G-20? What`s the link?

publicité
G-20 INCLUDES THIRD WORLD
ELITES,
EXCLUDES THE WORLD
G-7? G-20? What’s the link?
The G-7 finally got it. This economic junta “representing” only 646.8
million people could not dictate global economic policy and be the
primary benefactors of the labour and resources of Earth’s 6 billion
people. Canada, Italy, Britain, France, Germany, Japan, and the United
States realized this when capitalism bit back in Mexico, Thailand, South
Korea and Brazil. These crises had a rapid global impact. Only when the
G-7 found their own economies at risk did they understand that
globalization is not just North-to-South neocolonialism. That they are
accountable for their actions, in the market and in the street. That
economic models in their elite meetings become everyone’s kitchen table
economic realities.
Who did the G-7 appoint to the G-20?
To better control the world economy, the G-7 appointed 10 governments,
the European Union, the International Monetary Fund and the World Bank
to be its executive financial committee. Together, China, India, Brazil,
Indonesia, Russia, South Africa, Argentina, Australia, Mexico, Saudi
Arabia, South Korea, and Turkey “represent” or outright rule 3.18 billion
people. The G-7's criteria for deputizing these countries had nothing to do
with democracy or human rights. According to the G-20's own
Backgrounder, “size or strategic importance” mattered.
What does the G-20 want?
The government rhetoric is about inclusiveness and reform. Believe none
of it. The G-20 was formed because the elites of the G-7 needed the elites
of other countries to help them rule the global economy. The G-20 is a
tool to preserve the power and wealth for the elites by keeping the
global economy stable. Sharing power and wealth with the 4 billion
people of the G-8 countries is not the goal. As G-20 Chair, Finance
Minister Paul Martin is the nice Canadian mask over an ugly process
that disregards democracy and human rights in the name of brute
power and economic might.
What do the Industrial Workers
of the World say?
As an internationalist union, the Industrial Workers of the World
supports the demonstrations against the G-20. The G-20 is an elite
process for elite ends. The criteria, the participants, the process all
shows that the working class and the elite class have nothing in
common. They have power over our lives. We want that power back
in our hands. All
people deserve more than the
indignity of trickle
down economics and wage
slavery on a global
scale. We call on working
people to fight for
justice in their working lives,
unionize their
workplaces no matter how big
or small, defend those repressed and entrapped by the state, and act in
solidarity with each other’s struggles across the globe. Independence
from the bosses is our goal. Every struggle counts.
IWW Ottawa-Outaouais General Membership
Branch Contacts
Peter Timusk 729-8328
Mathieu Brûlé 682-5564
http://www.iww.ca/
G-7? G-20? Quel est le lien?
Le G-7 a finalement réussi. Cette junte économique qui “représente”
seulement 646,8 millions de personnes n'a pas pu dicter la politique
économique globale ou être les bienfaiteurs primaires du travail et des
ressources des 6 milliards d’habitants et d’habitantes de la Terre. Le
Canada, l'Italie, la Grande-Bretagne, la France, l'Allemagne, le Japon, et
les Etats-Unis l’ont réalisé lorsque le capitalisme leurs ont mordu le
derrière au Mexique, en Thaïlande, en Corée du Sud et au Brésil. Ces
crises ont rapidement eu un impact global. C’est seulement lorsque les
pays du G-7 ont réalisés que leur propres économies étaient en danger
qu’ils ont compris que la mondialisation n'est pas simplement un
néocolonialisme de Nord au Sud, mais qu'ils sont responsables pour leurs
actions, sur le marché et dans la rue; que les modèles économiques qu’ils
décident lors de leurs réunions d'élite deviennent éventuellement des
réalités économiques chez tout le monde.
Qui est-ce que le G-7 nommé au G-20?
Pour améliorer leur contrôle de l’économie mondiale, le G-7 a nommé 10
gouvernements, l'Union Européenne (UE), le Fond Monétaire
International (FMI) et la Banque Mondiale pour en tant que comité
financier exécutif. Ensemble, la Chine, l'Inde, le Brésil, l'Indonésie, la
Russie, l'Afrique du Sud, l'Argentine, l'Australie, le Mexique, l'Arabie
Saoudite, la Corée du Sud, et la Turquie “représentent” ou font simplement
dominer 3,18 milliards personnes. Les critères de G-7 pour le choix de ces
pays n'ont rien à faire avec la démocratie ou les droits de l’être humain.
Selon le “backgrounder” du G-20, ce sont plutôt “la grandeur ou
l'importance stratégique” qui compte.
Quel est le but du G-20?
La rhétorique de gouvernement parle de d'inclusion et de réforme, mais ce
sont que des mensonges. Le G-20 a été créé parce que les élites du
G-7 avaient besoin des élites d'autres pays pour les aider à régner
l'économie globale. Le G-20 est un outil servant à la préservation de la
puissance et de la richesse des élites en maintenant l'économie globale
stable. Le partage de la puissance et de la richesse avec 4 milliards de
personnes des pays du G-8 n'est pas le but. Car le président du G-20,
notre ministre des finances Paul Martin, créé un masque de “bon
Canadien” pour cacher le processus honteux qui néglige la démocratie
et les droits de l'être humain au nom de la puissance brutale et de la
force économique.
Quel est la position du Syndicat International des
travailleuses et des Travailleurs?
Comme syndicat internationaliste, le SITT appuie les manifestations
contre le G-20. Le G-20 est un processus d'élites travaillant pour des
fins d'élites. Les critères, les participants, tout le processus prouve que
la classe ouvrière et la classe d'élite n'ont rien en commun. Ils ont le
pouvoir sur nos vies. Nous voulons que ce pouvoir soit une fois et
pour tous dans nos mains. Tout le monde mérite plus que l'indignité de
l'esclavage de l’économie du haut vers le bas et des salaires minables
sur une l’échelle globale. Nous lançons un appel à tous les
travailleuses et à tous les travailleurs à se battre pour la justice dans
leurs vies de tous les jours, de syndiquer leurs lieux de travail peu
importe la grandeur ou le nombre d’employées, de défendre les
répriméEs et enferméEs par l'État et d’agir en solidarité avec des luttes
de chacun et de chacune à travers le globe. L'indépendance des
patrons est notre but. Chaque lutte compte.
La Branche d’Adhésion Générale du SITT-IWW
Ottawa-Outaouais Contactes: www.iww.ca
Peter Timusk (anglophone): [email protected]
Mathieu Brulé (francophone): [email protected]
Téléchargement