invention des religions

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INVENTION DES RELIGIONS
La vérité sur l'invention des religions
On nous a occulté la présence du véritable Divin dans
l'Univers, ce que l'homme appel "Dieu".
BABYLONE ET SUMER
Une seule religion dérivée des trois forces
Toute la cosmologie des sumériens est dans la bible. Les
emprunts de la Bible à la civilisation sumérienne sont capitaux.
La Genèse (Béréshit) serait la transcription presque littérale de
la création du monde telle qu'elle existe dans la cosmogonie
sumérienne.
C'est l'Ararat arménien et d'Ur (en Chaldée) que les premiers
patriarches hébreux passaient pour avoir émigré vers l'Ouest
dans les vallées fertiles du Nil et de la Mésopotamie. Ces
traditions se retrouvent dans l'antique religion mardéenne qui
est, comme le culte de MITHRA (mithriacisme), un complexe
irano babylonien et semble, à l'instar de la religion iranienne,
dite zervaisme, s'être développée en Cappadoce. Il en résulte
donc, que l'Ancien testament serait non pas un texte original
mais une copie des textes sumériens, langue n'appartenant pas
à la famille sémitique. Aujourd'hui, les savants et les chercheurs
de vérité en sont intimement convaincus.
Ainsi l'on sait que la légende d'un Rédempteur existait en
Assyro Babylonie deux millénaires avant l'ère Chrétienne sur le
plan des initiations mystiques. Mardruh, fils d'Ea, s'immole pour
le bien des hommes, imitant un prédécesseur, En-Cil, fils d'Anu,
père céleste. TAMMUZ, dont le nom sumérien signifie "Fils de
la Droite" se sacrifie pour que, de .son sang, naissent des êtres
susceptibles de vivre dans la lumière. TAMMUZ, fils soit d"Ea,
soit Anu, ressuscite chaque année après la saison froide pour
assurer la vie du monde. Certains textes anciens le qualifient de
Charpentier (Namgain). Il passait pour avoir été délégué par
son père, dont il était le double et partageait sa science, pour
soulager les maux de l'humanité, apporter le salut aux victimes
des misères inhérentes à leur race. Le mot "Paradis" est
d'origine iranienne, les milices d'anges et de démons se
retrouvent dans la religion iranienne. De même le Ciel et l'Enfer
ressortissent du dualisme Bien et Mal de Zoroastre, prophète
du Mazdéisme, qui annonçait la Fin du Monde, le Jugement
dernier, la Résurrection générale, les saints immortels
(Amschaspands).
Tandis que la religion primitive sumérienne évoluait jusqu'au
Mazdéisme de Zoroastre un mouvement religieux et
philosophique différent prenait son essor dans la péninsule
hindoustanienne. La religion des Hindous avait d'abord été
comme chez tous les primitifs, l'hommage rendu aux forces de
la Nature d'où étaient nées les .trois classes du "Sablismeé :
adoration du Soleil, des Astres, de la Lune. Ce fut ensuite le
culte d'Agni, Indra, Soma, respectivement Feu, Eau,
Atmosphère (Air), Trini-unité d'où sont venues la Trimontri :
Les ternaires
hindous : Brahmâ, Civa, Vishnou
Les ternaires égyptiens : Osiris, Isis, Horus à Abydos /
Ammon-Râ, Mount, Kous, à Thèbes / Ptah, Sokt, Imonthés à
Memphis
Les ternaires phéniciens : Baal, Astarté, Molooh
La trinité du christianisme (des millénaires plus tard) : Père,
Fils, (Saint) Esprit.
Ces religions dérivées des trois forces, causes premières de la
vie terrestre, furent complétées par diverses variantes de forme
ou de conception. Si on fait exception du Polythéisme, et du
Monothéisme hébraïque de Jéhovah, ou islamique d'Allah, il
résulte qu'il n'y eut, en réalité, qu'une seule religion dérivée des
trois forces, causes premières de la vie terrestre (Amour,
Volonté, Intelligence).
LE DELUGE
L'existence de l'ATLANTIDE, cette riche civilisation australe
permettrait d'expliquer l'origine de monuments disséminés dans
le monde entier et construit à l'aide de techniques si avancées
sur leurs temps qu'elles défient toute explication rationnelle.
C'est notamment le cas des temples d'Amériques latine,
attribués aux civilisations aztèque, olmèque, toltèque ou maya,
mais dont l'édification a exigé des moyens et une science sans
rapports avec ceux de leur époque. Cette thèse peut également
s'appliquer aux pyramides égyptienes selon de récentes études
archéologiques.
Les rescapés du déluge trouvèrent refuge sur les montagnes,
puis ils se dispersèrent à nouveau sur la terre. Les hébreux
n'en sont venus à concevoir un seul Dieu par élimination
successive de plusieurs autres dieux. Il est faux de penser que
le Dieu unique venait de nul part et était par conséquent
totalement inconnu. Moïse et d'autres prophètes rappelaient
sans cesse aux peuple d'Israël que ce Dieu était le Dieu de
leurs pères. Il y a donc eu un passage du polythéisme au
monothéisme par étapes successives, au fur et à mesure que le
peuple hébreux, Abraham en tête, prenait conscience qu'un
dieu qu'il connaissait déjà était en fait le seul à exister. Le
"Dieu" est là, depuis toujours.
Les origines des peuples de la Terre sont entourées de récits
merveilleux dans lesquels il est parfois bien difficile d'opérer
une séparation entre la fiction romancée et la réalité concrète.
Notre globe, si l'on en croit les constatations des géologues,
aurait été habité par des humains depuis plus d'un million
d'années et les archéologues, lors de la découverte de grottes
ou de squelettes préhistoriques, ont fait remonter leur existence
à plus de 350 mille ans. Des cent vingt siècles qui séparent
notre époque des débuts de l'âge néolithique, soixante siècles
à peine nous ont laissé véritablement des souvenirs écrits ou
symboliques, sur lesquels nous pouvons nous appuyer pour
nos études de la Science du Passé. La Genèse de Moïse
semble inspirée par les textes SUMERIENS, langue savante la
plus archaïque des Chaldéens de Basse Mésopotamie au Golfe
Persique jusqu'aux rives de la Méditerranée, l'Assyrie, la
Babylonie , la Perse Archéménide, Elam, Uratru, subatru,
confédération des Hittites de Cappadoce, tous centres
sacerdotaux.
Un des épisodes les plus célèbres de la mythologie
sumérienne, celui de " GILGAMESH " en quête de l'immortalité.
Cette légende nous est parvenue à travers des copies datant
de 2000av JC. Elle relate les exploits des héros et des dieux
sumériens. Le plus célèbre de ces personnages est
Gilgamesh, roi d' Uruk peu après 3000av JC. Il est l'un des
tout premiers rois après le déluge. Le Noé biblique est
largement inspirée de cette histoire, on devine une source de la
mythologie grecque (les exploits d'Héraclès), et de la Bible (le
Déluge y est conté).
La terre, tout comme le soleil possèdent et subissent des cycles
qui leurs sont propres. Des cycles qui sont peu de chose à
l'échelle humaine mais qui ont de fois en fois de l'influence sur
notre qualité de vie. Un de ces cycles possède une fréquence
de 396 ans. Et, à tous les 13 cycles de ce 396 ans pour
diverses raisons, la terre entre dans un cycle plus sévère de
conséquence. Ces 13 périodes de 396 années donnent un total
de ~5126 ans. La quasi-totalité des grandes périodes de la
terre et des sociétés de l'homme analysé s'harmonisent avec ce
cycle. Les calendriers Maya confirment ce cycle destructeur,
cependant le compte long (qui est différent du calendrier
Tzolkin) ne se termine pas le 21 décembre 2012 mais le 28
octobre 2011, date de l'accomplissement du PLAN
COSMIQUE (les 9 cycles galactiques et les 13 cieux).
Voir : Le Cycle destructeur
EXOTERISME & ESOTERISME
La Gnose chrétienne renvoie à l'existence d'un ésotérisme
chrétien présent dans l'Église primitive et pourtant nié de tous
temps par l'Église de Pierre. Saint Clément affirmant: « le
Seigneur nous a permis de communiquer les mystères divins à
ceux capables de les recevoir, les choses secrètes se confient
oralement, et non par écrit et Dieu fait de même, les symboles
sont divulgués sous une forme mystique mais cette
transmission sera faite moins par les mots que par leur sens
caché ». Dans l'Évangile de Marc: « a vous disciples choisis, il
est donné de connaître les mystères du Royaume de Dieu mais
à la multitude, ces choses sont dites en paraboles afin qu'ils
voient et n'entendent pas, qu'ils écoutent et ne comprennent
pas ».
Par cet élitisme, on peut imaginer qu'un enseignement assorti
de rites spécifiques qui déconcertèrent tant de frères noninitiés, était délivré à tous ceux qui constituaient l'Ordre Intérieur
Templier. Il est aussi attesté par le fait que jusqu'au IVe siècle ,
le cheminement qui devait mener le catéchumène à
l'entendement des doctrines et des rites chrétiens passait à un
moment déterminé par « l'étape » de l'arcane.
Ce n'est qu'ultérieurement que deux voies se dessinèrent :
La voie exotérique incarnée par l'Église de Pierre qui en tant
qu'Église Universelle « catholicos » fut fondée sur la Croyance
(PISTIS) dévotionnelle et formelle.
La voie ésotérique représentée par l'Église de Jean, basée
sur la Connaissance (GNOSIS) de l'initié et ne se dévoilant que
progressivement à travers la pratique rituélique des saints
mystères et dont l'Ordre Templier fut la remanifestation entre
1118 et 1314.
Selon la Tradition, le Pontificat de Pierre prendra fin avec le
retour du Christ auquel succèdera le glorieux Pontificat de Jean
qui rétablira à jamais la Tradition Primordiale et le secret.
L'Ordre Templier œuvrait pleinement à l'avènement du second
pontificat. En fait il a bel et bien existé pendant plusieurs siècles
en Orient comme en Occident (à Lyon) une Église officielle de
Jean. Gardien du saint Graal, Jean incarne toute la puissance
de la Tradition Originelle et Éternelle qui s'exprime intensément
dans la Révélation Christique car contrairement à la pensée
émotionnelle de Pierre, celle de Jean privilégie l'Esprit Saint, le
Verbe, le Logos, c'est à dire toute cette Énergie Secrète de
l'Univers assimilée au CHRIST SOLAIRE et victorieux, porteur
de Lumière et de Vie.
Le Temple avait ainsi symboliquement compris que les deux
Jean à l'image du Janus latin ne sont rien d'autre que les pôles
de l'initiation aux mystères, Jean le Baptiste se confond en ce «
vieil homme » qui doit mourir par la descente aux enfers au
profit du « nouvel homme » incarné par Jean l'Évangéliste. La
« nouvelle naissance » permettant dès lors d'ouvrir les portes
du Ciel donnant accès aux réalités premières. Conformément à
la doctrine de Jean, il est dit que Charité et Amour concernent
tous les hommes une fois reconstitués les liens de l'Unité
Première (l'Androgynie Originelle) par la réactivation d'un centre
dépositaire de la Sagesse Primordiale. Le plagiat est continu
dans toutes les grandes religions et cultes (Christianisme,
Judaisme,
Islam,
Francs-Maçons,
Kabbale
...).
LA KABBALE ET LA BIBLE
MOISE ETAT UN PRINCE EGYPTIEN INITIE AU CULTE
D'ISIS
Un but très important de la KABBALE (ou cabale) est de
retrouver le sens de la Genèse telle que MOISE l'avait écrite.
