AIMEZ VOS PROCHAINS Luc 6 :27-49 Verset Clé 6 :27 « Mais je vous dis, à vous qui écoutez : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent. » Jésus appela les Douze apôtres de la classe de la basse société. En effet, Jésus pria toute la nuit et comprit que Dieu eut besoin d’hommes. Oui, Dieu eut toujours besoin d’hommes. Mais non parce qu’il lui manque quelque chose, mais parce qu’il veut les sauver. Dans le monde libéral, il faut demander : « veux-tu vivre une vie de missions ? S’il vous plaît. S’il vous plaît. Dieu vous aime, Dieu vous bénis, s’il vous plaît vivez pour Dieu. » Mais personne n’écoute. Un évangéliste se peinait dans le monde désintéressé et se fit une tactique. Il se mit à dire, « Le pauvre Jésus est en train de frapper à la porte de votre cœur. S’il vous plaît, ouvrez-lui la porte. Ne le voyez-vous pas là-dehors, dans le froid et la neige ? Pauvre Jésus, ouvrez-lui la porte. » Mais tôt ou tard, cet évangéliste s’aperçut que son auditeur en vint à penser faire une grande faveur à Jésus en devenant chrétien. De nos jours où le libéralisme et surtout l’égoïsme s’avance, les évangélistes n’ont pas d’autre choix que de dire aux gens un sermon de ce type par exemple, « Si vous acceptez Jésus, vous aurez la joie, vous aurez la paix, la santé, la prospérité… Si vous donnez dix euros à Jésus, il vous en redonnera vingt…. » Jésus est le Sauveur, le Médecin et le Roi qui vient pour MOI. Moi, voilà le centre de notre évangile. Mais le but de l’appel de Jésus est ailleurs. Jésus comprit que Dieu eut besoin d’hommes pour Dieu. Il leva puis appela les Douze. Puis ces jeunes gens vinrent vers lui en lui obéissant. En fait, Jésus les appela pour leur donner deux choses : la parole et la mission. Ce sont les deux choses seules valables pour la vie vitale de l’homme. En apprenant la parole de Jésus, ils seront sanctifiés de leur vie pécheresse et la mission de Dieu les sauvera de la malédiction éternelle. Aujourd’hui, Jésus nous enseigne quelles sont les vertus des disciples de Jésus. Jésus voulut que l’intérieur des disciples ne soit pas mesquin, mais large, aussi large que l’océan. Ecoutons aujourd’hui Jésus qui nous dit surtout, « Aimez vos ennemis. » Premièrement, Aimez vos ennemis (27). Nous avons appris que l’amour est la source de la force pour le chrétien. Une écrivain chrétienne du nom de Gwen Shaw, dans son livre intitulé « Amour », écrit comme suit : « Beaucoup de chrétiens sont tristes, lugubres, malheureux, pleins de rancunes, d’amertumes et de rancoeurs. Ils vivent constamment dans cet état. Leur esprit n’est occupé que de pensées sombres, craintives, des pensées dont aucun enfant de Dieu ne devrait se laisser envahir ou posséder. Ils n’ont donc pas le cœur en paix, alors que la Bible dit : « Tu garderas dans la paix parfaite l’esprit qui s’appuie sur toi » (Es 26 :3) En effet, leur cœur manque de fermeté dans le Seigneur. Puis il y a ceux qui subissent toutes sortes de peurs, parce qu’ils ne possèdent pas cet amour parfait qui bannit toute crainte et ils ne savent pas que l’Ecriture déclare : « Celui qui craint n’est pas parfait dans l’amour. » fin de citation. Une femme restait dans la crainte, quand elle était sensible aux regards et aux réactions des autres. Elle s’aperçut que sa foi était centrée sur elle-même et décida de vivre désormais seulement pour Dieu. Les larmes de paix débordaient de ses yeux et elle sentit toute peur disparaître de son cœur. L’amour de Dieu qui l’envahit récemment était merveilleux pour elle et pour les autres. Qu’est-ce que l’amour ? Il y a trois sortes d’amour. D’abord, l’amour passionnel, c’est ce qu’on appelle ‘eros’. Cet amour le plus répandu de nos jours est pourtant sentimental et blessant. Autant il se chauffe vite, autant il se refroidit rapidement. En plus, il laisse une cicatrice profonde dans le cœur. Dans le roman de ‘Résurrection’ de Tolstoï, Nekhluydov était un officier militaire. Katusha était une servante de la famille de Nekhluydov. Le jeune officier rentra pour les vacances de Pâques. Aux yeux de Nekhluydov, Katusha semblait être comme un ange dans sa féminité. Katusha, une femme de la basse classe de la société, regardait Nekhluydov comme un prince noble. Cette nuit-là, le jeune homme utilisa Katusha pour satisfaire son sentiment passionnel. A ce moment, Katusha réalisa qu’elle perdit sa pureté. Puis elle sentit qu’elle perdit toute chose. Elle ne pouvait plus voir Nekhluydov comme un prince noble. Leur amour passionnel se termina ainsi. Dans sa