Document170424
Document 12 : La sitelle torchepot
La sitelle torchepot est capable de parcourir les troncs d'arbres et
les branches dans un sens ou dans l'autre, même avec la tête en
bas. Elle bouge obliquement, se suspendant grâce à la patte
supérieure et se propulsant avec l'autre. Elle n'utilise pas la
queue comme les pics, mais ses longues griffes.
Pour se nourrir d'un gland ou d'une noisette, elle l'emporte sur
une branche où elle la cale dans une crevasse de l'écorce, et elle
la taillade pour l'ouvrir avec de vigoureux et bruyants coups de
bec.
(Photo : http://www.oiseaux.net/oiseaux/sittelle.torchepot.html, visité le 6/12/206)
Document 13 : Le putois, un mustélidé
La présence des fossés humides attire un petit
carnivore, le putois. Comme les autres membres de la
famille des mustélidés (fouine, hermine, belette…), il
joue un rôle important dans l’équilibre biologique. Il se
nourrit d’insectes, de grenouilles, de petits mammifères
(surmulot et rat musqué).
Document 14 : Les fleurs dans la chênaie atlantique
Dans la chênaie, le printemps pare le sol de
merveilleux tapis floraux. Avant que les arbres
n’acquièrent leur feuillage, beaucoup de plantes
croissent, fleurissent, accumulent des matières de
réserve dans leurs parties souterraines et ne
subsistent en été que sous la forme d’une tige
porteuses de fruits.
Au soleil d’avril, ce sont les fleurs blanches de
l’anémone sylvie et les étoiles jaunes des ficaires
fausse-renoncules. En mai, ce sont les clochettes
bleues de la jacinthe des bois qui prennent le relais.
Par endroits, elles sont extrêmement serrées et
forment de grandes nappes bleues. La jacinthe
n’existe que dans la partie ouest de la Belgique et est
liée à un climat caractérisé par des hivers doux et
pluvieux. Elle trouve son optimum sur les sols
légèrement acides.
(Photo : http://www.coolturehunter.it/wp-content/uploads/2013/03/28.jpg, visité le 6/12/2016)
Développement attendu principalement visé
Dans le cas de l’écosystème exploré sur le terrain:
décrire les facteurs abiotiques ;
Dans un écosystème donné, l’élève identifie les facteurs abiotiques (température, paramètres
climatiques de base, quelques caractéristiques du milieu de vie (l’eau, le sol)). Il en précise les valeurs,
le cas échéant.
caractériser les relations alimentaires entre les êtres vivants à l’aide d’un réseau trophique (A1, en
partie).
Dans un réseau trophique, l’élève établit les relations alimentaires telles que prédation, parasitisme, ...