Celle-ci a en effet, été déformée à travers les différentes
traductions rendues nécessaires par les migrations de
populations, les mélanges de races qui en ont résulté et en
dernier lieu, par la traduction latine du texte grec, utilisée par
l'Eglise catholique. La KABBALE est l'ensemble des traditions
juives relatives à l'interprétation mystique de l'ancien testament.
Il est un des plus anciens systèmes philosophiques
occidentaux.
La légende dit que MOÏSE a été trouvé dans un berceau sur les
bords du Nil. Ceci est très contestable. Ce qui est certain, c'est
qu'il a été élevé par une princesse égyptienne de sang royal qui
a été sa vraie mère ou sa mère adoptive. Elle l'a élevé comme
un égyptien. Il a étudié les sciences égyptiennes, les nombres
sacrés et leurs symboles. Théurgie, astrologie, magie et
alchimie étaient enseignées dans les Temples où MOÏSE
s'instruisait. MOÏSE reçut l'Initiation d'ISIS. Les chaldéens, les
esséniens et les égyptiens avaient adopté le même rituel
initiatique. Leurs signes de reconnaissance étaient le pain et le
vin.
•1° degré : communion par le pain : mystères de la vie terrestre.
•2° degré : communion par le vin : mystères spiritu els de la
science divine.
•3° degré : communion par la coupe : Rédemption rés ervée aux
prophètes et aux initiés.
Moïse pratiquait l'idiome égyptien employé sous les deux
formes littéraire et hiéroglyphique. Chaque lettre ou caractère
correspond à un signe ayant un sens donné. Partant de la
racine et du signe de chaque lettre ou syllabe, on forme le nom
qui produit son et mouvement. La racine hébraïque, arabe,
syriaque, chaldéenne et éthiopienne d'un mot exprime la même
idée. Le langage qui en était issu était pratiqué dans les
il
était
hermétiquement
scellé,
Temples
d'OSIRIS,
idéographiquement écrit et ne pouvait se comprendre sans clef.
Les égyptiens se servaient de plusieurs écritures correspondant
aux divers degrés des mystères et toutes hiérographiques.
Le nom égyptien de MOÏSE était "Hosarsiph". La princesse
royale, sa mère, souhaitait que Moïse règne sur l'Egypte ; mais
lui sentait que sa mission était autre. Comme scribe, il fut
envoyé en inspection dans le Delta où les hébreux étaient
esclaves des égyptiens. Un jour, il vit battre à mort un hébreu
par un chef, et il tua celui-ci. Il dut s'exiler au-delà de la Mer
Rouge pour éviter les rigueurs de la Loi. Il alla au temple de
Madion et là, après avoir expié son crime par des pénitences
sévères, il comprit que de tout temps, sa mission l'avait
prédestiné à devenir le prophète des bannis, le conducteur du
peuple du Dieu unique. Il prit dans sa nouvelle vie le nom de
"MOÏSE" qui signifie "sauvé" en hébreu. Il avait conquis dans
sa retraite les 7 vertus que l'initié doit posséder pour ouvrir le
puits de la vérité appelé "Puits du vivant qui me voit".
MOÏSE écrivit la Genèse en hiéroglyphes égyptiens à trois sens
pour le même mot propre, figuré, transcendant et se lisant avec
une clef que nous retrouvons dans la KABBALE. Mais on ne
peut déchiffrer cette écriture sans l'intuition, l'analyse et la
synthèse. La Genèse, loi du Judaïsme, celle du Dieu unique
créateur de l'univers, fut "révélé" à MOÏSE sur le mont Sinaï.
D'abord orale, elle fut transcrite par MOÏSE qui utilisa la forme
transcendante des hiéroglyphes égyptiens. Dans ses écrits, il
fait souvent illusion à la déesse ISIS représentée sur les
monuments égyptiens comme une femme couronnée tenant
d'une main la croix ansée, symbole de la vie éternelle,
l'ensemble de la nature terrestre avec sa puissance
conceptrice, la nature céleste et invisible, élément propre des
âmes et des esprits, lumière spirituelle et intelligible par ellemême qui seule confère l'Initiation. Les religions hindoues
utilisent aussi comme symbole initiatique, la fleur de lotus.
Moïse fut l'initiateur du Monothéisme, lui qui était initié égyptien
et prêtre d' ISIS et d' OSIRIS. Il trouva un terrain favorable chez
les Hébreux fixés en Egypte, au val de Goschem. Tous les
sémites, éternels exilés, étaient issus du mélange des deux
races rouge et noire. Certains kabbalistes, les Harodim étaient
alchimistes. Pour eux, l'alchimie est considérée comme un
système métaphysique de caractère spéculatif, permettant de
passer de la vision opaque à la vision lumineuse. L'alchimie est
à la recherche de la source du processus d'évolution, de la
transmutation,
de
l'homme
et
des
métaux.
C'est en Orient, au moment des croisades, que les HARODIMS
descendants des patriarches hébreux (Abraham initié en
Chaldée, Isaac en Egypte, Jacob d'origine phénicienne et initié
en Egypte), ont connu les TEMPLIERS. Ceux-ci disaient être
les descendants des Jomvikings, association nordique de
l'Occident, scandinave. Ils croyaient à l'oeil frontal (3ième oeil),
celui de la clairvoyance. Les HARODIMS traduisent cela par la
loi du KARMA. Quand l'homme aura atteint après bien des
épreuves sa "libération", qui correspond aux sphères
d'évolution supérieure, il n'aura plus besoin de se réincarner, de
sortir du sein maternel "dehors". Pour l'alchimiste, l'homme ne
peut atteindre l'état de béatitude sans "brûler" ses passions et
défauts. Au VII° siècle, Mahomet apporte son message au
monde arabe. Il mélange la magie et l'alchimie et ajoute les
incantations des versets du Coran, hélas complètement
mélangés, l'ouvrage n'est plus fiable. En alchimie comme en
KABBALE, l'emploi des gestes, signes et attouchements
ritueliques ont une portée sacrée psychologique et servent de
signes de reconnaissance.
La vraie philosophie secrète et traditionnelle ne fut écrite que
plus tard sous des voiles encore moins transparents. Ainsi
naquit une seconde Bible inconnue des chrétiens ou plutôt
incomprise par eux. Toutes les vraies religions dogmatiques
sont issues de la KABBALE qui est une version de la religion
égyptienne, et elles y retournent. Toutes les associations
maçonniques lui doivent leurs secrets et leurs symboles.
Il y a plusieurs manières d'interpréter et de pratiquer la
KABBALE, et chacun a sa perception différente de la
signification des symboles et des sens. Elle consiste en l'étude
du sens caché de la Torah, composée des 5 premiers livres de
la Bible. Cette étude est basée sur diverses techniques de
décryptage et de permutation des lettres, qui laissent apparaître
de nouveaux sens et de nouveaux contenus. Il est dit que tous
les événements de l'histoire passée et future y sont mentionnés
et que chacun de nous y figure ...
MYTHES EGYPTIEN ET SUMERIEN
C'est principalement le grec PLUTARQUE qui en décrivit le
développement vers 66 a.d. ce qui laisse à penser que les
grands mystères étaient, depuis la plus haute antiquité, l'objet
de transmissions secrètes car le peu d'informations dont on
dispose sur cette légende la fait remonter au moins à un
millénaire avant le christ. Le Jésus de la Bible (le Jésus
historique) inspiré par la religion solaire du Culte de MYTHRA,
n'a pas ou peu de points communs avec HORUS, par contre il
en a avec son père OSIRIS (résurrection). Le mythe égyptien a
ceci de très particulier qu'il propose quelque chose de plus que
ce que dévoile une parabole ordinaire, nous nous trouvons ici
face aux véritables prémices d'un enseignement sacré.
L'intelligence de la légende d' OSIRIS est précisément de
développer une certaine notion de l'évolution, voire, de la
transmigration des âmes, leur retour au divin, leur reconstitution
après le démembrement et leur complète fusion avec le divin.
Ce mythe qui formera le fondement des légendes relatives au «
dieu qui meurt » et à ses relations avec la plante qui le protège
ou le tue, introduit les notions fondamentales du chamanisme
au cœur d'une foi immanente. Les Dieux et leurs âmes sont
partout. L'inconscient collectif qui les véhicule est à ce point
proche de la nature profonde de l'homme que le fondement de
la légende ne peut que se transmettre, s'adapter mais pas être
oubliée. Il y a peu de textes qui abordent le mythe osirien et
cette discrétion le rapproche du mythe d'Hiram dans la mesure
où, pour ce dernier, on ne dispose pas non plus d'éléments
écrits qui développent les raisons profondes de son
l'élaboration.
Ounophris, "le bienveillant" aussi appelé OSIRIS est fils de
NOUT et de GEB, c'est à dire, du Ciel et de la Terre. Il règnera
vingt huit ans durant lesquels il enseigne aux égyptiens l'art de
l'agriculture avant d'être la victime d'un complot organisé par
son frère SETH, image du désordre, du chaos. Alors qu'il
revient victorieux d'une longue campagne de conquêtes, Seth
profite des fêtes organisées à cette occasion pour inviter son
frère à un banquet. Au cours de la soirée, il met OSIRIS au défi
de s'allonger dans un grand coffre. Lorsque ce dernier y fut
couché, SETH (aidé de 72 complices, les 72 génies des demidécans du zodiaque), referma le lourd couvercle sur lui et le
scella avec du plomb fondu. Puis SETH et ses complices
portèrent le coffre sur le Nil et le firent descendre jusqu'à la
mer.
C'est également la même histoire dans les mythes de Sumérie
et de Babylonie. Ka mésopotamienne ISHTAR, descendue aux
enfers, pour retrouver son Frère amant TAMMUZ, c'est sa
Sœur-Epouse, ISIS, qui partira à la recherche de son âme afin
de le ramener à la Vie. Les deux déesses se seront
préalablement coupé les cheveux, elles auront déchiré leurs
vêtement, se seront libérées des voiles qui les recouvraient. Là
où ISHTAR franchit les portes en abandonnant à chaque fois
une part de ses parures afin de descendre plus profondément,
Isis déchire ses vêtements et parcoure le monde à la recherche
du coffre dans lequel "le Bienveillant" a été enfermé.
Néanmoins, elle ne ramènera pas OSIRIS par un voyage de
retour car ceux qui descendent en ces lieux ne peuvent pas
revenir et c'est seulement l'Amour d'ISIS, symbole de la
régénération et de la vie éternelle qui permettra de retrouver le
corps.
Isis alors remonta sur sa barque de papyrus, bien décidée à
retrouver les 14 morceaux du corps de son bien-aimé, à travers
le labyrinthe du marais, mais elle n'en retrouva que 13. La seule
partie qu'elle ne parvint pas à retrouver, malgré tous ses efforts
et malgré l'aide des obligeants crocodiles, fut le membre viril
car il avait été mangé par des poissons. Toutefois il avait eu le
temps de donner au fleuve sa force fécondante.
Durant le voyage d'ISIS aux enfers, le coffre contenant le corps,
entraîné par la mer, atteignit les côtes de Phénicie où il
s'échoua aux pied d'un ACACIA (ou d'un Tamaris, selon les
versions). La quête dura si longtemps que le tronc de l'ACACIA
recouvrit la boite contenant le corps d' OSIRIS. Le roi de
Byblos, occupé à faire construire son nouveau palais, fait
abattre l'arbre afin d'en faire l'une des deux colonnes qui
doivent en décorer l'entrée. Isis entend parler de l'odeur qui
s'échappait du tronc alors qu'on le coupait. Elle en comprend
aussitôt la signification et se rend en Phénicie où on lui remet la
colonne prodigieuse. Elle ouvre la colonne de bois et en retire
le cercueil de son époux qu'elle arrose de ses larmes. Elle le
ramène en Egypte et le cache au fonds du marais DELTA afin
que SETH ignore que le corps ait été retrouvé. Mais il découvre
le coffre alors qu'il chassait au clair de Lune. Furieux qu'OSIRIS
soit encore entier malgré le temps écoulé, il coupa le corps en
14 morceaux et, de tous côtés, les dispersa à travers le pays.