tristesse, Katusha commença à s’engager dans la prostitution et le vol et elle se torturait elle-même. Finalement, elle commit beaucoup de crimes et fut envoyés en Sibérie comme une exilée à vie. Nekhlyudov abandonna toute son arrière-plan familial honorable et sa position d’officier militaire et essaya de sauver Katusha. Mais Katusha ne l’acceptait pas parce que sa vie l’avait mené trop loin et elle était mentalement devenue malade. L’amour en amitié est la deuxième sorte d’amour, c’est ce qu’on appelle « philos ». L’amour entre les amis est souvent très profond. Mais souvent il est conditionné par la situation. L’amitié entre David et Jonathan dans la Bible est très belle. David aimait Jonathan comme lui-même. Jonathan aimait David comme lui-même, malgré qu’il sût que David fut désigné comme le roi d’Israël, alors qu’il était le fils aîné de Saül le roi. Il l’aimait sans jalousie. Plutôt, Jonathan comprit que son père voulait détruire David à cause de sa jalousie. Jonathan voulait sauver David, mais il ne le put. Ils durent se séparer. Au moment de la séparation, les deux amis pleurèrent, et David surtout, non parce qu’il devait vivre désormais comme un hors la loi, mais parce qu’il ne verrait plus son meilleur ami jusqu’à sa mort. Souvent l’amitié est conditionnelle et dépend des circonstances. Jules César était un empereur romain. Quand Brutus perdit la guerre, sa vie fut conservée grâce à Jules César. Celui-ci le fit avec l’espoir de faire de lui un de ses meilleurs amis. Mais Brutus poignarda Jules César par derrière. A ce moment, Jules César dit dans sa grande déception ces mots célèbres : « Toi aussi, Brutus. » Le troisième amour est l’amour divin. 1 Jean 4 :16b dit, « Dieu est amour. » L’amour de Dieu est éternel, il ne change pas. Jésus son Fils est l’alpha et l’oméga de l’amour ; son amour est le même hier, aujourd’hui et à l’éternité. En plus, l’amour de Dieu est inconditionnel. Quel pécheur que ce soit peut venir à lui pour nouer une relation d’amour avec lui. Nous les hommes pécheurs sommes impuissants pour faire quelque choses à cause de nos péchés. Mais Romains 5 :8 dit, « Mais en ceci, Dieu prouve son amour envers nous : lorsque nous étions pécheurs, Christ est mort pour nous. » l’amour de Dieu est absolu. Dieu voulut sauver les hommes de leurs péchés. Mais il y avait un seul chemin pour sauver les hommes de leurs péchés. Il envoya son Fils dans ce monde. Nous appelons cela l’incarnation de Jésus. Jean 1 :14 dit, « La Parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, plein de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme celle du Fils unique venu du Père. » La venue de Jésus était pleine de grâce et de vérité. Mais sa venue elle-même ne pouvait sauver les hommes de leurs péchés. Donc Dieu fit de son Fils unique un sacrifice de rançon pour le péché du monde. Jean 3 :16 dit, « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. » Marc 10 :45 dit, « Car le Fils de l’homme est venu non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie en rançon pour beaucoup. » Le monde est sans amour. Il y a à peine deux cents ans, la France avait traversé une guerre civile pendant laquelle l’inimitié dominait le pays. Dans le roman historique de Victor Hugo « quatre-vingt-treize », le marquis de Lantenac, prince breton, débarqué en Vendée, brûlait le village d’Herbe-en-Pail, en raison de ce qu’ils avaient ouvert la porte au bataillon républicain et il massacra tous les soldats prisonniers. Sa devise était « pas de quartier ». Dans ce massacre, il tua même deux femmes dont l’une avait trois enfants. La Convention en colère expédia l’ancien prêtre Cimourdain se joindre à l’armée républicaine comme représentant du peuple. Il porta une lettre qui s’écrit, « pas de grâce, pas de quartier pour ceux qui aident les armées rebelles Vendéens à s’évader. » Celui-ci était un homme malade. Il était un homme sacrificiel qui pouvait aller jusqu’à mettre sa bouche sur l’ulcère d’un homme malade pour extirper le poison, mais il n’avait aucune pitié contre la rébellion. Il arrêta son ennemi Lantenac, donna l’ordre de le conduire à la Guillotine, mais quand le général Gauvain, le neveu de Lantenac, le fit s’évader en prenant sa place dans la prison, malgré que celui-ci soit son bien-aimé, Cimourdain lui donna la mort par la guillotine, puis il se suicida. L’amour de Dieu seul peut vaincre l’inimitié et rendre la paix au monde. La charité humaniste se heurte à sa grande limite. Regardons le verset 35. « Mais aimez vos ennemis, faites