programme de colle BIOSPE2 n°18 – semaine du 13 au 18 février

programme de colle BIOSPE2 n°18 semaine du 13 au 18 février
REVISIONS DE 1ère ANNEE
+ L'expression génétique
La transcription : première étape de l’expression du génome
La traduction : seconde étape, synthèse des protéines par décodage de l’information des ARN
Le contrôle de l’expression : un phénomène essentiellement transcriptionnel
- Un contrôle adaptatif chez les eubactéries : notion d’opéron (exemple de l’opéron lactose), dérépression par le lactose,
opérons inductibles et répressibles
- Un contrôle lié à la différenciation cellulaire chez les eucaryotes : mise en évidence, contrôles aux niveau chromatinien
(variation de condensation de la chromatine, épigénétique), transcriptionnel (facteurs Cis et Trans) et post-
transcriptionnel (épissage alternatif, ARN interférent)
+ Les enzymes
Propriétés générales des enzymes
- Les enzymes sont des catalyseurs biologiques
- Les enzymes sont des protéines
- Les enzymes possèdent une double spécificité : substrat, réaction
Caractéristiques cinétiques des enzymes (michaeliennes et allostériques)
Le site actif : un exemple, à bien connaître
Modulation de l’activité enzymatique
- Niveau d’expression des gènes codant les enzymes (eucaryotes et procaryotes)
- Activation / inhibition d’enzymes allostériques par des effecteurs
- Activation / inhibition par modifications covalentes (ex : glycogène phosphorylase)
- Inhibition compétitives/non comtitives des enzymes michaeliennes
Les enzymes dans la cellule
- L’activité enzymatique est spécifique du type cellulaire et du compartiment
- Les enzymes interviennent dans des voies de synthèse spécifiques
REVISIONS DE 2nde ANNEE
+ TD mécanismes de l'évolution (début) mise en évidence d'une sélection naturelle (sélection de moustiques résistants aux
insecticides, sélection de génotypes humains (A//S) dans les régions à paludisme)
+ Espèces et spéciation :
- plusieurs définitions de l'espèce = A. espèce phénétique (basée sur la ressemblance); B. espèce biologique (basée sur
l'interfécondité); C. espèce écologique (basée sur l'occupation d'une niche écologique); liens entre ces 3 définitions
- mécanismes de spéciation : A. Spéciation allopatrique (par fractionnement de l'aire de répartition; par colonisation -
exemple de la spéciation de Zérinthia, suite à une glaciation; spéciation en anneau du pouillot verdâtre); B. spéciation
sympatrique (spéciation écologique - ex des Cychlidés des gds lacs africains; spéciation par polyploïdie - ex des Spartines);
diversité des mécanismes d'isolement reproducteur
- la notion d'espèce, une notion utile mais tjrs discutée : A. Tsferts horizontaux, hybridation interspécifique : des limites à
l'isolement génétique des espèces; notion d'évolution réticulée : l'arbre phylogénétique devient un réseau; B. L'espèce n'est
pas pérenne : définition de l'espèce dans le tps = l'espèce phylogénétique
> ce chapitre nécessite de réinvestir les connaissances du cours "mécanismes de l'évolution" et les notions de sup sur les
transferts horizontaux
+ Une synthèse sur les Alpes : à la recherche de témoins de l'histoire d'une chaîne de collision
- des témoins de paléomarges passives (blocs basculés, corps sédimentaires associés)
- des vestiges de l'océan alpin (caractéristiques des ophiolites alpines, de la couverture sédimentaire associée)
- des témoins de la fermeture de l'océan alpin et de la collision (témoins de subduction et d'obduction = témoins
sédimentaires, métamorphiques / témoins de la collision = plis, failles inverses et chevauchements; témoins métamorphiques,
gravimétriques et sismiques)
> pour les élèves, ce chapitre nécessite une bonne maitrise des données vues en TP1 et TP2 Alpes, TP métamorphisme
+ La diversité morpho-fonctionnelle des êtres vivants
- fonction de nutrition et vie libre = autotrophie, réalisée par les algues et les cyanobactéries (schéma comparatif); autotrophie
en milieu terrestre et cormophytes; autotrophie en milieu aquatique et algues/cyanobactéries (adaptations présentées vis à vis
du milieu; le rôle des pyrénoïdes et carboxysomes); hétérotrophie (les pb posés = trouver la nourriture, mobiliser les
nutriments; prélèvement, digestion par phagotrophie chez les protozoaires (ex Paramécie) / exodigestion et absorbotrophie
chez les champignons et bactéries)
- fonction de nutrition en collaboration étroite avec d'autres êtres vivants = vie symbiotique (ectomycorhizes, lichens,
nodosités); schémas fonctionnels pour chaque type + mise en place de la symbiose entre Rhizobium et racines de Fabacées;
vie parasitaire (ex limités à Plasmopara et Trypanosoma) = prélèvement des nutriments par absorbotrophie; schéma
fonctionnel d'un suçoir de Plasmopara)
- la croissance des pluricellulaires = croissance diffuse, croissance localisée (apicale)
+TP les algues pluricellulaires, champignons (en révision)
+ TP diversité des micro-organismes unicellulaires ou pluricellulaires : eucaryotes autotrophes (Diatomées,
Chlamydomonas, Spirogyre) et hétérotrophes (Paramécie et Trypanosome); procaryotes autotrophes (Cyanobactérie, ex du
Nostoc) et hétérotrophes (E. coli et Rhizobium)
Montages et observations de tous ces exemples (ou PM); photographies en MET de Chlamydomonas, Nostoc et Rhizobium,
E. coli (pour rappel); coupes de nodosités au MO et MET => mise en évidence de leur organisation cellulaire; lien avec
leur mode de nutrition, qd c'est possible. Mise en culture d'E. coli dans différents milieux de culture (mise en évidence de
l'hétérotrophie), et colorations; principe et intérêt de la coloration de Gram à connaître.
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