Les armoiries et les blasons
(1)Sur le champ de bataille, (Gprép., c.p. de lieu) (2)les combattants (Gn, sujet du
verbe «doivent») doivent pouvoir se reconnaître, et savoir où frapper : (3)les armées(Gn –
sujet du verbe « portent »), en effet (4)ne portent pas (Gadv. Modificateur, modifie le
verbe « portent ») d’uniformes. Les gens (5)d’un même groupe (Gprép., c.n. «gens»)
portent sur leur armement (6)des signes distinctifs. (Gn, c.d. du verbe «portent») Ces
«enseignes» symbolisent les familles (7)de chevaliers (Gprép., c.n. «famille») (8)qui (Gn
(pron. relatif), sujet du verbe «portent») (9)les (Gn, pron.personnel, c.d. du verbe
«portent») portent. Plusieurs couleurs sont utilisées sur les boucliers et au XIIe siècle, les
types de dessins (10)se (Gn, pron. personnel, c.d. du verbe «multiplient») multiplient. Il
faut dresser des registres où figurent (11)toutes les armoiries (Gn, sujet du verbe
« figurent ») (12)connues (Gadj., c.n. «armoiries» : ce sont (13) des «armoriaux» (Gn,
attribut du sujet «ce»). Cependant, lors du combat, il faut être capable de reconnaître
(14)très (Gadv. Modificateur, modifie l’adverbe «vite») (15)vite ( très vite = Gadv.-
modificateur, modifie le verbe «reconnaître») la marque (16)personnelle (Gadj. c.n.
«marque») de (17)chaque (déterminant indéfini, détermine le nom
«chevalier»»)(18)chevalier (nom, c.n. «marque») : ami ou ennemi? Le seigneur est donc
accompagné (19)d’un spécialiste, le héraut (Gprép. c.du verbe passif « est
accompagné »). L’art (20)d’identifier (Gprép., c.n. «art») les (21)armoiries (nom, c.d. du
verbe «identifier») se nomme alors l’«héraldique». On reconnaît le (22)héraut (nom, c.d.
du verbe «reconnaît») à ce qu’il ne porte pas d’armes, ni lance, ni épée, et qu’il est
revêtu du «tabard», un vêtement (23)brodé (Gadj. c.n. «vêtement» (24)aux couleurs
(G.prép., c.adj. «brodé») (25)de son seigneur (Gprép, c.n. «couleurs»). (26)C’(Gn, pron.
démonstratif, sujet du v.«est») est un (27)personnage (Gn, attribut du sujet «C’»)
(28)inviolable (Gadj, c.n. «personnage») et (29)sacré (Gadj, c.n. «personnage»). Il est le
seul à pouvoir pénétrer (30)en camp ennemi (Gprép. c.i. du verbe «pénétrer») pour
porter un message ou un défi. (31)Avant de partir au combat, (Gprép. c.p. de temps) les
chevaliers (32)lui (Gn, pronom personnel, c.i. du verbe «confient») confient (33)leurs
(déterminant possessif, détermine le nom «richesses») richesses ou leur testament.