L’ORIGINAL
(The Oddball)
14 juin 1964, soir
Branham Tabernacle
Jeffersonville Indiana, U.S.A.
1. Restons debout juste un petit instant. Bien-aimé Seigneur, nous venons de
nouveau en Ta divine présence par le moyen de la prière, et nous voulons tout
d’abord Te remercier pour tout ce que Tu as fait pour nous, ainsi que pour ce grand
amour que Tu as mis dans notre coeur pour Toi et pour Ta Parole. Seigneur, ce soir
ces gens que j’aime de tout mon coeur ont fait des sacrifices afin de venir dans
cette pièce surchauffée et aux autres désagréments, parce qu’ils aiment Ta Parole.
2. Et ce soir nous voulons prier pour les malades et les nécessiteux, Seigneur. Puisse-
t-il ne plus y avoir une seule personne faible au milieu de nous à la fin de ce
service. Récompense-les pour toute leur foi, Seigneur. Parle-nous au travers de Ta
Parole, Seigneur, et affermis-nous tandis que nous supporterons tous Tes
reproches. Quel privilège de pouvoir faire cela. Nous le demandons au Nom de
Jésus. Amen. (Vous pouvez vous asseoir.)
3. Je ne pourrais évidemment pas trouver de mots pour exprimer ma gratitude envers
un groupe de gens tel que celui-ci qui vient de s’installer dans cet édifice. J’aimerais
dire que demain ou lors de la prochaine réunion, nous irons à Topéka dans le
Kansas. Et cela se terminera le dimanche suivant. Puis de là nous irons à
Philadelphie. Ensuite nous serons censés aller outre-mer, au Kenya, au Tanganyika
et en Ouganda, dans ces tribus là-bas. Il y a en ce moment un soulèvement avec
les Mau Mau. Je ne pourrai pas aller là-bas comme missionnaire mais j’essaierai
d’y aller en tant que chasseur.
4. Habituellement je vais en tant que missionnaire et j’en profite pour chasser, mais
cette fois-ci j’irai en tant que chasseur et je serai un missionnaire. Il faut employer
tous les moyens pour parvenir jusqu’à eux. Et frère Mattsson-Boze travaille à cela,
essayant de me faire entrer et de trouver un safari où je puisse aller chasser. Puis
lorsque je serai dans ce safari, il dira: «Notre frère Branham est dans le pays (il ira
à l’ambassade); verriez-vous un inconvénient à ce qu’il tienne une petite réunion là
dehors?». Vous voyez? Cela permet de prendre un bon départ, ensuite tout ira
comme sur des roulettes. Ainsi nous ne savons pas si cela se fera, si nous
pourrons faire cela ou pas, mais nous essayons. Et j’ai demandé au Seigneur que
si par hasard cela ne se faisait pas, cela soit un signe pour moi que je dois revenir à
Jeffersonville pour prêcher sur les sept Trompettes, ce sera pour le mois de juillet
ou d’août, environ à cette époque.
5. Si nous faisons cela, nous nous occuperons aujourd’hui d’essayer d’avoir cette
salle de classe avec air conditionné car cette fraîcheur serait très agréable. On peut
asseoir de quinze cents à dix-huit cents personnes et il y a l’air conditionné; c’est un
bâtiment flambant neuf situé à environ cinq blocs de maisons au-dessus d’ici. Nous
l’avons demandé une fois et ils n’ont pas voulu nous le donner. Et celui qui ne
voulait pas nous le laisser a été expulsé du conseil. Et maintenant celui qui l’a
remplacé dit que nous pouvons l’avoir chaque fois que nous le voulons. Nous
sommes donc très heureux de l’avoir. Nous pourrions ainsi l’avoir maintenant et
vers le mois de juillet. Combien prieront pour cela? Et si c’est la volonté du
Seigneur… A moins que quelque chose ne nous en empêche…
6. J’aime l’Arizona, vous savez. C’est un merveilleux pays; j’ai toujours souhaité y
vivre. (Frère Ben, si vous pouviez pousser un peu cela, s’il vous plaît. Ou si vous
pouviez le monter un peu… Qu’y a-t-il? Oh, ce sont simplement les bandes! Oh,
voilà l’autre là-haut, je suis désolé. Très bien, frère Ben.)
