Stratégie de placement - Financière Banque Nationale

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Pour bâtir votre avenir financier
Stratégie de placement
Juillet 2011
Une source de fierté Nationale
Pour nombre de Canadiens, la période estivale est le
meilleur moment pour se reposer. De notre côté, l’été
est une belle occasion pour nous pencher sur nos
réalisations tout en gardant l’œil ouvert sur l’avenir.
Et, en ce qui a trait à l’année dernière, nous avons
toutes les raisons d’être fiers !
Nous avons le plaisir de vous annoncer que Banque
Nationale Groupe financier s’est classée première en
Amérique du Nord sur le plan de la solidité financière
et qu’elle occupe le troisième rang mondial de la liste
Bloomberg des banques les plus solides. Bloomberg
Markets, un magazine d’information financière
internationalement reconnu, s’est fié à la qualité et
à la stabilité des avoirs pour établir son classement.
Une autre réalisation qu’il vaut la peine de souligner
est le Prix d’éducation en investissement, qui nous
Dans ce numéro
a été attribué dans le cadre du 16e Gala canadien du
placement de l’Institut des fonds d’investissement du
Canada. Ce prix souligne l’excellence de nos outils
d’aide à la planification de la retraite.
Nous sommes également fiers de figurer parmi
les 50 Employeurs de choix au Canada une fois de
plus. Cette liste, dressée par Aon Hewitt, reconnaît
les sociétés dont le milieu de travail et les
pratiques de gestion des ressources humaines sont
exceptionnels.
Nous sommes très touchés par ces témoignages
de reconnaissance et une large part de notre
gratitude vous revient pour avoir choisi Banque
Nationale Groupe financier comme partenaire
en investissement. Grâce à tous ces succès, nous
sommes plus que jamais en bonne position pour
vous aider à créer une richesse appréciable.
Nous espérons que vous prendrez plaisir à consulter
la présente édition de Stratégie de placement. Bonne
lecture !
Une source de fierté Nationale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
Autour du monde : Un nid de poule sur la voie de
la reprise.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
Marchés financiers : Le prix de l’incertitude .. . . . . . . . . . . . . . . . . 2
États-Unis : La création d’emplois décélère. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
Répartition de l’actif : Actions : Fondamentaux vs
Techniques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
Canada : Un ressort surprenant. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
Portefeuilles modèles : Répartion de l’actif, diversification
par pays et durée pour cinq profils d’investisseurs . . . . . . . . . . . . 4
Prévisions économiques.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
Louis Vachon
Président et chef de la direction
Banque Nationale Groupe financier
Marchés financiers
Autour du monde
Un nid de poule sur la voie de la reprise
Les statistiques économiques ont été
décevantes ces dernières semaines,
par­ticulièrement aux États-Unis où le
ralentissement a été relativement bru­
tal. L’indice des surprises économiques
a chuté précipitamment à un niveau
qu’on n’avait plus vu depuis la crise
du crédit de 2008. La plus grande
économie du monde est-elle en train
de faire une rechute ? Nous ne le
pensons pas. Le ralentissement peut,
en grande partie, être attribué à des
conditions climatiques particulière­
ment rigoureuses doublées de l’effet
négatif des catastrophes japonaises sur
certains secteurs. Ce sont là des phé­
nomènes passagers qui ne de­vraient
pas enrayer l’expansion mondiale.
Nous nous attendons à ce que bon nom­
bre des circonstances particulières
qui nous ont affectés aient disparu
au deuxième semestre. Dans la pro­
duction, les perturbations de la chaîne
des approvisionnements au Japon se­
ront de moins en moins un frein. Dans
le secteur automobile, les plans de
production devaient être nettement
aug­mentés au troisième trimestre.
Cela donnerait un sérieux coup de
fouet à la croissance économique au
début du deuxième semestre de 2011
et ap­
porterait un soutien au marché
du travail.
