothérapie), il restait une façon de me faire taire: le harcèlement administratif En
cinq ans, mon cabinet de formation fut l'objet de quatre contrôles de l'ONSS, trois contrôles fiscaux, un
contrôle TVA, deux contrôle de la médecine du travail et un contrôle de l'Inspection Spéciale des Impôts.
Aucun de ces contrôles n'a débouché sur le moindre redressement ni la moindre condamnation. Au contraire,
nous fUmes félicités par les inspecteurs qui ne comprenaient pas eux-mêmes pourquoi l'administration
s'acharnait sur nous. Je fus, dans le même temps, accusé d'être un gourou dangereux, manipulant les
consciences à travers mes livres, mes conférences et mes séminaires. Je suis donc, à moi tout seul, une secte
dangereuse, fichée à la sûreté de l'Etat en Belgique, aux Renseignements Généraux en France et à la sécurité
nationale en_Suisse. Mais pas la moindre plainte à mon encontre: mon dossier est, comme me le disait un
journaliste enquêtant sur les phénomènes sectaires, désespérément vide.
Je pourrais, si elle le souhaite, éclairer la lanterne de Madame Gruber sur l'utilisation qui est faite depuis
1994 du concept de secte pour éliminer toute personne ou toute institution gênante pour le pouvoir en place,
qu'il soit religieux, scientifique ou politique. Cornmele prônait Hitler, « lorsque vos ennemis ont raison ou
sont trop forts, ne les affrontez pas. Utiliser encore et encore la calomnie. »Le Docteur Hamer n'a jamais eu
d'adeptes. Il a eu de nombreux patients, pour la plupart encore en vie aujourd'hui. À moins que le Docteur
Charles Berliner ne confonde maintenant une patientèle avec une secte.
Le deuxième défi que je lance, c'est au Docteur Berliner que je l'adresse. Je lui lance un défi scientifique.
Celui, tout simple, d'accepter de vérifier les hypothèses du Docteur Hamer. Cette démarche a déjà été
entreprise plusieurs fois, dans quelques universités: à chaque fois, les conclusions des commissions d'experts
ont été unanimes: « Nous avons vérifié que tous les points de la théorie du Docteur Hamer, se vérifie dans
100 % des cas ». Ces experts, d'après vous, étaient-ils des patients fragilisés par leur maladie 7 Étaient-ils des
charlatans 7 Étaient-ils fous 7 Non, tout simplement des scientifiques (médecins, cancérologues, chercheurs
universitaires, biologistes, etc.), travaillant tous dans des facultés universitaires officielles.
Quand j'ai acquis ma formation scientifique (en tant que physicien théoricien), j'ai appris que l'attitude de
base qui devait caractériser notre démarche était d'être ouvert à la contradiction et attentif aux exceptions qui
n'entrent pas dans le cadre des théories existantes. En 1899, un congrès international a réuni les plus grands
scientifiques de la planète pour faire le point sur l'état de la science. S'ensuivit une déclaration solennelle
affirmant que« 95 % des phénomènes de la nature étaient aujourd'hui expliqués et résolus. Seules, quelques
broutilles restaient à régler, ce quifif dire aux congressistes que le métier de scient_fique n'était plus un
métier ni passionnant, ni d'avenir. »En effet, parmi ces broutilles, il y avait l'effet photoélectrique, qui
n'entrait pas dans le cadre des théories sur l'électromagnétisme.
Deux personnages, Max Planck et Albert Einstein, ont eu l'intelligence de s'intéresser à cette broutille, cet
unique phénomène qui n'entrait dans aucune des théories connues sur la lumière (alors que plusieurs dizaines
de phénomènes, eux, étaient parfaitement expliqués par ces mêmes théories). Cela déboucha sur deux des
trois grandes théories physiques du XXe siècle qui bouleversèrent 95 % des anciennes lois connues. Ces
théories sont la physique quantique (qui n'a toujours pas été remise en question à ce jour !) et la relativité
restreinte et générale.
En cancérologie, je connais personnellement plusieurs personnes diagnostiquées cancéreuses, condamnées à
plus ou moins brève échéance. Hamer, a lui seul, en a connu plusieurs milliers. Ces personnes ont guéri, sans
recours aux traitements classiques. Pourquoi aucun médecin, aucun cancérologue ne s'intéresse-t-il à ces
patients « miraculés» ? Pourquoi, systématiquement, les médecins scientifiques déclarent une erreur de
diagnostic, malgré des dossiers épais de plusieurs centimètres? Cette attitude peut être qualifiée non
seulement de non-scientifique, mais de falsificatrice et de criminelle.
Observer grâce au scanner, grâce aux analyses sanguines, grâce aux échographies, aux radiographies, à la
RMN, la présence d'une tumeur cancéreuse, pronostiquer une probabilité de survie (ou condamner certains à
brève échéance), puis revoir le même patient quelques mois plus tard sans aucune trace de tumeur, et déclarer