Le Grèce est pressée. Le pays doit achever l’échange de dette avec les créanciers privés autour
du 10 mars au plus tard, a déclaré le premier ministre grec Lucas Papademos mardi 21 février.
Les créanciers privés, dont les banques, ont accepté, mardi 21 février, une décote de 53,5 % de la
valeur faciale de leurs obligations. La perte nette endossée dépassera les 70 %.
Participation forcée
La déclaration du Premier ministre grec est intervenue lors de la présentation d’un…
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