Une mission

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S'informer et Découvrir :
Les droits de l'enfant :
http://www.unicef.fr/accueil/je-minforme%3Cbr/%3Esur-les-droits-desenfants/la-convention-des-droits-de-lenfant/var/lang/FR/rub/605.html
L'éducation au Moyen Orient :
http://www.unicef.org/french/progressforchildren/2
: 005n2/mideastafrica.phpon
http://web.worldbank.org/WBSITE/EXTERNAL/ACCU
EILEXTN/PAYSEXTN/MENAINFRENCHEXT/0,,content
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La Jordanie : terre d'accueil
La Jordanie est un pays du Moyen-Orient, bordé à l'ouest par la Cisjordanie (région dont le statut est sujet à discussions entre Israël
et l'Autorité palestinienne) et Israël, au sud par l'Arabie saoudite, à l'est par l'Irak et au nord par la Syrie, avec en outre un accès à la
mer Morte et à la mer Rouge. Les principales villes du pays sont Amman (la capitale) , Irbid et Zarqa, toutes trois situées dans le
nord-ouest du pays, ainsi que la célèbre Pétra, inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco en 1985 . La Jordanie est une monarchie
constitutionnelle , son roi actuel est le Roi Abdullah II de Jordanie (dont le père fut très connu : le roi Hussein Ibn Talal, mort en
1999). Petit pays mais non des moindres la Jordanie par sa situation géographique et son histoire est considérer comme "le berceau
humanité". Elle abrite 6 198 677 habitants; environ 98 % de la population en Jordanie sont des Arabes, 60% sont d'origine
palestinienne. De plus, les Tcherkesses composent environ 2 % de la population. Les autres groupes ethniques minoritaires sont les
Tchétchènes, les Turkmènes, les Kurdes, et les Bosniaques ainsi qu'une grosse population de réfugiés Irakiens qui ne font qu'affluer
depuis la guerre qui a eu lieu en Irak. L'Islam est la religion de 97.2 % des habitants (sunnites 95%, druzes 2.2 %) ; les minorités
chrétiennes orthodoxe et autres confessions (non reconnues par l'Église Catholique) représentent 2.8 % de la population et ils ont 9
sièges au parlement.
La Jordanie poursuit la politique de modernisation économique entamée par le Roi Hussein dès la fin des années 1980 et amplifiée
par son successeur, son fils le Roi Abdallah II. Dans un environnement régional particulièrement difficile, les performances de
l’économie jordanienne ont été supérieures aux attentes. Parmi les réussites à porter à l’actif des autorités : l’amélioration de la
gestion du secteur public, la gestion des privatisations, la création de la zone économique spéciale d’Aqaba et de zones industrielles
spéciales (QIZ).
Ces éléments ont contribué à porter la croissance économique du pays (7,5% en 2005), qui est également soutenue par la position
de refuge que connaît la Jordanie pour les capitaux irakiens, palestiniens ou syriens, ainsi que par l’aide extérieure (principalement
américaine). Le Royaume a accueilli fin mai 2005, pour la troisième année consécutive, la réunion du « World Economic Forum » sur
les rives de la Mer morte.
Plusieurs aspects négatifs assombrissent cependant le tableau : un endettement extérieur et un déficit budgétaire importants, la
sensibilité du secteur touristique aux crises régionales ainsi que la pauvreté d’une partie non négligeable de la population. La
Jordanie a également dû subir les conséquences de l’augmentation des prix du pétrole depuis le début de l’année
-Les actions entreprises dans le pays:
http://www.unicef.fr/accueil/sur-le-terrain/pays/moyen-orient-et-afrique-du-nord/jordanie/var/lang/FR/rub/391.html
Le Reine Rania de Jordanie et son implication dans l'humanitaire:
Qui est Rania ?
Rania de Jordanie, d’origine palestinienne, est née en 1970 au Koweït. L’épouse du roi Abdullah II est la plus jeune reine au monde
depuis son accession au trône en février 1999. Titulaire d’un Bachelor’s degree in Business Administration de l’Université Américaine
du Caire, mère de quatre enfants, elle se dédie depuis particulièrement à la cause des enfants dans le monde. Elle devient ainsi
durant son règne l'ambassadrice de bonne volonté de l’UNESCO ainsi que de l'UNICEF.
«L’éducation favorise l’estime de soi, affirme sa valeur, développe la capacité à s’occuper de soi et de ses enfants» dit-elle durant une
conférence a la Sorbonne à Paris. Ces convictions sont à l’origine de son engagement en tant que premier éminent défenseur des
enfants au sein de l'UNICEF. Son combat la conduit à user de sa notoriété pour attirer les projecteurs sur les quatre millions
d’enfants qui meurent chaque année. 99% des décès surviennent dans les pays pauvres, contre 1% dans les pays riches.
http://www.unicef.org/french/infobycountry/iraq_3
9776.html
http://www.unicef.org/french/emerg/index_47004.
html
http://www.ungei.org/french/news/247_1298.html
Son implication auprès du centre anticancéreux :
"King Hussein cancer center"
http://www.queenrania.jo/content/modulePopup.as
px?secID=&itemID=159&ModuleID=press&Mod
uleOrigID=news
(en anglais)
Notre Projet: "Add Life to Life"(A.L.L)
Ce concept intitulé A.L.L (« Add Life to Life ») est l’un des rares projets qui touche à l’univers des enfants au Moyen Orient, il a pour
principal but de favoriser leurs vies à l’hôpital durant la durée des traitements. Pendant l’hospitalisation. «Ce sont des moments où
l’enfant demande à être rassuré. Les parents peuvent même, en même temps qu’il se fait soigner, mettre des mots sur ce qu’on lui
fait, ou le distraire avec des chansons ou des petites histoires… »Explique un médecin .Parfois même, les parents sont invités à
participer !
Il consistera à intégrer l’école au sein même de l’établissement hospitalier, ainsi les enfants malade bénéficierons d’une assistance
plus adapté a leur besoins et pourrons donc assister à des classes :
1.
2.
3.
4.
D’éveil pour les plus jeunes de 0 à 3ans
De maternelle pour les enfants de 3 à 6ans
De primaire de 6 à 11ans
De secondaire (collège et lycée) de 11 à 16 ans
Afin de leur fournir une scolarité plus ou moins normale en essayant de rétrécir l’écart qu’il peut y avoir entre eux et n’importe quel
autre enfant. Ce projet prévoit de mettre en place des salles de classes adaptées (médicalement), fournir du matériel scolaire et
informatique, des salles jeux, d’activités et animations multiples et variées. De plus il permettra de financer des pompes
antidouleurs et de décorer l’enceinte même de l’hôpital(les chambres des enfants et toute la section de pédiatrie) afin d’améliorer
leur environnement durant toute la durée des soins.
L’OPERATION
L’opération A.L.L sera organisée chaque année durant une période donné.
Elle consiste à récupérer dans les tirelires crées à cette effet, et cela par l’entremise des enfants, la petite monnaie que la plupart
des gens n’hésite pas à donner.
Contrairement a ce que l’on pourrait penser, ces tirelires sont un moyen simple ; à porté de mains de tous le monde et qui
rapportes énormément, ce même type de projet en France a récolté prés de 15 millions d’euros en 2002 c’est pour dire que les
impactes publicitaires ont leurs rôles à jouer…