Dans les économies émergentes, le
resserrement des politiques monétaires
a réussi à réduire la surchauffe, atté­
nuant du coup certaines pressions
des prix des matières premières et de
l’inflation. À ce stade-ci, nous pensons
que l’essentiel du durcissement des
politiques monétaires est passé; nous
restons d’avis que, malgré les tours de vis
répétés des autorités, leurs restrictions
ne vont pas jusqu’à couper les ailes du
puissant dragon chinois. Cela crée un
environnement favorable dans lequel
les prix du brut ont baissé de plus de
14 % par rapport à leur dernier sommet
alors que le prix de l’essence à la pompe
a aussi nettement reculé. Même si les
prix du pétrole devaient récupérer
Monde : Accès de faiblesse et non
l’annonce d’une récession
Production industrielle mondiale et indicateur économique avancé
142
140
138
136
134
132
130
128
126
124
122
Indice (échelle log)
Indice (échelle log) 118
116
Production industrielle mondiale (g)
114
112
110
108
106
104
120
118
102
116
114
Indicateur économique avancé (d)
112
2005
2006
2007
2008
2009
2010
100
98
2011
Économie et Stratégie BNGF
Le prix de l’incertitude
Après avoir bondi à près de 4 % au
début du deuxième trimestre, les
actions mondiales mesurées par
l’indice MSCI tous pays (en USD) ont
cédé plus de la moitié de leurs gains et
présentent maintenant un rendement
négatif depuis le début de l’année. Ce
revers tient à l’incertitude suscitée
par les perspectives de croissance
mondiale
dans
les
économies
émergentes et à l’action de nombreux
pays industrialisés pour gérer leur
surendettement, avec, en première
ligne, ceux d’Europe, dont la Grèce,
l’Irlande, le Portugal et l’Espagne.
Au Canada, à la fin de juin, l’indice
S&P/TSX avait perdu la totalité de sa
hausse de l’année. Le repli touche
surtout les ressources naturelles, dont
les bénéfices étaient inférieurs aux
prévisions. Heureusement, la plupart
des autres secteurs de l’indice global
ont dégagé une rentabilité supérieure
aux attentes. Malgré l’incertitude, les
tensions financières calculées par la
Réserve fédérale américaine restent
bien inférieures à des niveaux qui
dénoteraient une aggravation marquée
La création d’emplois décélère
États-Unis
une partie de leurs pertes récentes, la
baisse des prix de l’énergie soutiendrait
encore la croissance économique alors
que les exportations bénéficieront d’une
expansion des économies étrangères.
Tout bien compté et malgré l’incertitude
des problèmes de dettes souveraines
dans la zone euro, les conditions de
crédit mondiales demeurent favorables;
les profits augmentent encore, les entre­
prises investissent et la menace d’un
choc des approvisionnements pétroliers
se dissipe. L’indicateur avancé de l’acti­
vité économique mondiale de l’OCDE
laisse toujours entrevoir une croissance
du produit intérieur brut (PIB) mondial
de 4,0 % cette année.
Après la meilleure séquence en matière
de création d’emplois depuis cinq ans
(729 000 emplois en quatre mois), la
création d’emplois salariés a déçu en
se limitant à 54 000 postes en mai. Ce
résultat, le plus mauvais depuis septembre
2010, était décevant car il survient en
l’absence de tensions sur le marché du
crédit et lors d’une augmentation robuste
des profits des entreprises. C’est pourquoi
nous devrons attendre les
prochaines statistiques pour
voir si cette anémie empire
au point de contredire notre
pré­
vision d’accélération de
la croissance du PIB au
deuxième semestre de 2011.
