
Numéro du PCS: 200 
Interdiction concernant la cire alimentaire 
Soulevé pour la première fois le: 
octobre 2004 G/SPS/R/35, paras. 38-39 
Nombre de fois que cette question a 
été soulevée: 
Document(s) pertinent(s): 
Question soulevée oralement 
07 Légumes, plantes, racines et tubercules alimentaires; 
08 Fruits comestibles; écorces d'agrumes ou de melons; 
1521 Cires végétales (autres que les triglycérides), cires 
d'abeilles  ou  d'autres  insectes  et  spermaceti,  même 
raffinés ou colorés. 
Mot-clé (sujet) principal: 
Innocuité des produits alimentaires 
Food  safety  -  FR;  Human  health  -  FR;  International 
Standards / Harmonization - FR; Transparency - FR 
Date communiquée comme résolue: 
 
Extraits des résumés de réunion du Comité SPS 
Les États Unis ont dit que le 13 août 2003, le Ministère de la santé et de la famille de l'Inde avait 
publié au Journal officiel le règlement n° GSR 656, qui modifiait la Loi de 1955 sur la prévention du 
frelatage des aliments en interdisant la vente des fruits et légumes frais enrobés de cire, d'huile 
minérale  ou  de  colorant.  Cette  modification  menaçait  les  exportations  américaines  de  produits 
horticoles  à destination  de l'Inde et  n'avait pas  été  notifiée à  l'OMC. Les  nouvelles prescriptions 
allaient au delà des exigences du Codex et avaient été adoptées sans justification scientifique. De 
plus, en raison de la longue traversée maritime vers les ports de l'Inde, l'exportation de fruits et 
de  légumes  américains  sans  cirage  ne  constituait  pas  une  solution  viable.  Le  cirage  était  un 
traitement vital, indispensable pour préserver la durée de conservation des produits. L'Inde était 
invitée à notifier le règlement en question à l'OMC, de sorte que les Membres aient la possibilité de 
formuler des observations à ce sujet.  
L'Inde a répondu que la mesure en question avait été précédemment publiée sous forme de projet 
(règlement n° GSR 852) par le Ministère de la santé, qui avait alors fait appel aux observations de 
toutes  les  parties  intéressées.  Sa  mise  en  oeuvre  faisait  suite  à  la  multiplication  des  cas 
d'utilisation  de  cires  douteuses  et  de  frelatage  d'aliments  au  moyen  de  substances  chimiques 
dangereuses.  Ce  problème  concernait  aussi  les  commerçants  et  les  vendeurs  nationaux  de 
produits alimentaires. La question du cirage des fruits et légumes était en cours d'examen par un 
groupe d'experts, sous les auspices du Ministère de la santé.