Les 4 objectifs de l’opération A.L.L :
1.
2.
3.
4.
Développer l’accès a la scolarité, aux loisirs pour
les enfants dans les hôpitaux
Améliorer l’accueil et le confort des enfants
Lutter contre la douleur des enfants en finançant
des « pompes
Antidouleurs » ***
Rapprocher les familles
***Pompe antidouleurs : Si des médicaments doivent être
administrés en tout temps, une pompe en continu peut être
utilisée pour maintenir une dose constante d’antidouleurs
dans la circulation sanguine et administrer des entre doses,
au besoin. Il existe plusieurs possibilités d'administration des
antalgiques (médicaments contre la douleur : paracétamol,
anti-inflammatoires, morphine) : les médicaments sont
proposés en fonction de la nature et de l'intensité des
douleurs. Ils la soulagent, même s'ils ne la suppriment pas
toujours totalement. Le traitement est prescrit par les
médecins : en perfusion intraveineuse, en injection souscutanée, en comprimés quand il est possible aux patients de
s’alimenter, par pompe "P.C.A." : analgésie contrôlée par le
patient. Dans ce cas, c'est le patient qui peut s'autoadministrer de petites doses de morphine
Quand il en a besoin. Notons bien que ce matériel revient
excessivement cher pour la plupart des hôpitaux.
Parce que les enfants hospitalisés sont aussi des élèves, parce que donner un projet à un enfant hospitalisé c'est créer les
meilleures conditions pour sa guérison, l'école à l'hôpital s'inscrit dans une démarche de soins avec quatre grandes lignes
directives :

la prévention de l'exclusion scolaire par l'accompagnement des familles et des professionnels et par la pédagogie
de l'enfant différent,

la scolarisation pour aider l'enfant hospitalisé à trouver des repères, contribuer à son épanouissement, l’aider à
s'investir,


l'intégration avec la meilleure articulation soins / scolarité,
la coordination des différents réseaux.
Avec une équipe composée d'enseignants spécialisés et de professeurs de primaire, collèges et de lycée, l'école à l'hôpital :

agit en pédiatrie pour sécuriser, dédramatiser, s'inscrire dans la démarche de soins. Elle donne à l'école une valeur
thérapeutique.