Cela dit, il n’est pas excep­
tionnel de voir des mois plus
faibles suivre quelques mois
des tensions économiques. En fait, le
mouvement de révision des indices
(suite à la page 3)
Le ratio cours/valeur comptable demeure prudent
Ratio cours/valeur comptable de l’indice S&P 500
5.2
Ratio
4.8
4.4
4.0
3.6
3.2
2.8
2.4
2.0
1.6
1.2
86
88
90
92
94
96
98
00
02
04
06
08
10
NBFG Economy & Strategy
États-Unis : L’emploi stagne en mai, les salaires montent
Variation mensuelle des effectifs salariés
500
milliers (variation m/m)
Impact du
recensement 102
2010
101
400
300
200
100
Réel
0
-300
-800
Salaires
97
-400
-700
…et la masse salariale
a atteint un nouveau sommet
98
-200
-600
Indice (Déc. 2007 =100)
100
99
-100
-500
Salaires payés* et niveau d’activité
103
Moyenne
mobile
6 mois
Malgré la déception,
la création d’emplois
demeure positive…
2002
2004
Économie et Stratégie BNGF
2006
95
Emplois
94
-900
2000
96
2008
2010
93
janv. 2007 janv. 2008 janv. 2009 janv. 2010 janv. 2011
* Soit le produit des emplois salariés, des heures
travaillées et des salaires horaires
Actions : Fondamentaux vs Techniques
(suite de la page 2
« marchés financiers »)
de bonnes créations d’emplois, pendant
une reprise éco­no­mique – l’essentiel est
d’éviter les pertes d’emplois (comme en
2010). À ce stade, l’augmentation de la
masse sa­la­riale totale payée à l’échelle
de toute l’économie – en progression
très respectable de 0,3 % en mai vers un
nouveau record (voir graphique) – nous
réconforte. Elle est déterminante pour
soutenir la croissance future.
La proportion en actions canadiennes
est réduite au profit des actions
internationales, en raison de la baisse
des prix des matières premières. Les
actions internationales demeurent
toutefois sous-pondérées, les problèmes
d’endettement continuant de miner
l’Europe.
Nous
préférons
augmenter
la
pondération de liquidité pour les
prochains mois avec un positionnement
plus défensif dans les actions suite à
la présente correction des marchés et
l’incertitude quant à sa durée.
étant donné que les anticipations
de baisse de taux sont peu probables.
Les banques centrales devraient
maintenir les taux actuels en raison
de la faiblesse économique. Seul un
scénario d’une nouvelle récession
pourrait expliquer une baisse de
la courbe de taux de façon plus
importante. Du côté canadien, le
marché semble anticiper des hausses
de taux en fin d’année de la part de
la Banque du Canada. Les obligations
fédérales restent la catégorie à souspondérer avec la même pondération
que le dernier trimestre. Le consensus
maintient la surpondération des
obligations provinciales, corporatives
et à rendement élevé. Les « spreads »
figurent à un niveau intéressant
d’autant plus qu’ils ont légèrement
ré-augmentés dernièrement. Pour
les investisseurs recherchant des
rendements plus généreux, les
obligations
à
rendement
élevé
demeurent l’une des solutions les
plus intéressantes en ce qui a trait au
revenu fixe.
Du côté des revenus fixes, nous
maintenons une sous-pondération.
Une durée plus courte est préférée
Un ressort surprenant
Étonnamment, les statistiques éco­no­ derniers mois et sept des dix provinces
miques canadiennes ont relativement affichent des taux d’activité records.