du bien et prêtez sans rien espérer. Votre récompense sera grande et vous serez fils du Très-Haut, car il est bon pour les ingrats et pour les méchants. Soyez miséricordieux, comme votre Père est miséricordieux. » Les disciples de Jésus doivent apprendre sans cesse de la part de leur maître Jésus. Ils doivent apprendre les vertus de Dieu. L’une des grandes vertus de Dieu est la miséricorde. Dieu est miséricordieux, si bien qu’il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes (Mt 5 :45). C’est la raison pour laquelle nous ne devons pas maudire ni haïr ceux qui nous persécutent. Cela n’est pas une chose facile. Mais si nous le faisons selon la volonté de Dieu, nous pouvons être appelé Fils du Très-Haut ; nous pouvons être pleinement aimés par notre Père qui est aux cieux. Dans ce sens, l’amour est une vertu beaucoup plus que le jugement que nous allons apprendre. Le jugement est selon le principe de « on récolte comme on sème. » Mais l’amour est selon le principe de « on donne sans espérer. » Nous devons nous référer à Dieu qui n’avait pas épargner son Fils pour l’homme pécheur et pratiquer son amour, car en nous, hommes pécheur, il n’y a pas de tel amour. Si nous donnons notre cœur d’amour pour nos prochains et nos ennemis inconditionnellement, Dieu lui-même nous récompense du ciel. Comme l’amour est une des vertus des plus nobles, sa récompense est plus que le centuple. Deuxièmement, ne jugez pas (37-42). Regardez le verset 37. Il dit, « Ne jugez pas, et vous ne serez point jugés, ne condamnez pas, et vous ne serez point condamnés, absolvez et vous serez absous. » Un écrivain dit, « On ne pas juger d’une chose quand on ne sait pas ce que c’est. » Par exemple, une femme mariée ne peut juger facilement la femme veuve. Les hommes pécheurs sont paresseux, mais ils sont très prompts dans la matière de juger les autres. Mais si quelqu’un juge, il sera jugé aussi de la même manière. C’est un défaut incorrigible de tous les hommes. Comment peut-on pallier ce problème ? Jésus donna la parabole de la paille et de la poutre. Peut-être les péchés qui sont dans les hommes peuvent avoir des poids quasi-égaux. Mais ce qui est reflété dans le comportement des autres est semblable à une petite partie d’un iceberg apparue en mer, donc très moindre par rapport à ce que nous avons en nous-mêmes. Donc, nous ne devons pas essayer de déduire ce qui est caché au fond à partir de ce que voyons des autres. Plutôt nous devons nous examiner nous-mêmes au fond de nos cœurs et nous repentir de nos iniquités avant de trouver quelque chose de mauvais dans les autres. Nous devons ôter la poutre dans notre œil avant de voir la paille dans l’œil des autres. Le jugement vient de sa propre justice. Tragique est la fin du traître Juda qui selon Pierre, « est tombé en avant, s’est brisé par le milieu, et toutes ses entrailles se sont répandues. » Mais c’était la récolte de ce qu’il avait semé. Le problème de Juda était sa propre justice qui lui fit penser que le Messie doit établir le royaume d’Israël. Un jeune homme pensait que l’œuvre de Dieu devait être comme ça. A cause de cette idée fixe, malgré sa grande intelligence, il devint inutile. Apparemment Juda semblait chercher la bonne cause, celle de secourir des pauvres par exemple. Mais en fait, ce qu’il cherchait était sa propre estime. Jean décrit que Satan entra en lui par deux fois, et c’est lui qui avait interprété la parole flatteuse de Juda, « il disait cela, non qu’il se mit en peine des pauvres, mais parce qu’il était voleur et que, tenant la bourse, il prenait ce qu’on y mettait. » Mais ce n’était pas un jugement de Jean, mais Jean était à ce moment dans une situation de berger pour Judas, qui s’affligeait de sa continuelle dégradation spirituelle. Nous nous posons la question sur la pertinence des deux versets suivants. Le verset 39 dit, « Il leur dit aussi une parabole : Un aveugle peut-il conduire un aveugle ? Ne tomberontils pas tous deux dans une fosse ? » Le jugement concerne la relation entre deux personnes. Deux personnes qui existent dans la société s’entretiennent pour avancer ensemble. Mais si une personne ne cède pas pour un autre mais s’ils se jugent réciproquement, leur fin sera la chute commune dans une fosse. C’est la raison pour laquelle, une personne doit céder dans son mode de pensée de juger les autres et commencer à concevoir le cœur de berger envers les autres. La leçon des disciples vis-à-vis du maître nous en dit long sur le fait que le jugement est une des matières