2) Organisation des activités et littoralisation
L’activité est extravertie (tournée vers l’extérieur). Ce qui est produit en Chine n’est pas pour
elle mais pour les pays extérieurs.
Leur consommation en énergie augmente, la Chine double sa consommation d’énergie tous
les 5 ans.
Les états asiatiques sont liés aux autres, synergie entre les différents états et une
interdépendance.
Intégration dans le commerce mondial, elle participe à la mondialisation et l’Asie orientale est
devenue l’atelier du monde.
Littoralisation des activités. La façade asiatique orientale est une des premières façades
mondiale. La première façade se situe dans la mégalopole japonaise.
Création de ZIP (zone industrieloportuaire), développement du transport des conteneurs.
Création de ZES (zone économique spéciale), zone franche (Shenzhen). Avantages : arrivée
IDE, création emplois, acquisition de savoir faire, taxes toujours existante bien que minime.
Les ZES sont les zones les plus dynamiques.
Surdéveloppement du littoral mais exposé à la pollution, aux risques naturel (cyclones,
tsunami, …), développement de la piraterie.
3) Les limites
Limites nombreuses.
Forte densité de population, avec des aménagements importants, l’espace est donc chère.
Concurrence entre l’agriculture, l’industrialisation, les voies de communication et les
habitations. Se sont les agriculteurs qui trinquent.
La pollution.
Déséquilibre entre le littoral riche et l’intérieur des terres pauvres, migration vers le littoral,
émergence d’une classe riche. Déséquilibres sociaux, absence de protection sociale.
Problème de normes et de sécurité, utilisation de produits dangereux.
Non respect des règlements internationaux, bois certifié.
Une économie dépendante. La crise fragilise les exportations. Tentation du protectionnisme
lors d’une crise avec des taxes.
III Une aire multipolaire
1) Le Japon
2e puissance mondiale, ancienne puissance industrielle (2e moitié XIXe siècle).
Elle s’appuyait sur des grands groupes industriels familiaux (Mitsubishi).
D’abord dans le domaine de la sidérurgie, maintenant délocalisé.
Puis l’automobile (Toyota), son modèle de production à inspiré les autres (cinq 0 : 0 défaut, 0
stock, 0 délai …). Cette production japonaise est très largement délocalisée.
La haute technologie, miniaturisation des composants informatique.
Désindustrialisation du Japon.
Les Zaibatsu sont devenus des Keibatsu.
Miti, ministère commerce et industrie, renseigne et défini les risques et opportunités, sécurise
l’ensemble.
La seule force du Japon c’est sa population. Nombreuse, bien formé, souple, capable de
travailler beaucoup et les grèves sont quasiment inexistante. Le niveau de vie est assez élevé
(salaire moyen : 2600$).
Aujourd’hui il est en train de connaitre un renversement de conjoncture, vieillissement de la
population et allongement du temps de travail (70 ans). Vieillissement de la population et
faible natalité. Espérance de vie la plus longue de la planète.
Le nombre d’actif diminue. Les robots remplacent la main d’œuvre.
L’atout du Japon est fondé sur la recherche, les centres de recherche sont situés dans la
mégalopole. Recherche dans l’informatique et dans la robotique.
Le Japon subi une concurrence forte, déclin du Japon.