assure :
l'aide à l'intégration scolaire dans les écoles ordinaires d'enfants handicapés moteurs suivis en
consultation néonatale, et aide à mettre en place les projets d'intégration scolaire d'enfants suivis au centre
de référence des troubles des apprentissages
le suivi d'une classe d'intégration collective d'enfants handicapés moteurs dans une école élémentaire
un suivi des enfants ou adolescents traumatisés crâniens avec évaluation, remise à niveau et
réorientation.
Une mission
La mission de l'école à l'hôpital s'articule autour de quatre objectifs :
la prévention
la scolarisation
l'intégration
la coordination
La prévention
Elle lutte contre l'exclusion scolaire par :
un accompagnement précoce des familles, des équipes pédagogiques d'accueil, des professionnels de la santé,
une pédagogie de l'enfant différent par les journées de l'école à l'hôpital, les interventions diverses dans les
congrès, conférences, et presse.
La scolarisation
L’école à l'hôpital assure la scolarisation des enfants et des adolescents lors des hospitalisations pour :
éviter la rupture scolaire,
aider à retrouver des repères extrahospitaliers,
contribuer à un relatif épanouissement sur le plan affectif et psychologique en maintenant un projet au travers
de l'activité scolaire (valeur thérapeutique de l'école),
aider l'enfant à garder son statut d'écolier, pour lui permettre de maintenir ses acquis, de progresser, de
s'investir, d'être actif.
L’intégration
L'école à l'hôpital agit pour créer les meilleures conditions possibles d’intégration ou de ré intégration avec la meilleure
articulation possible soins scolarité en :
mettant en place des Projets d'Accueil Individualisé (PAI), des conventions ou projets d'intégration
dès la sortie de l'hôpital pour les enfants ayant un trouble de la santé (diabète, insuffisance rénale,
mucoviscidose...) ou un handicap temporaire (liés à un accident ou une intervention chirurgicale...)
dès la consultation hospitalière pour les enfants relevant du centre de référence des troubles des
apprentissages (dyslexie, dysphasie, dyspraxie...),
en apportant une aide pédagogique et/ ou une technique appropriée dans les écoles d'origine dès que
nécessaire,
en dynamisant le réseau multidisciplinaire.
La coordination
L'école à l'hôpital assure la cohérence des interventions des différents acteurs :
enseignants de l'école à l'hôpital
enseignants des écoles d'origine
santé scolaire
psychologues
soignants
parents
Les lieux d'action
En pédiatrie
Parce que l'enfant malade est également un élève, il faut lui assurer un projet d'avenir.
En étant un repère extrahospitalier, l'école dans l'hôpital assure une normalité.
Parce qu'elle sécurise, dédramatise, parce qu'elle s'inscrit dans la démarche de soins, l'école dans l'hôpital a une valeur
thérapeutique.
Elle est également, en préparant la sortie, en assurant l'intégration de l'enfant dans son milieu ordinaire un lieu de
restructuration.
En évitant le retard scolaire, en prévenant les inadaptations, en assurant l'orientation scolaire, en organisant la scolarité par le
lien domicile / hôpital / école d'origine, l'école à l'hôpital un rôle psychopédagogie.
Elle assure le lien avec l'école d'origine (le renvoi sur l'extérieur, l'appel à la vie), les parents, les enfants, les soignants.
Et ce, pour des pathologies telles que :
découverte de maladie grave (cancer ou leucémie)
découverte de diabète
suivi de maladie chronique (mucoviscidose, insuffisance rénale...)
admission pour troubles psychologiques (unité d'adolescents) : troubles anxieux, hyperactivité, anorexie
mentale, phobies scolaires, tentative de suicide...
intervention chirurgicale programmée,
accident de la voie publique
pour des séjours d'une semaine à plusieurs mois
L'aide à l'intégration scolaire
L'intégration scolaire est assurée par un enseignant spécialisé qui accompagne :
l'élève avec un projet individualisé
l'enseignant en identifiant les difficultés et en proposant les stratégies pour y remédier.
Il participe aux évaluations, aux synthèses, aux commissions en réalisant un bilan pour la poursuite de l'intégration, ou la
réorientation.
Elle se fait :
dans les écoles ordinaires,
au centre de référence des troubles des apprentissages.
dans une CLIS (classe intégrée dans une école élémentaire)
L'école assure un suivi des enfants ou adolescents victimes de traumatismes avec évaluation, remise à niveau, et
réorientation.
Les moyens
L'école à l'hôpital assure ses missions au service de l'enfant et de l'adolescent grâce à une équipe composée d'enseignants
spécialisés et de professeurs de collège et de lycée.
Elle s'appuie également sur les réseaux de médecins hospitaliers, de médecins scolaires, rééducateurs libéraux tels que
kinésithérapeutes, orthophonistes, psychomotriciens, enseignants des écoles d'origine et des parents.
Elle agit en liaison avec les instances administratives, dans les cadres définis par les institutions telles que :
convention d'intégration
projet d'accueil individualisé (PAI)
projet d'intégration scolaire
seuls garants de l'articulation soins / scolarité.
AIDER
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