très difficiles pour le disciple. Mais si on est disciple, c’est une matière qu’on doit absolument maîtriser. Quand il maîtrise cette matière, il sera mûr et il sera censé accompli et son niveau spirituel sera semblable à celui du maître. Les versets 43 à 45 sont la conclusion des parties précédentes. Il n’y a pas de trompe l’œil en ce qui concerne la foi, et le port du fruit. C’est l’intérieur du cœur qui est déterminant. Si l’intérieur est sanctifié, on portera naturellement du fruit agréable. Mais il est impossible de porter du bon fruit, si l’intérieur n’est pas assez sanctifié. Le fruit d’amour est différent selon la conception de l’amour en l’homme. Le fruit de la justice sera différent selon la conception de la justice en l’homme. Celui qui se dit qu’il n’a rien de bon en lui et se confie en Jésus, Jésus devient sa justice. Jésus vient non seulement justifier cet homme, mais il le libère afin qu’il accepte toutes sortes de personne avec la justice divine. Que nos membres de CBC grandissent jusqu’au mûrissement intérieur, afin qu’ils soient utilisés précieusement pour Dieu en portant des fruits agréables devant lui. Troisièmement, la maison bâti sur le roc. Jésus dit, « Pourquoi m’appelez-vous : Seigneur, Seigneur ! et ne faites-vous pas ce que je dis ? » C’était le chrétien verbale. Il est rapide en lèvre, mais il est si lent et lourd pour bouger le corps. La libre pensée domine depuis le 17e siècle les gens occidentaux, malgré leur longue tradition religieuse, ils ont des difficultés de voir la Bible comme la vérité. Selon un sociologue français, au lieu d’une définition extérieure, objective et institutionnelle du religieux, on a une définition personnelle et mouvante. Il fit un constat étonnant, c’est que le pourcentage des catholiques qui pensent qu’on trouve des vérités dans différentes religions est même que celui des non croyants. Pour ceux qui sont élevés dans ce relativisme, bâtir une maison sur la parole est quasi impossible. Mais qu’ils le veulent ou non, bâtir une maison sur les saintes Paroles est important. Le verset 47 dit, « Tout homme qui vient à moi, entend mes paroles et mettent les mots en pratique, je vous montrerai à qui il est semblable. » Cette parole nous montre que Jésus lui-même est le roc de la maison bâtie de l’homme. Le destin de l’homme dépend de ce sur quoi il bâtit sa vie. S’il bâtit sa vie sur Jésus, il sera sauvé. S’il bâtit sur la philosophie, il sera perdu. Les disciples de Jésus appelés étaient pleins de défauts et de faiblesses. Ils se concurrençaient pour avoir la première place. Certains gardaient l’absolu silence tout au long de leur vie de disciple. Certains maudirent les gens peu accueillants, etc. etc. Mais une chose que les disciples firent, c’est qu’ils décidèrent de s’engager pour Dieu. Ils acceptèrent l’appel de Dieu comme la chose la plus précieuse inchangeable avec n’importe qu’elle autre chose du monde. Ils le chérissaient dans le tréfonds de leur cœur. Donc, ils abandonnèrent tout leur bien et consacrèrent leur temps et leur vie à Dieu. Ils s’étaient assis et firent leur calcul, puis ils trouvèrent que ce chemin de disciple est la meilleure chose que l’homme puisse avoir et à ce titre, ils n’avaient aucun regret, ni arrière-pensée et se mirent à avancer audacieusement en vue d’une récompense de Dieu qui leur sera donné certainement. La tempête était venue comme Jésus le prédisait, la crucifixion de leur maître. Ils se sont dispersés. Mais leur vie d’obéissance qu’ils avaient mené pendant trois ans et demi ne fut pas pour rien. Les paroles auxquelles ils avaient obéi s’imprégnaient dans leur personne et c’est celles-là qui les soutenait dans cette tempête. Cette tempête était rude et irrésistible. Mais leur vie de mission était semblable à une maison bâtie sur le roc. Quoi que dispersés, les paroles du Seigneur leur servaient de jointure, et c’est sans tarder que ces jeunes gens se réunissaient. On avait beau les intimider par des menaces. Ils étaient comme ce porte-avions qui malgré les vagues violentes, ne submerge pas mais s’érige de nouveau pour naviguer audacieusement sur l’océan. Ici, nous apprenons que nous devons aimer les ennemis comme Jésus nous a aimé, nous qui étiez longtemps ennemis de Dieu. Ici nous apprenons que nous ne devons pas juger les autres, car nous sommes les premiers qui devons être jugés, si le jour du tribunal existe. Ici nous apprenons que nous devons bâtir la maison sur le roc, qui est la mission, mais qui est fondamentalement Jésus lui-même.