La grammaire

la relation
grammaire lecture
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La grammaire,
partie prenante de la pensée
Au IIIesc., apparition des grammaires grecques pour aider la lecture
de l’Iliade et de l’Odyssée (en langue homérique, parus en -600)
Les linguistes Chomsky et Guillaume considèrent la grammaire comme
une fonctionnalité naturelle, innée à la pensée humaine :
Grammaire universelle (potentialité cérébrale commune à toutes les langues)
Psychomécanique du langage (la chronogenèse = pulsion organique)
En 2006, des chercheurs de l’Université de Californie ont constaté que des
meutes de renards utilisaient, en plus d’une phonologie distincte, une
structuration langagière (= grammaire) propre à chaque meute.
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Bref, sans structure grammaticale,
la pensée organisée et la symbolisation
sont peu probables…
Donc, sans l’apport d’une grammaire active,
les opportunités de compréhension
en lecture sont limitées.
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Relations et
applications pratiques
entre la grammaire et la lecture
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A. Quelques phrases
agrammaticales…
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Je ne veux pas dépendre ou être lié à ce monstre!
En jouant seule avec sa poupée, les autres enfants
sont venus lui tenir compagnie.
Ce livre est un tant soit peu abîmé. (ENS)
En descendant de vélo, une vache me regardait.