7. Quand je reviens ici depuis l’Arizona, je suis un peu enroué à cause du changement
de climat. Ici, nous avons environ 87 à 90 pour-cent, et parfois même 100 pour-cent
d’humidité, tandis que là-bas cela reste à zéro pour-cent et cela atteint parfois une
moyenne de 1/20 pour-cent d’humidité. C’est tout simplement comme si vous viviez
sous une tente à oxygène. Ainsi quand vous sortez de là-bas pour venir ici, vous
voyez quelle différence cela fait. Et cela vous détraque la voix et toutes ces
choses… (mets-le là où il se trouvait, frère Ben, si tu veux, j’ai fait une erreur et je
l’ai sorti. J’ai cru que c’était… mais le voici de nouveau où ils l’avaient mis.)
8. Maintenant, priez tous pour nous. J’apprécie ce que vous faites pour moi. Billy me
disait que quelqu’un avait apporté un panier de pêches et des petits cadeaux que
vous… Je ne pourrai jamais assez vous remercier, je ne sais comment le faire. Et je
me sens tellement indigne de prendre ces choses de votre part. Je prie Dieu qu’Il
vous bénisse et je sais qu’Il le fera car Il a dit: “Tout ce que vous faites à l’un de ces
petits, c’est à moi que vous l’avez fait”. Et Dieu vous bénira, j’en suis sûr.
9. Et peu importe combien l’Arizona est un beau pays, il y a quelque chose qui me
manquera, c’est vous tous. C’est juste! Vous me manquez tous. Peu importe où je
vais, ce n’est pas comme si c’était vous. J’ai des amis tout autour du monde; mais
ce n’est pas vous tous. Il y a quelque chose en ce petit groupe qui est
simplement… Je ne sais pas. Mais je pense à eux.
10. Tucson, vous savez, est une ville touristique et les églises cherchent à
attirer…Vous savez cela? C’est vraiment dur. Ce n’est pas très spirituel car cette
compétition est très forte et cela rend les choses difficiles. Si je pouvais vous avoir
tous avec moi ainsi que l’église pour aller vivre là-bas, je pense que ce serait très
bien. Vous voyez? Mais je suppose que tant que ceci restera une église et que
vous continuerez à venir, je viendrai ici jusqu’à ce que Jésus revienne.
11. Priez donc pour moi ainsi que je l’ai dit il y a un moment, Ce n’est pas mon intention
de répéter cela, mais lorsque je suis devant vous, je deviens nerveux, mélancolique
et sentimental, et aussi instable. C’est ma nature d’être ainsi et cela me déchire
intérieurement. Mais de savoir que partout où je vais… Je ne connais pas un seul
groupe sur terre qui me soit aussi attaché que celui-ci. Puisse Dieu nous laisser
être, dans le Royaume à venir, aussi inséparables; puissions-nous être ensemble,
c’est là ma prière.
12. Il y a un instant je me trouvais près de la porte et je discutais avec Billy Dauch au
sujet de quelqu’un qui se trouvait dans l’autre pièce et que nous voulions ramener à
Christ. Mais pendant que je discutais avec lui (il a quatre-vingt-onze ans), il me dit:
«Je deviens faible. Mes yeux ne sont pas ce qu’ils devraient être». Et je me
souviens qu’il y a deux ans, j’étais allé vers lui alors qu’il avait eu une paralysie
totale du coeur; son coeur était bloqué; il était mourant. Et le médecin même, qui le
soignait et avait dit qu’il ne s’en sortirait pas, est mort. Et Billy Dauch est assis ici
(vous voyez?); il a quatre-vingt-onze ans. Je lui dis: «Billy, pour ce qui est du travail
et des choses ainsi, tu n’es plus d’aucune utilité, mais je me demande si le
Seigneur ne t’a pas donné des forces parce que tu aimes tant les réunions». Cet
homme de quatre-vingt-onze ans a traversé tout le pays en automobile, indifférent à
la chaleur, la sécheresse, le froid et toutes ces choses pour entendre la Parole. Que
Dieu bénisse cette âme vaillante.
