ROMULUS LE GRAND Histoire de la Compagnie des Barbares. La Compagnie des Barbares fut créée en 1998 par Jean Godel initiateur du projet Romulus le Grand. Mais l’envie de monter ce spectacle lui est venue au printemps 1997, au terme de cinq années passées à Paris. En tant que jeune comédien diplômé de 29 ans, qui plus est de nationalité suisse, il devait trouver un moyen d’exercer le métier de comédien. Deux solutions : . Tenter sa chance à Paris et courir les castings, pénétrer le milieu en solitaire quitte à accepter tout et n’importe quoi... . Revenir en Suisse, réunir un groupe de jeunes comédiens et entamer un travail de base –l’élaboration d’un spectacle – qui permette de se présenter à un public. Telle a été la solution retenue. Ce type d’aventure avait bien été tenté à Paris (ce fut en février 1997 avec Le Souffleur d’Hamlet de Michel Deutsch, par une équipe d ’anciens élèves de l’Ecole Florent, au théâtre de la Jonquière), mais la troupe avait été plongée dans cet anonymat complet que réserve Paris à de pareilles entreprises. De jeunes comédiens qui se jettent à l’eau n’intéressent à Paris pas grand monde... Idées de base. Jean Godel (comédien et initiateur du projet ) : extrait du dossier. “ Je pense qu’il est préférable pour nous, jeunes comédiens, de nous faire connaître par le biais d’un spectacle conçu par nos soins plutôt que par des courses effrénées aux castings et aux cachets. La démarche me paraît plus saine mais aussi plus active plus positive et plus en profondeur, elle vise à faire connaître de jeunes artistes simplement par leur travail. Mais il est un deuxième aspect qui me tient plus particulièrement à coeur : à l’Ecole Florent, j’ai reçu une formation de comédien qui doit maintenant se poursuivre par l’acte mille fois répété. Mais aujourd’hui le jeu n’est pas tout. Toute une partie du métier este à découvrir, à apprendre, c’est la mise au monde d’un spectacle : droits d’auteurs, recherche de fonds, contacts avec les autorités et les autres théâtres, administration, choix du metteur en scène, des artistes, des techniciens, conception des décors, des costumes, de la lumière etc. Cet axe production est aujourd’hui de plus en plus indissociable de l’activité du comédien. Je vois là un opportunité unique d’apprendre cette autre face du métier. Pareille expérience me paraît primordiale, fondatrice. Enfin je n’envisage pas le théâtre comme autre chose qu’une rencontre donnant lieu à une fantastique aventure humaine. A cet égard, ce projet peut être une expérience extraordinaire. Une seule idée nous guide : nous mettre au travail sans état d’âme, nous qui sommes pour la plupart inconnus dans le monde du théâtre, et ne livrer bataille qu’en donnant le meilleur de nous-mêmes. ” CHOIX DE LA PIECE (extrait du dossier. Jean Godel) “ J’ai découvert cette pièce en 1986. J’ai été surpris (et séduit ! ) par l’écriture dépouillée, décapante, qui sert parfaitement l’alliage entre burlesque et pensée philosophique qui caractérise le texte. Depuis lors, l’idée de monter Romulus ne m’a plus quitté. Par la suite, j’ai constaté que cette pièce n’était que très rarement montée en français à ma connaissance, alors qu’elle l’est beaucoup plus en allemand. Autre surprise : l’ensemble de l’oeuvre théâtrale de Dürrenmatt est étonnamment peu jouée en Suisse romande et quasiment inconnue en France ; alors qu’en Suisse alémanique et en Allemagne les pièces de Dürrenmatt ont été presque toutes portées à l’écran. Mais ce que j’aime avant tout, c’est l’audace du propos : Romulus le Grand est une pièce sur le choix d’un homme, sur sa responsabilité. Responsable, Romulus l’est car il donne une réponse à une situation dramatique (la fin d’un empire, le déferlements des Barbares). Réponse surprenante cependant, car allant à l’encontre d’une pensée unique distillée depuis la nuit des temps par ses pairs (une vision très traditionnelle du pouvoir, de ses objectifs et des moyens de les atteindre. Réponse surprenante