bien tenu ces dernières semaines. Même si la croissance marque le pas
Le PIB réel a augmenté de 3,9 % au au T2, elle devrait repartir de plus belle
premier trimestre, plus de deux fois le au deuxième semestre. L’économie
taux de 1,8 % observé aux États-Unis. canadienne devrait croître de 2,9 % en
La croissance était moins asymétrique 2011, soit le rythme le plus rapide du
que les trimestres précédents puisque G7. Alors que les capacités inutilisées
les investissements des entreprises diminuent et que l’inflation monte, la
et les exportations ont pris le relais Banque du Canada a déjà annoncé
des dépenses de consommation. La
très forte augmentation
du PIB nominal (+8,7 % au Canada : Nouveau record d’emplois à plein temps
14,00
T1 après une hausse de 13,95
9,3 % au T4 2010) a aidé 13,90
à propulser les bénéfices 13,85
vers un nouveau sommet 13,80
13,75
cyclique. Les marchés du 13,70
travail confirment la solide 13,65
performance de l’économie 13,60
13,55
canadienne. Plus de 140 000 13,50
emplois à plein temps ont 13,45
2007
2008
2009
2010
2011
été créés au cours des trois
Millions
Économie et Stratégie BNGF
Canada
S&P/TSX et S&P500 est meilleur
que sa moyenne historique. Pour
le moment, on remarquera que
la correction boursière actuelle
n’a pas été accompagnée d’un
regain de volatilité qui laisserait
penser que les investisseurs
ont jeté l’éponge devant les
perspectives de l’économie et
des profits. La croissance des
bénéfices assortie d’évaluations
raisonnables, de bilans sains et
de dividendes rapportant plus de
2,5 % pour l’indice S&P/TSX (2 %
pour l’indice S&P500) continue
de soutenir les marchés boursiers
nord-américains. Nous constatons
que, aux États-Unis, le ratio
cours/valeur comptable se situe
actuellement à l’extrémité basse de
sa fourchette des 20 dernières
années. En ce qui concerne les
taux d’intérêt, une amélioration
de l’économie doublée de la fin
du régime de DQ2 aux ÉtatsUnis devrait se traduire par une
légère augmentation des taux
obligataires au cours de prochains
mois.
contribué à la baisse. Pour le prochain
trimestre, les actions demeurent
la classe d’actif privilégiée. Si un
certain ralentissement économique de
mi-cycle est observé présentement,
un scénario prévoyant une récession
n’est pas envisagé. Les actions restent à
plus long terme une catégorie
intéressante car les fondamentaux
sont favorables.
Répartition de l’actif
La majorité des marchés boursiers
mondiaux ont régressé lors du
deuxième trimestre, menés en ce sens
par le secteur de l’énergie. La chute des
prix de l’or et de l’argent a également
affecté les résultats du secteur des
matériaux. L’incertitude persistante
concernant l’endettement en Europe,
le séisme au Japon et un ralentissement
économique aux États-Unis ont
Portefeuille revenu
Catégorie d’actifs
Profil de l’investisseur : Vous voulez préserver votre capi­
tal ou vous constituer une source de revenus périodiques
pour financer des dépenses courantes. La volatilité du
marché boursier ne vous at tire pas, mais vous n’êtes pas
contre l’idée d’investir une petite partie de votre porte­
feuille dans des actions, principalement pour contrer les
effets de l’inflation. Votre tolérance au risque est très faible.
Encaisse
Revenu fixe (durée : 5,9 ans) 1
Minimum/
Maximum
Repère
0 % à 20 %
10 %
11 %
+2
60 % à 100 %
70 %
68 %
–1
10 %
10 %
–1
Actions – Canada
Actions – États-Unis
0 % à 30 %
Actions – Pays étrangers
Pondération
recommandée
Variation par rapport
au trimestre précédent
5%
6%
0
5%
5%
0
Portefeuilles modèles
Portefeuille conservateur
Profil de l’investisseur : Vous voulez principalement que
votre portefeuille soit investi dans les titres èa revenu
fixe. Même si vous pouvez composer avec une volatilité
restreinte pour faire fructifier votre actif, vous préférez que
votre portefeuille soit surtout constitué de placements à
revenu fixe pour des raisons de stabilité. Votre tolérance au
risque est faible.