13. Je dois encore m’excuser de vous avoir gardés comme je l’ai fait ce matin durant
trois heures. Et cela n’a servi de rien pour le message, car j’ai dû le partager, en
laisser de côté et en sauter une partie. C’est pourquoi je leur ai dit de retenir la
bande. Il faudrait que je puisse avoir de nouveau ce message dans un endroit où il
fait frais. Et je pourrais ainsi sentir l’Esprit, mais lorsque je vous regarde, je vous
vois vous éventer et je sais que vous avez très chaud, et cela me déchire de le voir.
Je ne veux pas que vous souffriez, je veux que vous soyez à l’aise. Vous voyez? Et
cela me préoccupe.
14. C’est comme quand je vois des gens qui sont malades. Si je ne peux pas avoir de
la compassion pour ces gens malades, je ne peux leur faire aucun bien. Je
dois pouvoir compatir. Et c’est la même chose pour vous, je dois avoir de la
compassion pour vous sinon je ne peux pas être votre frère. Vous voyez? Je dois
pouvoir compatir. Et c’est ce que je fais, Dieu sait que c’est vrai!
15. Et ce soir je prierai pour les malades. Je veux louer et bénir ces hommes comme
frère Collins, frère Hickerson, frère Neville, frère Caps, les administrateurs et tous
les autres, pour ces bons témoignages de votre ordre, de votre manière d’établir
l’église et de tout mettre dans sa bonne position. Je vous en suis reconnaissant.
Que le Seigneur vous bénisse pour tous vos efforts de mise en ordre. J’ai reçu à
Tucson lettre sur lettre me disant: «Frère Branham, ce n’est plus comme avant.
C’est tellement différent. Il y a un sentiment tellement béni de la présence de Dieu».
Et je suis reconnaissant pour cela. Que le Seigneur vous bénisse tous.
16. Et ce soir j’aimerais lire un petit passage de l’Ecriture afin de pouvoir faire ressortir
quelques paroles; je prendrai peut-être deux passages, puis je vous parlerai
pendant un petit instant et nous prierons ensuite pour les malades. Cela ne prendra
que quelques instants, je suis attentif à l’horloge. Et j’essaierai de faire cela aussi
court que possible.
17. Mais je crois réellement que lorsqu’une foule de gens est assemblée sans lire la
Parole ni recevoir une exhortation ou quelque chose, la réunion n’est pas complète.
Beaucoup parmi vous ont dû attendre; ce soir beaucoup parmi vous devront de
nouveau faire des kilomètres et des kilomètres. Combien j’admire cela. Combien je
vois et observe chacun de vous! Quand je me trouve là-bas en Arizona, je pense:
«Lorsque je le reverrai, je descendrai directement là-bas; je lui toucherai la main et
je le serrerai dans mes bras». Et vous êtes assis là, mais vers qui puis-je aller?
Vous savez? Je ne sais tout simplement pas par qui commencer, je ne sais pas
comment m’en sortir. Mais je vous aime. Dieu vous aime, Lui aussi.