Découvrant cela, ISIS se mettra à la recherche des morceaux.
Elle les retrouvera tous à l'exception du sexe, dévoré par un
poisson. Isis se résolut à fabriquer un phallus artificiel et le
consacra. C'est ce phallus dont aujourd'hui encore les
Égyptiens célèbrent la fête. Aidé par ANUBIS, THOT et
NEPHTYS, elle recomposera le corps démantelé et le
momifiera. Ramené à la Vie par ces pratiques et désormais à
l'abri de la mort, OSIRIS se retire dans les mondes souterrains,
il laisse alors le trône du monde visible à son fils HORUS, qui
se vengera de SETH et deviendra le modèle des rois à venir.
Nous avons donc ici un dieu lunaire dont la mise à mort
commence au moment de sa décroissance. La Lune meurt au
terme de son cycle de 28 levers (dans le cycle de 30 jours
d'une Nouvelle Lune à une autre Nouvelle Lune, il y a 28 levers
de Lune observables) c'est-à-dire à sa disparition lors de sa
conjonction avec le Soleil. Ce nombre 28 est le nombre de jours
pendant lesquels la Lune éclaire. Plutarque nous indique
clairement: « Les Égyptiens, dit-il, interprètent le dépeçage
d'Osiris en 14 morceaux comme un symbole des jours pendant
lesquels la Lune décroît après la Pleine Lune jusqu'à la
néoménie.». Le croissant, symbole du phallus, en Inde et en
Mésopotamie, est perdu puisque la Lune a disparu. Mais
heureusement, 'SIS en fabrique un et dès lors le dieu ressuscite
et peut à nouveau être fécond.
ISIS à ressuscité Osiris, elle lui a donné une nouvelle
naissance, la possibilité de réaliser de nouveau un cycle de vie
comme la Lune. ISIS donne ensuite naissance à son fils
HORUS, le Soleil nouveau bienfaisant et non desséchant et la
nouvelle pousse. Nous retrouvons là encore tout comme en
Mésopotamie le Soleil fils de la Lune. OSIRIS LUNAIRE
devient, tout comme Nergal Sîn des mythes babyloniens, le
dieu des enfers et de la mort. À ce titre, il se retrouve au cœur
des grandes initiations dont le LIVRE DES MORTS nous donne
un aperçu. Alors, OSIRIS entouré de quarante-deux
assesseurs, préside au jugement des morts... Voilà pourquoi
OSIRIS, dieu lunaire, est parfois noir avec une couronne
blanche. Il a le visage sombre de la Lune cendrée qui, en fait,
apparaît marron, gris ou vert sombre sur le ciel bleu et il est
couronné de la haute couronne blanche, symbole de la Lumière
lunaire. On ne peut donc ignorer son assimilation au
symbolisme lunaire même si le peuple égyptien donna une
supériorité au culte du soleil dans sa religion.
Cette légende est très proche du mythe d' HIRAM des maçons
qui est certainement une invention pour les loges. Le fait
qu'OSIRIS, fils du Ciel et de la Terre, enseigne l'agriculture à
son peuple. Par voies de conséquences les traditions
l'associent aux moissons et c'est la raison pour laquelle il est
souvent porteur d'un épis de blé. Cette généalogie et cette
attribution lient le Dieu à la fois à ce qui est en haut et à ce qui
est en bas par les mystères de la germination. D'autre part, la
recherche du corps par sa sœur épouse ISIS jusqu'aux confins
du monde des morts confirme cette attribution et en détermine
les contours, de même qu'elle permet de décrire
l'environnement des âmes. Ce qui différencie les ténèbres de la
clarté est essentiellement indiqué par le fait que ce sont les
épouses qui partent à la recherche du défunt. Cette différence
de sexe accentue encore l'alternance de l'ombre et de la
lumière. Le monde des morts n'est accessible qu'une fois
dévêtu. Il s'agit bien de tout laisser à la porte de ce qui peut
rappeler le monde visible. Les vêtements, les métaux, ISIS
l'égyptienne et ISHTAR de sumérie se présentent comme le
maître néophyte qui est introduit dans le Temple après avoir été
délivrées des voiles et de ses passions. Tout s'organise comme
si du fond de la Terre germait la Lumière.
Osiris : Dieu des ombres au pays des morts
Isis : Déesse de la Lumière et de la sagesse
Horus : Dieu enfant du Silence et Dieu de la Sagesse
L’odeur dégagée par le corps ou par l'objet contenant le corps
est l'indice qui précède sa découverte et qu'on le ramène avant
qu'il ne soit dépecé et éparpillé. Bien plus, dans ce mythe,
l'ACACIA contient le corps et continue de le contenir après que
l'arbre n'ait été transformé en colonne. On peut penser que
cette colonne protégeant Osiris soit à l'origine de la légende de
celles qui contenaient le savoir humain, qui furent englouties au
large de Gibraltar et que l'on nomme "colonnes de Seth" qui
sont désormais les colonnes des temps maçons. Et puis, sorti
de sa "gangue" d'acacia, dépecé et recomposé, c'est avec
l'aide de trois autres divinités qu'OSIRIS sera "relevé" et
momifié. C'est seulement à l'issue de cette restructuration et de
cette préparation à l'éternité qu' OSIRIS pourra reprendre son
voyage. Depuis, le secret de l'ACACIA est le plus grand des
secrets. C'est le secret de l'arbre de vie, de la réincarnation et
la communication avec les entités du monde supérieur ...
LE CULTE DU SOLEIL
Dès 10.000 ans avant Jésus Christ, l'histoire abonde en
gravure et écrits témoignant du respect et de l'adoration des
peuples pour le SOLEIL. Alors que chaque matin le Soleil se
lève apportant la visibilité, la chaleur et la sécurité, tenant
l'homme à l'abri du froid, de l'obscurité, des prédateurs
nocturnes. Sans ça, les cultures, y compris les récoltes ne
pousseraient pas, et la vie sur la planète serait impossible. Ces
réalités font du Soleil l'élément le plus adoré de tous les temps.
De la même manière, l'Homme était très sensible aux étoiles.
Le repérage des étoiles lui permettait de se reconnaître et
d'anticiper les événements qui s'étendaient sur une longue
période, telles que les éclipses et les pleines lunes. A tour de
rôle il a répertorié les ensembles célestes que nous
connaissons maintenant sous le nom de constellations.
La CROIX DU ZODIAQUE est un des plus anciens concepts
imagés de l'Histoire de l'Humanité. Il représente de manière
imagée le passage du Soleil à travers les 12
CONSTELLATIONS principales tout au long de l'année. Il
représente aussi les douze mois de l'année, les quatre saisons,
les solstices et les équinoxes. Le terme Zodiaque englobe le
fait que les constellations étaient anthropomorphiques ou
personnifiées avec des formes ou des animaux. Autrement dit,
les premières civilisations ne se contentaient pas de suivre le
Soleil et les Astres. Elles les personnifiaient avec des Mythes
complexes mettant en scène leurs mouvements et leur relation
entre eux.
Le Soleil, fort de ses qualités qui donnent la vie et la préserve,
symbolisait la représentation du créateur invisible ou Dieu. Le
Soleil de Dieu, la Lumière du Monde, le Sauveur de l'Humanité.
De plus les 12 CONSTELLATIONS représentent les lieux de
passages du Soleil de Dieu. Elles sont identifiées par des
noms, correspondant aux éléments naturels qui sont survenus
durant cette période de temps. Par exemple le Verseau : Le "
VERSEUR D'EAU " (Aquarius), celui qui apporte les pluies au
printemps.
Le Dieu égyptien HORUS est le Dieu de l'Egypte vers 3000 ans
avant J-C. Il est l'incarnation de la vie du soleil racontée dans
une série de Mythe allégoriques impliquant le déplacement du
Soleil dans le Ciel. A partir d'anciens hiéroglyphes égyptiens,
nous avons appris beaucoup sur le messie solaire. Horus qui
signifie Soleil ou Lumière avait un ennemi appelé Seth qui était
l'incarnation de la nuit et des ténèbres. De manière
métaphorique, chaque matin HORUS gagnait le combat contre
Seth. Tandis que le soir, Seth l'emportait sur HORUS et
l'envoyait dans les enfers. Ce combat entre l'Ombre et la
Lumière, le bien et le mal, constitue une des dualités de la
Mythologie la plus omniprésente jamais connue et elle est à ce
jour toujours exprimée sous diverses formes.
Ce concept de Dieu Solaire a une grande influence sur de
nombreuses religions. Certains anciens pensent donc que le
"Dieu Soleil" était en fait le Fils de Dieu.. Et cela implique
également l'idée que «Le Père est glorifié dans Son Fils." En
fait, le jour de la semaine, nous avons l'honneur du culte et
nous ne travaillons pas le dimanche en l'honneur du dieu soleil
païen. Les halos des saints catholiques sont représentatifs du
halo du soleil. Les Egyptiens avaient donc également des
disques du Soleil, comme les sumériens, qui avait tout à fait la
même apparence ...
HORUS ET JESUS
Le Jésus de la Bible (le Jésus historique) n'a pas ou peu de
points communs avec Horus
Le Catholicisme (romain) se révèle être la religion solaire
du Culte de Mythra sous un déguisement chrétien
Si HORUS est le bien, la lumière et le jour, le soleil, La théorie
de la naissance d'Horus précisément comme l'histoire de la
conception miraculeuse de Jésus est fausse. Zeitgeist the
movie se trompe lourdement sur le sujet! Il faut se remémorer
que l'empereur Constantin, fondateur de l'église "officielle"
(catholicisme romain) a essayé de fusionner paganisme (ancien
culte) et christianisme (nouveau culte). Les idoles ont été
rebaptisées du nom de saints mais sont restées les mêmes.
Idem pour de nombreuses pratiques ou objets de culte. Le
solstice d'hiver associé aux culte solaire a été choisi (rien de
biblique dans le 25 décembre) pour commémorer Noël
(naissance de Jésus-Christ). Le culte solaire païen enveloppé
d'une surcouche chrétienne a été imposé partout. Les anciens
cultes de la fécondité et de la "reine des Cieux" ont eux aussi
été "christianisés". Il faut savoir que le culte de la Vierge n'a
absolument aucun fondement biblique. Qu'il y ait des aspects
païens dans ce culte est donc absolument vrai. Le Catholicisme
(romain) se révèle être la religion solaire du Culte de MYTHRA
sous un déguisement chrétien. Le Jésus de la Bible (le Jésus
historique) n'a pas ou peu de points communs avec HORUS,
par contre il en a avec OSIRIS son père (résurrection).
Il n'est écrit nulle part d'Isis ait été vierge. Des peintures la
représentent même, sous forme d'un faucon, planant au dessus
du phallus érigé de son mari Osiris lors de la conception
d'Horus. La date du 25 décembre n'a pas de sens dans le
calendrier égyptien car celui-ci utilise une "année vague" qui se
décale lentement par rapport aux saisons (car le système des
années bissextiles n'était pas utilisé). Même si on utilise le
calendrier agricole théorique, qui commençait avec le lever
héliaque de l'étoile Sothis (Sirius) le 19 Juillet, cela ne
correspond pas : Il est écrit qu'Horus est né le 31ème jour du
mois de Khoiak, ce qui doit correspondre au 16 novembre. De
plus nulle part il n'est écrit non plus dans la Bible que Jésus est
né un 25 décembre, mais Jésus est né vers la période de
Pâques selon les écritures (l'église changea la date de sa
naissance).
