traitement des… effet de soleil, effet transitoire de la lumiere : image dont le cœur est construit sur une
atmosphère.
Ça rompt tellement qu’on a l’impression d’une recherche du flou, de l’altération optique : dissolution du motif
est la condition esthétique : pas exactement ça. Emerson voulait conserver à l’image la structure, et ne pas
trop perdre dans le flou. Doit etre fidele, on doit pas aller trop loin dans le flou. Ses travaux vont faire passerelle
entre impressionnisme et de nouveaux photographes from UK, vont s’inspirer fortement d’emerson, vont
pouvoir fonder une photographie impressionniste. Fou de rage contre cette derniere. Pamphlet contre « la
mort de la photo naturaliste ». « je fais pas d’image flou, je ne fais pas de photo impressionniste… ». renonce à
toute autorité, refuse qu’on le cite, reconnaît pas cette filiation.
Vont se réunir sous forme associative, chercher à affirmer une ambition collégiale (changement). From 1880’s,
on verra une histoire du collectif se mettre en place. Repose sur une base sociale déterminante : dans les 80’s
tout s’améliore : le gélatino-bromure d’argent. Support qu’on a connu récemment. Emulsion seche,
industrielle, pratique, qui permets par sa sensibilité, déclencheurs mécaniques, obturateurs précis, appareil
moderne arrive dans les 1880’s, kodak emblématique, photo à la portée de tous, naissent les amateurs ! ces
amateurs, pour certains, vont de réunir en photoclubs, partout ! parmi cette nouvelle forme de sociabilité,
certaines sociétés dans les grandes capitales vont avoir des ambitions artistiques. Certains membres vont
tenter d’affirmer leur volonté d’art. les plus ambitieux vont tenter de devenir des artistes par la photo. De ces
rang la vont sortir : amateurs brillants, appartenant à nouvelles sociétés photo.
Les + celebres : « le pictorialisme » : premier mouvement artisitque en photographie, éclot en meme temps
dans tous les pays, sans que les gens se connaissent ! bizarre. Meme désir, volonté qui fera naitre les grands
clubs artistiques de photo.
Expo : rennes : « la photo pictorialiste en europe » (2006). Principales sociétés : paris : 1888 : photoclub de paris.
pas scission. Vont tres tot afficher l’ambition : choisir ses membres, organiser expos régulieres (salon), publier
revues théoriques et esthétique. Existe jusqu’en 1928 : va regrouper fine fleur des amateurs parisiens.
Hambourg : société pour l’encouragement de la photographie amateur (salons, publications…)
NY : Camera Club de NY en 1896, Londres : linked ring brotherhood : société d’amateurs photographe secrete,
cultive le côté « magique » de la photo, tres select, membres internationaux, organise salons, revues, société
selective. Camera Club de Vienne, nait dans l’année 1891. Toutes ces structures vont se mettre en relation :
tous les ans sont organisés des salons d’art photogrpahique. Chaque société envoi ses représentatns. Pas de
jurys, on est pas dans la problématique du salon d’expo qui celebre l’avancée des techniques, procédés.
Revues :roles déterminants : dés début 90’s, pictorialisme revient mouvement avec conditions et esthétique.
Entre 1914 et 18, le pictorialisme va incarner grande proposition artistique en photo. Traité, manuels,
polémiques… la photo est elle un art ? oui ! on va le démontrer. Bases esthétiques ? idée que la photo est un
art d’interprétation de la réalité.
Comment on va l’interpréter ? pictorialisme novateur : on va établir pratiques photo en rupture radicale avec
la profession, technique officielle. On va choisir sujets, genres, portraits, paysages… traiter optiquement les
images pour qu’elle se rapproche d’une vision subjective, atmosphérique. Contre perception précise, glacée
de la réalité. On va travailler, considérer que le négatif = matrice, et qu’on peut intervenir au développement
sur l’image : l’œuvre finale, le tirage, devra porter la marque, l’originalité du traitement du photogrpahe. La
main va intervenir pendant le tirage. On va se détourner des procédés photosensibles perfectionnés
(gélatinobromure d’argent) et chercher procédés différents, connus au 19e : procédés pigmentaires.
Idée : nouveaux procédés de tirage permetent d’intervenir, nuancer ce que va doner le négatif. Toute la
chaine de prod de l’image photographique est investie par vision et main de l’artiste. No more perfection des
procédés.
Artisanat d’art de la photo. Pousse dissolution des contours (emerson), optique mal corrigé expres, « aristocrate
anarchiste ». traitement plus atmosphérique que graphique. On prend des libertés de traitement artistique. Va
traiter le paysage selon traitement purement formel, atmosphérique.
ALFRED HINTON : va pousser logique loin : premier plan détaillé, puis image tres traité (camaieu de brun et
sombre) : pur exercice formel atmosphérique.
FREDERIC EVANS : (t 1943) : intéressant : va bcp travailler sur effets atmosphérique : intérieurs de chateaux… lui
veut conserver l’intégrité du moment de la prise de vue. Veut que tout se fabrique au moment de la prise de
vue, posait sa chambre dans espaces celebres, tirages subtils, veut pas sursigner optiquement son image, mais
révéler la magie des lieux. Sacré ou vernaculaire… chateua : obéit à l’esthétique de la perspective
atmosphérique, noie le motif dans un contre jour flou, cathédrale de Wells : a mis sa chambre bas, motif
géométrique des marches.
Portrait de Beardsley : esthétique donné à la longueur des mains.
SUTCLIFFE : travaille sur mises en scenes naturelles : « boys bathing » : esthétique du tableau, tout est composé
pour que les ciels soient traités en terme de rapports de masse, valeur, plus que des descriptions. Vues de port :
dés qu’il y a des feux de cheminée, pictorialistes adorent les façons de remplir l’espace ! « boite à fumée » :
faut essayer de travailler la dessus.
Exploitent aberrations optiques : alors qu’on tend à les effacer (sphérique ou chromatique) : vont faire
commercialiser trousses d’optiques artistiques qui correspondent à des effets d’aberration. Optiques non
corrigées.