18. Maintenant je pense ne pas m’être trompé, je pense avoir le bon passage de
l’Ecriture ici; je veux lire dans 1 Corinthiens au 1er chapitre depuis le verset 18 et je
lirai aussi dans 2 Corinthiens 12.11 et ceci sera mon texte. Maintenant je vais
essayer de trouver cela rapidement, puis nous le lirons et prierons. Commençons
directement; je vais vous parler pendant quelques minutes sur un petit sujet, dans 1
Corinthiens, chapitre 1, verset 18:
“Car la parole de la croix est folie pour ceux qui périssent, mais à nous qui
obtenons le salut, elle est la puissance de Dieu. Car il est écrit: Je détruirai la
sagesse des sages et j’annulerai l’intelligence des intelligents. Où est le
sage? où est le scribe? où est le disputeur de ce siècle? Dieu n’a-t-il pas fait
de la sagesse du monde… (puis-je lire cela de nouveau?) Dieu n’a-t-il pas fait
de la sagesse du monde une folie?… (qu’est donc la sagesse du monde? une
folie). Dieu n’a-t-il pas fait de la sagesse du monde une folie? Car puisque,
dans la sagesse de Dieu, le monde, par la sagesse, n’a pas connu Dieu, il a
plu à Dieu, par la folie de la prédication, de sauver ceux qui croient… (Puis-je
lire de nouveau ce verset? Ecoutez attentivement). Car, puisque, dans la
sagesse de Dieu, le monde, par la sagesse, n’a pas connu Dieu, il a plu a
Dieu, par la folie de la prédication, de sauver ceux qui croient; puisque les
Juifs demandent des miracles et que les Grecs recherchent la sagesse; mais
nous, nous prêchons Christ crucifié, aux Juifs occasion de chute, aux nations
folie, mais à ceux qui sont appelés, et Juifs et Grecs, Christ la puissance de
Dieu et la sagesse de Dieu; parce que la folie de Dieu est plus sage que les
hommes, et que la faiblesse de Dieu est plus forte que les hommes”.
19. Et dans 2 Corinthiens, chapitre 12, verset 11, Paul dit:
“Je suis devenu insensé: vous m'y avez contraint; car moi, j’aurais dû être
recommandé par vous; car je n’ai été en rien moindre que les plus excellents
apôtres, quoique je ne sois rien”.
20. Prions. Seigneur Jésus, puisses-Tu ce soir ajouter Ta bénédiction à ces quelques
mots que prononça ce grand apôtre Paul en ces jours lointains; nous Te
demandons cela afin que nous puissions prospérer en entendant ces paroles ce
soir et en les appliquant à nos vies, afin que nous puissions être l’oeuvre de
Dieu, faite de la manière qu’Il a choisie pour nous. Nous Te le demandons au
Nom de Jésus. Amen.
21. Ce soir, si le Seigneur le permet, je prêcherai pendant quelques minutes sur le sujet
de l’original. Maintenant, ceci est un texte très brut et très dur mais qui exposera
plus ou moins ce que je veux exprimer.
22. Vous savez, aujourd’hui il se passe tellement de choses que les gens deviennent
des originaux, comme nous les appelons. Si quelqu’un a déjà entendu cette
expression, il saura qu’elle désigne une personne étrange, qui semble bizarre aux
autres. Et il ne fait aucun doute que pour les autres nous sommes des gens
bizarres.
23. Un jour que je descendais dans la rue à Los Angeles en Californie, je vis une
personne très étrange qui se comportait de manière bizarre. Cet homme descendait
la rue sans précipitation mais comme s’il faisait une promenade de l’après-midi.
J’allai de l’autre côté de la rue pourvoir ce qu’il faisait. Tout le monde tournait là
autour et se moquait de lui à cause de son étrange comportement. Je remarquai
qu’un signe pendait devant lui. Et je voyais tous ces gens qui se moquaient de cet
homme étrange et bizarre. C’est comme cela que je le remarquai. Et tandis que les
gens le regardaient et se moquaient de lui, il semblait avoir un autre genre de
sourire, un sourire de contentement. Les sourires que lui adressaient les autres
étaient plutôt destinés à le ridiculiser. Mais il semblait satisfait de ce qu’il faisait.