Les textes égyptiens disent qu'Horus n'est né ni dans une grotte
ni dans une crèche mais dans un marais, au milieu des
roseaux. On ne retrouve aucun texte égyptien, qui parle de trois
sages et d'une étoile lors de la naissance d'Horus. D'ailleurs il
n'est écrit nulle part dans la Bible que les "rois-mages" étaient
au nombre de trois. Les chrétiens orthodoxes prétendent même
qu'ils étaient 12. Le baptême n'existait pas chez les Égyptiens.
Et aucun texte égyptien, ne dit donc qu'Horus a été baptisé.
Aucun texte égyptien, ne dit qu'Horus avait 12 disciples. On
trouve seulement des références à quatre HERU-SHEMSUs
("suivants d'Horus"), à 16 adeptes humains, et à un nombre
inconnu de MESNIUs / MESNITUs ("forgerons") qui l'ont suivi
dans ses batailles. Le miraculé "EL AZARUS" n'est pas du tout
un nom égyptien. Aucun texte égyptien, ne dit qu'Horus a
marché sur l'eau. Il est juste dit que lui et Seth se sont
transformés en hippopotame et qu'ils sont restés trois moins au
fond de l'eau. Aucun texte égyptien, ne dit qu'Horus a été
transfiguré sur une montagne. Aucun texte égyptien, ne dit
qu'Horus a été enterré dans un tombeau et ressuscité. Il est
juste raconté que le dieu Thoth l'a guéri d'une piqûre de
scorpion. C'est son père Osiris qui a été ressuscité, par Isis sa
sœur avec qui il feront HORUS.
Aucun texte égyptien, ne dit qu'Horus s'appelait KRST. C'est en
grec et non pas en égyptien que le mot "KRST" (Christ) signifie
"oint". En égyptien KRST signifie plutôt "enterrement".
MYTHRA ET JESUS
En Perse (1000 avant J-C), le culte de MITHRA, Dieu-Soleil de
Perse bat son plein en Perse. Les prêtres célébraient l'office
par le pain et le vin "Celui qui avale ma chair et avale mon sang
demeure en moi et je demeure en lui (Zarduhst)". Le prêtre de
Mithra plaçait du miel sur la langue de l'adepte. Son culte
comprend un repas et un baptême. Les paroles de la Cène sont
empruntées à celle des sectateurs de MITHRA. Il est né d'une
vierge le 25 décembre, il avait 12 disciples et accomplissait des
miracles. A sa mort il fut enterré 3 jours puis ressuscité. On y
faisait référence dans les expressions comme "la Vérité" , ou
encore "la lumière". Le jour sacré ou l'on rendait grâce à
MITHRA était le dimanche :
- Il est né d'une vierge le 25 décembre.
- Il était considéré comme un grand professeur et un maître
itinérant.
- Il était appelé "le Bon Berger."
- Il était considéré comme "la Voie, la Vérité et la Lumière."
- Il était encore considéré comme "le Rédempteur," "le
Sauveur," "le Messie."
- Il était identifié à la fois au Lion et à l'Agneau.
- Son jour sacré était le dimanche, le "jour du Seigneur".
- Il avait sa fête principale à la date qui allait ensuite devenir
Pâques, correspondant à sa résurrection.
- Il avait 12 compagnons ou disciples.
- Il effectuait des miracles.
- Il a été enterré dans un tombeau.
- Après trois jours, il s'est relevé.
Sa
résurrection
était
célébrée
chaque
année.
- Sa religion comportait une eucharistie ou "dîner du Seigneur".
LA DIVINE TRINITE
La véritable histoire de la divine trinité JESUS / MARIE /
JOSEPH est originaire de Babylone. Les égyptiens
transforment le mythe en astro-théologie en construisant les
pyramides selon la carte du ciel et en donnant des noms
d'étoiles à leurs divinités. HORUS est le SOLEIL, ISIS est
SIRIUS et OSIRIS est ORION.
Après le déluge, les descendants de NOE se sont multipliés et
ont bâti la grande ville de Babylone. Sémiramis est devenue la
reine de Babylone et a épousé un homme appelé Nimrod. Le
jour où NIMROD a été mis à mort, le peuple a pleuré.
SEMIRAMIS a donné naissance à un enfant, TAMMUZ et a
déclaré qu'il était la réincarnation de NIMROD. Sémiramis est
devenue une déesse dotée de nombreux appellations : Reine
du ciel, médiatrice, reine de l'humanité. TAMMUZ devint plus
tard BAAL, le dieu soleil, puis HORUS chez les égyptiens ...
Lorsque les Babyloniens ont été dispersés dans différentes
parties du monde, ils ont apporté avec eux le culte de la divine
mère et de son fils. En Chine, ce fut le culte de la sainte SHING
MOO. En Inde, celui de DEVAKI (la déesse) et de KRISHNA
(son fils). A Ephèse, celui de DIANE. En Egypte, ce fut le culte
d'ISIS (la déesse mère) et de HORUS (son fils). En
Scandinavie, celui de DISA, représentée avec un enfant. En
Grèce celui d'APHRODITE, la déesse médiatrice. A ROME,
celui de VENUS (la déesse mère) et de JUPITER enfant. En
Palestine, celui d'ASTARTE (la déesse mère) et de BAAL (son
fils).
La culture juive a également su puiser dans tout ce qui
l'entourait pour se construire pour créer la THORA. Même le
nom si sacré de leur terre promise, Israël, révèle ce processus.
Le mot " ISRAËL " lui-même, loin d'être une dénomination
juive, est probablement formé de la combinaison de trois noms
distincts de divinités égyptiennes (ISIS-RA-EL). THOT prend la
forme d'un babouin pour symboliser sa descente à notre niveau
hominal (primate) pour nous enseigner. Parce que pour les
dieux nous ne sommes que des "singes parlant".
Selon le mythe, JESUS LE CHRIST est né de la vierge MARIE
un 25 décembre à Béthléem. Sa naissance fut annoncée par
une étoile à l'est que 3 Rois étaient censés suivre afin de
localiser et décorer le nouveau Sauveur. Enfant il était
professeur à l'âge de 12 ans et à 30 ans il fut baptisé par Jean
le Baptiste. Ainsi commença son ministère. Jésus eut 12
disciples avec qui il voyagea, il accomplit des miracles tel que
guérir les malades, marcher sur l'eau, et ressusciter les morts. Il
était également connu sous les noms suivants : "Roi des Rois" ,
"le Fils de Dieu" , "la Lumière du Monde" , "l'Alpha et l'Oméga" ,
"l'Agneau de Dieu" , etc. Après que son disciple Judas le trahit
et le vendit pour 30 pièces d'argent, il fut crucifié et placé dans
une tombe puis 3 jours après il fut ressuscité et fit ascension
dans les cieux.
La vie de JESUS est symbolique, et chaque phase de sa
montée est alchimique. Mais la Promesse est venue par
l'Enfant de la grotte. Jésus, par l'Ascension, échappe au plan
terrestre tout en montrant son devenir et sa réalité à l'Homme,
mais l'Enfant de la grotte a pu être adoré par les bergers, c'està-dire par les élus qui ont conscience que le troupeau doit être
ramené au Père.
Toute l'œuvre de Jésus n'a de sens que si l'on comprend que
cette flamme, cette Pierre philosophale venue sur la Terre
prend le corps d'Adam, le corps de la chute ainsi qu'une âme
terrestre, qu'il voile l'or éblouissant dont il est constitué et
montre à l'humanité, par symbole, l'épopée du corps adamique,
séparé du Créateur, pour retrouver son corps d'éternité, qui est
le corps unique et céleste de tout le Créé. Le corps de Christ
porte et baigne tous les univers.
Par la création de la multiplicité, le Créé connaît la dualité, la
séparation du contenant et du contenu. Toute l'alchimie du
périple de la Création consiste à refaire la route vers l'Unité, à
retrouver la vie célestielle qui est la Vie dans son essence, dans
le corps unique de Christ.
La Croix, c'est le sacrifice du corps adamique, c'est-à-dire du
corps égotique de la séparation, de la multiplicité, de
l'individualité. L'ego doit mourir, c'est-à-dire s'effacer, pour que
surgisse le corps de Résurrection, le corps qui triomphe de la
mort, car il est uni à l'éternité de l'Unité. La Résurrection montre
le moment précis, dans l'alchimie de la transformation, où, par
le sacrifice du corps individuel, peut naître le Corps de Gloire. Il
y a deux mille ans, le Corps de Résurrection participe un court
instant au plan de l'humanité. Il s'offre aux yeux émerveillés de
Marie-Madeleine. Il prouve que la mort est vaincue. L'ego,
l'individualité, la séparation, la multiplicité des formes ne sont
qu'apparence.
ASTROLOGIE ET ASTRONOMIE
Il n'est écrit nulle part dans la Bible que les "rois-mages" étaient
au nombre de trois. Les chrétiens orthodoxes prétendent même
qu'ils étaient 12. Mais il y a une bonne raison de penser qu’ils
étaient trois! L'Astre se trouvant à l'est est SIRIUS, l'étoile la
plus brillante dans le ciel étoilé et qui le 24 décembre s'aligne
avec les 3 étoiles les plus brillantes de la ceinture d'Orion. Ces
3 étoiles brillantes dans la ceinture d' ORION portent les
mêmes noms qu'elles portaient dans les temps anciens : LES
TROIS ROIS.
Voici donc les TROIS ROIS et SIRIUS, l'étoile qui brille le plus
dans le ciel. Elle se dirigent toutes à l'endroit du lever du Soleil
le 25 décembre. Voilà pourquoi les Trois Rois suivent cette
étoile à l'est : pour localiser l'emplacement du lever du Soleil, la
naissance du Soleil.
La vierge Marie représente la constellation de la Vierge, aussi
connue sous le nom de VIRGO (Virgo en latin signifie Vierge).
On fait également référence à Virgo quand on parle de "la
Maison du Pain" et la représentation de Virgo est une vierge
tenant un épi de blé. Cette maison du pain et le symbole du blé
correspondent au mois d'Août et de septembre, le temps des
moissons. Parallèlement BETHLEEM peut se traduire en réalité
littéralement par "la Maison du Pain". Bethléem fait donc
référence à la constellation de la Vierge, une position dans le
ciel et non pas sur la terre !
SIRIUS est connue par les anciens Egyptiens sous le nom de
SOTHIS et représente la déesse ISIS; le jour de sa première
apparition annuelle est le 1er jour du calendrier égyptien et
coïncide avec la crue du Nil. C'est dire l'importance accordée à
Isis, la fertilité de la terre dépendant de la crue du Nil. Dans le
Temple de Het-Hert (Hathor) connu comme le temple de
Dendérah à Qena en Egypte il a été calculé que l'axe du temple
d'Isis, en 700 av. JC, était orienté sur le lever héliaque de
SIRIUS, l'étoile la plus brillante du ciel, identifiée à la déesse
Isis. Dans l'Egypte ancienne, cet événement annuel coïncidait
avec le solstice d'été et avec la crue du Nil et marquait le début
de l'année nouvelle.
