ANATOMIE / PHYSIOLOGIE 10/09/08

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ANATOMIE / PHYSIOLOGIE 10/09/08
L’ABDOMEN
NOMBRE DE ZONES ET LEURS NOM :
Il y en a 9 :
Hypochondre droit (1)
Epigastre
Flan droit
(4)
Région ombilicale
Fosse iliaque droite (7)
Hypogastre
(2)
(5)
(8)
Hypochondre gauche (3)
Flan gauche
(6)
Fosse iliaque gauche (9)
NOM DES ORGANES CORESPONDANTS :
1 => Foie, Vésicule biliaire, Angle colique droit.
2 => Estomac, Duodénum, Pancréas (tête).
3 => Rate, Pancréas (queue), Angle colique gauche.
4 => Colon ascendant.
5 => Intestin grêle, Colon transverse.
6 => Colon descendant.
7=> Caecum (« cécum »), Appendice.
8 => Sigmoïde, Rectum.
9 => Colon descendant (fin), Sigmoïde.
LA LANGUE
STRUCTURE QUI RATTACHE LA LANGUE :
Elle est rattaché au planché de la bouche et par le frein.
ELEMENTS CARACTERISTIQUES DE LA MUQUEUSE :
 Papille gustative (goût).
 Papille caliciforme (les plus volumineuses qui forment un « V ».Le « V » linguale).
INERVATION MOTRICE :
Le nerf grand hypoglosse (XIIe paire de nerf crânien).
INERVATION SENSITIF :
Le nerf lingual, branche du tri jumeau (Xe nerf crânien).
INERVATION SENSORIEL GUSTATIF :
Le nerf glosso-pharyngien (IXe nerf crânien) et le nerf facial (VIIe nerf crânien)
LES GLANDES SALIVAIRES
LES TROIS PAIRES DE GLANDES SALIVAIRES ET LEURS CANAUX
EXCRETEURS :
* Les parotides (25gr)
=> les canaux de STENONS.
* les sous maxillaires (7gr) => les canaux de WHARTONS.
* les sublinguales (3gr)
=> les canaux de WALTHERS.
(Dont le plus volumineux et le canal de RIVINUS.)
QUANTITEE DE SALIVE SECRETE :
0,7 à 0,8 litres / 24 heures.
COMPOSITION DE LA SALIVE :
Eau (99,5%), électrolytes, sel minéraux, urée, protéine, mucine, ptyaline (enzyme), amylase
(enzyme).
Le glucose se transforme en maltose à se niveau.
ROLE DE LA SALIVE :
Elle à un rôle anti septique par des agents anti bactérien.
Elle à un rôle protecteur par lubrification de la langue et donc joue un rôle dans la phonation.
Elle à un rôle chimique grâce à l’amylase qui dégrade le sucre.
ORDRE DESCENDANT DU TUBE DIGESTIF :
La bouche, le pharynx, l’œsophage, l’estomac, le duodénum, le jéjunum, l’iléon, le colon , le
rectum et l’anus.
L’ŒSOPHAGE
SA LONGUEURE :
Il fait environs 25 cm.
Il fait le lien entre le pharynx (en haut) et l’estomac (en bas).
LA ZONE DE JONCTION ŒSOPHAGE ET ESTOMAC :
C’est le cardia.
LES DIFFERENTES PHASES DE LA MASTICATION ET DE LA DEGLUTITION :
Il y à deux temps :
Le temps de la mastication => les aliments sont broyés et mélangés à la salive grâce aux
mouvements de la lange et forme ainsi le bol alimentaire.
Puis se bol alimentaire et dirigé dans l’arrière bouche.
C’est une phase volontaire.
Le temps de la déglutition => C’est une phase involontaire.
Le nasopharynx est fermé par le plais mou, le larynx s’élève et l’épiglotte couvre la
trachée, la respiration s’arrête, le sphincter oesophagien se relâche.
Si un de ces mécanismes fait défaut, le réflexe de la toux se produit chez la personne
consciente pour dégager les voies aériennes de la nourriture qui s’y est introduite. C’est la
fausse route.
Le bol alimentaire est propulsé par des ondes de contractions musculaires (péristaltisme) vers
le cardia.
L’ESTOMAC
LES DIFFERENTES PARTIES DE L’ESTOMAC :
 le cardia (ouverture de l’estomac).
 La grosse tubérosité ou poche à aire ou FUNDUS.
 Le PYLORE.
SITUATION DANS L’ABDOMEN :
Il se situ entre l’œsophage et l’intestin grêle.
Il occupe la région épigastrique.
LA VASCULARISATION DE L’ESTOMAC :
Elle est assurée par de nombreux vaisseaux qui proviennent de trois branches du tronc
céliaque :
 Artère coronaire stomachique (estomac).
 Artère hépatique (foie).
 Artère splénique (rate).
INNERVATION DE L’ESTOMAC :
Nerf pneumogastrique ou nerf vague (Xe nerf crânien).
DIFFERENTE TYPE DE CELLULE DE LA MUQUEUSE GASTRIQUE ET LEURS
ROLES :
Il y à 4 types de cellules dans la muqueuse gastrique :
 Cellules à mucus => elle sécrète du mucus qui protège la muqueuse de l’estomac.

