4
La structuration complexe des génomes apparaît comme une
réponse pathologique à une faible taille efficace et à la présence de
Hypothèse non adaptative
mutations délétaires :
• Augmentation du nombre de gène – rétention des gènes dupliqués.
Prolifération des introns (nucléaire)
• Régions régulatrices modulaires plus complexes.
L’évolution adaptative est une conséquence secondaire d’une telle
complexité.
• Transposons et retrotransposons.
Modèle d’évolution de la taille des génomes
Au niveau populationnel :
Relation entre taille efficace et masse corporelle
10-7 individus /M2pour les vertébrés de grande taille
1011 individus /M2pour les eucaryotes unicellulaires
Au niveau génomique (Lynch M):
Relation entre taille des génomes et taux de mutation
impact sur le turnover génomique ou fardeau mutationnel
Relation entre taille des génomes et taille efficace
impact sur les effets de la sélection purificatrice
Modèle de Lynch :
modèle non adaptatif (effet dérive génétique (Ne) et taux de
mutations délétères)
Variation de taille à l’échelle du vivant
Théorie des processus évolutifs non adaptatifs
Théorie des processus évolutifs non adaptatifs
(Lynch M. , 2003, 2006, PNAS 2010, MBE 2012)
Débat sur l’hypothèse de la taille efficace :