Encaisse
0 % à 15 %
Revenu fixe (durée : 5,9 ans)
1
50 % à 80 %
Actions – Canada
Actions – États-Unis
20 % à 45 %
Actions – Pays étrangers
5%
6%
+2
60 %
58 %
–1
20 %
21 %
–1
7,5 %
8%
0
7,5 %
7%
0
Portefeuille équilibré
Profil de l’investisseur : Vous placez sur un pied d’égalité le
revenu et la croissance du capital. Vous pouvez composer
avec une volatilité modérée pour assurer la croissance du
capital, mais vous préférez détenir dans votre portefeuille
une concentration plus ou moins élevée de placements à
revenu fixe pour des raisons d’équilibre. Votre tolérance au
risque est moyenne.
Encaisse
0 % à 20 %
5%
6%
+2
Revenu fixe (durée : 5,9 ans) 1
30 % à 65 %
45 %
43 %
–1
25 %
26 %
–1
10 %
11 %
0
10 %
9%
0
5%
5%
0
Actions – Canada
Actions – États-Unis
30 % à 65 %
Actions – Pays étrangers
Placements alternatifs
0 % à 15 %
2
Portefeuille de croissance
Profil de l’investisseur : Vous recherchez principalement la Encaisse
croissance du capital. Même si vous pouvez composer avec
Revenu fixe (durée : 5,9 ans) 1
une grande volatilité de la valeur de vos placements, vous
n’êtes pas disposé à investir en bourse la totalité de votre Actions – Canada
portefeuille. Votre tolérance au risque est élevée.
Actions – États-Unis
0 % à 25 %
0%
1%
+1
25 % à 45 %
35 %
33 %
0
25 %
26 %
–2
15 %
16 %
0
40 % à 75 %
Actions – Pays étrangers
Placements alternatifs 2
15 %
14 %
+1
0 % à 20 %
10 %
10 %
0
0 % à 30 %
0%
1%
+1
0 % à 30 %
20 %
18 %
0
25 %
26 %
–2
20 %
21 %
0
20 %
19 %
+1
15 %
15 %
0
Portefeuille croissance maximale
Profil de l’investisseur : Vous voulez maximiser le
rendement éventuel de votre capital en investissant la
totalité ou la quasi-totalité de votre portefeuille sur le marché
boursier. Ce faisant, vous acceptez que le rendement de vos
placements soit très volatil dans l’espoir qu’il soit beaucoup
plus élevé. Votre tolérance au risque est très élevée.
Encaisse
Revenu fixe (durée : 5,9 ans)
1
Actions – Canada
Actions – États-Unis
55 % à 100 %
Actions – Pays étrangers
0 à 25 %
Placements alternatifs 2
2010
Juin 2011
2011
2012
Produit intérieur brut %
Canada
(2,5)
3,1
2,9
2,5
États-Unis
(2,6)
2,8
2,6
3,2
Inflation
Canada
0,3
1,8
3,1
2,6
États-Unis
(0,3)
1,7
2,9
2,1
Taux %
Décembre 2011
Court terme (bons
du Trésor, 91 jours)
0,98
0,05
1,75
0,72
2,44
1,96
Obligataire 10 ans
3,07
3,10
3,75
4,03
4,22
4,48
Obligataire 30 ans
3,51
4,30
4,16
4,95
4,41
5,22
Dollar canadien
S&P / TSX Rotation sectorielle
Décembre 2012
Surpondérés
Canada États-Unis Canada États-Unis Canada États-Unis
1,02 $ U.S.
1,02 $ U.S.
1,00 $ U.S.
La Financière Banque Nationale est une filiale en propriété exclusive indirecte de la Banque Nationale du Canada qui est une société ouverte inscrite à
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Industriels
Matériaux
Souspondérés
Consommation de base
Services publics
Services de télécommunication
17926-201 (06/2011)
Prévision
2009
Stratégie de placement — Juillet 2011
Prévisions
1) Comprend les obligations traditionnelles et à rendement réel. Repère = 75 % Indice DEX Univers, 25 % Indice SC RRB
2) Comprend les fonds de couverture et l’immobilier. Repère = 50 % Indice Fonds de couverture Tremont, 50 % Indice S&P TSX Cap REIT
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