Lectures conseillées.
Jean Delumeau, Naissance et affirmation de la Réforme, 10ème éd., coll. « Nouvelle
Clio », Paris, PUF, 2003 (1965), en particulier livre III, chapitre III, « Protestantisme
et capitalisme », p. 317-326.
Raymond Boudon « L’éthique protestante de Max Weber : le bilan de la discussion »,
Paris, PUF, 1998, p. 55-92.
Pour la prochaine fois.
Pour le dimanche 26 février avant minuit (attention, travail noté) :
Lire EP, chapitre I, section 2, « L’« esprit » du capitalisme », du début (« Dans le titre
de cette étude, il est fait usage… ») à « … elle a même, pour cette culture, une
signification constitutive. », soit le passage où Weber décrit l’idéal-type de Benjamin
Franklin. Dans l’édition Tel : p. 20-28, dans l’édition électronique : p. 24-28.
Répondre en une page maximum à la question suivante (utiliser le document type
fourni sur le site web pour connaître les caractéristiques techniques du document,
police, taille, interligne, etc.) : Benjamin Franklin est présenté comme l’idéal-type de
l’esprit du capitalisme au début de l’ouvrage. Dans quelle mesure sa conduite traduit-
elle, chez quelqu’un qui n’est pourtant qu’un « déiste sans couleur confessionnelle
particulière », une éthique héritée du protestantisme ? Etant donné ce que vous savez
de la suite du livre, l’exemple choisi vous paraît-il satisfaisant ?
Pour le prochain cours (après les vacances) :
Michel Foucault, Surveiller et punir (SP), du début à « une nouvelle morale propre à l’acte de
punir », édition Tel : p. 9-19, édition Pléiade : p. 263-273.
Répondre au brouillon aux questions suivantes : Qu’est-ce qui change exactement, dans
l’application des peines, entre le 18e et le 19e siècles ? Pourquoi Foucault parle-t-il à ce
propos d’une « nouvelle morale propre à l’acte de punir » ?