si vous ne vous repentez pas

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SI VOUS NE VOUS REPENTEZ PAS
Luc 13 :1-17
Verset Clé 13 :3
« Non, vous dis-je. Mais si vous ne vous repentez pas, vous périrez tous de
même. »
La semaine dernière, nous avons appris que nous devons être un intendant fidèle et
prudent qui donne aux gens de service leur ration de blé. Cette année, à cause de la
condition défavorable météologique, d’un côté par la séchersse, d’un autre côté par
l’inondation, il est prévu que la récolte du blé de la globe diminuera, ce qui fait monter
déjà le prix de blé énormément. Mais chacun sait que l’homme moderne se débrouillera
de cette difficulté avec sa haute technologie. Quand j’ai demandé aux lycéens sur la
Bible, celle-ci était à peine un livre de chevet et un chrétien baptisé a dit qu’il n’a jamais
lu la Bible. Nous ne vivons pas dans un époque où il n’y a pas de manque de blé, mais
une époque où il manque la parole de Dieu. Je crois que dans cette époque la première
chose qu’on doit faire, c’est que nous soyons des intendants fidèles et prudent qui
distribuent la ration de blé spirituelle convenablement aux gens, pour le monde soit
fructifié par elle.
Notre texte d’aujourd’hui nous enseigne trois choses. D’abord, l’importance de la
repentance qui est la clé du salut. Ensuite, la parole d’un figuier stérile qui nous enseigne
sur le sens de vie qui est de porter du fruit, et enfin, la femme souffrante de sa courbure
qui fut guérie par Jésus. Que Dieu vous bénisse avec ces paroles !
Premièrement, Si vous ne vous repentez pas. En ce temps-là, quelques personnes vinrent
à Jésus et racontèrent une nouvelle horrifiante. C’était la une parue dans tous les
journeaux de Jérusalem. Il advint que les Galiléens furent massacrés par Pilate et leur
sang furent cruellement mêlés dans leurs sacrifices. Il y a quelques années, quand les
prêtres français sont morts par les Algériens extrêmistes, la nation les honoraient comme
martyrs. Mais les Juifs ne considéraient pas ces Galiléens comme martyrs. Selon Jésus,
ils pensaient qu’ils subirent de telle massacre à cause de leur péché. Il est étrange qu’ils
ne condamnaient pas Pilate, mais condamnaient leurs compatriotes qui était dans l’office
de leur religion. Ici est bien révélé la psychologie des Juifs. La Bible dit que les Juifs
cherchent les signes. Ils cherchaient les bénédictions marétielles. Donc, pour eux, les
souffrances sont quelque chose de néfaste et la malédiction même. En fait, aux yeux des
Juifs, tout grand malheur était le châtiment d’un grand péché particulier, qu’il vienne par
eux-mêmes ou par les païns, qu’il soit dans la circonstance religieuse ou civile.
Un bon exemple de cette psychologie serait les pensées des disciples lors la
guérison de l’aveugle-né dans Jean 9. En y passant, les disciples virent un aveugle de
naissance et demandèrent à Jésus, « Seigneur qui a péché, lui ou ses parents pour qu’il
naisse ainsi aveugle ? » Leurs yeux sont aveuglés de l’apitoiement en voyant ce fragrant
malheur. Jésus dénonce cette idée, en indiquant que derrière ces événéments il y a une
souveraine volonté de Dieu. Qu’en dit-il ? Il dit, « Pensez-vous que ces Galiléens aient
été de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu’ils ont souffert de la
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sorte ? Non, vous dis-je. Mais si vous ne vous repentez pas, vous périrez tous de même. »
L’homme a toujours tendance de penser que lui-même est meilleur que les autres et qu’il
est moins pécheur que les autres. Mais Jésus dénonce cette idée. Si Dieu a puni ces
hommes de cette façon, ce n’est pas parce qu’ils sont plus pécheurs, mais parce qu’il
voulut que tous les hommes soient avertis des conséquences de leur péché.
Jésus ajouta un autre récit d’événement. Il advint que les dix huit hommes de Siloé
furent écrasés par la tombée de la tour. C’était certainement des ouvriers pauvres qui
avait une famille nombreuse à nourrir. C’était vraiment une catastrophe pour ces
hommes. Cette mort est semblable à la mort d’un chien de la rue, vraiment inutile. Il est à
peu près comme ces 9 hommes morts par l’écroulement du pont de Minésota des EtatsUnis il y a trois semaines et 46 personnes mortes par l’incendie en Grèce. Qu’y avait-il à
ces hommes pour qu’ils reçoivent un tel malheur ? Encore spécialistes de l’accusation,
les Juifs analysaient qu’ils avaient certainement commis un péché impardonnable pour
périr de cette façon. Mais Jésus renouvela sa dénonciation en disant, « Non, vous dis-je.
Mais si vous ne vous repentez pas, vous périrez tous pareillement. » La Bible dit que
Dieu n’a pas de considération de personne. Les Juifs avaient toujours le sentiment de
favoritisme de Dieu, car ils étaient élus de Dieu. Même entre eux, ils s’accusaient sans
cesse les uns les autres, pour que chacun apparaisse un peu plus favori par rapport à ses
voisins. Mais devant Dieu nous sommes tous pareil. Aucun de nous n’est mieux que les
autres. Car tous ont péché et sont privé de la gloire de Dieu. Tous devront comparaître
devant le tribunal du Christ pour être jugé selon ce qu’ils auront faire dans son corps soit
en bien soit en mal. Tous, restant pécheurs non pardonés, périrons dans l’étang brûlant de
feu et de soufre, les juifs premièrement, puis les grecs.
Ici, Jésus souligne l’importance de la repentance dans le plan d’un homme. De nos
jours, le mot repentance nous paraît un taboo, car en dire c’est une ingérance de la vie
privée. Mais la repentance est la clé indispensable au salut de quiconque. Sans la
repentance, chacun périra pareillement. Donc, il est important de se repentir devant lui.
Mais il y a un problème. 1° Est-ce que ma repentance est sincère et acceptable par Dieu ?
2° Est-ce que la repentance doit être instantané ? D’abord la réponse de la question 2°. Le
ton de Jésus est très austère, quand il dit, « vous tous périrons pareillement. » En ce qui
concernen la repentance, le propos de Jean Calvin nous donne quelque consolation, car il
dit que la repentance est une régénération spirituelle qui a pour but de restaurer en nous
l’image de Dieu, obscurcie et presque effacée par la transgression d’Adam et cette
restauration ne s’accomplira ni en un une minute, ni en un jour, ni en un an. C’est au
cours du temps, lentement parfois, que Dieu abolit en ses élus les corruptions de la chair,
qu’il les lave de leurs souillures. La repentance est tout un processus durant la vie qui ne
s’accomplira qu’à la mort. (fin de citation) La repentance est donc un processus continuel
sur toute la vie. Ce propos est encourageant pour nous qui sommes si faibles et fragiles.
Mais la repentance est parfois urgente, comme on voit dans ces deux cas cités des
accidents. Car on ne peut prévoir le lendemain pour la vie humaine. On ne sait si je
mourrais aujourd’hui ou demain. Un jour, un serviteur s’était inspiré de la pensée
peureuse, car il s’est avisé que s’il meurt maintenant, il meurt avec son amertume
traînarde. Et cette madame amertume va être enterrée à côté de lui et se coucher
éternellement. C’était vraiment une horrible pensée. Donc, il a décidé de s’en
débarrasser. Jésus, en disant « vous périrez tous pareillement », voulut exhorter aux
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hommes de se repentir instantanément et accepter Jésus, sans donner moratorium, car la
vie est courte sans promettre le lendemain. J’ajouterai les mots suivants en ce qui
concerne la qustion primo sur la véracité de la repentance. Pour cela, il me paraît utile de
nous rappeler 7 preuves que Paul nous a avancées comme étant produites par elle.
D’abord l’empressement. Quand on se repend, celui qui a offensé Dieu s’empresse de se
dépêtrir des liens du diable. C’est comme les Israélites qui firent repidement l’exode.
Ensuite, on donne les excuses, quand on devient ne nouveau fautif, non pour se justifier,
mais pour demander pardon. On s’indigne de lui-même de sa perversité et son ingratitude
devant Dieu. On s’effraie par la crainte que lui inspire le jugement de Dieu envers les
pécheurs. Puis on a le désir et le zèle pour accomplir la volonté de Dieu. Après ces
choses vient la punition, comme la dernière preuve. L’homme craint d’être puni. Mais le
repentant préfère d’être puni, plutôt que de se prolonger dans l’état de la confusion, la
honte et la douleur d’avoir péché contre Dieu.
Deuxièmement, la parabole d’un figuier stérile. Ensuite, Jésus parle d’une parabole d’un
figuier stérile. Il y avait un homme qui avait un figuier planté dans sa vigne. On ne sais
pas comment ce figuier est planté au milieu de la vigne. Peut-être à cause de sa beauté
due à l’abondance des feuilles, il a laissé cette plante parmi les vignes. Ou tout
simplement il a planté cette arbre comme une variation des espèces. L’homme vint y
chercher du fruit et n’en touva pas.
Ce fait nous rappelle un événement dans la Bible. Un jour, Jésus était sur le
chemin d’aller à Jérusalem avec ses diciples. De loin, Jésus vit un figuier qui avait une
très belle apparence. Donc, il s’approcha de lui pour en prendre quelque fruit. Mais en
s’apercevant qu’il n’avait point de fruit, il le maudit. Le lendemain matin, en passant, les
disciples le virent complètement séché, et s’exclamèrent, en disant, « Rabbi, regarde, le
figuier que tu as maudit a séché. » Jésus n’aimait pas que l’arbre soit là sans donner du
fruit. Ce figuier avait le but de son existence qui est de fructifier et rendre son fruit au
maître. Le maître vint troisième année. Mais il n’en trouva pas. En général, selon le
botaniste, la raison pour laquelle on plante cet arbre est pour obtenir de lui les fruits. Et
on peut les obtenir plusieurs fois l’année. Mais ce figuier était stérile pendant trois ans.
Alors l’homme dit au vigneron : Voilà trois ans que je viens chercher du fruit à ce
figuier, et je n’en trouve pas. Coupe-le : pourquoi occupe-t-il la terre inutilement ? Le
figuier fut planté au milieu des la vigne par la grâce. Il dut reconnaître ce fait et porter du
fruit. Mais au bout de trois ans, il s’avérait toujours qu’il ne portait pas de fruit. L’homme
déclare donc son arrachement car il occupe inutilement la terre. Si on lit une autre
version, il est dit : « Pourquoi épuise-t-il le sol ? » Il n’occupe pas seulement inutilement
quelque superficie, mais il prend des ingrédients qui seront grandement utiles s’ils sont
absorbés par les autres vignes. Ici, on voit la gravité d’une vie sans mission. La vie sans
mission est la vie pour soi. Et sa fin est la coupure et l’arrachement. St Bernard dit,
« ceux qui ne safisfont pas le but de la création mènent une vie pécheresse et
infructueuse, et elle est une vie dont s’occupe inutilement le monde. » La vie égoïste
centrée sur soi-même et sur la famille semble anodine, mais il n’en est pas ainsi.
Il semble que le vigneron, comme son métier est pour les vignes, ne s’en occupait
pas trop de cet arbre. Mais il était sa flagrante négligence. Il était un serviteur paresseux.
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Mais vu la sentence de l’homme de l’enlever, il changea la direction complètement. Il
comprit maintenant le but du maître. C’était de fructifier le sol par tous les arbres. Son
âme fut frappé par le sentiment de péril, comme si le feu tombe sur la tête de sa personne
infructeuse. C’était un tocsin pour lui. Son âme s’écria de l’intérieur, « Oh ! malheureux
que je suis, un maudit qui a laissé pendant trois ans un arbre sans fruit. Quelle
négligeance que j’ai commise ! » Donc, il dit avec sa voix toute tremblante, « Maître,
laisse-le encore cette année ; d’ici-là je creuserai tout autour et j’y mettrai du fumier. »
Maintenant, en se repentant de sa négligence, le vigneron décide de faire tout son mieux
pour fructifier le figuier. Puis, toujours avec cette voix tout tremblante, « Peut-être à
l’avenir produira-t-il du fruit ; sinon, tu le couperas. » Il ne l’a pas dit, mais il a dit,
« sinon tu me coupe la tête, licencié. »
Ici, nous voyons le vigneron, indépendamment de son métier, décider d’aimer ce
figuier et de l’élever pour le fructifier. Pas un arbre stérile, mais un bel arbre qui porte du
fruit de belle couleur et belle chair plaisant au maître. Il est encore ignorant de l’essence
de cet arbre s’il recevrait ses soins et ses matières pour fructifier. Mais il a cette vision et
se résolut de verser ses efforts sur cet arbre. Ici, nous aprenons l’importance de la
résolution. Bien sûr que l’acte de creuser et de donner les fumiers est important. Mais il y
a une chose plus importante que cela. C’est qu’il décide. La décision par la foi a une
grande puissance. Certains gens, commençant avec une bonne et splendide décision,
abandonnent si facilement devant un moindre difficulté ou barrière. Il y avait une épisode
dans Plutarch qu’un homme tenta d’ériger correctement un homme mort, mais cela ne
marchait pas. Selon le célèbre théologien anglais du 17e siècel, Thomas Watson (16201686), ils sont les gens spirituellement instables. Ils n’acceptent guère les souffrances par
la foi. Ils sont sceptiques et ne deviennent jamais martyrs. Les instables sont hésitants
dans les inquiétudes. Ils reçoivent l’évangile quand ils pensent aux félicités des cieux,
mais abandonnent la foi quand ils pensent à être persécuté à cause de la foi. Les instables
cherchent non les meilleurs, mais les plus sécurisants. (fin de citation) Nous ne devons
pas être les gens instables, mais les gens forts fermement établis sur le roc. Si quelqu’un a
dit, « je travaillerai », sa décision doit être ferme dès le début. Mais c’est vrai qu’avec
notre force, il est impossible de tenir une de nos paroles. C’est la raison pour laquelle
Jésus souligne à plusieur reprise la repentance, d’abord parce que la repentance nous
garantie le salut, puis parce que la décidion d’un homme repenti est crédible.
Nous sommes de différentes nationalités, mais nous tous sommes comme ce
figuier, car nous n’étions pas son peuple, mais maintenant par la grâce de Dieu, nous
sommes devenus son peuple, semblable à ce figuier planté parmi les vignes. Mais cette
grâce n’est pas gratuite. C’est que nous y répondions en portant du fruit agréable à Dieu,
de peur que sinon un jour le cognée sera mis à la racine de notre arbre et il soit coupé. Le
premier fruit d’un chrétien est la foi en Jésus. Mais Dieu ne veut pas qu’on s’en contente,
mais avance. Il vaut que nous portions en abondance des fruits comme ceux des Galates,
« amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, fidélité, douceur, maîtrise de soi ».
Quand nous avons ce fruit de l’Esprit, nous pouvons porter aussi le fruit du salut pour nos
prochains.
Troisièmement, la femme courbée vint à Jésus. Regardez le verset 10. C’était le sabbat.
Dans la synagogue il y eut une femme rendue infirme par un esprit depuis dix-huit ans ;
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elle était courbée et ne pouvait absolument se redresser. En Asie, souvent les vieilles
femmes sont courbées à cause de leurs longues travaux manuels du champ qu’elles
effectuaient toute leur vie dans l’acroupissement. Mais cette femme est courbée à cause
d’un esprit. Donc, son infirmité n’avait pas pour cause quelque chose d’extérieur ou
physique, mais quelque chose d’intérieur et d’ordre spirituel. Beaucoup apparemment
normaux vivent une vie courbée intérieurment. Par exemple, il y en a qui interprètent des
choses de façon tordue à cause de leur préjugé. Ou il y en a qui n’acceptent pas la réalité
spirituelle à cause leur fatalisme. Ou il y en a qui se rebellent contre toute autorité. Un
homme dit, dès que je lui ai posé le mot chrétien, il répondit qu’il est autoritaire. En
conversant avec lui, j’ai compris que c’était à cause de la blessure qu’il avait subi parmi
sa famille chrétienne quand il était jeune.
Ecclésiastique 1 :15 dit, « Ce qui est courbé ne peut se redresser. » Mais Psaumes
145 :14 dit, « l’Eternel redresse tous ceux qui sont courbés. » Jésus vit cette femme
courbée, et ému de sa compassion, vint à elle et lui donna la guérison. Quand il lui
imposa les mains, elle se redressa et glorifia Dieu. Nitsche dit de façon bizarre, que si on
enlève le bosse au bossu, il n’aura pas de sens de vie. Il est très fataliste ou camoufleur du
fatalisme. Mais Jésus redressa complètement le dos de cette femme et elle devint une
belle créature. De plus, toute la courburre intérieur guérie, elle se mit à glorifier Dieu.
Elle remercia pleinement Dieu qui l’avait créée et qui lui a donné l’existence sur la terre.
Autrefois, elle pensait qu’elle occupait le sol inutilement. Mais maintenant, elle a un clair
sens d’existence sur la terre et décide glorifier Dieu par sa vie.
En voyant ce redressement de la femme, au lieu de se réjouir de cette guérison, le
chef de la synagogue, représentant des hommes de la loi, se mit à critiquer. Dans son
indignation, il dit de ne pas faire la guérison pendant le sabbat. Pour lui, la liturgie de
sabbat était plus importante que la guérison d’une âme souffrante depuis de longues
années. L’homme légaliste est comme un arbre sec, n’arrivant pas à concevoir
quelconque sentiment de pitié. Jésus leur reprocha sévèrement, en disant, « Hypocrites ».