On peut également admirer dans le Temple un zodiaque
circulaire sur le toit d'une des chapelles; le seul de l'Egypte
ancienne. Les constellations sont dans l'ordre que nous
connaissons et les signes sont associés à des divinités: le
Bélier et Amon Dieu suprême représenté par un bélier aux
cornes recourbées ; le Taureau et Apis symbole de fertilité,
Dieu Funéraire et incarnation de Ptah ; Les Gémeaux; le
Cancer et Anubis; le Lion et Osiris; la Vierge et Isis; la Balance;
le Scorpion ; le Sagittaire ; le Capricorne ; le Verseau ; les
Poissons et Nephtys.
Voir : Le Zodiaque de Dendérah
Le phénomène le plus intéressant apparaît autour du 25
décembre, c'est à dire au solstice d'hiver. A partir du solstice
d'été jusqu'au solstice d'hiver, les jours deviennent plus courts
et plus froids. Du point de vue de l'Hémisphère Nord, le Soleil
opère un mouvement vers le Sud, il devient plus petit et se fait
plus rare. Le raccourcissement des jours et la fin des récoltes à
l'approche du solstice d'hiver symbolisent le processus de mort
chez les anciens. C'était la mort du Soleil. Ainsi, le 22
décembre la mort du soleil était entièrement achevée. Etant
donné que le Soleil s'est déplacé continuellement pendant 6
mois, il atteint son point le plus bas dans le ciel.
A ce stade une chose curieuse se produit : Le Soleil cesse de
se déplacer vers le Sud, ceci est perceptible du moins pendant
3 jours ! Pendant ces 3 jours de repos, le Soleil reste à
proximité de la Croix du Sud, aussi appelée la constellation
de la Croix. Suite à cette période de temps, le 25 décembre, le
Soleil se déplace d'un degré, cette fois-ci vers le Nord, ce qui
annonce des jours plus longs de la chaleur et le printemps.
Ainsi il fut écrit : Le Fils mort sur la croix est mort pendant
3 jours, pour ensuite ressusciter et naître à nouveau.
A cause de la précession des équinoxes, la Croix du Sud
(Crux) était visible depuis la Méditerranée pendant l'Antiquité.
La Croix du Sud dont le nom s'oppose à la Croix du Nord
qu'est la constellation du Cygne est désormais l'une des
constellations les plus connues de l'hémisphère sud et ses cinq
étoiles les plus brillantes apparaissent sur les drapeaux de
nombreux pays comme l'Australie, le Brésil, la PapouasieNouvelle-Guinée, les Samoa, etc.
Elle faisait partie, à l'origine, de la constellation du Centaure
(qui l'entoure sur trois côtés) jusqu'à ce que A. Royer en fasse
une constellation à part entière en 1679. C'est la constellation la
plus petite du ciel mais elle est pourtant la plus remarquable et
la plus facilement reconnaissable. Elle se trouve dans la Voie
Lactée et contient un délicat amas d'étoiles connu sous le nom
de Boîte à Bijoux.
Vue depuis les latitudes tropicales, la Croix du Sud semble se
dresser lentement au-dessus de l'horizon, plein Sud, dès la fin
de l'hiver. A l'œil nu, le spectacle est splendide : en pleine Voie
Lactée, parmi les astres du Centaure tout proche, l'éclat des
quatre étoiles brillantes dessinant la Croix du Sud semble
rehaussé par la présence à leurs côtés d'une étrange zone
obscure, vide d'étoiles : le Sac à charbon.
Voilà pourquoi Jésus et nombre d'autres Dieux du ciel ont en
commun la crucifixion, la mort des 3 jours puis le concept de
résurrection. Elle correspond à la période de transition du Soleil
avant de commencer le chemin inverse. Vers l'hémisphère
Nord lorsqu'il apport le printemps et la providence.
Cependant on ne célébrait la résurrection du Soleil qu'à partir
de l'équinoxe du printemps, autrement dit à Pâques. Ceci
s'explique par le fait qu'à l'équinoxe de printemps, le Soleil
l'emporte officiellement sur l'obscurité malveillante et à mesure
que la durée du jour devient plus importante que la nuit, les
conditions favorisant la vie au printemps réapparaissent. Ce qui
nous amène aux 12 disciples, la symbolique astrologique
visiblement la plus répandue concernant Jésus. Ils
correspondent en réalité aux 12 constellations du Zodiaque.
Jésus étant le Soleil, il voyage avec elles. Le nombre 12 revient
donc souvent dans la Bible.
La croix du Zodiaque est donc la vie symbolisée du Soleil. C'est
aussi un symbole spirituel païen dont la simplification
ressemblait à une croix avec le Soleil. Ce n'est pas un symbole
du christianisme mais une adaptation païenne de la croix du
Zodiaque.
C'est pourquoi dans l'art culturel ancien, Jésus est toujours
représenté avec une croix derrière la tête. Car Jésus est le
Soleil, le Fils de Dieu, le Sauveur qui revient toujours comme il
le fait tous les matins.
Parmi les nombreuses métaphores astrologiques ou
astronomiques de la Bibles, une des plus importante concerne
les époques. Tout au long des textes sacrés il existe une
quantité considérable de références à l'époque. Afin d'en saisir
le sens il faut se familiariser avec le phénomène de la
précession des équinoxes. L'Egypte ancienne ainsi que
d'autres cultures bien plus anciennes, ont remarqué que tous
les 2150 ans environ, au matin de l'équinoxe du printemps, le
lever du Soleil se produit sous différents signes du Zodiaque
selon l'époque. Cela est dû au lent mouvement angulaire que la
terre maintient lors de la rotation sur son axe. On le qualifie de
"précession" car les constellations vont dans le sens inverse au
lieu de réaliser un cycle annuel normal. Le temps nécessaire
pour parcourir les 12 signes est de 25.765 années environ. On
l'appelle aussi la " GRANDE ANNEE ".
Le Cycle de Milankovitch
Milankovitch montra que les caractéristiques de l'orbite
terrestre, et l'orientation de l'axe de la terre pouvaient changer
avec le temps, en affectant le climat. Sur une période d'environ
100.000 ans, la forme de l'orbite terrestre passe graduellement
d'un cercle à une ellipse. Milankovitch calcula que l'angle
d'inclinaison de la Terre varie entre 22.5° et 24.5 ° avec une
périodicité de 41.000 ans. A l'heure actuelle, cet angle est de
23.5°. L'axe de la Terre précesse sur une période d 'environ
25.765 ans. La précession influe sur la durée des saisons.
Les sociétés anciennes connaissaient ce phénomène. Elles
attribuaient à chaque période de 2150 ans une époque. Ainsi
de 4300 ans avant J-C à l'an 2150 avant J-C se trouvait l'âge
du Taureau, signe du Taureau. De l'an 2150 avant J-C à l'an 1
de notre ère, c'est l’âge du Bélier, sous le signe du Bélier. Puis
de l'an 1 à l'an 2150 c'est l'âge du poisson, époque dans
laquelle nous sommes de nos jours. Aux alentours de 2150
nous entrerons dans une nouvelle ère : l'âge du Verseau.
La Bible reflète de façon générale le mouvement symbolique à
travers 3 âges tandis qu'elle annonce leur ordre. Dans l'Ancien
Testament lorsque Moïse descend du Mont Sinaï avec les 10
commandements, il est très en colère de voir son peuple en
adoration devant un Taureau en or. Il a donc brise les tablettes
en pierre puis il poussa son peuple à s'entretuer afin de les
purifier (Exode 32).
Beaucoup de spécialistes de la Bible attribuent cette colère au
fait que les Israéliens priaient une fausse idole. En réalité le
Taureau en or symbolisait Taurus. Puis MOÏSE représente le
Nouvel âge du Bélier. C'est pourquoi les Juifs encore
aujourd'hui soufflent dans une corne de Bélier.
MOÏSE représente donc le nouvel âge du Bélier et tous doivent
oublier l'ancien âge. D'autres divinités opèrent aussi ce genre
de transitions. MITHRA tue le Taureau dans la même
symbolique.
JESUS est la figure qui escorte vers l'âge qui succède au Bélier
: L'âge du Poisson (ou les deux poissons). La symbolique du
poisson est très présente dans le nouveau testament. JESUS
nourrit 5000 personnes avec du pain et 2 poissons.
A l'ère des Poissons, la Pierre philosophale ne pouvait pas
encore transformer l'humanité et la transformation
impossible à l'ère des Poissons est promise pour une Ere
nouvelle...
Le symbole du poisson est un symbole chrétien mais peu de
gens connaisse sa signification véritable. C'est un symbole
astrologique païen qui représente le règne du Soleil pendant
l'âge du poisson. La naissance de JESUS la plus couramment
acceptée correspond exactement au début de cet âge, c'est à
dire 4 avant J-C.
Dans Luc 22:10 quand ses disciples demandent à JESUS
quand il situera la prochaine Pâques après qu'il disparaisse,
Jésus répond : "Lorsque vous entrerez dans la ville, vous
rencontrerez un homme portant une cruche d'eau .../... suivezle dans la maison où il entrera". Ces écrits sont les plus
parlants de toutes les références astrologiques.
L'Homme qui porte de l'eau est le Verseau et il correspond à
l'âge qui se trouve après le Poisson. Lorsque le Soleil (le Fils de
Dieu) sort de l'ère du Poisson (Jésus), il rentre dans la Maison
du Verseau tout comme le Verseau succède au Poisson dans
la précession des équinoxes. Jésus veut simplement dire
qu'après l'ère du Poisson viendra l'ère du Verseau. Dans
Mathieu 28:20 Jésus dit : "Je suis avec vous, tous les jours
jusqu'à la fin du Monde". Dans la version du Roi Jacques le mot
"Monde" est une erreur de traduction (parmi tant d'autres) le
mot employé dans le texte original est "aeon" qui veut dire
"ère". Ainsi Jésus est avec nous jusqu'à la fin de cette ère, ce
qui est vrai puisque l'incarnation solaire de Jésus en Poisson se
termine par l'entrée du Soleil dans l'ère du Verseau. Le concept
entier Biblique de "fin des temps" ou de "de fin du Monde"
résulte simplement de l'interprétation erronée d'une allégorie
astrologique.
Le christianisme est l'histoire de l'impitoyable annulation
de toutes les choses féminines dans le domaine
spirituel, et l'ascension de l'influence des hommes dans
tous ce qui touche la culture.
LES SYMBOLES
Dans le système romain, le signe de la croix et son image
occupent une place prépondérante. Rien ne peut être fait sans
cette marque, pourtant selon la Bible, la croix du Christ est un
"arbre maudit", un signe de malédiction, cette malédiction que
Jésus-Christ a portée à la place du monde : Christ nous a
rachetés de la malédiction de la loi, quand il a été fait
malédiction pour nous; (car il est écrit: Maudit est quiconque est
pendu au bois;) Galates 3:13. La croix serait donc un objet de
malédiction mais avec lequel le Pape "bénit" les foules ...
Le signe de la croix n'est aucunement un symbole chrétien
Une représentation familière du soleil est un cercle divisé par
une croix, qui divise les quatre saisons et des équinoxes,
chacun étant une cause de célébration. Le Soleil a également
représenté les trois étapes de la vie, ce qui présente la toute
première trinité du monde. Tous les anciens savaient que nous
mortels sommes liés à une vie sur Terre, mais le ciel était la
demeure de Dieu du Soleil. Il habite "là-haut" dans "LE CIEL."
Vie éternelle pour toute l'éternité, passé et avenir. Certains
pourraient imaginer que nous serions dans ce ciel au-dessus
de notre passage. Même la Bible dit que Dieu est un "feu" dans
les cieux. (Deutéronome 4:24 ou Hébreux 12:29).
La croix catholique n'est pas un emblème chrétien, c'est le TAU
mystique des Chaldéens et des Egyptiens, la première forme
de la lettre T de Tammuz, le dieu sauveur des Chaldéens.
