Mais vu la sentence de l’homme de l’enlever, il changea la direction complètement. Il
comprit maintenant le but du maître. C’était de fructifier le sol par tous les arbres. Son
âme fut frappé par le sentiment de péril, comme si le feu tombe sur la tête de sa personne
infructeuse. C’était un tocsin pour lui. Son âme s’écria de l’intérieur, « Oh ! malheureux
que je suis, un maudit qui a laissé pendant trois ans un arbre sans fruit. Quelle
négligeance que j’ai commise ! » Donc, il dit avec sa voix toute tremblante, « Maître,
laisse-le encore cette année ; d’ici-là je creuserai tout autour et j’y mettrai du fumier. »
Maintenant, en se repentant de sa négligence, le vigneron décide de faire tout son mieux
pour fructifier le figuier. Puis, toujours avec cette voix tout tremblante, « Peut-être à
l’avenir produira-t-il du fruit ; sinon, tu le couperas. » Il ne l’a pas dit, mais il a dit,
« sinon tu me coupe la tête, licencié. »
Ici, nous voyons le vigneron, indépendamment de son métier, décider d’aimer ce
figuier et de l’élever pour le fructifier. Pas un arbre stérile, mais un bel arbre qui porte du
fruit de belle couleur et belle chair plaisant au maître. Il est encore ignorant de l’essence
de cet arbre s’il recevrait ses soins et ses matières pour fructifier. Mais il a cette vision et
se résolut de verser ses efforts sur cet arbre. Ici, nous aprenons l’importance de la
résolution. Bien sûr que l’acte de creuser et de donner les fumiers est important. Mais il y
a une chose plus importante que cela. C’est qu’il décide. La décision par la foi a une
grande puissance. Certains gens, commençant avec une bonne et splendide décision,
abandonnent si facilement devant un moindre difficulté ou barrière. Il y avait une épisode
dans Plutarch qu’un homme tenta d’ériger correctement un homme mort, mais cela ne
marchait pas. Selon le célèbre théologien anglais du 17e siècel, Thomas Watson (1620-
1686), ils sont les gens spirituellement instables. Ils n’acceptent guère les souffrances par
la foi. Ils sont sceptiques et ne deviennent jamais martyrs. Les instables sont hésitants
dans les inquiétudes. Ils reçoivent l’évangile quand ils pensent aux félicités des cieux,
mais abandonnent la foi quand ils pensent à être persécuté à cause de la foi. Les instables
cherchent non les meilleurs, mais les plus sécurisants. (fin de citation) Nous ne devons
pas être les gens instables, mais les gens forts fermement établis sur le roc. Si quelqu’un a
dit, « je travaillerai », sa décision doit être ferme dès le début. Mais c’est vrai qu’avec
notre force, il est impossible de tenir une de nos paroles. C’est la raison pour laquelle
Jésus souligne à plusieur reprise la repentance, d’abord parce que la repentance nous
garantie le salut, puis parce que la décidion d’un homme repenti est crédible.
Nous sommes de différentes nationalités, mais nous tous sommes comme ce
figuier, car nous n’étions pas son peuple, mais maintenant par la grâce de Dieu, nous
sommes devenus son peuple, semblable à ce figuier planté parmi les vignes. Mais cette
grâce n’est pas gratuite. C’est que nous y répondions en portant du fruit agréable à Dieu,
de peur que sinon un jour le cognée sera mis à la racine de notre arbre et il soit coupé. Le
premier fruit d’un chrétien est la foi en Jésus. Mais Dieu ne veut pas qu’on s’en contente,
mais avance. Il vaut que nous portions en abondance des fruits comme ceux des Galates,
« amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, fidélité, douceur, maîtrise de soi ».
Quand nous avons ce fruit de l’Esprit, nous pouvons porter aussi le fruit du salut pour nos
prochains.
Troisièmement, la femme courbée vint à Jésus. Regardez le verset 10. C’était le sabbat.
Dans la synagogue il y eut une femme rendue infirme par un esprit depuis dix-huit ans ;