24. Eh bien, cela donne matière à penser lorsqu’un homme est satisfait de ce
qu’il fait et croit que ce qu’il fait est juste. Bien qu’il semble être un original pour
quelqu’un d’autre, il croit que ce qu’il fait est juste et il en est satisfait; qu’il reste
donc ainsi. Et tandis que je m’approchais de cet homme, je remarquai qu’il y avait
sur sa poitrine une plaque ou une pancarte sur laquelle était inscrit: «Je suis fou»;
et en bas il y avait: «à cause de Christ!». En grandes lettres: «Je suis fou» et en
bas «à cause de Christ!». Et tout le monde se moquait de cela.
25. Et alors que le petit homme se frayait un chemin à travers la foule railleuse et
poursuivait sa route, je me retournai pour voir ce qu’il y avait dans son dos. Il s’y
trouvait un grand point d’interrogation et en dessous il y avait cette inscription: «Et
vous, quelle sorte de fou êtes-vous donc?».
26. Eh bien, je pensai: «Il y a quelque chose là-dedans». Vous voyez? Mais il semblait
satisfait de pouvoir être un fou à cause de Christ. Et c’est là ce que Paul disait être
devenu: un fou à cause de Christ.
27. Un de mes très chers amis, frère Troy, des Hommes d’affaires du Plein Evangile,
est charcutier. Il a attrapé une sorte de germe dans la main en coupant du porc
Je me demande si quelqu’un connaîtrait de quel germe il s’agit; c’est un germe qui
dévore. Ils durent l’amputer de trois doigts afin de sauver sa vie. Et il n’a plus que
deux doigts sur une main et pourtant il est resté boucher.
28. Et il y avait là un jeune Allemand qui travaillait avec lui, un boucher qui avait
débarqué à Los Angeles; et il essaya d’amener le jeune Allemand à Christ. Mais il
disait qu’il était luthérien et que tout était en ordre pour lui. Il était satisfait d’être un
chrétien car il appartenait à l’église luthérienne, comme il disait. Un soir, frère Troy
eut le privilège de l’amener à l’église.
29. Il s’appelait Henri. Et en allemand Henri se dit «Heinrich»; ils l’appelèrent donc
Heini. Vous avez entendu cette expression. Il dit: «Heini, que dirais-tu de venir ce
soir à l’église avec moi?».
30. «Bien», dit-il, «je crois que j’irai». Il alla donc dans une réunion à l’ancienne mode
où ils avaient une réunion de prière, il fut réellement convaincu et donna son coeur
à Christ. Oh, le lendemain, le jeune Allemand était vraiment dans la joie. A chaque
instant il se mettait à marcher dans le bâtiment et levait les mains en l’air en disant:
«Loué soit Dieu! Merci Seigneur Jésus!». Et il attirait l’attention de tous.
31. Vous voyez, il devint bizarre pour tous les bouchers. Et tandis qu’il coupait sa
viande, il se mettait à penser au Seigneur et il commençait à crier de joie. Il posait
son couteau, et il allait et venait dans les couloirs, non de manière hystérique, mais
simplement en adorant Christ et disant: «Oh, combien je T’aime, Jésus!». Il allait et
venait ainsi, vous savez.
32. Et le patron vint et le vit agir ainsi. Et comme il allait et venait en criant de joie, le
patron… Il n’avait même pas remarqué le patron, il pensait à Jésus. Et il
recommença à lever les mains en l’air et les larmes roulaient sur ses joues; il disait:
«Oh, Dieu, combien je T’aime!».
Et le patron lui dit: «Heini, que vous est-il donc arrivé?». Il ajouta: «Tout le monde dans
l’équipe parle de cela. Que vous est-il donc arrivé, Heini?».
33. Le jeune Allemand dit: «Oh, patron, gloire à Dieu, je suis sauvé!».
Il dit: «Vous êtes quoi?».
Il dit: «Je suis sauvé! Je suis allé à une petite mission là-bas avec frère Troy et j’ai été
sauvé. Et Jésus est venu dans mon coeur et je suis tellement rempli d’amour!».
Il dit: «Vous êtes sûrement allé dans ce nid de toqués».
[en anglais le même mot «nut» qui signifie écrou signifie aussi «toqué». N.d.T.]
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