Ils détachaient le jour de sabbat leur bœufs pour les mener boire. Ils battent leurs pieds
avec bruit tout au long de sabbat, quand le manque d’eau dû à la secheresse maigrit leurs
bêtes. Mais ils s’indignèrent en voyant une femme malade depuis 18 ans guérir et devenir
joyeuse. Ils étaient si généreux pour leurs animaux domestiques, mais si avares pour les
malheureux.
Jésus dit, « Cette femme, qui est une fille d’Abraham et que Satan tenait liée
depuis dix-huit ans, il n’aurit pas fallu la détacher de ce lien le jour du sabbat ? » Jésus
reconnaît que cette femme n’a pas de péché et s’il avait un péché, c’est qu’elle fut liée
par Satan trop fort. Jésus dit qu’elle était une fille d’Abraham. Elle était méprisé par ses
compatriotes à cause de sa possession démoniaque, mais elle était ni moins ni plus une
fille d’Abraham, héritière de la même promesse d’Abraham. Le fait qu’elle est une fille
d’Abraham signfie qu’elle put s’égaler avec le roi David et Jésus. Elle ne put regarder
que le sol à cause du handicap. Mais elle est précieuse ayant l’image de Dieu en elle
apparaemment effacée. Jésus la restaura pleinement en la guérissant. Désormais, elle put
se marier et donner beaucoup de beaux enfants dans le monde, en sorte que ses
descendants remplissent la terre comme les étoiles du ciel et les sables au bord de la mer.
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Avant de terminer mon message, je pense qu’il n’est pas inutile de réfléchir sur le
conception du temps qui est apparu dans ce récit composé de trois parties. D’abord, si je
me permets de répéter, Jésus exige la repentance instantanée. La repentance doit être
instantanée. Quand Lévi fut appelé à suivre Jésus, sa repentance était immédiate et en
suivant Jésus fit le festin comme une preuve de sa nouvelle orientation de la vie. Quand
Pierre fut appelé par Jésus sur le bateau, il en était de même. Il laissa tout et suivit Jésus
pour être pêcheur d’homme. Les deux évenements tragiques décrits dans le récit nous
font admettre bon gré mal gré que la mort peut nous rendre subitement visite, et que nous
devons nous repentir sans tarder, aujourd’hui, maintenant.
L’homme dans la parabole d’un figuier stérile donna un moratorium d’un an
supplémentaire. Ainsi, le vigneron a le délai d’un an pour qu’il puisse porter le fruit de
repentance. Le figuier aussi doit utiliser ce temps pour qu’il puisse absorber diligemment
l’eau et les ingrédients, grandir et porter du fruit agréable pour le maître, de peur qu’il
soit arraché. Pour cela, comme nous avons dis, la décision instantanée du vigneron était
déterminante. Cette décision instantané plut au maître. Et l’homme vit la possibilité et se
résolut de continuer de mettre confiance sur le vigneron. Enfin, Jésus dit qu’il fallait
guérir la femme courbée le jour même du sabbat, non un autre jour. Le chef de la
synagogue disait qu’il y a beaucoup de jours de la semaine où Jésus peut travailler. Mais
Jésus ne l’admit pas. Il ne put attarder ne serait-ce qu’un jour pour que cette femme qui
souffrait pendant 18 ans ne soit plus sous le règne de Satan. Il y a des moments où nous
devons attendre, mais il y a des moments où nous ne devons pas attendre. Pour une âme
souffrante sous la domination de Satan, il faut lui lancer un combat immédiatement et la
sauver de la terrible domination. Si nous retardons un ou deux jours de la semaine, le
règne de Satan prolongera sa torture sur ses victimes de la même longueur. Donc, nous
sommes incités à nous repentir instantanéement, à décider de porter du fruit dès
maintenant et à délivrer une âme aujourd’hui.
En conclusion, nous avons appris que la repentance est la clé indispensable au
salut. Il est aussi la clé indispensable à la réussite pour porter du fruit. La nouvelle année
commençant, Dieu nous donne la vraie repentance. Par-dessus tout, que Dieu nous
envoie comme bon berger pour les étudiants français cette année pour que par nos études
seul à seul Jésus opère en eux la délivrance de l’esprit qui les fait souffrir.
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