Cellule pariétale => sécrète de l’acide chlorhydrique (fundus) et le facteur
intrinsèque.

Cellule principale => sécrète la pepsine (dégradation des protéines en les scindant).

Cellule endocrine => sécrète la sérotonine et la gastrine (elle commende la
fabrication du HCl).
LES SUBSTENCES SECRETE PAR LA MUQUEUSE GASTRIQUE ET LEUR ROLE :
Le facteur intrinsèque :
Permet l’absorption de la vitamine B12 qui à une action dans la fabrication des globules
rouges.
HCl :
Destruction de micro-organisme.
Inactivation de l’amylase salivaire.
Dégradation des aliments, transforme le fer en forme absorbable, transformation du
pepsinogène en pepsine.
Obtention du PH optimum pour activer la pepsine.
Sérotonine : neurotransmetteur (info nerveux).
Hormone : La gastrine et l’histamine dont le rôle sont de stimuler la sécrétion d’acide.
L’histamine provoque un prurit si il y à allergie. (D’où les anti-histaminique).
Mucus : épais, alcalin, contient des ions de bicarbonates qui adhère au parois gastrique pour
protéger la muqueuse de sa digestion par ces propre enzymes protéolytiques.
Enzyme : en présence d’HCl le pepsinogène fabrique la pepsine qui va débuter la digestion
des protéines en les dégradant en polypeptide.
SYSTEME QUI AUGMENTE LA CONTRACTIBILITEE ET LA MOTRICITEE DE
L’ESTOMAC :
C’est le système nerveux intrinsèque soumis à l’action du système nerveux végétatif.
Le parasympathique augmente la contraction et la motricité de l’estomac.
COMPLETER :
La mixture qui sort de l’estomac s’appelle le chyme.
LA QUANTITE DE SUC GASTRIQUE SECRETE :
De 1,5 à 2,5 litre / 24 heure soit environs 2L /24 heure.
FONCTION DES SUBSTENCES :
Sel biliaire :
Synthétisé par le foie et déversé dans le duodénum.
Fonction : aide à émulsionner et absorber les graisses.
Bicarbonate :
Produit par le pancréas et déversé dans le duodénum.
Fonction : neutraliser le chyme très acide.
HCl :
Produit par les cellules épithélium (ou muqueuse de l’estomac) et déversé directement dans
l’estomac.
Fonction : aide à dégrader les matières nutritives (macro molécule), aide à activer certaines
enzymes (grâce au PH très acide ex : pepsine).
Sécrétine :
Hormone libérée par l’intestin grêle.
Les hormones sont sécrétées de façon endocrine, donc déversé dans le sang et grâce au filtrage hépatique
passe dans la bile et sont injecté dans le tube digestif (duodénum).
Fonction : stimule la sécrétion de bicarbonates du pancréas et donc neutralise le PH du chyme
(grâce au bicarbonate).
Gastrine :
Hormone de l’estomac (muqueuse), libérée en réponse à la présence des aliments dans
l’estomac.
Fonction : stimule la sécrétion de suc gastrique, notamment du HCl.
DEFFINIR L’APPETIT :
C’est une sensation de faim non désagréable qui provoque le désir de manger.
NOMMER LES ROLE :
Les glucides : Rôle énergétique. (4calories / gr).
Les protides : Rôle plastique. (4calories / gr).
Les lipides : Rôle énergétique. (9calories / gr).
La transformation des lipides en sucre produit de l’acétone.
LES CLASSES DES VITAMINES :
Les vitamines liposolubles : (Soluble dans les graisses.)
Vit A (carotte, beurre), D (soleil), E (choux), K (choux), F.
Les vitamines hydrosolubles : (soluble dans l’eau.)
Vit B1, B2, B4, B5, B6, B12, C (fruits, légumes), P, PP.
LES DEUX ACTION DE LA DIGESTION GASTRIQUE :
