CITATIONS: LE BOURGEOIS GENTILHOMME
Pour chaque citation, dites qui parle, à qui, puis les circonstances et
l’importance de la citation.
Acte I
« Ce monsieur Jourdain, avec les visions de noblesse et de galanterie qu’il est allé se
mettre en tête… »
« C’est un homme, à la vérité, dont les lumières sont petites, qui parle à tort et à travers
de toutes choses. »
« Mon tailleur m’a envoyé des bas de soie que j’ai pensé ne mettre jamais. »
« Donnez-moi ma robe pour mieux entendre…Attendez, je crois que je serais mieux sans
robe…Non, redonnez-la-moi, cela ira mieux. »
« Il y a du mouton dedans »
« C’est sans avoir appris la musique. »
« Tous les désordres, toutes les guerres qu’on voit dans le monde, n’arrivent que pour
n’apprendre pas la musique. »
Acte II
« Il faut qu’une personne comme vous, qui êtes magnifique et qui avez l’inclination pour
les belles choses, ait un concert de musique chez soi tous les mercredis ou tous les
jeudis. »
« …, et combien la science des armes l’emporte hautement sur toutes les autres sciences
inutiles, comme la danse, la musique, la… »
« A E I O U cela est vrai. Vive la science! »
« Non, vous dis-je, je ne veux que ses seules paroles-là dans le billet; mais tournées à la
mode, bien arrangées comme il faut. »
« Et que sera donc la philosophie ? Je vous trouve tous trois bien impertinents de parler
devant moi avec cette arrogance, et de donner impudemment honorer du nom
d’art, et qui ne peuvent être comprises que sous le nom de métier misérable de
gladiateur, de chanteur et de baladin ! »
« Qu’est-ce que c’est que ceci? Vous avez mis les fleurs en embas! »
« Il y faudra aussi une trompette marine. La trompette marine est un instrument qui me
plait, et qui est harmonieux. »
« …Oh! Battez-vous autant qu’il vous plaira : je ni saurais que faire, et je n’irai pas gâter
ma robe pour vus séparer. »
« Oui, mais faites comme si je ne le savais pas. »
CITATIONS: LE BOURGEOIS GENTILHOMME
« Non, laissons cela. Je suis bilieux comme tous les diables ; et il n’y a morale qui
tienne, je me veux mettre en colère tout mon soûl, quand il m’en prend envie. »
« Non, je ne veux ni prose, ni vers. »
« Ma foi, s’il va jusqu’à l’Altesse, il aura toute la bourse. »
Acte III
« Ayez soins tous deux marcher immédiatement sur mes pas qu’on vous voie bien que
vous êtes à moi. »
« Tenez, monsieur, battez-moi plutôt et laissez-moi rire de tout mon soul, cela me fera
plus de bien. Hi, hi, hi, hi, hi!»
« Mon cher ami, monsieur Jourdain, comment vous portez-vous? »
« Allons, mettez… »
« …et si j’avais aussi le mérite de mériter un mérite comme le vôtre, et que le ciel… »
« Est-ce que vous voulez apprendre à danser pour quand vous n’avez plus des jambes ? »
« Je songerai à marier me fille quand il se présentera un parti pour elle mais je veux
songer aussi à apprendre les belles choses. »
« Cet homme-là fait de vous une vache à lait. »
« Je n’aime rien qu’elle et je n’ai qu’elle dans l’esprit; elle fait tous mes soins, tous mes
désirs, toute ma joie, je ne parle que d’elle, etc. »
Acte IV
« Non, mon père, je vous l’ai dit, il n’est point…mais vous êtes mon père et c’est à vous à
disposer de moi selon vos volontés. »
« Que voulez-vous dire avec votre Mamamouchi? »
« Paix! Insolente, portez respect à Monsieur le Mamamouchi. »
« Ah! Voilà des belles mains! »
« Moi, Madame! Dieu me garde d’en vouloir parler; ce ne serait pas agir en galant
homme, et le diamant est fort peu de chose. »
« …et que vous devriez un peu mieux regarder aux choses que vous dites. »
« M. Jourdain, que votre coeur soit toute l’année comme un rosier fleuri. »
CITATIONS: LE BOURGEOIS GENTILHOMME
« …Et vous, madame, pour une grande-dame, cela n’est ni beau ni honnête à vous, de
mettre de la dissension dans un ménage, et de souffrir que mon mari soit
amoureux de vous. »
« N’as-tu point vu une jeune belle personne, qui est la fille de M. Jourdain, gentilhomme
parisien? »
« …et c’est ainsi que vous festinez les dames en mon absence, et que vous leur donnez la
musique et la comédie, tandis que vous m’envoyez promenez? »
« Elle changera de sentiment quand elle voit le fils du Grand Turc. »
Acte V
« Que voulez-vous avec votre Mamamouchi ? »
« Monsieur, je vous souhaite la force des serpents et la prudence des lions. »
« …votre cœur lui doit être précieux, et il n’est pas étrange que la possession d’un homme
comme vous puisse inspirer quelques alarmes. »
« J’ai résolu de me marier promptement avec vous, c’en est le vrai secret, et toutes les
choses finissent avec le mariage. »
« Je n’ai que faire du truchement, et je lui dirai bien moi-même à son nez qu’il n’aura
point ma fille. »
« Il est vrai que vous êtes mon père, je vous dois entière obéissance, et c’est à vous à
disposer de moi selon vos volontés. »
« Voulez-vous vous taire, impertinente ? Vous venez toujours mêler vos extravagances à
toutes choses, et il n’y a pas moyen de vous apprendre à être raisonnable. »
« C’est pour lui faire accroire ? »
« Et Nicole ? »
1 / 3 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !