Chapitre 5 : L`objectif de développement

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Chapitre 5 : L’objectif de développement.
Le second objectif de la société internationale : le développement.
L’examen de la situation dans laquelle se trouve l’hémisphère sud de la planète la ou se pose le problème du
développement qui concentre les pays en situation de sous-développement.
I. Le bilan de la société internationale.
A). La fracture mondiale
Il y a un certains nombres de fractures qui expliquent le différence de la situation entre le nord et le sud. Le
constat de sous-développement de l’hémisphère sud a été exprimé après l’accession des nouveaux Etats à
l’indépendance et on peut citer ici une réflexion d’un de nos grands hommes politiques, le général de Gaulle qui
disait : « la grande affaire mondiale est aujourd’hui de tirer de la misère, d’orienter vers le développement de
milliards d’êtres humais dépourvus de tout ». Avec la question de la démographie on va pouvoir évoquer la
question des flux migratoires et ainsi examiner les solutions pour remédier le casse-tête des flux migratoires
entre le nord et le sud. Ces flux ne font que s’accentuer compte tenu des situations de misère qui gangrène
certains pays du sud.
1ère remarque : l’hémisphère sud connaît une explosion démographique, un accroissement très fort de la
population en particulier en Asie mais à l’inverse l’hémisphère nord connaît un déclin de sa démographie.
L’hémisphère nord constitue la partie de la planète qui « vieillit ».
2 milliards de personnes vont apparaître sur la planète entre aujourd’hui et 2030. D’après les statistiques, en
2030, il y aura 8 milliards de personnes sur terre.
On observe donc un bouleversement essentiel entre le nord et le sud puisque l’on observe que l’hémisphère nord
va entretenir une démographie minoritaire. On constatera également un basculement au niveau de l’armée. La
Chine deviendra la seconde puissance mondiale.
B) La fracture démographique
L’augmentation de population se fait presque exclusivement dans les régions urbaines. Mais les problèmes de
cette urbanisation massive c’est que la taille des villes, des capitales, des grands agglomération atteint
aujourd’hui la démesure : Mexico : 25 millions d’habitants, Bombay : 20 millions d’habitants…Cette
concentration humaine pose le problème de savoir comment gérer une telle masse, mais également au niveau de
la sécurité (concentration de la délinquance, de la misère, de la pauvreté…).
Autres conséquences, c’est la question de l’immigration car les jeunes des cités peuvent penser que le salut peut
être recherché par les pays riches et s’attachent à tenter l’épreuve de l’immigration. On a des preuves visibles de
l’immigration et on retrouve sur les côtes espagnoles des immigrés comme en Italie. Ces immigrés tentent au
péril de leur vie de rejoindre l’Europe.
D’autre part, on pose une autre question au sujet de l’écologie puisque les écologistes considèrent que
l’explosion démographique constitue une menace sur le long terme mais aussi sur le court terme. L’empreinte
écologique : la planète recèle un capital de ressources naturelles…et lorsque l’on divise ces ressources naturelles
par le nombre d’habitants de la planète, on trouve l’empreinte écologique.
Le nombre de personnes qui pourrait prétendre à avoir accès à ce capital est fort malgré la diminution de ces
ressources. D’ici 25 ans on considère que l’humanité va épuiser le stock de ressources naturelles.
La perspective est donc sombre et arrivera un jour ou nous aurons épuisé le patrimoine de la planète.
Pour résumer, la pression démographique constitue donc une sorte d’inquiétude à l’égard des conditions de vie
des générations futures. Elle a des répercutions avec la situation géopolitique du monde.
De manière générale la question qui est posée est doit il y a voir une limite à l’expansion démographique ?
Pourquoi le vieillissement constitue t-il une menace ?
Aujourd’hui nous sommes à 2 enfants par femmes alors que le renouvellement de la France est de 2,1. La
situation démographique de la population est stable car nous maintenons la population grâce à l’immigration.
L’Allemagne est a 1,4 enfants par femmes, l’Italie 1,2…la population de ces pays riches diminue
dangereusement et n’assure aucun renouvellement de la population. En Irlande il y a 1 enfant par femmes.
Cette faible démographie pose donc le problème de la cotisation des retraites. En 1960 7 personnes cotisées pour
un retraité. Aujourd’hui on en est a 1 pour 3 et on prévoit d’ici 2050 1 pour 2.
Sur le plan économique, le vieillissement de la population est considéré comme un handicap.
Dans ces pays, on débat sur l’ouverture des frontières pour faire venir des immigrés :
C’est l’immigration choisie. Cette question est une question politique sensible.
On a dans l’hémisphère sud le trop plein d’une situation démographique qui débouche sur l’insécurité, les
problèmes écologiques majeurs alors que dans l’hémisphère sud on observe un réel problème social du fait du
vieillissement de la population.
Se pose également la question du financement inhérent à la santé de la population.
Il y a eu plusieurs conférences mondiales réalisées par l’ONU au sujet de la démographie mondiale. Les pays
occidentaux ont suggérés plusieurs solutions :
Il faut que les pays du sud qui connaissent une forte expansion démographique organisent une limitation de cette
expansion. Cette idée a cependant été très mal reçue par les pays en question. Beaucoup de ces pays disent que le
renouvellement de la population est indispensable pour assurer le système social et lutter contre la pauvreté. Et
dans beaucoup de pays du sud il y a encore ce système de retraite qui consiste à prendre en charge les parents,
soit en raison des conditions politiques, soit à cause de la religion. Dans certains pays, avoir un enfant est un
fondement religieux.
En bref, il est question de réguler, de limiter l’explosion démographique.
Lors de la conférence sur le développement durable, Chirac avait dit que actuellement les ressources de la
planète ne suffisent plus à assurer les besoins des générations futures.
Il y a des disponibilités pour la moitié de la population alors que nous avons une empreinte démographique qui
correspond à l’équivalent de deux planètes.
Cette expansion démographique pose alors une autre question : celle de la malnutrition et de la famine.
800 millions d’être humains souffrent de malnutrition et on propose pour remédier à cela la solution des OGM.
II. La fracture économique et sociale.
La manière la plus pratique de mettre en avant l’étendue de la fracture économique et sociale entre le nord et le
sud c’est de donner des chiffres. Les experts des nations unies estiment que 2 milliards de personnes vivent en
dessous du seuil de pauvreté avec 1$/ jour. 4 milliards de personnes disposeraient d’un maximum de 8$/jour. Il a
été calculé par les experts que actuellement la fortune additionnée des 350 individus les plus riches du monde
(Bill Gates, la reine d’Angleterre...) est équivalente aux revenus de 2 300 000 000 des personnes les plus pauvres
du monde. L’essentiel de la richesse mondiale est concentrée dans les pays du nord même si la Chine rattrape le
retard et est appelé à devenir la première puissance mondiale d’ici 30 ans. A l’intérieur des pays pauvres, le peu
de richesses existantes est répartit de manière inégalitaire. Il n’y a pas dans les pays du sud de classe moyenne
comme dans les pays riches. Si on prend l’exemple du Brésil on constate que la richesse est répartie parmi 2%
des habitants. Donc aucune classe ne moyenne qui pourrait bénéficier des richesses intermédiaires.
Aujourd’hui, 60 pays concentrent une majorité de la population qui vit en dessous du seuil de pauvreté.
La banque mondiale souligne que la pauvreté recule ou a reculé dans le monde depuis une vingtaine d’années.
Ce paradoxe est illustré par le fait que le nombre de pauvres par rapport à la population a diminué. Mais en
réalité, la population pauvre ne cesse d’augmenter.
Après un demi siècle de politique de développement avec des sommes versées par les pays riches à destination
des pays pauvres, le bilan n’est pas à la hauteur des espoirs qu’avaient fondés les membres de la société
internationale.
Le sous-développement reste toujours ancré dans les pays qui n’arrivent pas à sortir de ces situations de
développement.
Une des explications de cet échec est fondée sur la responsabilité des gouvernements au niveau des choix qu’ils
opèrent, mais aussi sur la responsabilité des pays pourvoyeurs d’armes.
Les pays en développement sont pour la plupart d’entre eux des pays dont le gouvernement opère des choix au
niveau budgétaire insatisfaisant puisque les budgets sont en majorité intégrés au secteur militaire et non destinés
aux secteurs de l’éducation, de la santé, de la recherche.
Ces choix sont parfois dictés par la situation géopolitique de ces pays. En ce qui concerne le Pakistan, on observe
que la moitié du budget est affecté au budget militaire car le Pakistan est depuis 50 ans en situation de guerre, de
conflits, de tensions…L’essentiel du budget de ces pays est affecté au budget militaire ce qui explique l’absence
de décollage économique de ces pays.
Cela traduit donc un échec des politiques de développement proposés par la banque mondiale.
L’absence de perspectives de sortir un jour de la situation de pauvreté explique aussi le phénomène de
l’immigration.
En effet, les critères sociaux des pays du sud expliquent évidemment le désespoir des populations pauvres qui
solutionnent leur problème par l’immigration, qu’ils considèrent comme étant leur dernière chance.
Aujourd’hui on prône l’ouverture des frontières, l’ouverture des marchés, l’acceptation des règles de la
concurrence, de la compétition, du commerce international, la création d’infrastructures financières, la
diminution des budgets militaires. Avec la croissance économique on peut en effet améliorer les conditions de
vie, la qualité de l’éducation, l’évolution de la recherche, augmenter les aides sociales, le nombre de logements.
Ces recettes proposées au pays endettées et pauvres pour sortir de cette précarité ne sont pas réellement
démontrées mais on espère que la mondialisation sera propice à l’installation d’un cercle vertueux de la
croissance.
III. La fracture numérique et technologique.
Tous les experts s’accordent pour dire que l’économie du futur c’est les technologies de l’information. Les USA
ont une croissance économique très forte en particuliers grâce à l’économie de l’information. Ainsi aujourd’hui
les pays les plus fort économiquement sont les pays qui ont mis l’accent sur leur économie de l’information.
Si l’on compare cette fracture entre pays du nord et pays du sud on observe que par exemple il y a en côte
d’Ivoire 60 télévisions/ 1000 habitants alors qu’aux Etats-Unis il y a 800 télévisions/ 1000 habitants. En Suisse,
340 ordinateurs/ 1000 habitants, à Singapour 170/1000, en Afrique du sud 27/1000 et au Burkina 1/1000.
Quant à l’utilisation d’Internet, on observe en Europe et aux USA, 1 habitant sur 5 utilise Internet alors qu’en
Afrique cela représente 1 habitant pour 5000.
90% des utilisateurs qui utilisent Internet vivent dans les pays industrialisés qui ne représentent que 19% de la
population mondiale, 1% d’utilisateurs en Afrique alors que l’Afrique représente 13% de la population mondiale.
Ainsi, on observe le fossé qu’il y a entre pays du nord et pays du sud. Ce clivage a été considéré par le président
sénégalais comme constituant un grave danger de décrochage irrémédiable de l’Afrique par rapport aux autres
pays. Lors du sommet mondial de la société d’information en 2003 le président sénégalais a proposé de combler
ce fossé par des financements au sujet des technologies de l’information. Il a proposé que dans les pays riches,
sur chaque vente de matériel informatique soit prélevé 1euro destiné à financer les infrastructures en matière
numérique et technologique. Mais cette proposition n’a pas aboutie.
La technologie de l’information permet cependant aujourd’hui d’accroître la croissance des pays bien avant
l’industrie.
Aujourd’hui on soumet le sujet de « la politique de la reportance » c'est-à-dire l’idée selon laquelle les pays
riches auraient tendance à oublier la situation des pays pauvres et à reporter sans cesse la situation et les
solutions pour remédier à ces fractures.
Section 2 : Les objectifs des Nations Unies en matières de développement
L’article 55 de la charte des nations unies établit un lien étroit entre le développement et la paix. Il énonce : »en
vue de créer les conditions de stabilité et de bien être nécessaires pour assurer entre les Nations des relations
pacifiques et amicales fondées sur le respect du principe des droits des peuples et de leur droit à disposer d’euxmêmes. Les Nations Unies favoriseront le relèvement des niveaux de vie, le plein-emploi et les conditions du
progrès et du développement dans l’ordre économique et social, la solution des problèmes internationaux dans le
domaine économique et social et dans le domaine de la santé publique. »
L’objectif est d’assurer la prospérité et l’égalité des peuples. D’autres textes ont été adoptés dans le cadre des
Nations Unies et forment le socle du droit au développement.
Le pacte international relatif aux droits économiques sociaux et culturels adopté en 1966 ainsi qu’une déclaration
adoptée par l’assemblée générale des Nations unies, déclaration sur le progrès le développement adopté en 1969.
L’article 1 de celle-ci énonce : « tout les peuples, tous les êtres humaine sont droit de vivre librement et de jouir
librement des fruits du progrès social ».
La déclaration pose aussi le principe de la responsabilité de la communauté internationale. L’article 9 énonce :
« la communauté internationale toute entière doit se préoccuper du progrès social et du développement social et
doit compléter par une action internationale concertée les efforts entrepris sur le plan national pour élever le
niveau de vie des populations. »
Les objectifs du millénaire adoptés en 2000 par l’assemblée générale des nations unies : Objectif de 2015 :
éradiqué 50% de la pauvreté dans le monde, diminuer de moitié la population vivant en dessous du seuil de
pauvreté.
C’est l’organisme chargé de financer les actions, les projets des Nations Unis (Banque mondiale) qui est aussi un
organisme de réflexion chargé de proposer des modèles de développement ou des théories du développement,
des « recettes » qui devraient ou auraient du permettre aux Etats de pouvoir accéder au développement, à la
prospérité.
Depuis 1960, avec l’activité de la Banque mondiale qui c’est accru,e la Banque mondiale a composé plusieurs
théories, modèles de développement
3 grandes théories :
- La première proposée par la Banque Mondiale a été celle de la théorie du « big push »(la grande poussée).
1960- 1970
- Second modèle proposé, théorie de la « good gouvernance » (bonne gouvernance). Année 1980, milieu 1990
- Dernière théorie, c’est l’éradication de la pauvreté.
Ils ont tous donnés des résultats très mitigés puisque le sous-développement est toujours là et il n’a pas
fondamentalement reculé.
La théorie du « big push ».
A l’époque au début des années 1960, l’un des théoriciens les plus influents, professeur d’économie W. Rostow.
Avec un ouvrage fort apprécié, Les étapes de la croissance économique. Dans cet ouvrage, Rostow avait étudié
comment les pays occidentaux, par quelles étapes les pays riches ont passés pour prospérer.
Son idée était simple, mais c’est révélé justement simpliste. Il disait que les pays pauvres n’avaient qu’à suivre la
même voie que les pays riches, il faut qu’ils copient le modèle des pays développés pour arriver au stade
supérieur du développement.
La première étape c’est le « big push », c'est-à-dire installer, construire, une infrastructure (routes, ponts, canaux,
aéroports etc.) qui va permettre le développement ultérieur. C’est la base, le point de départ de la poussée. Donc,
investir massivement dans les infrastructures de base. La Banque Mondiale reprend la théorie du professeur
Rostow.
Dans les pays pauvres, il n’y avait pas d’infrastructure étatique de base, et donc les pays qui ont du se lancer
dans le financement des infrastructures en empruntant. La théorie de Rostow aurait été valable si il y avait eu un
système judiciaire, administratif de base qui aurait permis de sécuriser les investissements plutôt que de voir
l’argent s’évaporer.
C’est à cette époque là que beaucoup de pays ce sont endettés et pour beaucoup la dette les empêche de dégager
des fonds pour leurs développement. Tant que la dette ne sera pas levée, ils resteront bloqués.
C’est la mission de la Banque Mondiale de promouvoir le développement mais elle a fallu qu’elle tire les leçons
de l’échec de cette première théorie. Donc, second modèle :
La théorie de la « good gouvernance ».
Cette théorie de la bonne gouvernance qui doit être promu dans les Etats en développement, c’est l’installation
prioritaire institutionnelle, politico administratives. Se débarrasser des régimes de dictature, corrompu etc.
Ensuite, installation d’un système administratif et judiciaire efficace et surtout un système administratif et
judicaire qui soit débarrassé du fléau de la corruption.
C’est l’impératif qui a été proposé aux Etats en développement.
Quelques pays ont essayés d’appliquer cette théorie, d’installer chez eux un système d’état de droit et quelques
pays ont fait des progrès et qui ont pu montrer que c’était la bonne direction même si ce n’était pas la recette
miracle.
Les résultats ont été jugés correct mais sans plus. La Banque mondiale a donc réfléchit à une autre « recette ».
La théorie de l’éradication de la pauvreté.
Les experts à la Banque Mondiale ce sont demandés pourquoi il y avait des pauvres.
Réponse : parce que il y a trop de pauvreté.
Il faut donc supprimer la pauvreté.
L’analyse est la suivante : dans beaucoup de pays en développement, il y a peu de ressource, ce sont des pays qui
exportent des matières 1ères, la population travaille. Mais le peu de ressource qu’il y a, ce peu de ressource est
affecté de manière injuste et inefficace.
Injuste car une toute petite partie de la population accapare la plus grande partie de ces ressources mais aussi,
l’argent a leur disposition, au lieu d’investir dans le pays pauvre, cet argent est exporté et va s’investir à
l’extérieur, dans les pays riches.
L’idée de la Banque Mondiale : les gouvernants doivent répartir les richesses de manière beaucoup plus
égalitaire.
En plus, les couches de la population qui vont avoir de nouvelle ressource vont l’investir et cela va créer de
l’emploi, dynamiser la croissance, le développement.
Tout récemment, la Banque Mondiale a calculée que les populations les plus pauvres dans les pays en
développement à l’échelle mondiale, si l’on additionne cela fait 5 000 milliards de dollars.
Le développement passe par l’enrichissement des plus pauvres.
La grande idée c’est le micro crédit. L’idée est que les populations les pauvres ne peuvent pas bénéficier de prêt
des banques classiques et donc l’idée a été de créée une banque qui va prêter de petite somme mais à beaucoup
de gens qui ont une idée d’entreprendre.
On prête de l’argent sans garantie et l’expérience à montrer que les pauvres étaient les meilleurs remboursables.
Deux doctrines s’affrontent actuellement concernant la meilleure conception, théorie pour accélérer le
développement de pays pauvres du Sud.
D’un côté la doctrine anglo-saxonne (installer démocratie et économie de marché) et de l’autre la doctrine plus
européenne (installer la démocratie et d’un système économique libéral mais avec une nuance, c’est que l’Etat
doit continuer à jouer un rôle essentiel).
Il faut que les Etats riches continuent à aider les pays en développement.
Si il fallait défendre un modèle européen, il faudrait inclure dans ce modèle le souci des européens à l’égard des
pays pauvres. Le modèle européen étant basé sur la justice.
Comme il y a urgence à solutionner les questions sur le réchauffement climatique etc. Il y a aussi urgence
à se préoccuper du clivage Nord/Sud, de la persistance de la pauvreté et des inégalités dans une très
grande majorité de l’hémisphère Sud.
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