L'étude des monnaies antiques permet de retrouver ce signe
cabalistique. Ce Tau mystique était marqué sur le front des
initiés au moment du baptême des mystères païens. Pour
identifier TAMMUZ au soleil, on associait le Tau avec le
DISQUE SOLAIRE, en deux combinaisons possibles.
Le Tau mystique était appelé le signe de la vie : on le portait sur
son cœur comme une amulette. Il figurait sur les vêtements
officiels des prêtres, comme ceux de Rome. Les rois le
portaient à la main comme signe de leur autorité divine. Les
Vierges vestales le portaient en pendentif autour du cou,
comme les religieuses actuelles.
La croix de Malte que les prélats catholiques ont adoptée sur
leurs costumes d'apparat est sans équivoque possible en
relation avec le culte du soleil, car ce symbole a été trouvé à
Ninive par Layard comme emblème sacré (Layard, Ninive et
Babylone, p. 211).
Le Pentacle symbolise l'équilibre parfait entre les hommes et
les femmes, vieux symbole de 4000 AV JC, il est le symbole de
la planète VENUS qui dessine un pentacle dans son cycle avec
le SOLEIL et la TERRE. L'église dans une vaste campagne de
dénigrement contre les religions païennes diabolise de
nombreux symboles, les femmes déesses et les hommes qui
faisaient partie des anciens mythes païens. Le Trident de
Poséidon est devenu la fourche du diable, le chapeau Crone du
Sage est devenu le symbole d'une sorcière, les cornes d'un
taureau sont les cornes du diable, d'où le mot "cornée" est
originaire et la capacité de produire une nouvelle vie pour la
femme sacrée, essentiellement déesse.
Eve est celle qui est la tentation du péché. Les femmes doivent
être contrôlés. Même l'accouchement dans la douleur était
considérée comme juste châtiment. L'église a brûlé 5 millions
de femmes sur le bûcher. Cette tournure dans l'État de
Domination est l'évolution culturelle qui a conduit à la hiérarchie
des hommes dans les nouvelles religions et qui ont mis les
hommes dans toutes les positions de pouvoir. L'islam fera la
même chose plus tard en enlevant les déesse de la religion et
en abaissant la femme.
Voir : Symboles et Fêtes du culte
LES INVENTEURS ROMAINS
A partir des connaissances Astrologiques, Astronomique et des
Mythes des anciens, il fallait trouver les rédacteurs de la
nouvelle religion. Le roi de la Rome Antique était le seul à avoir
accès aux reliques antiques. Les choses changèrent en 510
avant JC lorsque le dernier roi fut jeté dehors lors d'une
révolution qui mena à l'établissement de la république romaine.
A partir d'une ancienne histoire répétées au cours des cinq
mille ans, Lucius Calpurnius Piso redige alors la version
moderne de KRIST pour se venger de Jules César et du
pouvoir de Rome.
La famille Des Piso descend de Philippe II de Macédoine (359336 AV JC). Philippe était le père de deux fils, Alexandre le
Grand et de Lagos. La lignée De Piso descend de Lagos à
travers les nombreux Ptolemys (rois de l'Égypte) en y incluant
la reine Cléopâtre. En leur temps, ils sont bien connues, comme
de grands écrivains. Ils étaient membres de la société secrète
et fermée du zoroastrisme, et les prêtres du temple de Zela
dans le pays de Pontus sur la côte sud de la mer Noire.
La famille a été trahi par Jules César, à bien des égards. La
plus grande partie de l'histoire du christianisme est fondé sur la
vengeance prises par la famille De Piso contre Jules César, en
remplaçant à la tête de la religion d'État romaine par une autre.
Les Pisos avait de nombreuses raisons de haïr Julius Caesar. Il
avait fait la guerre contre leur patrie. Il avait trahi son épouse
Calpurnia, qui a été un Piso. Il avait comploté avec le peuple
juif contre Alexandrie, qui est un autre bastion Piso. Il l'avait
écrit Pisos de sa volonté. En plus de tout cela, il a été Populiste
et allait à l'encontre des Royautés, et on le soupçonne que s'il
devait devenir dictateur, il pourrait même abolir l'esclavage et
soixante pour cent de la population de l'Empire romain étaient
des esclaves.
Le génie Manichéen des Piso, affûté par des décennies
d'intrigues et de manigances aristocratiques et politiques,
pouvait encore s'apercevoir lorsque Arius Calpurnius Piso
provoqua délibérément la révolte des Juifs en 66 de notre ère.
Grâce à ce stratagème il put détruire le temple de Jérusalem et
prendre les reliques et textes sacrés Gaius et Lucius Piso
étaient tous les deux mariés avec la petite fille « d'Hérode le
Grand ». Les attaques répétitives des extrémistes religieux
Judéens soulevaient des insurrections contre les dirigeants «
Hérodien » relations de la femme des Piso. Ils décidèrent donc
de créer un nouveau livre de religion « Juif » qui serait une
méthode idéale de résoudre les insurrections et de raffermir
leur contrôle de la région. Ce qu'ils firent. Dès 70 de notre ère,
Arius Calpurnius Piso écrivait en séquence les évangiles de
Mathieu, celui de Marc et celui de Luc avec l'aide de Pline le
Jeune en s'assurant d'intégrer à cette fiction des relations avec
des personnages réels de l'époque. Arius s'inséra lui-même en
jouant non seulement le rôle de Jésus mais eut aussi un plaisir
particulier à jouer celui de Joseph. Son souhait était ainsi de
créer un nouveau héros Juif, un sauveur. La christianité, le
nouveau testament, l'église, Jésus, Jean le batiste, Joseph,
Marie, Paul, les apôtres, les disciples, furent la création
exclusive des Calpurnius Piso et n'ont aucune réalité historique.
Les Piso leurs partenaires orthodoxes juifs et leurs descendants
posséderaient l'exclusivité de cette science ancienne. Et
puisque cette religion murerait les propos païens, ce petit
groupe de gens sélect seraient donc les seuls à savoir qu'ils
possèdent cette exclusivité, ce qui pourrait s'appeler de «
l'exclusivité anonyme ». N'est-ce pas là le meilleur atout de
toute guerre?
La destruction des temples païens arracha le cœur des petites
cités romaines. Lorsque le voile de la Terre Plate se déploya,
les fenêtres de verres et les planchers de mosaïque fine
disparurent pour mille ans.
Voir : Conspiration de la Terre plate
LES ANCIENS MYTHES
Toute la cosmologie des sumériens est dans la bible.
L'histoire de Noé et du déluge est directement issue de
cette tradition
LE DELUGE
Un des épisodes les plus célèbres de la mythologie
sumérienne, celui de "Gilgamesh" en quête de l'immortalité.
Cette légende nous est parvenue à travers des copies datant
de 2000av JC. Elle relate les exploits des héros et des dieux
sumériens. Le plus célèbre de ces personnages est
Gilgamesh, roi d' Uruk peu après 3000av JC. Il est l'un des
tout premiers rois après le déluge. Le Noé biblique est
largement inspirée de cette histoire, on devine une source de la
mythologie grecque (les exploits d'Héraclès), et de la Bible (le
Déluge y est conté).
Dans ce récit les différences entre le Noé biblique, qui n'est
qu'un homme au service de Dieu, et, le Noé sumérien
(Ziusudra en sumérien, Outnapishtim en akkadien et Atrahasis
en Babylonie ), qui est ici déifié, il possède l'immortalité ! Le
récit apparaît ainsi bien plus fantastique et énigmatique que
dans la Bible qui l'adapte au monothéisme. Exemple typique
d'une réinterprétation biblique d'un récit sumérien : celui du
déluge et de l'après-déluge. Les récits gravés dans les tablettes
se recoupent avec les textes bibliques tel que Shinar,
mentionné lors de l'épisode de la tour de Babel.
Enki a trouvé la solution au problème de main d'œuvre pour
extraire les ressources de la terre, une créature capable
d'effectuer le même travail que les colonisateurs fut donc créée.
En argile le Dieu et l'homme seront liés, en une unité
rassemblée. Ainsi jusqu'à la fin des temps la chair et l'âme qui
dans un Dieu ont mûri. On retrouve un terme similaire dans la
Genèse biblique: " 2.7 L'Éternel Dieu forma l'homme de la
poussière de la terre "
Après avoir créé les hommes, les dieux entreprirent à plusieurs
reprises d'anéantir l'humanité. Les hommes s'étaient en effet
multipliés à un tel point qu'ils en vinrent à faire trop de bruit,
gênant ainsi les dieux. Namtar, dieu de la mort et de la peste,
fut, par exemple, chargé de déchaîner une maladie sur les
hommes. Mais un autre dieu, Enki, eut pitié d'eux et déjoua ce
plan. D'autres calamités furent ainsi décidés, mais, à chaque
fois, Enki aida les hommes. Enki se vit donc accuser par les
autres dieux, c'est alors que ce dernier, pour se défendre,
amena l'idée d'un déluge. Enlil, sur l'idée d'Enki, décida que
toute l'humanité devrait périr noyée. Mais, Enki parla à AtraHasis (le 'Noé sumérien') dans un rêve et l'avertit que
l'humanité était en danger. Il lui dit de construire un bateau. Sur
ce, Atra-Hasis informa les autres hommes. Il quitta ensuite la
ville, prenant avec lui des artisans qui l'aideraient dans la
construction du bateau. Ils assemblèrent donc le matériel,
construisirent le bateau, puis embarquèrent des oiseaux, du
bétail et des humains de la famille d'Atra-Hasis. La pluie
commença à tomber, pendant 7 jours et 7 nuits les vents
soufflèrent et l'eau se déchaîna. Enfin, la tempête se calma.
Atra-Hasis sortit du bateau et fit des offrandes à tous les dieux,
qui avaient faim. Ils s'étaient attroupés autour des offrandes
comme des mouches. Les dieux constatèrent que les hommes
avaient survécu au déluge. Enlil était furieux. Les dieux avaient
juré par serment la perte des humains, et, pourtant, ils avaient
survécu. "comment cela était-ce possible ?", demanda Enlil. An
lui répondit que cela ne pouvait être que le fait d'Enki. Enki pour
apaiser la fureur d'Enlil suggéra une solution : les humains ne
se multiplieraient plus si vite. Les maladies en décimeraient un
tiers. Les accouchements deviendraient douloureux et
dangereux, les enfants pourraient d'ailleurs mourir pendant
l'opération.
"Six jours et sept nuits passèrent; Les tempêtes du déluge
soufflaient encore; Les tempêtes du sud couvraient le pays. Le
septième jour; Les tempêtes du déluge; Qui telles une armée;
Avaient tout massacré sur leur passage; Diminuèrent
d'intensité; La mer se calma; Le vent s'apaisa; La clameur du
déluge se tut." (L'Epopée de Gilgamesh, traduction d'A. Azrié).
Les mythes du déluge sont-ils la mémoire d'un événement réel
? Différents chercheurs ont essayé d'apporter la preuve
géologique ou archéologique de l'existence du déluge. D'autres
avancent que les évènements considérés ne peuvent avoir
marqué les différentes civilisations (ils seraient trop anciens,
trop lents ou trop lointains), et que ce mythe serait donc une
pure invention, ou l'exagération d'un événement local. Le
déluge est-il un événement réel et localisable dans le temps et
l'espace ? Néanmoins, l'universalité du récit et les détails quasi
identiques (construction d'une embarcation, nombre de
survivants, couples d'animaux à sauver, etc.) tendent à
confirmer une catastrophe majeure et planétaire.
