GENDRE Anne-Sophie TC02
PESIN Simon
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- Dans un septième erlenmeyer, on verse 100mL de la solution de titre inconnu en fer.
- Puis on ajoute dans chacun des 7 erlenmeyers :
3 mL d’acide ascorbique : permet le dosage du fer total après réduction de ions Fe3+
3 mL de tampon pH = 4.8
3 mL d’orthophénantroline : forme un complexe rouge orangé avec les ions Fe2+
Après chaque ajout, il est nécessaire d’agiter
- Enfin, on laisse reposer une quinzaine de minutes.
Colorimétrie visuelle
But : La méthode de colorimétrie permet une estimation « à l’œil » de la concentration de la
solution à évaluer.
Pour cela on réalise comme précédemment plusieurs solutions de titre connu de la même
substance que celle étudiée plus ou moins diluée, ce qui permet un échantillonnage d’une gamme de
coloration. On peut alors estimer la concentration de la solution de titre inconnu en comparant les teintes
des solutions, en l’encadrant.
On affine ensuite cette recherche en diluant au mieux la solution étalon afin que l’encadrement se
resserre et approche encore la concentration inconnue, c'est-à-dire que C ≈ C’E
Résultat :
Spectrométrie quantitative
But : La méthode de spectrophotométrie fournit une lumière monochromatique de longueur
d’onde déterminée et mesure l’intensité de cette lumière. Grâce à ces mesures on peut alors appliquer la
loi de BEER :
I0 : Intensité initiale du faisceau
I : intensité du faisceau lumineux
C : Concentration de la solution étudiée
l : Epaisseur de la solution
ε : Coefficient d’extinction moléculaire
d : densité optique
- l reste constant pour un même système solvant + soluté à une température fixe pour la radiation
envisagée.
- ε varie par contre avec la longueur d’onde de la radiation utilisée.
- d est proportionnel à C lorsque l’on fixe une longueur d’onde λ.
Cette loi n’est valable que dans le domaine des faibles concentrations. De plus les intensités de
colorations doivent demeurer faibles pour que le détecteur puisse en apprécier les variations (donc faible
épaisseur de liquide).