Introduction • L'informatique à sa motivation initiale était de faciliter et d'accélérer le calcul, maintenant se sont ajoutées de nombreuses fonctionnalités: Architecture des ordinateurs – automatisation automatisation, – contrôle et la commande de pratiquement tout processus, – la communication et le partage de l'information. Il s'agit dans ce cours de comprendre, à bas niveau, l'organisation des ordinateurs IvMad, 2002-2005 Introduction 2 Introduction • Un ordinateur a toujours les mêmes blocs fonctionnels : • Un ordinateur peut être découpé en plusieurs blocs fonctionnels : – – – – – – – – – – – – Traitement de l'information par le processeur; – Actions définies par des instructions; – Données et instructions stockées en mémoire; – Processeur et mémoire sont reliés par un bus; – Communication par les dispositifs d'entrées et de sorties unité de traitement; mémoire; disque dur; écran, clavier, souris disquette, bande magnétique, disque optique; imprimante; etc. • reliés par des bus ou des réseaux. IvMad, 2002-2005 3 IvMad, 2002-2005 Histoire des ordinateurs 1ère génération Matériel : Logiciel : Usage : Histoire des ordinateurs 1946 ENIAC Lampes électroniques, temps moyen entre deux pannes de l'ordre du quart d'heure Programmation en langage machine Calcul de tables, pour la balistique, la bombe, etc. IvMad, 2002-2005 4 5 2ème génération Matériel : 1955 - IBM 650 Logiciel g : système y d'exploitation p batch, programmation en assembleur, puis en FORTRAN Calcus numériques répétitifs Usage : transistor et circuit imprimé IvMad, 2002-2005 6 1 Histoire des ordinateurs 3ème génération 1964 - IBM 360, CDC 6000, miniordinateurs Matériel : circuits intégrés, parallélisme dans l'exécution pour améliorer la vitesse L i i l: Logiciel compilateurs il t de d langages l de d programmation : FORTRAN, Cobol, Algol, PL/1, APL, Lisp, Pascal, C. Systèmes en temps partagé. Ordinateur central d'entreprise, spécialisé gestion ou calcul Usage : IvMad, 2002-2005 Histoire des ordinateurs 4ème génération Matériel : L i i l: Logiciel 7 IvMad, 2002-2005 1984 - Macintosh, stations Sun Logiciel g : MSDOS, MacOS avec icônes et souris microprocesseurs : 8 MHz, 512 Ko à 1 Mo de RAM 6ème génération Matériel : Logiciel : microordinateur individuel familial et de bureau, apparition progressive de la mise en réseau local, politique de downsizing en entreprise 9 Histoire des ordinateurs 7ème génération Matériel : Logiciel : Usage : 8 Histoire des ordinateurs 5ème génération Matériel : IvMad, 2002-2005 Microordinateur individuel de bureau. Services informatiques d'entreprise centralisés en infocentre Usage : Histoire des ordinateurs Usage : 1976 – microordinateurs Apple II, puis IBM PC microprocesseur VLSI (inventé en 1974 par Intel) : 1 MHz, 1Ko à 8 Ko de RAM applicatifs li if : tableur, bl texteur. Usage : 1992 – PC, Wintel microprocesseurs : 33 MHz, 640 Ko à 4Mo de RAM, super ordinateurs : 150 Gigaflops g p ((Fujitsu j VPP 700, 1999)) Navigateur pour le web, mutimédia Généralisation de l'ordinateur, tandis que la puisance de calcul donne accès au traitement d'images et de sons. Internet. Groupware. IvMad, 2002-2005 10 Architecture de Von Neumann ? • Architecture caractérisée par un processeur et une mémoire reliés par un bus : portable miniature, 3 GHz en 2001 ou invisible : intégré aux objets de la vie courante entrée - sortie vocale ? Assistance à l'utilisateur par des agents intelligents ? Ne se plante plus ? Concept d'objet terminal d'Internet ? IvMad, 2002-2005 – Instructions et données sont stockées dans la mémoire. – Pour accéder à une information en mémoire le processeur affiche sur le bus l'adresse de celle-ci. 11 IvMad, 2002-2005 12 2 Architecture de Von Neumann Architecture de Von Neumann • La machine de base ne présenterait aucun intérêt sans au moins un dispositif d'entrée/sortie pour une communication avec l'extérieur. • Interface directement reliée au processeur : IvMad, 2002-2005 • Interface connectée au bus commun : – Un fil spécialisé du bus indique si le processeur s'adresse à la mémoire ou à l'interface d’E/S. 13 IvMad, 2002-2005 Processeur Architecture de Von Neumann • Le fonctionnement d'un processeur est basé sur l'exécution des instructions en étapes : • Interface vue par le processeur comme une partie de la mémoire : – – – – – – chargement de l'instruction à exécuter ; décodage de l'instruction ; localisation des données en mémoire ; chargement des données si nécessaire ; exécution de l'instruction ; sauvegarde des résultats à leurs destinations respectives ; – passage à l'instruction suivante. – L'interface est sur le bus commun, le choix de l'adresse indique si le processeur s'adresse à la mémoire é i ou à l'interface. l'i t f IvMad, 2002-2005 15 Unité centrale de traitement IvMad, 2002-2005 16 Unité centrale de traitement • L'unité de commande contient un dispositif de décodage des instructions et un séquenceur pour le contrôle des circuits nécessaires à l'exécution de l'instruction en cours; • L'unité arithmétique et logique (ALU) exécute des opérations arithmétiques comme l'addition, la soustraction, des décalages, des opérations booléennes (ET, OU, etc...), des comparaisons, etc... IvMad, 2002-2005 14 17 • Registres : mémoire locale rapide pour le stockage des résultats temporaires et des commandes : – compteur ordinal (CO) pointe sur la prochaine instruction à exécuter; – registre i t d'instruction d'i t ti (RI) contient ti t l'instruction l'i t ti en cours d'exécution; – registre d'état (PSW : Processor Status Word) indique l'état du système : dépassement, retenue, etc... – pile et pointeur de pile (SP : Stack Pointer); IvMad, 2002-2005 18 3 Unité centrale de traitement Horloge • Toutes ces unités fonctionnent au même rythme, à une cadence imposée par une horloge, externe à l'unité centrale. • A chaque cycle d'horloge, chaque unité va ouvrir ou fermer certaines portes pour déplacer, déplacer lire, lire écrire, écrire comparer, additionner des bits. • Ceci se fait en fonction d'ordres donnés par l'unité de contrôle. Ces ordres dépendent évidemment de l'instruction à exécuter. • IvMad, 2002-2005 19 Mémoires 20 Mémoires • Mémoire est tout dispositif capable de stocker des informations (instructions et données) • Les informations peuvent être écrites ou lues q g enregistre des – Il y a écriture lorsqu'on données en mémoire, – lecture lorsqu'on sort des informations précédemment enregistrées IvMad, 2002-2005 IvMad, 2002-2005 21 Mémoires • Le temps d'accès est : – le temps qui s'écoule entre l'instant où a été lancée une opération de lecture en mémoire et l'instant où la première information