Modélisation dun système de gestion de
musiques et de films
Projet « MaDVDteK »
Sophie BELART
Master 2 Gestion de l’Information et de la Connaissance
Présentation du projet “MaDVDthek”
Ma DVDthek permettra à tout utilisateur détenteur d’un PC et d’un serveur (local ou
distant) de gérer gratuitement et simplement sa collection de musique et de film.
Ce projet proposera d’organiser thématiquement de la musique et des films grâce à
une base de données. Cette DVDthèque apparentera au final, plutôt à une « interface » web
qu’à un simple logiciel de gestion de données
Cette application sera donc utilisable en monoposte comme en serveur du
moment que l’utilisateur a fait l’acquisition d’un environnement de travail approprié.
Choix du logiciel
Nombreux sont les logiciels de modélisation des systèmes d’information, des libres
aux propriétaires.
Pour réaliser ce projet, nous avons opté pour un logiciel libre sous licence GNU
permettant la modélisation MERISE. Plutôt que de prendre le parti de présenter notre travail
avec un logiciel propriétaire nous avons préférer nous tourné vers les logiciels libres pour en
découvrir leur fonctionnalités.
ANALYSE SI en plus d’être un gratuiciel, est simple d’utilisation et ne comporte que les
fonctionnalités essentielles à la normalisation MERISE Il faut noter que son principal
avantage permet de modéliser notre système d’information selon les deux méthodes vues en
cours : MCD et MLD, proposant, en plus, un lexique des attributs.
Modélisation MERISE
Modèle conceptuel de données MCD
Le modèle
Les choix des entités
On a pris le parti d’aborder de manière simple la modélisation en restreignant au
minimum le nombre de table. A ce titre, la gestion de la DVDtheque s’organisera autour de
deux onglets celui de la musique (audio) et celui de la vidéo (film). On considère alors qu’un
DVD musical appartiendra à la catégorie « film » puisqu’il y a à la fois « image » et « son ».
Notre MCD s’organise autour de huit entités (4 pour les chansons et 4 pour les films) :
Chanson (film)
Nous avons choisi que la collection musicale se ferait par chanson plutôt que par album,
car en effet au fil des observations on s’est rendu compte que les utilisateurs gérer les
chansons une à une (probablement du fait du téléchargement des chansons).
Cette table chanson comportera l’identifiant de la chanson (la clé primaire auto-
incrémentale) le titre de la chanson, son année de création, le nom de l’interprète mais aussi
le genre auquel elle appartient.
Chanteur(acteur)
Le nom du chanteur sera géré dans une autre table, de manière à pouvoir faire des
recherches sur la personne. Nous avons pris le parti de ne pas rassembler dans une même
table les chanteurs et acteurs car tous deux ont une fonction bien différentes.
Les attributs de cette entité sont : l’identifiant (comme dans toutes les autres tables auto-
incrémentales), le nom, le prénom de l’interprète mais aussi sa nationalité et date de
naissance de manière a pouvoir rechercher des interprètes en fonction de leur origines.
Genre musical (cinématographique)
Nous avons choisi de créer une table pour les genres de manières à pouvoir également les
mettre en autorités et de ce fait pour facilité » les recherches thématiques.
Cette entité comporte l’identifiant et bien entendu le nom du genre qui pourra être pop,
rock…
L’explication des entités pour les films va dans le même sens que pour les chansons. Nous
avons choisi de différencier ces deux types de données de manière à pouvoir hiérarchiser les
données, et de les gérer par la suite sous deux interfaces différentes.
De plus, les entités « producteur », « compositeur », « éditeur » ne sont pas présentes,
bien qu’importantes, de manière à rester général d’autant plus que les utilisateurs font des
recherches, le plus souvent, par titre, par acteur ou par genre mais ils n’utilisent que peu les
autorités secondaires.
Les cardinalités
On considère que pour être chanteur il faut avoir interpréter au moins une chanson,
ce qui paraît logique. Les chansons, quant à elles, doivent avoir au moins un interprète et
peut avoir aussi été interprétées plusieurs fois par des personnes différentes.
On considère dans notre schéma qu’une chanson n’appartient qu’à un seul genre
musical. Alors que bien entendu, ce dernier rassemble une quantité inexorable de titres.
Les cardinalités pour la base des films suivent bien entendu la même logique.
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