enfin, puisque guidée par l’intelligence d’un homme de coeur. Je vois dans ce choix courageux, dans cette audace, dans cet engagement sacrificiel (il perdra tout, les siens et le pouvoir) la trame véritablement forte de Romulus le Grand. Peu importe de savoir quelles prolongations contemporaines l’on trouvera à ce texte. L’exercice me paraît stérile. Beaucoup seront séduits par l’écriture acérée de Dürrenmatt. D’autres apprécieront la furieuse drôlerie de la parabole, drôlerie qui rend encore plus puissantes les paroles du poète. En fin de compte, c’est bien plutôt notre époque, riche en pensées uniques et en idéologies, qui va à la rencontre de ce texte prémonitoire écrit au lendemain de la seconde guerre mondiale. ” RESUME DE LA PIECE C’est sans doute le comique absolument irrésistible de la farce qui réjouit d’emblée. Imaginez le dernier empereur de Rome qui, désabusé, néglige la conduite de l’empire, au profit de la conduite bien plus jubilatoire d’un élevage de poules. L’aviculture comme palliatif à la dictature. Dürrenmatt s’amuse, il s’en donne à coeur joie. Mais comme l’écrivain est grand, la farce n’est qu’un prétexte et les mots deviennent profonds, ils se font inquiets, ils se nourrissent de la folie des années de guerre et de totalitarisme, à l’issue desquels ils ont été écrits. Cinquante ans après sa parution, l’avertissement visionnaire de Dürrenmatt déconcerte encore et toujours, malheureusement. Les pensées uniques de cette fin de siècle l’ignorent avec arrogance. Les répliques de Romulus n’en sont que plus poignantes. Cependant, grâce à l’entremise décapante de l’humour, la pièce de Dürrenmatt nous invite à porter un regard d’homme libre sur le monde. LES COMEDIENS Nous avons la volonté de réunir une troupe de comédiens professionnels, c’est-à-dire ayant suivi une formation de comédien ou en cours de formation. Une majorité des comédiens réunis en sont à l’une de leurs premières expériences professionnelles, comme au seuil de ce métier. Ils sont entourés d’acteurs ayant déjà une petite expérience de la scène. Le metteur en scène seul, Xavier Florent, possède l’expérience d’un vrai professionnel, aussi bien dans le domaine du jeu et de la mise en scène que dans le domaine de l’enseignement. C’est là un aspect essentiel de ce projet : de jeunes comédiens professionnels conduits par un metteur en scène confirmé présentent leur travail à un public qui ne les connaît pas encore, ou très peu. Et puis des acteurs venant de toute la Romandie (notamment du canton de Fribourg) vont se mêler pendant près de deux mois de répétitions à quelques acteurs français que Jean Godel a personnellement côtoyés pendant son séjour à Paris. Pareille émulation nous paraît prometteuse. La rencontre d’univers artistiques différents, quoique finalement assez proches, devrait donner lieu à un travail en profondeur, sans préjugés, au seul service du texte. La qualité et la sincérité de l’engagement de chacun y gagneront sans doute. Et puis aujourd’hui les scènes romandes et françaises travaillent chaque jour davantage en réseaux communs les échanges se faisant toujours plus fréquents. La tendance en ce domaine est à l’élaboration d’un cadre de vie théâtral unifié, mouvement prometteur auquel nous souhaitons modestement participer. Cependant soyons clairs : nous associons quelques artistes français à un noyau central qui, lui, est constitué d’artistes suisses. Les comédiens proviennent principalement de la région bulloise et de la région lausannoise. Cinq d’entre eux suivent actuellement les cours du Conservatoire de Lausanne. D’autres sont allés à Paris fréquenter notamment l’Ecole Florent où des rencontres ont eut lieu et où des amitiés sont nées. Au final, sept comédiens suisses, quatre comédiens français et le metteur en scène, Xavier Florent. Les comédiens et comédiennes suisses (par ordre alphabétique) : Céline Césa, Cédric Dorier, Lionel Frésard, Jean Godel, Stéphane Liard, Olivier Périat et Stefania Pinelli. Les comédiens et comédiennes français (par ordre alphabétique) : Jérôme Dupleix, Frédérique Farina, Xavier Florent, Vincent Planchon et Olivier Sabin. DISTRIBUTION : (au 10 décembre 1998). ROMULUS AUGUSTUS (Empereur de Rome)..............................