Action mécanique :
Mixage et malaxage de la nourriture solide pour la rendre liquide => le chyme.
Action chimique :
En présence du HCl (qui attaque les structures des protéines) et de la pepsine, la digestion
protéique commence.
LE ROLE DU DUODENUM :
C’est à cet endroit qu’abouchent les canaux pancréatique et hépatique.
Il y à diminution de l’acidité du chyme.
La bile, les sucs pancréatiques et les enzymes digèrent les substances contenues dans le
chyme afin de les transformer en nutriments assimilables.
QUANTITE DE SUC PANCREATIQUE SECRETE :
Sa sécrétion varie entre 1,5litre à 4 litres / 24 heures.
En moyenne => 2 L / 24 heures.
MECANISME DE LA SECRETION DES SUC PANCREATIQUE :
Sa sécrétion est déclanché par l’acidité du chyme qui arrive dans le duodénum.
Ce déclanchement fait appel à un double mécanisme hormonal et nerveux :
Mécanisme nerveux :
Nerf pneumogastrique (c’est un régulateur de la sécrétion du suc pancréatique).
Mécanisme hormonal peptidique :
Avec la sécrétine et la cholécystokinine.
ENZYME QUI CATALYSE LA DEGRADATION DES GRAISSES :
C’est la lipase.
LE FOIE
La fonction hépatique => filtrage du sang et fabrication de la bile.
LES ARTERES QUI VASCULARISE LE FOIE :
Elles partent du tronc coeliaque :
 Artère coronaire stomachique.
 Artère hépatique.
 Artère splénique.
ROLE DE LA VEINE PORTE ET SES BRANCHES :
Elle récupère tout le sang de l’appareil digestif et l’apportent au foie.
Donc elle apporte un sang riche en substance alimentaire (lipide, sucre) qui va être stocké
dans les cellules hépatique puis transformé en matière première pour son activité.
C’est la circulation fonctionnelle hépatique.
ROLE DE L’ARTERE HEPATIQUE ET SES BRANCHES :
Elles amènent au foie un sang riche en O2 indispensable à la vie et à l’activité cellulaire
hépatique.
C’est la circulation nutritionnelle hépatique.
ROLE DU SYSTEME VEINEUX SUS HEPATIQUE :
Ce système recueil la totalité du sang venu du foie et qui va être déversé dans la veine cave
inférieur.
DIFFERENTES FONCTION DU FOIE :
 Sécrétion biliaire.
 Rôle dans le métabolisme des glucides (fonction glycogénique).
 Rôle dans le métabolisme des lipides.
 Rôle dans le métabolisme des protides.
 Stockage du fer.
 Synthèse d’enzymes (protéine).
 Epuration plasmatique (détoxifiant).
ROLE DETOXIFIANT DU FOIE :
C’est organe important dans la transformation (dégradation) de l’alcool et des médicaments.
Le foie métabolise les médicament soit en transformant leur activité, soit en transformant les
produits liposoluble en hydrosoluble qui pourront ainsi être excrété dans les urine ou la bile.
Les hormones sont dégradées par le foie avant d’être excrété dans la bile.
COMPLETER LA PHRASE :
Le foie à un rôle fondamental dans l’équilibre de la glycémie : il transforme le galactose et le
fructose en glucose.
Il stocke le glucose sous forme de glycogène.
Il transforme l’excès de glucose en triglycéride.
LA CONVERSION DU GLYCOGENE HEPATIQUE EN GLUCOSE :
Du glycogène en glucose => c’est la glycogénolyse.
Du glucose en glycogène => c’est la glycogénèse.
Du triglycéride en glucose => c’est la néoglycogénèse.
NOM DES PROTEINE SYNTHETISE PAR LE FOIE :
Albumine, alpha et bêta globuline, fibrinogène, facteurs : V, VII, VIII, IX, X, XII, XIII sont
synthétisé par le foie.