La version Latine
D'après le poète latin Ovide, le Déluge eut pour cause le fait
que les hommes oubliaient de sacrifier aux dieux. Leurs
uniques pensées étaient pour l'argent et le plaisir. Pour les
punir, Zeus décida donc de les anéantir. Le déluge détruisit
alors tout ce qui se trouvait sur la Terre, noyant les hommes,
les villes et les forêts. Tous les hommes moururent, hormis un
couple qui avait construit une barque. C'était Deucalion et sa
femme Pyrrha. Au bout de plusieurs jours, la pluie cessa et la
barque s'arrêta au sommet de Parnasse. Lorsque Zeus aperçut
les deux survivants , il décida de leur laisser la vie sauve pour
qu'ils puissent régénérer le genre humain. Ils devraient jeter
des pierres derrière eux, qui aboutiraient à des hommes et à
des femmes.
La version Biblique
D'après la Bible, le Déluge fut l'inondation universelle dont les
seuls survivants furent Noé et sa famille. Dieu avait ordonné à
celui-ci de construire une arche (du latin arca, boîte), pour qu'il
sauve sa famille et des couples de tous les animaux en les
gardant avec lui à l'abri à bord de l'arche jusqu'à ce que les
eaux retrouvent leur niveau normal. Au Moyen-Âge, la nef des
églises a souvent été comparée à l'arche de Noé, parce que
c'était là que les hommes marqués par le péché étaient
préservés de la ruine.
La version Indienne
Les versions indiennes du Déluge sont nombreuses, celle du
Catapatha Brâhmana narre que le Noé indien se nomme
Manou et qu'il est lui aussi prévenu du Déluge, mais par un
poisson providentiel : " Un matin, on apporta à Manou de l'eau
pour se laver, comme à présent on en apporte pour se laver les
mains. Tandis qu'il se lavait ainsi, un poisson lui vint dans les
mains. Le poisson lui adressa la parole : " Garde-moi, je te
sauverai ! -De quoi me sauveras-tu ? - Un déluge va emporter
toutes les créatures. C'est de cela que je te sauverai. "
(Anthologie sanskrite, traduction de L. Renou).
La version Coranique
Le Coran parle du déluge et de Noé en ces termes : «Et il fut
révélé à Noé: 'De ton peuple, il n'y aura plus de croyants que
ceux qui ont déjà cru. Ne t'afflige pas de ce qu'ils faisaient. Et
construis l'arche sous Nos yeux et d'après Notre révélation. Et
ne M'interpelle plus au sujet des injustes, car ils vont être
noyés'. Et il construisait l'arche. Et chaque fois que des
notables de son peuple passaient près de lui, ils se moquaient
de lui. Il dit: 'Si vous vous moquez de nous, eh bien, nous nous
moquerons de vous, comme vous vous moquez (de nous)'. Et
vous saurez bientôt à qui viendra un châtiment qui l'humiliera,
et sur qui s'abattra un châtiment durable!" Puis, lorsque Notre
commandement vint et que le four se mit à bouillonner (d'eau),
Nous dîmes: 'Charge (dans l'arche) un couple de chaque
espèce ainsi que ta famille - sauf ceux contre qui le décret est
déjà prononcé - et ceux qui croient'. Or, ceux qui avaient cru
avec lui étaient peu nombreux. Et il dit: "Montez dedans. Que
sa course et son mouillage soient au nom d'Allah. Certes mon
Seigneur est Pardonneur et Miséricordieux". Et elle vogua en
les emportant au milieu des vagues comme des montagnes. Et
Noé appela son fils, qui restait en un lieu écarté (non loin de
l'arche): "Ô mon enfant, monte avec nous et ne reste pas avec
les mécréants". Il répondit: "Je vais me réfugier vers un mont
qui me protègera de l'eau". Et Noé lui dit: "Il n'y a aujourd'hui
aucun protecteur contre l'ordre d'Allah. (Tous périront) sauf
celui à qui Il fait miséricorde". Et les vagues s'interposèrent
entre les deux, et le fils fut alors du nombre des noyés. Et il fut
dit: "Ô terre, absorbe ton eau! Et toi, ciel, cesse (de pleuvoir)!"
L'eau baissa, l'ordre fut exécuté et l'arche s'installa sur le Joûdî,
et il fut dit: "Que disparaissent les gens pervers"!» (Coran,
XI:36-44)
Voir : Les Suméiens
L'EDEN
Dans la tradition hébraïque l'EDEN est ce mythique jardin où le
seigneur plaça Adam et Eve. D'ailleurs, I’ hébreu Eden a
conservé le sens de volupté de plaisir et de félicité. La
linguistique nous apprend que, non seulement, la notion
d'Eden, mais le terme lui-même, sont son d'origine sumérien
dans le terme "Edinu" (la plaine, la campagne).
C'est aussi à Sumer que nous trouvons la plus ancienne notion
de "Gan", désignant un champ, une terre cultivée en sumérien.
De ce Gan sumérien est issu plus tard le "Gannatu" Akkadien
(le parc) et plus tardivement encore le Gan hébreu qui
désignera le parc ou jardin d'Eden. Le Gan Eden hébreu est
donc le parc ou le jardin dans la plaine ou la campagne. L'Eden
sumérien se nomme "Nidduki", équivalent de "dilmun" en
akkadien. Les deux termes ont le sens de pays de gloire, de
soleil et de lumière. Les traditions suméro-sémitiques situent
l'Eden dans le golfe Persique (nommé Mer ou Fleuve Amer ou
encore Mer du Soleil Levant). Cet Eden paradisiaque se situe à
"Dilmun" ou à proximité, connu jadis aussi sous le nom de "KaLum-Ma" (ou Pays des Dattes), aujourd'hui (Bahrcin).
La corrélation entre la conception sumérienne et sa copie
déviée qu'est la relation sémitique est étonnante. L'emprunt des
termes n'est pas seul en cause, il y a aussi l'emprunt du mythe:
Dans cet Eden Dilmun règne la Grande Déesse "Ninhursag",
Reine du Pays. Elle donnera naissance à trois générations de
déesses engendrées par le Dieu de l'Eau. Noé sauvé des eaux
aura aussi trois fils : Caïn, Abel, et Seth, Adam rescapé
vraisemblablement d'un premier déluge aura aussi trois fils :
Caïn, Abel, Seth. On voit déjà le passage des cultes
méditerranéens archaïques, de type Matriarcal passer au type
sémite Patriarcal.
Mais, dans son infinie bonté, la Déesse, compatissante, créera
huit divinités pour les guérir (tradition dravidienne des divinités
féminines qui envoient et guérissent les maladies) Or, l'une des
8 parties malades est une "côte" et pour guérir cette "côte" la
déesse créera la déesse "Ninti" (Eve). Ti sumérien signifie vivre
et faire vivre. C'est donc Ninti (Eve), qui permet à "Enki" (Adam)
de vivre ou de survivre. "Eve" n'avait donc rien à voir avec la
Pomme symbole du péché dont on l'accusa à tort. Les hébreux
ont inversé le mythe comme plus tard les aryens inventeront
celui de Pandore.
L'Eden paraît n'avoir rien de mythique, et il y a de fortes
chances que ce "Paradis" ait bien existé. Ce fut un pays où il
faisait bon vivre, où l'on pratiquait la religion, l'agriculture, la
métallurgie (comme dans le mythe de l'Atlantide). C'est aussi la
Terre des ancêtres.
Voir : Les Sumériens
L'INVENTION DU MONOTHEISME
Il est important de souligner que les hébreux n'en sont venus à
concevoir un seul Dieu par élimination successive de plusieurs
autres dieux. Il est faux de penser que le Dieu unique qu'Israël
s'est mis à adorer venait de nul part et était par conséquent
totalement inconnu. Moïse et d'autres prophètes rappelaient
sans cesse aux peuple d'Israël que ce Dieu était le Dieu de
leurs pères. Il y a donc eu un passage du polythéisme au
monothéisme par étapes successives, au fur et à mesure que le
peuple hébreux, ABRAHAM en tête, prenait conscience qu'un
dieu qu'il connaissait déjà était en fait le seul à exister. Le
"Dieu" ést là, depuis toujours.
L'HENOTHEISME
Abraham, était babylonien, de race sémitique et natif de Ur. Il
ne fait donc pas de doute qu'il ne fut pas monothéiste de
naissance, bien au contraire. Il adorait très probablement les
dieux sumériens, au sommet duquel se trouvait la Divine Triade
( An, Enlil et Enki ). ABRAHAM reçut un appel de Dieu à l'âge
de 75 ans (Genèse 12). Dieu lui demandait de quitter Sumer
pour s'établir en Canaan ( Israël ) et appelait Abraham à se
consacrer à Lui.
ABRAHAM aurait vécu à une date difficile à préciser, mais
qu'on pourrait situer autour de l'an 2000 avant Jésus-Christ. Les
trois religions monothéistes (Judaïsme, Christianisme, Islâm) se
réclament d'Abraham et le considèrent comme le modèle parfait
du monothéiste, mais elles divergent sur son rôle, sa
généalogie et sa première descendance.
Sa naissance en un pays où régnait l'astrolâtrie, présente
quelques analogies avec celle de Moïse et le fait, en lui-même,
est assez troublant. Lui aussi est né en une ville (Ur) à un
moment où, à la suite d'un rêve annonciateur de malheurs, le
roi local Nemrod constructeur de la légendaire Tour de Babel,
avait ordonné de mettre à mort tous les nouveau-nés, comme le
pharaon plus tard, à la suite d'un songe annonciateur de la
naissance de Moïse.
Il ne tarda pas à être choqué par les croyances des idolâtres, à
commencer par celles de son père. Aussi prit-il la résolution de
les combattre et de faire prévaloir le culte du seul vrai Dieu.
On organisait, en Babylonie d'alors, un pèlerinage annuel sous
l'égide du souverain. Il se déroulait dans le désert et donnait
lieu à de grandes démonstrations de piété et d'allégresse. Le
culte comportait une procession entre deux rangées de statues
de divinités alignées par ordre de taille de part et d'autre du
chemin que le cortège devait suivre, avant d'arriver au temple
principal, comme les béliers ou les lions devant les temples
pharaoniques de Thèbes qui sont à peu près de la même
époque. Juste à l'entrée de celui-ci était dressée une statue, la
plus grande de toutes. Elle était en or et représentait
probablement Marduk ou Ea " Ses yeux étaient figurés par
deux pierres précieuses qui scintillaient dans la nuit ". Devant
ces statues, les pèlerins déposaient les mets qu'ils apportaient
en offrande, avant d'entrer au temple.
A dix-sept ans ABRAHAM dut participer à l'un de ces
pèlerinages. Il lui répugnait de pratiquer l'idolâtries et jura de
faire un mauvais sort aux statues qui constituaient à ses yeux
des blasphèmes contre l'unique vrai Dieu. Après avoir fait
œuvre d'iconoclaste en Babylonie, il quitta Ur (sur ordre de
Dieu) pour se rendre en Syrie puis en Palestine, en passant par
Hurân, Sichem, Bethel, Negeb, construisant partout des autels,
avant d'aller (à la suite d'une grande famine), en Egypte, où il
demeura quelque temps avant de se rendre en Palestine puis
de se fixer dans le pays de Cana'ân (à la même époque se
situe la destruction de Sodome et Gomorrhe). Pour prouver sa
soumission, Abraham se vit dans l'obligation de sacrifier l'un de
ses fils.(Isaac selon la Genèse, Ismaël selon le Coran). Ayant
donné toute la mesure de sa soumission à Dieu, il fut
miraculeusement arrêté dans son geste et l'immolation n'eut
pas lieu...