…............................Jean Godel JULIA (Sa femme)..................................................................................................Frédérique Farina REA (Sa fille)..................................................................................................................Céline Césa ZENON L’ISAURIEN (Empereur de Constantinople)..............................................Vincent Planc EMILIEN (Patricien romain).......................................................................................Cédric Dorier MARES (Ministre de la Guerre)..................................................................................Olivier Périat SPURIUS TITUS MAMMA (Préfet de la cavalerie)...................................................Olivier Sabin TULLIUS ROTUNDUS (Ministre de l’intérieur)......................................................Lionel Frésard ACHILLE (Valet de chambre)..................................................................................Jérôme Dupleix APOLLYON (Antiquaire)............................................................................................Cédric Dorier CESAR RUPF (Industriel).........................................................................................Stéphane Liard PHYLAX (Acteur).................................................................................................... Jérôme Dupleix ODOACRE (Prince des Germains)...........................................................................Stefania Pinelli THEODORIC (Son neveu)............................................................................................. Céline Césa PHOSPHORIDOS (Chambellan)................................................................................Xavier Florent SULPHURIDES (Chambellan)................................................................................. Stefania Pinelli Une douzaine de poules. Des portefaix, des messagers, des Germains : (la troupe). “ Indépendamment des comédiens, j’ai obtenu l’accord du styliste gruyèrien Thierry Dafflon pour la conception des costumes et de Nathalie Barras, architecte d’intérieur bulloise installée à Paris, qui s’occupe des décors. La mise en scène sera donc assurée par Xavier Florent, professeur de théâtre à Paris. Il a accepté de participer à ce pari un peu fou qui constitue en quelque sorte une suite logique à son enseignement (j’ai en effet suivi ses cours pendant deux ans). Sa très grande expérience aussi bien dans le jeu et la mise en scène que dans l’enseignement du théâtre sera un atout précieux. ” Jean Godel. LES REPRESENTATIONS (extrait du dossier. Jean Godel) “ Au printemps 1997, j’ai contacté Monsieur Dominique Rime, membre de la Commission culturelle de la Ville de Bulle. Il s’est tout de suite montré disposé à soutenir ce projet. Par son intermédiaire il a ainsi été décidé à la Commune de Bulle de programmer notre spectacle Romulus le Grand de Friedrich Dürrenmatt à deux reprises, les 4 et 5 mars 1999 à la grande salle de l’Hôtel de ville. Ces deux représentations publiques seront intégrées au programme de la saison culturelle de la ville de Bulle. En décembre 1997, les directeurs du Collège du Sud de Bulle et de l’Ecole Secondaire de la Gruyère ont proposé trois représentations scolaires aux élèves de ces établissements. (1er et 2 mars 1999). Nous travaillons à la mise sur pied d’une tournée en Suisse romande une fois que le spectacle aura été vu à Bulle. Des contacts ont déjà été établis. La commission culturelle de la ville de Bulle étant membre du Pool des Théâtres romands, les membres de cette institution seront invités aux représentations bulloises. De manière générale, les directeurs de salles romands seront invités. Nous travaillons aussi sur une tournée des festivals d’été en France et plus généralement sur une tournée française. ” SUBVENTIONS. (au 10 décembre 1998). ( en francs suisses) Ville de Bulle : Participation de l’Ecole Secondaire de la Gruyère et du Collège du Sud : 15 000 FS 9 000 FS Affaires culturelles du canton de Fribourg : 15 000 FS Loterie romande du canton de Fribourg : 10 000 FS Sponsoring et dons : Total 6 000 FS 55 000 FS ou environ 240 000 FF Metaname : Théâtre, Dürrenmatt, Romulus le Grand, compagnie de théâtre, spectacle, Xavier Florent, barbares, acteurs, actrices, comédiens, comédiennes, Suisse, Bulle, France, comédie-française, théâtre de l’odéon, liens hypertextes : wwwusers.imaginet.fr/~cassan/index.html www.er.uqam.ca/nobel/c2545/theatral.html www.culture.fr www.theatre-odeon.fr www.comedie-française.fr plus sites sur Dürrenmatt. - Penser à une boîte aux lettres. CURRICULUM VITAE DU METTEUR EN SCENE Xavier Florent. Metteur en scène. 39 ans E-mail : [email protected] Depuis 1985/1986, professeur de première année au Théâtre Ecole Florent, Paris. Depuis 1989 professeur de première et deuxième année au Théâtre Ecole Florent, Paris. Activités théâtrales 1995/1996 LE BARBIER DE SEVILLE de Beaumarchais. Mise en scène de Jean-ClaudeBarbier. Rôle du comte Almaviva. Théâtre du Muret et tournée dans le sud de la France. 1993 LE CHEVALIER A LA ROSE de Richard Strauss. Mise en scène de Peter Buse. Rôle (pantomime) de Léopold. Capitole de Toulouse. 1992 LE MISANTHROPE de Molière. Mise en scène de Francis Huster, avec Francis Huster, Robert Hirsch et Danièle Lebrun. Rôle d’Acaste. Théâtre Marigny. 1991 RICHARD II de William Shakespeare. Adaptation de Romain Weingarten. Mise en scène d’Yves Gasc, avec Laurent Terzieff. Rôle de Bagot. Théâtre des Célestins à Lyon, tournée en festivals, Théâtre de l’Atelier, tournée en France. 1990 LES FOUMIDIABLES de Roland Dubillard. Mise en scène de Hubert Drac. Rôle de deux. Reprise en tournée. ROSE DE NOEL de Frantz Léhar. Mise en scène de Alain Baugé. Rôle de Frantz. Capitole de Toulouse. LE CHEVALIER A LA ROSE de Richard Strauss. Mise en scène de Peter Buse. Rôle (pantomime) de Léopold. Capitole de Toulouse. 1988/1989 HENRY IV de Luiggi Pirandello. Mise en scène de Armand Delcampe, avec Laurent Terzieff. Rôle de Landolf. Atelier théâtral de Louvain-la-neuve, tournée en France, théâtre de l’Atelier, le printemps des comédiens de Montpellier. 1988 SGANARELLE OU LE COCU IMAGINAIRE de Molière. Mise en scène de Odille Mallet et Geneviève Brunet. Rôle de Lellie. Festival d’Albi. LE MISANTHROPE de Molière. Mise en scène de Odille Mallet et Geneviève Brunet. Rôle du garde de la maréchaussée. Festival d’Albi. ELECTRE de Jean Giraudoux. Mise en scène de Odille Mallet et Geneviève Brunet. Rôle du jeune homme. Festival de Bellac et Turenne. 1987/1988 MON FAUST de Paul Valéry. Mise en scène de Pierre Franck, avec Pierre Dux et Robert Hirsch. Rôle du disciple. Atelier théâtral de Louvain-la-neuve, théâtre du rond-point Renaud-Barrault, tournée en France, Suisse et Belgique puis théâtre de la comédie des Champs-Elysées. 1987 LES FOUMIDIABLES de Roland Dubillard. Mise en scène de Hubert Drac. Rôle de deux. Tournée en France. DEUX MAITRES A LA MAISON. Réalisation de Philippe Galardy. Rôle du fou de Dieu. Production SFP. 1986 SECRET DU CREPUSCULE de Constantin Cavafy. Mise en scène de Iannis Iordanidis. Rôle de l’inconnu. Théâtre des déchargeurs. LES FEMMES SAVANTES de Molière. Mise en scène de Jean Terranssier. Rôle de Trissotin. Théâtre de la porte St Martin et tournée L’IMPROMPTU DE VERSAILLES de Molière. Mise en scène de Odille Mallet et Geneviève Brunet. Rôle de Lagrange. Festival d’Albi. L’ECOLE DES MARIS de Molière. Mise en scène de Odille Mallet et Geneviève Brunet. Rôle de Valère. Festival d’Albi. OEIL POUR DEUIL (S’IL VOUS PLAIT... VOUS M’OUBLIEREZ) de Breton et Soupault. Mise en scène de Marie-Laure Pinton. Huit rôles. Théâtre du Tourtour. 