Le foie est responsable de la fabrication d’héparine (anti-coagulation naturel) et de substance
analogue qui joue un rôle dans la prévention des excès de coagulation.
Si le foie ne fonctionne plus normalement, les facteurs de coagulation seront perturbés.
Donc hyper coagulation.
TABLEAU DES TRANSFORMATION :
Ammoniac => Dégradation => Urée.
Fer
=> transformation pour stockage => Ferritine.
Ethnol
=>
=> Acétaldéhyde.
Vitamine K => antidote => Prothrombine.
Carotène => transformation => Rétinol.
COMPOSITION DE LA BILE : 0,5L / 24 H environs.
* Eau.
* Mucus.
* Sels minéraux.
* Bilirubine (pigments biliaires).
* Sels biliaires.
ROLE DE LA VESICULE BILIAIRE :
 Réservoir (accumulation de la bile dans l’intervalle de son utilisation).
 Concentration (des sels biliaires).
 Libération (de la bile lors de la digestion).
MECANISME DE LIBERATION DE LA BILE :
Lorsque le chyme gastrique acide arrive dans le duodénum, la bile est libéré grâce à deux
mécanisme :
Le mécanisme nerveux => excitation du nerf parasympathique.
Le mécanisme humoral => sécrétion de l’hormone cholécystokinine par la muqueuse
duodénale.
L’ensemble de ces 2 mécanismes (parasympathique (par le nerf pneumogastrique) et la
sécrétion de la cholécystokinine) entraîne l’évacuation de la vésicule par contraction et
ouverture du sphincter d’ODDI.
ROLE DE LA BILE :
 Fractionné, émulsionné et transformer les graisses en triglycéride.
 Elimination des déchets de l’hémoglobine sous forme de pigments biliaires.
DEFFINIR LE CYCLE ENTERO-HEPATIQUE :
Cela concerne les sels biliaires.
C’est l’utilisation des sels biliaires qui sont déversé dans le duodénum, par la vésicule biliaire,
afin d’augmenter le péristaltisme intestinale.
Les sels biliaires y sont réabsorbé par la muqueuse intestinale et ramené au foie par la veine
Porte.
Une partie de ses sels seront réutilisé, puis les déchets seront transformé en particule
hydrosoluble et évacué par les urines.
COMPLETER LA PHRASE :
La bilirubine est un pigment formé à partir de l’hème (partie de fer contenu dans
l’hémoglobine) produit lors de la dégradation des érythrocytes.
Elle est transportée dans le plasma liée à l’albumine.
Elle est conjuguée avec l’acide glycuronique dans les cellules hépatiques.
Cette nouvelle forme hydrosoluble passe dans la bile et dans le duodénum.
ROLE DU DUODENUM :
Diminution de l’acidité du chyme.
Permet la digestion des substances contenues dans le chyme par la bile.
DEFINIR LE MESENTERE ET LE GRAND EPIPLOON :
Le mésentère ou méso :
Ensemble de 2 feuillets de péritoine collé l’un à l’autre et qui contient le pédicule vasculonerveux (artère, veine, nerf).
Il amarre une portion du tractus (tube digestif) au péritoine pariétal antérieur (estomac et
mésogastre ventrale) et postérieur (anse intestinale et mésentère dorsale).
Le grand épiploon :
C’est un repli péritonéal graisseux formant un tablier devant les organes abdominaux.
Il stock les graisses et fournit à la fois une isolation et une réserve d’énergie.
PARTI DU TUBE DIGESTIF VASCULARISE PAR L’ARTERE MESENTERIQUE
SUPERIEUR :
 Le duodénum.
 Le jéjunum.
 L’iléon.
 Le caecum (avec l’appendice).
 Le colon ascendant.
 La moitié droite du colon transverse.
L’INTESTIN GRELE
DIFFERENTES PARTIES DE L’INTESTIN GRELE :
 Le duodénum.
 Le jéjunum.
 L’iléon.

