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Rédaction achevée le 4 mars 2013
Cher investisseur,
Quelle différence en l’espace d’un mois. Le trio des risques de 2012 (Etats-Unis,
zone euro et Chine) a refait surface et interrompu, mais pas renversé, le rallye
des actifs à risque en février.
Les données confirment que l’activité économique se reprend progressivement,
mais le resserrement fiscal enclenché outre-Atlantique (via les coupes automatiques
dans les dépenses publiques), le vote italien contre les mesures d’austérité et les
nouvelles mesures prises par la Chine pour contenir la hausse des prix de
l’immobilier semblent limiter le potentiel de rebond.
Bien que ces risques ne constituent pas, selon nous, une menace systémique, ils
contribuent néanmoins à accroître l’incertitude quant à l’intensité de la reprise de la
croissance mondiale et, par ricochet, à perturber le comportement des actifs à
risque.
C’est la raison pour laquelle nous conservons notre position neutre sur les
actions et les obligations.
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Thierry Masset, Chief Investment Officer ING Belgium
L'austérité U.S. entre en vigueur
Incertitude politique en Italie
Découplage franco-allemand
Le sterling baisse pavillon
Le fardeau de la dette des
ménages US s'atténue
Nous conservons notre positionnement neutre sur les actions, mais nous
réduisons légèrement notre biais cyclique en ramenant à neutre notre poids
Les deux principales économies
européennes divergent de plus en plus :
alors que l'Allemagne mène la reprise de
la croissance mondiale, la France vacille
au bord de la récession.
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Le Royaume-Uni et le Japon se
distinguent particulièrement au sein du
club formé par la douzaine de pays
cherchant à manipuler leur devise.
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Le poids de la dette pesant sur les
épaules des consommateurs américains
s'est sensiblement atténué, au point
désormais de laisser penser qu'ils
devraient pouvoir supporter un
accroissement de la fiscalité et concourir
à la relance de l'économie US.
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dans le secteur des Matériaux et en augmentant celui des Biens de
consommation de base à neutre.
Certains investisseurs ont été tentés de prendre leurs bénéfices. Toutefois, nous ne
pensons pas que cela soit le signe avant-coureur d'une tendance durable car
nombreux ont été les observateurs à anticiper le fait que les coupes automatiques
dans le budget US allaient entrer en vigueur. Qui plus est, il apparaît que l'économie
US dispose de suffisamment de « momentum ». En outre, les opérateurs de marché
pourraient mésinterpréter les intentions de la Réserve fédérale : nous pensons que la
Fed restera résolument accommodante et poursuivra, au rythme actuel et au moins
jusqu'à la fin de l'année, ses rachats d'actifs. Enfin, les cours des actions, obligations,
matières premières et devises évoluent de plus en plus de manière désynchronisée,
ce qui atteste de la diminution de la perception des risques et, en particulier, du
risque de scénario catastrophique (comme la défaillance de paiement d'un pays ou
une contraction économique qui deviendrait incontrôlée).
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Bien que le marché obligataire puisse redevenir plus volatile, nous continuons
de préférer les obligations de la périphérie européennes par rapport à celles du
noyau dur ainsi que les obligations émergentes en devises locales plutôt qu'en
devises « solides. Par contre, nous passons de surpondérer à neutre sur les
obligations d'entreprises « investment grade », la plupart des facteurs ayant
alimenté le rallye sur le marché des emprunts privés étant désormais arrivés à
maturité.
Les obligations souveraines italiennes ont vacillé en février, leurs taux à 10 ans
enregistrant leur plus forte hausse depuis 14 mois (+0,44%), les Italiens ayant refusé
le programme d'austérité élaboré par le Premier ministre Mario Monti et, du même
coup, plongé le pays dans un vide politique. L'incertitude et la volatilité devraient
rester de mise tant qu'une coalition n'aura pas émergé et que les marchés n'auront
pas une vue claire sur le nouveau gouvernement. On comprend, dans ce contexte,
que les obligations publiques de la périphérie européenne, qui avaient connu un
solide rallye entre juillet 2012 et janvier 2013, ont, cette fois, cédé le témoin aux
obligations allemandes (return mensuel de +1,2%) et à celles des autres obligations
du « noyau dur » (Autriche : +1,07%, Belgique : +0,9% ou Pays-Bas : +0,7%).
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