1985 CHANT POUR UNE PLANETE de Etienne Rebaudengo. Mise en scène de Jean Rougerie. Rôle de Cobalt et Corail. Création à la comédie de Paris. L’AVARE de Molière. Mise en scène de René Dupuy. Rôle de Cléante. Théâtre Fontaine. LE MARI A LA PORTE de Jacques Offenbach. Mise en scène de Marie-Laure Pinton. Rôle de Florestant Ducroquet. Tournée. Théâtre Tête d’or à Lyon. 1976/1984 TOPAZE de Marcel Pagnol. SIEGFRIED 78 De François-Régis Bastide. LA CULOTTE de Jean Anouilh. MAISON ROUGE de Pierre Sala. TROIS VALSES de Oscar Strauss. HELLO DOLLY de Jerry Herman. L’ILE DE TULIPATAN de Jacques Offenbach. LA FLEUR AU FUSIL de John Wilson. LA MARI A LA PORTE de Jacques Offenbach. LE TRIOMPHE DE L’AMOUR de Marivaux. LES LIAISONS DANGEREUSES de Choderlos de Laclos. LA MELODIE DES STRAPONTINS de Pierre Tchernia. LA MARIEE EST TROP BELLE de Odette Joyeux. Enseignement de l’art dramatique Depuis 1985/1986, professeur de première année au Théâtre Ecole Florent, Paris. Depuis 1989 professeur de première et deuxième année au Théâtre Ecole Florent, Paris. Différents spectacles-ateliers (dits “ correspondances ”) montés dans le cadre du Théâtre Ecole Florent : 1990 Correspondances PABLO PICASSO (écriture collective). 25 participants. 1991 Correspondances WILLIAM HOGARTH (écriture collective). 30 participants. 1992 Correspondances MUSEE DE HAMBOURG (écriture collective). 25 participants. 1993 Correspondances MUSEE D’ORSAY (écriture collective). 45 participants. Mise en scène de HUSTER N’EST PAS DADA..., spectacle constitué DE S’IL VOUS PLAIT... de Breton et Soupault, de MOUCHOIR DE NUAGE de Tristan Tzara, du COEUR A GAZ de Tristan Tzara, du SERIN MUET de George RibemontDessaignes etc. (25 participants). 1994 Mise en scène de 45 PROVERBES DRAMATIQUES de Carmontelle (60 participants). 1995 Reprise de différents PROVERBES DRAMATIQUES de Carmontelle en tournée autour de Paris, puis au festival de Sarlat et au Théâtre Grévin. Correspondances NOUVELLE OBJECTIVITE (écriture collective). 45 participants. Mise en scène de LA FOIRE ST-GERMAIN et de LA SUITE DE LA FOIRE STGERMAIN de Jean-François Regnard (tricentenaire de la pièce, 25 participants). 1996 Correspondances BRUEGEL (écriture collective). 50 participants. 1998 Correspondances EDWARD HOPPER (écriture collective). 30 participants. Atelier de pièces contemporaines de Michel Azama, Roland Fichet, Yves Nilly, Robert Poudérou, Claude Prin, Louis-Charles Sirjacq et Jacky Viallon (30 participants). CURRICULUM VITAE DE L’INITIATEUR DU PROJET Jean Godel. Initiateur du projet et comédien. 31 ans Formation générale 1987 Bac B (latin-anglais) au Collège du Sud de Bulle. 1992 Licence en sciences politiques à l’université de Lausanne. Formation théâtrale Membre de l’Atelier de théâtre du Collège du Sud de Bulle (directrice : Mme Roselyne Delley) ; rôles notamment dans ANTIGONE de Sophocle, RHINOCEROS de Ionesco, INTERMEZZO de Giraudoux, LES FEMMES SAVANTES de Molière. 1983/1987 1992/1995 Cycle complet (trois ans) de formation de l’acteur à l’Ecole Florent, Paris ; professeurs : Xavier Florent, Alain Fromager, Christian Croset, Fanny Delbrice, Philippe Joiris. 1994 Tournée de l’Ecole Florent en Asie du Sud-Est avec le spectacle ALLEE VICTOR HUGO (dont L’INTERVENTION de Victor Hugo), mise en scène de Christian Croset, avec interventions dans les classes des lycées français de Hanoï, Bangkok et Singapour. 1995/1996 Représentations du spectacle IL N’Y FAUT PLUS PENSER, plusieurs proverbes de Carmontelle mis en scène par Xavier Florent, au théâtre Grévin à Paris ainsi que dans différents théâtres de la région parisienne. Représentation du spectacle LE SOUFFLEUR D’HAMLET de Michel Deutsch, mise en scène Jérôme Dupleix, au théâtre Jonquière à Paris. Rôle du Directeur. 1997 Autre activité professionnelle Pour financer les différentes activités universitaires et théâtrales citées ici, collaboration plusieurs moi par année comme chauffeur poids-lourd international au service des rapatriements du Touring Club Suisse (depuis 1988). CURRICULUM VITAE Jérôme Dupleix. Comédien et assistant à la mise en scène. 