SA LONGUEUR :
Environ 6 à 7 mettre.
DIFFERENT TYPES DE MOUVEMENT AU NIVEAU DE L’INTESTIN GRELE :
 Contraction segmentaire (fragmente le chyme).
 Mouvement pendulaire (mélange le chyme + les sucs intestinaux).
 Mouvement péristaltique (progression du chyme qui devient du chyle).
LIEU PRINCIPAL DE LA DIGESTION DES GRAISSES :
L’intestin grêle. (+ Précisément l’iléon).
LES FONCTIONS DE L’INTESTIN GRELE :
 Propulsion de son contenu vers le colon (péristaltisme).
 Sécrétion des sucs intestinaux.
 Digestion (termine le processus de digestion avec l’aide des sécrétions de la muqueuse
intestinale, du pancréas et du foie.
 Protection contre les infections.
 Stimule la sécrétion des sucs pancréatiques par la sécrétion d’hormone de
cholécystokinine et de sécrétine.
 Absorption de nutriments.
LE GROS INTESTIN
LONGUEUR ET DIAMETTRE :
Environ 1,5 mettre de long.
Diamètre de 3 à 8 Cm.
LES DIFFERENTES PARTIES DU COLON DANS L’ORDRE DESCENDANT :
 Le caecum (avec l’appendice).
 Le colon ascendant.
 Le colon transverse.
 Le colon descendant.
 Le sigmoïde.
 Le rectum
LE GROS INTESTIN EST COLONISEE PAR :
 Eschérichia coli.
 Streptococcus faecalis.
 Clostridium perfringens.
 Entérobacter aérogène.
LES FONCTION DU GROS INTESTIN, DU RECTUM ET DU CANAL ANAL :
 Absorption de l’eau (environ 90%).
 Activité microbienne.
 Mouvement de masse (péristaltisme).
 Défécation.
LE REFLEXE GASTRO-COLIQUE :
C’est l’entrée d’aliment dans l’estomac qui déclanche un mouvement de masse au niveau du
colon. (péristaltisme)
COMPOSITION DES FECES :
 Des fibres (qui proviennent de la dégradation des légumes).
 Des microbes (mort et vivant).
 Des cellules épithéliales venant des parois du tractus (tube digestif).
 Des acides gras.
 Du mucus sécrété par la bordure épithéliale du gros intestin.
DEFINIR LE CATABOLISME :
C’est une lyse, une destruction.
Elle scinde de grosse molécule en molécule plus petite en libérant de l’énergie chimique mise
en réserve sous forme d’adénosine triphosphate (ATP).
DEFINIR L’ANABOLISME :
Processus de production ou de synthèse de grosse molécule à partir de petite molécule.
Cette phase requière de l’énergie qui est fournit (habituellement) par l’ATP.
COMPLETER LA PHRASE :
L’énergie produite par le corps est mesurer et exprimer en : unités de travail => le joule, ou en
unité de chaleur => le kilocalorie.
DEFINIR UNE KILOCALORIE :
C’est la quantité de chaleur requise (ou nécessaire) pour augmenter de 1°C la température d’1
litre d’eau.
VALEUR NUTRITIONNELLE :
1gr d’hydrate de carbone (sucre) fournit 17 kilojoules.
4 kilocalories.
1gr de protéine
fournit
17 kilojoules.
4 kilocalories.
1gr de graisse (lipide) fournit 38 kilojoules.
9 kilocalories.
METABOLISME DES HYDRATES DE CARBONE :
 Energie (=> activité métabolique du foie).
 Maintient de la glycémie.
 Mise en réserve dans le foie.
Glucose + insuline = glycogénèse (catabolisme)
Glycogénèse + glucagon = glucose (anabolisme)
Les hydrates de carbone en excès sont converti en graisse et mise en réserve dans les dépôts
adipeux.
METABOLISME DES PROTIDES :
Durant la digestion, les protéines sont transformées dans l’estomac en acide aminé
constitutif.
Les acides aminés constitutifs :
 non utilisé sont dégradé dans le foie. Transforme la partie azoté (de l’acide aminé) en
ammoniac qui utilisé sera transformé en urée (hydrosoluble) donc éliminé par les
urines.
Le reste sera transformé en glucose. (C’est la glucogénèse qui donne de l’énergie) et en
graisse (qui sera stocké en réserve).
 Celles qui sont utilisé serviront à construire ou réparer les tissus.
METABOLISME DES GRAISSES :
Elles sont émulsionnées et fractionnées par les sels biliaires puis stockées dans les tissus
adipeux.
LES VILOSITEE INTESTINALS :
C’est une veine, une artère.
Elles se trouvent juste derrière la paroi intestinale ce qui permet aux nutriments du chyle de
passer aux travers (des parois) pour regagner la circulation sanguine.
LESQUELLES DES PHRASES SUIVANTES SONT EXACTES :




Les acides aminés sont la principale source d’énergie => faux. La principale etant le
glucose.
L’acide pyruvique est transformé en acétyl coA en milieu aérobie => V.
Les corps cétonique sont produits par l’oxydation incomplète des acides gras => V.
Les graisses sont stockées sous forme de triglycérides => V.
LE PANCREAS
ATTRIBUER A CHAQUE ENZYME SA FONCTION :



Enzyme protéolytique => Trypsine, chymotrypsine
Enzyme glycolytique => Amylase
Enzyme lipolytique => Lipase
CLASSER PAR CATEGORIE :
 hydrate de carbone + amylase (dans la salive) => monosaccharides.

Protéine + trypsine (dans le suc pancréatique) => acide aminé.

Lipide + lipase (dans le suc pancréatique) => acide gras et glycérol.
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