est disponible. • Le L temps de d cycle l est : – l'intervalle minimum qui doit séparer deux demandes successives de lecture ou d'écriture • Le temps de cycle est égal ou supérieur au temps d'accès IvMad, 2002-2005 22 Mémoires • On appelle cadence de transfert ou débit d'une mémoire, le nombre maximum d'informations lues ou écrites par unité de temps • Une mémoire est formée d'un certain nombre de cellules, ou cases • Chaque cellule a un numéro (adresse) qui permet de la référencer et de la localiser • Avec une adresse de n bits il est possible de référencer directement au plus 2n cellules • La capacité d'une mémoire est le nombre total de cellules qu'elle contient • Elle s'exprime en nombre de bits, d'octets (bytes) ou de mots (words) • Compte tenu de l'adressage binaire, les capacités des mémoires s'expriment en puissances de deux ou en multiples de 210 = 1024 IvMad, 2002-2005 IvMad, 2002-2005 23 24 4 Mémoires Mémoires • Dans une mémoire à semi-conducteur, on accède directement à n'importe quelle information dont on connaît l'adresse et le temps d’accès ne dépend pas de l'adresse • IvMad, 2002-2005 25 Le Bus 26 Entrées/Sorties • Pour pouvoir exécuter une tâche, l'ordinateur doit disposer du programme et des données. Dès que le travail est accompli, les résultats du traitement sont communiqués à l'utilisateur. Les techniques dd'échange échange dd'informations informations entre l'ordinateur et son environnement externe sont appelées techniques d'Entrées/Sorties (E/S ou I/O pour Input/Output) • Un bus est le moyen de communication entre les éléments d’une machine. • C’est un ensemble de fils électriques. Les éléments sont reliés au bus par des connecteurs • Chaque emplacement (slot) du fond de panier peut recevoir une carte électronique IvMad, 2002-2005 IvMad, 2002-2005 27 IvMad, 2002-2005 28 Micro-ordinateur 16 bits • IvMad, 2002-2005 29 5 29/05/2010 Ordinateur • Principes de fonctionnement : – La mémoire principale (MP) permet de stocker de l'information (programmes et données) Architecture des ordinateurs Les éléments de l’ordinateur 2 – Processeur exécute pas à pas les instructions composant les programmes. IvMad, 2002-2005 Programme 2 Ordinateur • Un programme est une suite d'instructions élémentaires exécutées par le processeur. • Ces instructions correspondent à des actions très simples : • – comme additionner deux nombres, – lire ou écrire une case mémoire, – etc. IvMad, 2002-2005 3 4 Processeur Processeur • Une horloge qui rythme le processeur. • A chaque TOP d'horloge le processeur effectue une instruction • Les éléments principaux : • Une horloge qui rythme le processeur – (MIPS: Millions dd'instruction instruction par seconde). Par exemple une fréquence de 100 Mhz effectue 100 000 000 d'instructions par seconde. • Une unité de gestion des bus • Une unité d'instruction • Une unité d'exécution IvMad, 2002-2005 IvMad, 2002-2005 5 IvMad, 2002-2005 6 1 29/05/2010 Processeur Processeur • Le processeur travaille avec un nombre très limité de fonctions (ET logique, Ou logique, addition ...), celles-ci sont directement câblées sur les circuits électroniques. • L Le processeur estt constitué tit é de d silicium ili i ett le l silicium coûte cher – Le parallélisme consiste à exécuter simultanément sur des processeurs différents des instructions relatives à un même ê programme. – Cela se traduit par le découpage d'un programme en plusieurs processus qui seront traités par des processeurs différents • Il chauffe beaucoup. • Le processeur traite les informations compliquées à l'aide d'instructions simples. IvMad, 2002-2005 • Parallélisme 7 Processeur IvMad, 2002-2005 8 Processeur • Pipelining • Architecture CISC – Un programme comporte généralement des portions de code (plus ou moins grandes) qui sont traitées de nombreuses f i par le fois l processeur. – Le pipelining consiste donc à éviter d'avoir à réitérer de nombreuses fois des instructions que l'on a déjà traitées en fournissant directement le résultat! IvMad, 2002-2005 9 Processeur – Traitent des instructions complexes complexes, qui sont directement câblées sur leurs circuits électroniques – On gagne en rapidité d'exécution sur ces commandes, mais : coût plus élevé, qu'une instruction à la fois IvMad, 2002-2005 10 La mémoire principale • Architecture RISC – Reduced Instruction Set Computer n'a pas de fonctions supplémentaires câblées. • Programmes ayant des instructions simples. • Programmation P ti plus l difficile. diffi il • Coût réduit au niveau de la fabrication • Les instructions, étant simples, sont exécutées en un cycle d'horloge, ce qui rend l'exécution plus rapides • Tels processeurs sont capables de traiter plusieurs instructions simultanément en les traitant en parallèle. IvMad, 2002-2005 – Complex Instruction Set Computer est utilisée par tous les processeurs de type x86 - Intel, AMD, Cyrix, ... 11 • Dans un ordinateur toutes les informations sont manipulées sous une forme binaire • Le rôle des mémoires est de conserver programmes, données provenant de l' té i l'extérieur, résultats é lt t intermédiaires, i t édi i données d é à transférer à l'extérieur. • Ces mémoires sont à accès aléatoire (RAM : Random Acces Memory) IvMad, 2002-2005 12 2 29/05/2010 RAM RAM • La mémoire vive est volatile pour la conservation de son contenu nécessite la permanence de son alimentation électrique • L'information élémentaire, ou bit, est mémorisée é i é dans d une cellule ll l mémoire é i • Les cellules sont groupées en mots de n bits (n bits sont traités simultanément) IvMad, 2002-2005 13 RAM 14 • L'organisation des cellules à l'intérieur d'un bloc correspond au schéma suivant, chaque ligne correspond à un mot de n bits : 15 Technologie des mémoires vives IvMad, 2002-2005 16 Technologie des mémoires vives • RAM dynamiques (DRAM) • Mémoires vives statiques (SRAM) – Type de mémoire très utilisé car peu coûteux. – Les boîtiers enferment une pastille de silicium avec un très grand nombre de cellules binaires. – Une cellule est réalisée à partir d'un transistor relié à un petit condensateur. L'état chargé ou déchargé du condensateur permet de distinguer deux états (bit 0 ou bit 1). – Le condensateur se décharge seul et donc if faut le rafraîchir périodiquement (1000 fois/s) IvMad, 2002-2005 IvMad, 2002-2005 RAM • Pour pouvoir identifier individuellement chaque mot on utilise k lignes d'adresse. La taille d'un bloc mémoire est donc 2k. • Une ligne de commande (R/W) indique si la mémoire est accédée en écriture ou en lecture IvMad, 2002-2005 • La mémoire est divisée en emplacements de taille fixe (8 bits byte) utilisés pour stocker instructions et données 17 – Chaque cellule binaire est réalisée à l'aide de 4 transistors formant un bistable, circuit restant d'un l'état 0 ou 1 tant qu'il est alimenté électriquement électriquement. – Les SRAM permettent des temps d'accès plus court que les DRAM, mais sont plus coûteuses – Les SRAM sont utilisées pour maximiser les performances, pour construire des mémoires caches. IvMad, 2002-2005 18 3 29/05/2010 Types de barrettes de mémoire Types de barrettes de mémoire • Barrettes au format SIMM (Single Inline Memory Module) • Barrettes au format DIMM (Dual Inline Memory Module) sont des mémoires 64 bits – SIMM à 30 connecteurs, mémoires 8 bits pour PC (286, 386) – SIMM à 72 connecteurs, mémoires 32 bits pour PC allant du 386DX aux premiers Pentiums, dont le bus de données est de 64 bits - deux barrettes SIMM IvMad, 2002-2005 19 IvMad, 2002-2005 20 Types de barrettes de mémoire Types de barrettes de mémoire • La SDRAM DDR (Double Data Rate) est une évolution directe de la SDRAM. Cela double la bande passante disponible et s'exécute deux fois plus rapidement que la SDRAM standard. À titre d'exemple, la SDRAM DDR 266 MHz ((deux fois 133 MHz)) présente p une bande passante de 2,1 Go/s et est appelée PC2100. • La grande différence entre la SDRAM DDR et la SDRAM standard réside dans le DDR qui lit les données sur les fronts ascendant et descendant du signal d'horloge. • Synchronous DRAM (SDRAM) est un type de DRAM synchronisé avec la fé fréquence du d BUS et peut être lancé à 133 Mhz, trois fois plus rapide que la RAM conventionnelle et deux fois plus rapide que le DRAM. IvMad, 2002-2005 – Les barrettes DIMM possèdent des puces de mémoire de part et d'autre du circuit imprimé et é l t 84 connecteurs t d chaque h ôté ontt également de côté, ce qui les dote d'un total de 168 broches. 21 IvMad, 2002-2005 22 La mémoire morte (ROM) La mémoire morte (ROM) • ROM (Read Only Memory) - mémoire permettant de stocker des données en l'absence de courant électrique • Le BIOS est un programme permettant de piloter les interfaces d'entrée-sortie principales du système, d'où le nom de BIOS ROM donné parfois à la puce de mémoire é i morte de d la l carte-mère è quii l'héberge l'héb • Différentes mémoires de type ROM contiennent des données essentielles au démarrage : IvMad, 2002-2005 23 IvMad, 2002-2005 24 4 29/05/2010 La mémoire morte (ROM) La mémoire morte (ROM) • Le chargeur d'amorce : un programme permettant de charger le système d'exploitation en mémoire (vive) et de le lancer. C • Le Setup CMOS, c'est l'écran disponible à l'allumage de l'ordinateur permettant de modifier les paramètres du système (souvent appelé BIOS à tort...) – Cherche généralement le système d'exploitation sur le lecteur de disquette, puis sur le disque dur IvMad, 2002-2005 • Le Power-On Self Test (POST), programme exécuté automatiquement à lamorçage du système permettant de faire un test du système ("compter" la RAM au démarrage) 25 IvMad, 2002-2005 Les types de ROM 26 Les types de ROM • ROM • PROM – Les premières ROM étaient fabriquées à l'aide d'un procédé inscrivant directement les données binaires dans une plaque de silicium grâce à un masque C'est un circuit intégré dont le contenu masque. est déterminé une fois pour toute au moment de la fabrication. IvMad, 2002-2005 27 Les types de ROM IvMad, 2002-2005 28 Les types de ROM • EPROM • EEPROM – Les EEPROM (Electrically Erasable read Only Memory) sont aussi des PROM effaçables, ff bl par un simple i l courant électrique, c'est-à-dire qu'elle peuvent être effacées même lorsqu'elles sont en position dans l'ordinateur. – Les EPROM (Erasable Programmable Read Only Memory) sont des PROM pouvant être effacées. Ces puces possèdent une vitre permettant de laisser passer des rayons ultraultra violets. Lorsque la puce est en présence de rayons ultra-violets d'une certaine longueur d'onde, les fusibles sont reconstitués, c'est-àdire que tous les bits de la mémoire sont à nouveau à 1. IvMad, 2002-2005 – Les PROM (Programmable Read Only Memory) ont été mises au point à la fin des années 70 par la firme Texas Instruments. Ces mémoires sont des puces constituées de milliers de fusibles pouvant être "grillés" grâce à un appareil appelé programmateur de ROM, envoyant un fort courant (12V) dans certains fusibles. Ainsi, les fusibles grillées correspondent à des 0, les autres à des 1. 29 IvMad, 2002-2005 30 5 29/05/2010 Opérations sur la mémoire Les types de ROM • FLASHROM signifie que vous pouvez effacer une ROM en une éclaire (d'où le terme anglais flash). C'est une sorte de EEPROM mais de conception différente. L'Eff L'Effacement est réalisé é li é par banques b de d mémoire plutôt que caractère par caractère comme dans les EEPROM, cela aide à diminuer leurs coûts de production. IvMad, 2002-2005 • Le processeur peut modifier l'état de la mémoire ou bien par un accès DMA des contrôleurs d'entrées/sorties • écriture d'un emplacement : le processeur donne une valeur l ett une adresse, d ett la l mémoire é i range la l valeur l à l'emplacement indiqué par l'adresse ; • lecture d'un emplacement : le processeur demande à la mémoire la valeur contenue à l'emplacement dont il indique l'adresse. Le contenu de l'emplacement lu reste inchangé. 31 IvMad, 2002-2005 32 Mémoires caches Hiérarchie mémoire • L'idée est d'intercaler entre le processeur et la mémoire principale un circuit de mémoire statique de petite taille, plus rapide que la mémoire dynamique. • IvMad, 2002-2005 33 IvMad, 2002-2005 34 Les registres et l'accumulateur Les registres et l'accumulateur • Le processeur utilise des registres pour stocker temporairement une donnée, une instruction ou une adresse. • Exemple : Ajouter 5 au contenu de la case mémoire d'adresse 180 • Chaque registre (mémoire rapide) stocke 8, 16 ou 32 bits. • Le nombre exact de registres dépend du type de processeur (10 - 100) – registre accumulateur - stocke les résultats des opérations arithmétiques et logiques. IvMad, 2002-2005 35 – Le processeur lit et décode l'instruction ; – le processeur demande à la mémoire la contenu d l'emplacement de l' l t 180 ; – la valeur lue est rangée dans l'accumulateur ; – l'unité de traitement (UAL) ajoute 5 au contenu de l'accumulateur ; – le contenu de l'accumulateur est écris en mémoire à l'adresse 180. IvMad, 2002-2005 36 6 29/05/2010 Architecture d'un processeur Architecture d'un processeur • ACC : Accumulateur ; • RTUAL : Registre Tampon de l'UAL, stocke l'un des deux opérandes d'une instructions arithmétiques; • Reg. d'état : stocke les indicateurs; • RI : Registre Instruction, contient le code de l'instruction en cours d'exécution; • IP : Instruction Pointer ou Compteur de Programme, contient l'adresse de la prochaine instruction à exécuter; • RTA : Registre Tampon d'Adresse, utilisé pour accéder à une donnée en mémoire. • IvMad, 2002-2005 37 IvMad, 2002-2005 Les BUS 38 Les BUS • Les informations échangées entre la mémoire et le processeur circulent sur des bus • Un bus est un ensemble de n fils conducteurs, utilisés pour transporter n signaux binaires • Le bus d'adresse est un bus unidirectionnel : seul le processeur envoie des adresses • Le bus de données est un bus bidirectionnel. – Lecture, la mémoire envoie un mot sur le bus (le contenu de l'emplacement demandé); – Ecriture, le processeur qui envoie la donnée. IvMad, 2002-2005 39 IvMad, 2002-2005 40 La carte-mère Architecture du PC • • La carte-mère contient des éléments embarqués • Le chipset, circuit qui contrôle la majorité des ressources (interface de bus du processeur,mémoire p , cache et mémoire vive,, slots d'extension,...) • L'horloge et la pile du CMOS • Le BIOS • Le bus système IvMad, 2002-2005 41 IvMad, 2002-2005 42 7 29/05/2010 La carte-mère La carte-mère • Facteur d'encombrement - la géométrie et les dimensions • Le chipset – circuit électronique chargé de coordonner les échanges de données entre les divers composants de l'ordinateur (processeur, mémoire; ...). • Boîtiers • AT baby • AT full format – Certains chipsets intègrent une puce graphique ou une puce audio • ATX • LPX • NLX IvMad, 2002-2005 43 IvMad, 2002-2005 La carte-mère La carte-mère • L'horloge et la pile du CMOS • Le BIOS – L'horloge temps réel est un circuit chargé de la synchronisation des signaux du système. – Le BIOS (Basic Input/Output System) est le programme basique servant d'interface entre le système d'exploitation et la carte-mère. – C ’est un cristal qui, en vibrant, donne des impulsions (appelés tops d'horloge) d horloge) afin de cadencer le système. – Fréquence de l'horloge (exprimée en Mhz) est le nombre de vibrations du cristal par seconde IvMad, 2002-2005 44 45 La carte-mère – Le BIOS est stocké dans une ROM, ROM ainsi il utilise les données contenues dans le CMOS pour connaître la configuration matérielle du système IvMad, 2002-2005 46 La carte-mère • Le processeur • Les connecteurs d'extension – ISA (Industry Standard Architecture) : permettant de connecter des cartes ISA, les plus lentes,16-bit connecteur – VLB (Vesa Local Bus): Bus servant autrefois à connecter des cartes 16 16-bit bit + 16 16-bit bit – PCI (Peripheral Component InterConnect) : cartes plus rapides, 32-bit – AGP (Accelerated Graphic Port): connecteur pour carte graphique. – AMR (Audio Modem Riser): pour brancher des mini-cartes sur les PC • La carte-mère possède un ou plusieurs emplacement(s) pour le processeur • slot : connecteur rectangulaire dans lequel on mett le l processeur verticalement ti l t • socket : connecteur carré possédant un grand nombre de petits connecteurs sur lequel le processeur vient directement se poser IvMad, 2002-2005 47 IvMad, 2002-2005 48 8 29/05/2010 La carte-mère • IvMad, 2002-2005 49 9 29/05/2010 Les notions numériques • Au cours des siècles, la façon de représenter les nombres s'est adaptée à leur utilisation. • La numérations des Grecs était fondée sur les initiales des noms des chiffres : le nombre 5 était désigné par la lettre pi, pi 10 par la lettre delta, 100 par la représentation ancienne de la lettre H, 1 000 par la lettre c et 10 000 par la lettre µ. Architecture des ordinateurs Représentation des données 3 IvMad, 2002-2005 Les notions numériques Les notions numériques • Le système de symboles numériques romain exprimait tous les nombres de 1 à 1 million avec sept symboles b l : • Ils forment un système de notation numérique semi-positionnel. • Le système de notation numérique utilisé dans la plupart des pays du monde est le système arabe. I pour 1 IV pour 4 V pour 5 IX pour 9 X pour 10 XL pour 40 L pour 50 XC pour 90 C pour 100 CM pour 900 D pour 500 1 Les notions numériques • Cette numération hindoue fût introduite dans le monde arabe vers le VIIe apr. J.-C. IvMad, 2002-2005 1 Codage de l'information • L'innovation la plus importante du système numération arabe est l'emploi d'une notation positionnelle, qui confère des valeurs différentes aux symboles numériques selon leur position dans le chiffre écrit. L'utilisation d'un symbole pour zéro permit l'introduction de la notation positionnelle. • Le nombre 123 se décompose : • (1x102)+(2x101)+(3x100) = 123 IvMad, 2002-2005 • Mis au point par les Hindous, employé en Inde au IIIe siècle av. av J.-C. J -C • L'usage d'un tel système en Europe datent de 976 apr. J.-C. M pour 1000 IvMad, 2002-2005 1 1 • Les informations traitées par un ordinateur peuvent être de types texte ou nombres, mais elles sont toujours représentées et manipulées sous forme binaire pour des raisons de commodité de translation des calculs en signaux électriques. • Toute information sera traitée comme une suite de 0 et de 1. L'unité d'information est le bit (pour binary digit, chiffre binaire). IvMad, 2002-2005 1 1 29/05/2010 Codage de l'information Codage de l'information • Le codage d'une information consiste à établir une correspondance entre la représentation externe de l'information (le caractère A), et sa représentation interne dans la machine, qui est une suite de bits. • • On utilise la représentation binaire car elle est simple, facile à réaliser techniquement à l'aide de bistables. IvMad, 2002-2005 • • 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 0000 0001 0010 0011 0100 0101 0110 0111 1000 1001 1010 1011 1100 1101 1110 1111 00010000 00010001 00010010 00010011 00010100 Octal Hexadécimal 0 1 2 3 4 5 6 7 10 11 12 13 14 15 16 17 20 21 22 23 24 1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 A B C D E F 10 11 12 13 14 IvMad, 2002-2005 Changements de bases • En base 10, on écrit par exemple 1998 pour représenter le nombre : 1998 = 1 x 103 + 9 x 102 + 9 x 101 + 8 x 100 • Exemple en base 2 : (101)2 = 1 x 22 + 0 x 21 + 1 x 20 = 4 + 0 + 1 = 5 La notation ( )b indique que le nombre est écrit en base b. • Passage d'une base quelconque à la base 10 • Il suffit d'écrire le nombre et d'effectuer les opérations en décimal : • En E base b 16 ; – A représente 10, – B - 11, – et F - 15). 