Dans l'hébreu du texte original, ce Dieu était "El", le dieu
principal du panthéon cananéen, le dieu du temps. El est la
forme cananéenne évoluée du dieu sumérien "Enlil". Par
transformations linguistiques successives " Enlil " (sumérien
primitif), se transforma en "Ellil" (akkadien) puis devint "El" en
cananéen. Enlil était le dieu du vent chez les sumériens, chez
les akkadiens, il était aussi le dieu de l'air et du ciel, chez les
cananéens
il
était
le
dieu
du
Temps.
Ci-contre: Représentation du dieu Marduk
Dans l'hébreu du texte original, ce Dieu était "El", le dieu
principal du panthéon cananéen, le dieu du temps. El est la
forme cananéenne évoluée du dieu sumérien "Enlil". Par
transformations linguistiques successives " Enlil " (sumérien
primitif), se transforma en " Ellil "(akkadien) puis devint "El" en
cananéen. Enlil était le dieu du vent chez les sumériens, chez
les akkadiens, il était aussi le dieu de l'air et du ciel, chez les
cananéens il était le dieu du Temps.
C'est donc sous le nom de "El" que Dieu adressa cet appel à
Abraham (El en hébreux en est venu à désigner le Dieu unique,
surtout dans les noms composés comme IsraEL, BéthEL,
GabriEL, EmmanuEL, etc.). Abraham, prit conscience que
parmi tous les dieux qu'il adorait, El occupait une place à part,
cette prise de conscience était évidemment due à l'appel de
Dieu, le dieu du ciel le Dieu unique oublié. Dans la Genèse, il
n'est dit nul part qu'Abraham ou les patriarches avaient nié
l'existence d'autres dieux.
Il leur était simplement demandé de ne s'attacher qu'à une
divinité particulière, c'est ce qu'on appelle "hénothéisme". Il est
en effet très surprenant de constater que dans la Genèse, les
patriarches ne prennent jamais position face aux autres dieux,
ils se contentent de s'attacher à "El".
Ce Dieu des patriarches n'était pas inconnu des autres peuples,
il était même craint, ce qui n'est guère étonnant si l'on
considère que "El "était le dieu principal du panthéon
cananéen. Dans la Genèse 12, Abraham prétend que Sarah est
sa sœur pour éviter que Pharaon ne le tue pour s'emparer de la
belle Sarah. Le Pharaon ne se rend compte de la supercherie
que sur l'intervention de Dieu ; l'exemple est encore bien plus
explicite avec le roi païen Abimélek, il connaît Dieu et le craint
(cf. Gn 20 + 21, 22-24) ; de même en Gn 26, 7-11 + 26, 26-30,
où nous avons un 'remake' de l'histoire d'Abraham et
d'Abimélek, mais, avec, cette fois-ci, Isaac. Dieu semble aussi
être connu sous le nom même de Yahvé. Sur la
reconnaissance de l'existence d'autres dieux par les Hébreux.
(Ps 82, 1 ; Ps 89, 6-8 ; Jb 1, 6 ; Jb 2, 1 ; Jb 38, 7). Chez les
Patriarches et les premiers Hébreux, il existait une grande
pluralité de noms de divinités, qu'ils rattachaient plus ou moins
à leur Dieu d'attachement "El". Cela témoigne bien chez eux
d'une conscience plutôt floue de l'idée d'un Dieu unique (cf. El
Elyôn - Gn 14, 18-22 ; Nb 24, 16 ; Dt 32, 8 - El Roï - Gn 16,
13.14 - El Shaddaï - Gn 17, 1 ; Gn 28, 3 ; Gn 35, 11 ; Nb 24, 16
- El Olâm - Gn 21, 33 - Pahad - Gn 31, 42 - El Béthel - Gn 31,
13 - Baal Berît - Jg 8, 33 ; 9, 4 - El Berît - Jg 9, 46).
Il s'agit donc bien là ce que l'on appelle "hénothéisme", c'est à
dire l'attachement à un dieu particulier sans négation de
l'existence d'autres dieux. Dieu travaillait progressivement son
peuple, le conduisant ainsi sur la route du monothéisme.
Allah était en cours d'invention depuis des siècles lorsque
l'islam (judaïsme ismaélite) apparut au cinquième siècle. C'était
déjà le nom du Dieu unique des Arabes chrétiens. Allah vient
de la divinité sumérienne Lilîtu, évoluant en Lilith, puis en Al-ilat,
mais aussi de El, Dieu, en akkadien Ilu. Le nom Allah a été
masculinisé à partir de al-ilat (déesse) devenu al ilah (dieu).
Allah s'écrivait al ihal, car la langue arabe n'avait pas alors la
chadda, redoublement de la consonne, pour écrire Allah. De
nombreuses formes préfigurèrent ce nom : eloah, alah, elâhon,
elah, ilan, allaho, ilahân, il, EL
L'islam en investissant les personnages bibliques n'arabise pas
seulement les noms, il met en lumière ou délaisse certains
épisodes, en ajoute parfois d'autres. Certaines figures
proviennent de l'Ancien Testament - Adam (Âdam) et Ève
(Hawwâ), Noé (Nûh), Moïse (Mûsâ), Abraham (Ibrâhîm),
Salomon (Sulaymân), Joseph (Yûsuf) ; d'autres du Nouveau
Testament - Jésus ('Îsâ), Marie (Maryam), Jean Baptiste
(Yahya Ibn Zakariyyâ) ; enfin deux sont spécifiques à l'islam,
Sâlih et Hud. Seul mortel à avoir parlé directement à Dieu,
Moïse est mentionné plus qu'un autre dans le Coran car il a
délivré la Loi écrite à son peuple et a fait grand nombre de
miracles. Abraham, moins cité, occupe néanmoins la place
centrale. Ni juif ni chrétien, il est qualifié de hanîf, c'est-à-dire
qu'il adhère au monothéisme originel.
LA MONOLÂTRIE
L'étape suivante vers le monothéisme fut la monolâtrie
(attachement à un dieu national, et donc, concurrent des autres
divinité). Avec la monolâtrie, le passage vers le monothéisme
se précise. Il n'est plus question de tolérer les autres divinités,
on reconnaît certes leur existence, mais, on leur devient hostile,
c'est là la grande différence. Du même coup, la divinité
nationale, Yahvé pour Israël, est vue comme supérieure aux
autres dieux.
Cette prise de conscience de la supériorité du Dieu d'Israël, de
son côté unique et particulier par rapport aux autres dieux, se fit
avec Moïse. Le nom de Yahvé (ou Yaweh, Yawoh, Jéhovah,
etc.) prend une importance particulière au regard des autres
noms qui lui était attribué, comme "EL", par exemple (Ex 3, 1315). Yahvé n'est peut-être pas non plus étranger au panthéon
sumérien, sous une forme plus primitive, avant les évolutions
linguistiques habituelles, Yahvé était probablement connu des
sumériens sous le nom d' Enki ou Ea (qui se prononce Eyah),
le fameux dieu qui sauva les hommes du déluge, le dieu des
eaux, celui qui participa à la création du monde avec Enlil.
Le Dieu unique était donc connu des temps les plus anciens,
mais il a été divisé et assimilé selon ses fonctions de créateur
et de sauveur en 2 divinités : Enlil et Enki. En somme, les
hommes avaient déformé l'image de leur Dieu en plusieurs
dieux. Avec Abraham et maintenant Moïse, le processus de
rétablissement et de recalcifications s'opère. Par Moïse, la
"purification" des scories du polythéisme s'intensifie, il demande
à son peuple non seulement de s'attacher à Yahvé, mais aussi
de rejeter les autres dieux. Ce phénomène de monolâtrie n'était
d'ailleurs pas l'apanage d'Israël, ainsi Kamosh était le dieu
national des Moabites, Mardouk, celui des Babyloniens, etc.
Les Sumériens associaient déjà une divinité particulière à
certaines villes. La grande différence toutefois résidait dans le
fait que pour Israël Yahvé ne pouvait pas se réduire à un sacré
impersonnel étant unique et agissant. C'est à partir de cette
constatation que les Israélites finirent par reconnaître leur Dieu
comme le Dieu unique du monde et de l'univers.
LE MONOTHEISME
Le monothéisme est la croyance en un seul Dieu créateur de
l'univers avec en parallèle le rejet absolu de l'existence de tout
autre divinité. Ainsi dès la Genèse, nous avons le récit d'un
Dieu créateur. De même, dans le Deutéronome, certains
passages semblent déjà indiquer une prise de conscience de
l'unicité de Dieu (Dt 6, 4) ou encore 2 Rois 5, 15.17. Mais, ces
références ne sont que des amorces, elles témoignent d'une
certaine hésitation entre la monolâtrie et le monothéisme. Il
faudra attendre l'exil à Babylone (587-538 av. JC) pour que la
maturation soit complète.
En exil, les hébreux sont confrontés directement à un
environnement où les divinités des maîtres de l'Empire néobabylonien étaient habituellement représentées par des
statues, instinctivement les prophètes les rejetèrent à partir de
la longue tradition d'Israël de ne pas représenter Yahvé.
Commença alors une réflexion sur l'impuissance des autres
dieux, qui manifestement n'étaient que des statues sans grand
pouvoir, tout naturellement cette réflexion aboutit au
monothéisme.
Avec cet exil, nous assistons donc au passage de la monolâtrie
de Moïse, proclamant Yahvé (ENLIL + ENKI + AN, la divine
triade des sumériens) comme l'unique Dieu d'Israël, tout en se
préoccupant assez peu du statut des dieux des autres nations,
à l'affirmation claire du monothéisme suivant lequel Yahvé est
le seul vrai Dieu, dominant l'univers. C'est pourquoi les citations
bibliques les plus significatives tendant à appuyer l'idée de
monothéisme se trouvent dans des passages qui ont
visiblement été écrits peu de temps avant ou pendant ou
encore après l'exil (Jérémie 2, 11 ; Jérémie 16, 19-20 ; Isaïe 43,
10-11 ; Isaïe 44, 6.8 ; 45, 5-7.18.21-22). Dans ces conditions, il
n'est pas étonnant qu'Israël ait interprété sa libération du joug
babylonien par le perse Cyrus comme étant l'œuvre direct de
Yahvé, qui dirige toutes choses.
LA FIN DES TEMPS
Lorsque les hommes eurent commencé à se multiplier sur la
surface de la Terre et que des filles leur furent nées, " les fils de
Dieu " (ou les Elohim - fils du ciel) virent que les filles des
hommes étaient belles et ils en prirent pour femmes parmi
toutes celles qu'ils choisirent . (Genèse Ch. 6).
Ces fils de Dieu font donc partie de la période avant le déluge.
Selon la Bible ces êtres (qui ressemblaient aux humains)
auraient créé une race d'hommes célèbres par leur force et
leurs vertus! Hélas nous n'avons que peu de sources sur les
périodes précédant le déluge, seul Platon nous apporte le
témoignage du grec Solon qui a obtenu d'un chef des prêtres
de Saïs quelques renseignements sur une ancienne civilisation
: un royaume qui fut longtemps habité par des hommes " sages
et bons" mais qui fut par la suite "envahi par la corruption " au
point que de nombreuses personnes périrent noyées dans une
guerre civile. Le mythe de l'Atlantide fait immédiatement
penser au grand déluge universel, mais le trou noir de 6000 ans
entre le déluge et la nomination du premier ministre Imhotep en
Egypte v. - 2750 n'excluent pas que d'autres catastrophes
soient intervenues entre temps...
Voir : Le Cycle Destruteur
SOURCES ET LIENS
Caparisot
Cdli.ucla.edu
Bible.chez-alice.fr
Zeitgeist movie
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