27 ans. Depuis 1996 professeur de première année au Théâtre Ecole Florent, Paris. Formation 1992/1995 Ecole FLORENT. Professeurs : Alain FROMAGER, Xavier FLORENT, Valérie NEGRE, Christian CROSET. 1991/1994 Licence d’Etudes Théâtrales, Paris III - la Sorbonne Nouvelle-Censier. 1991 Bac A3 THEATRE. effectués à l’université Paris III (licence d’études théâtrales). Stages 1994 Stage de masques animé par Georges BONNAUD. Stage d’animateur théâtre animé par Bernard GROSJEAN (Théâtre and Co). Stage de jeux et de recherches théâtrales animé par Jean-François PEYRET. 1992 Stage de jeux animé par Eloi RECOING. Stage de jeux animé par Hervé PETIT. Activités théâtrales 1997 Mise en scène de IL EST IMPORTANT D’ETRE AIME de Oscar WILDE. Théâtre de Neuilly. Mise en scène de la pièce : LE SOUFFLEUR D’HAMLET de Michel DEUTSCH. Reprise. Centre Jonquière. Paris. Et aussi rôles du souffleur et de l’ouvrier. 1996 Mise en scène de PROVERBES DRAMATIQUES de CARMONTELLE au festival de Coye-la-Forêt. PROVERBES DRAMATIQUES de CARMONTELLE. Mise en scène de Xavier FLORENT. Théâtre Grévin. Différents personnages. 1995 Mise en scène de la pièce : LE SOUFFLEUR D’HAMLET de Michel DEUTSCH. Création. Quinze représentations au théâtre-école de l’Ecole FLORENT. PROVERBES DRAMATIQUES de CARMONTELLE. Mise en scène de Xavier FLORENT. Tournée au Festival des Jeux du Théâtre de Sarlat et en région parisienne. Assistanat à la mise en scène pour L’INTERVENTION de Victor HUGO. Mise en scène de Christian CROSET, Avignon-off. 1994 LES MATAMORES DANS LE THEATRE FRANÇAIS. Spectacle de Valérie NEGRE. Tournée en Autriche. Personnage d’Alcandre. 1990/1991 ELECTRE de SOPHOCLE. Trad. de A. VITEZ. Mise en scène de Jacques le NY. Personnages du Pédagogue et d’Egisthe. L’ATELIER de J-C. GRUMBERG. Mise en scène de Jacques le NY. Personnage de Léon. Enseignement de l’art dramatique Depuis 1996 professeur de première année au Théâtre Ecole Florent, Paris. Différents spectacles-ateliers (dits “ correspondances ”) montés dans le cadre du Théâtre Ecole Florent : 1997 Correspondances PEINTRES AUTRICHIENS (écriture collective). 30 participants. 1998 Correspondances EDWARD HOPPER (écriture collective). 30 participants. 1999 Correspondances PEINTRES POMPIERS (écriture collective en chantier).35 participants. CURRICULUM VITAE Olivier Sabin. Comédien. 28 ans. Formation 1992/1996 avec Alain Fromager, Olivier Médicus, Philippe Joiris, Raymond Acquaviva, François-Xavier Hoffman, IDRISS. Théâtre 1998 1997 1996 1995 Horace m.e.s Marion BIERRY au théâtre de l’Oeuvre. La farce de maître Pathelin m.e.s IDRISS. Les fourberies de Scapin m.e.s IDRISS en tournée. La cigogne n’a qu’une tête m.e.s Igor FUTTERER au théâtre de Ménilmontant. Le cid m.e.s IDRISS. Sade concert d’enfer m.e.s Christophe BUROT. La maison des Jeanne et de la culture m.e.s Thierry PIETRA. 1994 Les précieuses ridicules m.e.s Marc SARASIN (festival d’Avignon). Guerre m.e.s RaymondACQUAVIVA. Pour un oui ou pour un non m.e.s Jean-Jacques DULON. Opérette 1995 1994 L’auberge du cheval blanc m.e.s Josette PLIASKA. La route fleurie m.e.s Olivier SABIN Telé 1998 Pour être libre A. B Broacast. Court-métrage 1994 Abus dangereux réalisé par Frédérique LEMAITRE. Mise en scène 1998 1997 1996 1995 1994 Montfermeil au fil du temps (son et lumières). Black and Black de Pierre SAUVIL au point virgule et au théâtre de dix heures. Montfermeil au fil du temps (son et lumières) Le mystère de la charité de Jeanne d’Arc à l’alambic studio. Montfermeil au fil du temps (son et lumières) La maison des Jeanne et de la culture. La route fleurie en tournée. Assistanat à la mise en scène 1998 1997 1995 Même si c’est vrai c’est faux m.e.s Isa MERCURE avec Gilles Guillot. Création au festival d’Avignon au théâtre du Bélier. Les fourberies de Scapin m.e.s IDRISS. Pour un oui ou pour un non m.e.s Jean-Jacques DULON