1 IvMad, 2002-2005 1 Passage de la base 10 vers une base quelconque On procède par divisions successives, en divisant le nombre par la base, puis le quotient obtenu par la base, et ainsi de suite jusqu'a obtention d'un quotient nul. La suite des restes obtenus correspond aux chiffres dans la base visée. Exemple : soit à convertir (44)10 vers la base 2 44 = 22 x 2 + 0 => a0 = 0, 44 / 2 = 22 0 22 = 11 x 2 + 0 => > a1 = 0, 0 22 / 2 = 11 0 11 = 2 x 5 + 1 => a2 = 1, 11 / 2 = 5 1 5 = 2 x 2 + 1 => a3 = 1, 5 / 2 = 2 1 2 = 1 x 2 + 0 => a4 = 0, 2 / 2 = 1 0 1 = 0 x 2 + 1 => a5 = 1, 1 / 2 = 0 1 4410 => 1011002 IvMad, 2002-2005 1 • (AB)16 = 10 x 161 + 11 x 160 = 160 + 11 = (171)10 Passage de la base 10 vers une base quelconque • Binaire Changements de bases IvMad, 2002-2005 • Décimal 1 • Exemple de conversion des systèmes de numération : Codage : base 10 -> base b (où b = 2, b = 16) IvMad, 2002-2005 1 2 29/05/2010 Le cas des bases 2, 8 et 16 • • • • Transcodage Ces bases correspondent à des puissances de 2 d'où des passages de l'une à l'autre très simples Les bases 8 et 16 sont pour cela très utilisées en informatique, elles permettent de représenter rapidement et de manière compacte des configurations binaires Chaque chiffre en base 16 (24) représente un paquet de 4 bits consécutifs. Par exemple : (10011011)2 = (1001 1011)2 = (9B)16 3 Chaque chiffre en base 8 (2 ) représente un paquet de 3 bits consécutifs. Par exemple : (1110111)2 = (1 110 111)2 = 1678 IvMad, 2002-2005 • • 1. 2. 3. Transcodage : base b1 -> base b2 Deux solutions possibles : •décodage : base b1 -> base décimale, suivit de codage : base décimale -> base b2; •transcodage direct avec les difficultés de calculs en base b1 ou base b2; •Cas particulier de transcodage où b2 = b1p exemple_1 : b1 = 2, b2 = 16, p = 4 (0001 0000 0101)2 -> (105)16 exemple_2 : b1 = 2, b2 = 8, p = 3 (100 000 101)2 -> (405)8 1 IvMad, 2002-2005 Passage de la base 10 vers une base quelconque • Une conversion en C • // convertit un entier hexadécimal en décimal. /* %x ou %X pour afficher des nombres en hexadecimal */ /* [0-9A-F] controle l'entree de chiffres de 0 a 9 et lettres de A a F */ #include <stdio.h> void main(void) { int hexa=0x0, deci=0, n; printf("Entrez printf( Entrez un nombre hexadecimal : "); ); scanf("%x[0-9A-F]", &hexa); printf("Entrez un nombre decimal : "); scanf("%d", &deci); printf("\nLe nombre hexadecimal %X en decimal est %d", hexa, hexa); printf("\nLe nombre decimal %d en hexadecimal est %X", deci, deci); } Decimal Binary Hexa Decimal Binary Hexa 0 0000 0 8 1000 8 1 0001 1 9 1001 9 2 0010 2 10 1010 A 3 0011 3 11 1011 B 4 0100 4 12 1100 C 5 0101 5 13 1101 D 6 0110 6 14 1110 E 7 0111 7 15 1111 F IvMad, 2002-2005 1 IvMad, 2002-2005 Les conversions en C 1 Les conversions en C • // Exemple pour afficher la table ascii #include <stdio.h> void main() { int i, n = 0; printf("\n-------- La Table ASCII ---------\n"); for (i = 0; i < 256; ++i) { putchar(i); putchar(' '); n++; if (n >= 20) { putchar('\n'); n = 0; } } printf("\n--------------------------------\n"); } IvMad, 2002-2005 1 • void dec2bin(int dec, char *bin) { int k = 0, n = 0, r; char temp[32]; do { r = dec % 2; // reste de la division dec = dec / 2; // enlever un chiffre temp[k++] = r + 0x30; // code de ‘0’ } while (dec > 0); while (k >= 0) { bin[n++] = temp[--k];// inverser le contenu } bin[n-1] = 0; // fin avec NULL } 1 IvMad, 2002-2005 1 3 29/05/2010 La table ASCII IvMad, 2002-2005 La table ASCII 1 La table ASCII IvMad, 2002-2005 IvMad, 2002-2005 1 La table ASCII 1 La table ASCII IvMad, 2002-2005 1 UNICODE • L'Unicode spécifie un numéro unique pour chaque caractère pour tout plates-formes, logiciels et langues. • Fondamentalement, les ordinateurs ne p que q les nombres. Ils codent les comprennent lettres et autres caractères sous formes de nombres. • Avant l'invention d'Unicode, des centaines de systèmes de codage de caractères ont été créés. IvMad, 2002-2005 1 IvMad, 2002-2005 1 4 29/05/2010 UNICODE UNICODE • Le standard Unicode attribue à chacun de ses caractères une valeur numérique et un nom. • À l'heure actuelle, les données Unicode peuvent être codées sous deux formes : – une forme implicite de 16 bits – et une forme de 8 bits dénommée UTF-8 conçue pour faciliter son utilisation sur les systèmes ASCII préexistants. IvMad, 2002-2005 1 IvMad, 2002-2005 1 UNICODE IvMad, 2002-2005 1 5 29/05/2010 Système d’exploitation • Le système d'exploitation d'un ordinateur est le programme qui permet d'accéder aux ressources matérielles de cet ordinateur : – processeur; – mémoire;; – processus; – le temps; – les interactions homme-ordinateur; – les périphériques (clavier, écran, liaisons réseau, imprimante, disque dur, etc). Architecture des ordinateurs 5 IvMad, 2002-2005 1 Système d’exploitation • Les systèmes d'exploitation les plus répandus sont les suivants : 3 Système d’exploitation IvMad, 2002-2005 4 Système d’exploitation • Le BIOS (Basic Input Output System, système d'entrées/sorties de base) constitue la couche basse du SE pour PC. • Les fonctions du BIOS – on peut considérer le BIOS comme une librairie de fonctions. • Il est responsable de la gestion du matériel : clavier écran, clavier, écran disques durs, durs liaisons séries et parallèles. – Chaque fonction effectue une tâche bien précise. – L'appel de l'une de ces fonctions constitue un appel système. • Le programme du BIOS se trouve en mémoire morte (ROM). IvMad, 2002-2005 2 Système d’exploitation • Le rôle principal du système d'exploitation est d'isoler les programmes des détails du matériel. IvMad, 2002-2005 IvMad, 2002-2005 5 IvMad, 2002-2005 6 1 29/05/2010 Système d’exploitation Système d’exploitation • Appel système : instruction INT n • Le déroulement de INT n se passe comme suit : • Présentation du DOS – Le système DOS (Disk Operating System) repose sur le BIOS, dont il appelle les fonctions pour interagir avec le matériel. – Les fonctions du DOS s'utilisent via des vecteurs d'interruptions. – Les fonctions du DOS s'appellent toutes à l'aide du vecteur 21H. La valeur du registre AH permet d'indiquer quelle est la fonction que l'on appelle. – Sauvegarde les indicateurs du registre d'état sur la ppile;; – Sauvegarde CS et IP sur la pile; – CS et IP sont chargés avec la valeur lue à l'adresse 4n, n étant le paramètre de INT. – L'exécution continue au début du traitant d'interruption. IvMad, 2002-2005 IvMad, 2002-2005 7 Les registres IvMad, 2002-2005 Unité centrale de traitement IvMad, 2002-2005 9 10 Saisie et affichage d’un caractère Système d’exploitation • Les fonctions 01h et 02h • Description de quelques fonctions DOS Code main: Code End IvMad, 2002-2005 8 11 assume CS:Code segment use16 mov AH, 01H int 21h ; le caractère mov DL, DL AL mov AH, 02H int 21h mov ah, 4Ch int 21h Ends main ; saisie au clavier lu arrive dans AL ; ; ; ; IvMad, 2002-2005 affichage lu dans DL stop programme return au DOS 12 2 29/05/2010 Affichage de tous les caracteres jusqu'à la fin de ASCII • Code segment use16 assume CS:Code mov AH, 01h int 21h mov DL, AL main: for: dans DL fin: Code End main mov AH, 02h int 21h inc AL cmp AL, 7Bh je fin jmp for mov ah, 4Ch int 21h Ends ; saisie ; caractere dans AL ; met caractere ; ; ; ; ; ; affichage caractere dans DL incrementer AL comparer AL avec '{' si egal alors fin sinon continue ; retour DOS IvMad, 2002-2005 15 code end 14 • L'opération à effectuer : Si on introduit le caractère 'a' et on applique l'opération AND bit à bit, alors on obtient le code de la majuscule 'A' : a => 01100001 AND 11011111 ------------A => 01000001 IvMad, 2002-2005 16 • ; la somme de deux entiers de 16 bits data SEGMENT USE16 A DW 10 ; défini un mot (16 bits) B DW 1789 ; défini un mot (16 bits) R DW ? ; défini un mot (16 bits) data ENDS code SEGMENT USE16 ASSUME DS:data, CS:code include proc.inc ; le code de 'affdecimal' debut: MOV AX, , data ; charge g 'data' en AX MOV DS, AX ; initialise DS MOV AX, A ; met A en AX ADD AX, B ; ajoute B à AX MOV R, AX ; range resultat en mémoire call affdecimal ; affiche des entiers MOV AH, 4CH ; Retour au DOS: INT 21H Code ENDS END debut use16 01h ; saisie 11011111b ; masque al 02h ; affichage 4Ch ; returne au DOS IvMad, 2002-2005 IvMad, 2002-2005 Opérations arithmétiques Minuscule, Majuscule et les masques segment cs:code mov ah, int 21h and al, mov dl, mov ah, int 21h mov ah, int 21h ends main Code End Minuscule, Majuscule et les masques • Le code binaire des lettres majuscules présente un sixième bit 0 stable : A => 01000001; Z => 01011010 Le code binaire des lettres minuscules présente un sixième bit 1 stable : a => 01100001; z =>01111010 Alors, si on change le sixième bit dd'une une majuscule à 1 on obtient la minuscules. Si on change le sixième bit d'une miniscule à 0 on obtient la majuscule. Ainsi le code binaire 11011111 (masque) avec une opération bit à bit & (AND) peut transformer une minuscule en une majuscule. IvMad, 2002-2005 main: segment use16 assume CS:Code mov AH, 01h ; saisie int 21h ; le caractère dans AL sub AL, 61h ; code 'a' add AL, 41h ; code 'A' mov DL, AL ; ranger en DL mov AH, 02h ; affichage int 21h mov ah, 4Ch ; retour DOS int 21h Ends main 13 Minuscule, Majuscule et les masques • code assume main: Minuscule, Majuscule • Code 17 IvMad, 2002-2005 18 3 29/05/2010 Affichage d’un octet en binaire Boucle • CODE segment use16 assume cs:CODE START: ; MOV CX, 2000 ; MOV AL, 2Eh ; MOV DL, AL ; Repeat: MOV AH, 02h ; INT 21h ; DEC CX ; CMP CX, 0 ; JG Repeat ; MOV AX, 4C00h ; INT 21H CODE ends END START ; Segment de code • On traite la valeur contenue dans un registre de 8 bits On utilise un masque égal à 10000000b On réalise le test AND avec la valeur du registre On boucle l’opération par un décalage de 1 bit à gauche Début du programme met le compteur à 2000 charche AL avec '.‘ met AL dans DL prend '.' de DL affiche à l’écran CX— CX == 0? Si plus grand loop! Retour au DOS IvMad, 2002-2005 19 Affichage d’un octet en binaire 21 Lire des nombres • assume CS:Code Code segment use16 main: mov BL, 19 ; à coder en binaire mov CX, 8 ; compteur de boucle masque: test BL, 10000000b JNZ bit1 ; Jump if not Zero bit0: mov DL, "0" jmp aff bit1: i mov DL,"1" aff: mov AH, 02h ; affichage d'un bit int 21h SHL BL, 1 Loop masque mov ah,4Ch int 21h Code Ends End main IvMad, 2002-2005 22 Lire des nombres • En assembleur la notion des types n'existe pas • La fonction d'accès au clavier scanne le code ASCII de la touche frappée. • Alors, il faut convertire le code ASCII en valeur numérique : '1' – '0' => 1; 31h-30h=01h • Le poid fort est lu en premier; il faut décaler ses bits à gauche à chaque entrée suivante : 76 = 7*101+6*100 IvMad, 2002-2005 20 Affichage d’un octet en binaire • Les instructions nécessaires : • L’instruction SHL Dest, Source (« Shift logical Left »). Décale les bits de Destination de Source positions vers la gauche. Les bits les plus à droite sont remplacés par des zéros. • L’instruction LOOP MonLabel décrémente CX, puis, si CX <> 0, 0 fait un saut à MonLabel • L’instruction TEST Destination, Source (« Test for bit pattern »). Effectue un ET logique bit à bit entre Destination et Source. Le résultat n’est pas conservé, donc Destination n’est pas modifié IvMad, 2002-2005 IvMad, 2002-2005 23 • 7610 = 01001100b (7 -> 0111; 6 -> 0110) • 0000 0111 << 1 N1 -> 0000 1110 << 1 0001 1100 << 1 0011 1000 + N1->0000 N1 >0000 1110 0100 0110 + 6 ->0000 0110 0100 1100 -> 76 IvMad, 2002-2005 24 4 29/05/2010 Lire des nombres Système d’exploitation • assume Data N1 Data Code main: CS:Code, DS:Data Segment use16 db ? Ends segment use16 mov AX, Data Mov DS, AX Mov N1, 0 lire: mov AH, 01h int 21h Cmp AL, "0" JB fin Cmp AL, "9" JA fin Sub AL, "0" fin: Code End • Le code du programme suivant lit un caractère au clavier et l'affiche en majuscule : SHL N1, 1 Mov BL, , N1 SHL BL, 1 SHL BL, 1 Add N1, BL Add N1, AL jmp lire mov ah, 4Ch int 21h Ends main IvMad, 2002-2005 25 • Modification d'un vecteur d'interruption en langage C • Assembleur dans les programmes C sur PC – On modifie un vecteur d'interruption pour installer un traitant d'interruption, "fonction" appelée par l'instruction INT n – void interrupt un_traitant(); – Voici un exemple en langage g g C: – Le programme fait décalage à gauche d’un bit, ce qui donne une multiplication par 2 – En Turbo C, (DOS.H) on dispose de deux fonctions qui permettent de manipuler facilement la table des vecteurs d'interruption : – setvect() - modifie un vecteur – getvect() - lis la valeur d'un vecteur. – Le résultat est 40 pour la variable A 27 Système d’exploitation IvMad, 2002-2005 28 Système d’exploitation • Le système d'exploitation DOS comprend: • Chargement de DOS: – Le fichier MSDOS.SYS contient des routines d'accès aux lecteurs de disquettes, aux répertoires et au fichiers. – Le BIOS est ll'interface interface qui commande les périphériques (clavier, écran). – Les routines correspondantes du système d'exploitation se trouve dans le fichier IO.SYS. – L'interprétateur de commande dans COMMANDE.COM IvMad, 2002-2005 26 Système d’exploitation Langage C et Assembleur IvMad, 2002-2005 IvMad, 2002-2005 29 – Les fichiers systèmes IO.SYS et MSDOS.SYS sont chargés en RAM, – MSDOS.SYS appelle le fichier CONFIG.SYS, • qqui charge g COMMAND.COM,, • qui lui appelle l 'AUTOEXEC.BAT. IvMad, 2002-2005 30 5 29/05/2010 Système d’exploitation Système d’exploitation • Rendre un disque utilisable: • Le MBR (Master Boot Record) – il faut partitionner le disque dur, et rendre active une partition; – secteur 1 du cylindre 0 de la tête 0 – pour partager un disque dur entre plusieurs système d'exploitation – le formatage logique de ou des partitions – Le formatage va créer le Boot et l'écrire, l'écrire créer 2 FAT et créer le Directory. IvMad, 2002-2005 IvMad, 2002-2005 31 Système d’exploitation 32 Système d’exploitation • La FAT • Le BOOT du disque dur • secteur 1 du cylindre 0 de la tête 1 • Le BOOT du disque dur ou secteur amorce de partition active est créé par les commandes d de d formatages f de d haut h niveau i des systèmes d'exploitation • Ce secteur spécial contient un programme et des tables de données IvMad, 2002-2005 – le secteur amorce de partition principale permet au secteur amorce des partitions actives de prendre le contrôle du disque dur. 33 – La table d'allocation des fichier (FAT - File Allocation Table) est une table décrivant à quel fichier chaque cluster du disque est attribué. – Un cluster est constitué d'un ou plusieurs secteurs t auquell le l système è d'exploitation d' l i i a attribué le statut d' "unité allocation". – Dès que le fichier dépasse un cluster, même d'un seul "bit", il doit utiliser un autre cluster – La FAT est en deux exemplaire sur le disque dur. Elles sont identiques. IvMad, 2002-2005 34 Système d’exploitation • Le DIRECTORY ou Répertoire racine – Appelé aussi ROOT cette zone stocke des informations qui sont utilisées par le système d'exploitation pour la gestion des fichiers. – Le nombre dd'entrées entrées du répertoire racine est limité et contient 512 entrées pour le disque dur (FAT 16 Bits). IvMad, 2002-2005 35 6 29/05/2010 Les périphériques • Les périphériques d'entrées/sorties les plus couramment utilisés sont : – clavier, – souris, – écran et gestion des modes graphiques, – disques durs, – imprimantes, – autres mémoires secondaires. Architecture des ordinateurs 6 Les périphériques IvMad, 2002-2004 IvMad, 2002-2004 1 Les terminaux Les claviers • Terminaux interactifs • Les claviers – Un terminal interactif permet l’utilisation des ressources d’un ordinateur distant. – Il existe deux types de claviers : • mécanique – La communication se fait à l'intermédiaire d'un écran dd'un écran, un clavier et éventuellement dd'une une souris. souris IvMad, 2002-2004 • à membrane. membrane 3 Les claviers IvMad, 2002-2004 4 Les claviers • Un clavier à membrane est constitué de quatre couches. • Un clavier mécanique – Une matrice de boutons poussoirs situés audessus d'un réseau de fils organisé en lignes et colonnes. – La première est un réseau de pistes conductrices. – La deuxième est un isolant percé de trous au niveau des touches. – La troisième est un circuit souple de pistes avec des bosses au niveau des touches et des trous. – La touche enfoncée réalise un contact à l'intersection d'une ligne et d'une colonne, fermant un circuit électrique. – Un circuit de contrôle du clavier détecte ainsi la pression d'une touche et établie le code correspondant. IvMad, 2002-2004 2 5 • Lorsque l'utilisateur enfonce une touche il réalise un contact entre les deux couches conductrices. – La quatrième couche, en caoutchouc, absorbe la pression du doigt et donne la sensation d'enfoncement de la touche. IvMad, 2002-2004 6 1 29/05/2010 Les claviers Les claviers • Chaque touche est un interrupteur, normalement en position ouverte. Lorsque qu'une touche est appuyée, un signal électrique est envoyée vers le codeur, qui associe à chaque signal un code (ASCII de la touche). IvMad, 2002-2004 7 Les types de claviers 9 Les types de claviers • Le clavier à 94 touches, de type PC/AT à partir de 1984. Ce clavier est bidirectionnel. IvMad, 2002-2004 10 Les types de claviers • Le clavier à 102 touches, appelé aussi clavier étendu pour les nouveaux ordinateurs compatibles IBM lancés en 1986. IvMad, 2002-2004 8 Les types de claviers • Le clavier à 83 touches, de type PC/XT. La communication entre le clavier et l'unité centrale étant à sens unique le clavier ne pouvait pas comporter d'afficheur de type LED. IvMad, 2002-2004 IvMad, 2002-2004 • Le clavier à 105 touches compatible Microsoft Windows 95. Microsoft a défini trois nouvelles touches permettant d'effectuer des raccourcis vers des fonctionnalités de Windows. 11 IvMad, 2002-2004 12 2 29/05/2010 Les écrans et l'affichage Les écrans et l'affichage • Un écran est constitué d'un tube cathodique (CRT, pour Cathodic Ray Tube), • Tube cathodique : un faisceau d'électrons accélérés est défléchi verticalement puis horizontalement par des champs électriques; ll'impact impact de ces électrons sur ll'écran écran, constitué d'une fine couche de phosphore sur du verre, allume un petit point. • Le signal vidéo est donc défini par deux fréquences importantes : la fréquence de balayage horizontal et la fréquence de balayage vertical. IvMad, 2002-2004 • IvMad, 2002-2004 13 Les écrans et l'affichage Les écrans et l'affichage • Les écrans ont des caractéristiques variables: • Taille : on mesure la diagonale de l'écran • Finesse : indique le nombre de points par unité de longueur de l'écran • Résolution : détermine le nombre de pixels par unité de surface (DPI) • Pas de masque : la distance qui sépare deux points • Fréquence maximale de balayage : plus l'écran est rafraichi fréquemment, plus l'image va apparaitre stable IvMad, 2002-2004 • La Mémoire vidéo • La taille de la mémoire vidéo est importante : le mode 1600x1200 en 256 couleurs demande environ 1.8 Mo. • Le rafraîchissement de l'écran est géré par le contrôleur du tube cathodique qui explore périodiq ement la mémoire de trame ((vidéo). périodiquement idéo) IvMad, 2002-2004 15 Ecrans à cristaux liquides 16 Ecrans à cristaux liquides • Les cristaux liquides (LCD : Liquid Crystal Display) sont des liquides dont les molécules longues s'organisent selon un réseau comme les atomes d'un cristal. • • • • • • • • • • • IvMad, 2002-2004 14 17 Un filtre polarisant. Une plaque de verre. Une série d'électrodes en oxyde métallique transparent en forme de longues bandes parallèles. Une plaque de polymère gravée avec de très fines rainures parallèles à la polarisation dupremier filtre. Les cristaux liquides. Une seconde plaque dd'alignement alignement aux rainures orthogonales à celles de la première. Une seconde série d'électrodes en bandes orthogonales aux premières électrodes. Une couche de protection. Un filtre coloré constitué de bandes rouges, vertes et bleues parallèles et alternées. Une plaque de verre. Un second filtre polarisant croisé par rapport au premier. IvMad, 2002-2004 18 3 29/05/2010 Les souris Les imprimantes • La plupart des souris actuelles sont optoélectroniques. • L'imprimante est un outil indispensable pour fournir les résultats des applications. – Imprimantes à impact de marteaux – Imprimante à marguerite – Imprimantes i à aiguilles i ill ou matricielle i i ll – Imprimantes thermiques – Imprimantes à jet d'encre – Imprimantes à laser IvMad, 2002-2004 19 Les imprimantes 20 Les imprimantes • Imprimantes à impact de marteaux : • Imprimante à marguerite – Il y a un marteau par colonne. Les caractères sont gravés en relief sur un ruban métallique qui tourne en permanence devant les marteaux. Un ruban encreur est placé entre le ruban métallique et le papier. papier Le papier avance ligne par ligne. L'électronique déclenche la frappe de chaque marteau lorsque le bon caractère gravé passe devant : frappe à la volée. – Imprimantes très rapides (jusqu'à 3000 lignes par minute). IvMad, 2002-2004 IvMad, 2002-2004 21 Les imprimantes – Les imprimantes à marguerite sont basées sur le principe des machines dactylographique. Tous les caractères sont imprimés en relief sur une matrice en forme de marguerite, g un ruban imbibé d'encre est placé entre la marguerite et la feuille de telle façon que lorsque la matrice frappe le ruban, celui-ci dépose de l'encre uniquement au niveau du relief du caractère IvMad, 2002-2004 22 Les imprimantes • Imprimantes thermiques • Imprimantes à aiguilles ou matricielle – La tête d'impression comporte une matrice d'aiguilles 9 x 9 ou 24 x 24. Elle se déplace horizontalement devant la ligne à imprimer. Pour chaque caractère les aiguilles g sont lancées par de petits électro-aimants. Elle frappent ainsi le ruban encreur situé entre la tête et le papier. – Ils chauffent un papier spécial sensible à la chaleur. – Elles permettent l'impression couleur. – On utilise un rouleau de cellophane recouvert d'une encre solide avec de régions jaune, cyan, magenta (les trois couleurs primaires) et noire éventuellement. – Une série de têtes thermiques est disposée perpendiculairement au sens de défilement du papier. – L'impression de chacune des couleurs primaires nécessite un passage du papier devant les têtes. IvMad, 2002-2004 23 IvMad, 2002-2004 24 4 29/05/2010 Les imprimantes Les imprimantes • • Imprimantes à jet d'encre – La tête est composée de petits tubes qui projettent de minuscules gouttelettes d'encre. Ces gouttelettes, chargées électrostatiquement, sont dirigées g vers le papier avec une ggrande précision. La résolution varie entre 200 ppp et 400 ppp. IvMad, 2002-2004 Imprimantes à laser – Le fonctionnement s'inspire de celui des photocopieuses. – L'image de la page à imprimer est construite sur un tambour photoconducteur. – Le tambour passe devant une station d'encrage où l'encre sèche, chargée électrostatique, est attirée aux endroits chargés du tambour. – L'image est ensuite transférée sur le papier par contact. Le papier est chauffé pour fixer définitivement les particules d'encre. – Cette technique permet l'impression sur papier ordinaire. On atteint des résolutions variant entre 300 et 2000 ppp. IvMad, 2002-2004 25 26 Mémoires secondaires Mémoires secondaires • Les mémoires secondaires (ou auxiliaires) permettent de stocker et de retrouver de l'information de manière durable : l'information est conservée même en ll'absence absence dd'alimentation alimentation électrique. • L'enregistrement magnétique – Utilisé pour les cassettes audio et vidéo, ainsi pour les disquettes et disques durs. – Il consiste à polariser un milieu magnétique (couche d'oxyde de fer déposée sur la bande ou le disque) à l' id d' l'aide d'un champ h électromagnétique él éi créé éé par une bobine. – les disquettes – les disques durs – les CD - ROM – et divers types de bandes magnétiques IvMad, 2002-2004 IvMad, 2002-2004 27 Mémoires secondaires 28 Mémoires secondaires • Densité d'enregistrement magnétique • Les disques durs – Le volume d'information (nb de bits) que l'on peut stocker sur une longueur donnée de surface magnétique dépend de la densité longitudinale d'enregistrement, que l'on mesure en BPI (bits per inchs, bits par pouces). – capacité, – mémoire cache – nombre de données par plateaux – Interfaces (IDE, SCSI). IvMad, 2002-2004 29 IvMad, 2002-2004 30 5 29/05/2010 Mémoires secondaires Mémoires secondaires • numéro de cylindre (la distance tête-axe de rotation); • numéro de piste (le numéro de tête de lecture) ; • numéro du secteur (lié à l'angle). • Principe d'un disque dur IvMad, 2002-2004 31 Mémoires secondaires 32 Mémoires secondaires • Principaux types de disque dur – Le bus ST506 contrôleur de transmission en série et le système de codage était soit MFM ou RLL. (par SEAGATE) – Le bus IDE (Integrated Device Equipement) contrôleur intégré au disque dur, la liaison sur le bus parallèle. On peut p y d'extension en 16 bits et en p connecter deux disques durs. La capacité max. du disque est de 540 Mo. – Le bus E-IDE (Enhanced Integrated Device Equipement ou FAST ATA) une extension du standard IDE. Possibilité de connecter un disque supérieur à 540 Mo, possibilité de connecter des périphériques autre que des disques dur. (CD-ROM) IvMad, 2002-2004 IvMad, 2002-2004 33 • Le bus SCSI (Small Computer System Interface) le contrôleur se trouve sur une carte , on peut brancher jusqu'à 7 périphériques. Le taux de transfert est de 5 Mo/s , le contrôleur possède son propre BIOS. • Le bus Wide SCSI - le bus change de 8 à 16 bits ce qui permet d'obtenir un taux de transfert de 20 Mo/s. Il y a aussi les SCSI Ultra qui permettent des taux de transfert de 40 Mo/s et 80 Mo/s. IvMad, 2002-2004 34 Mémoires secondaires Mémoires secondaires • Le principe de la lecture des CD-ROM • Lecteurs de CD-ROM – Les CD-ROM (Compact Disc - Read Only Memory) - des mémoires secondaires en lecture seule. Leur capacité est de 650 Mo ou 700 Mo (soit l'équivalent de 450 disquettes). IvMad, 2002-2004 35 IvMad, 2002-2004 36 6 29/05/2010 Les périphériques Les périphériques • Le modem • Le port USB (Universal Serial Bus) – Le modem est utilisé pour transférer des informations entre ordinateurs (2 à la base) via les lignes téléphoniques. – Les ports USB supportent le Hot plug and play. Ainsi, il est possible de brancher les périphériques sans éteindre l’ordinateur (branchement à chaud). – 128 périphériques (27) peuvent être connectés simultanément à un port de ce type. – A raison de 5 m de câble maximum entre deux périphériques. IvMad, 2002-2004 37 IvMad, 2002-2004 38 Les périphériques • Le port Firewire – Un système d’interconnexion permettant de faire circuler des données à haute vitesse en temps réel, le bus FireWire (appelé IEEE 1394) a été mis au point à la fin de l’année 1995. – il est possible d’adresser 65535 périphérique se basant sur edresses de 16 bits. – Conexion par cable à six fils. IvMad, 2002-2004 39 7