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Remerciements
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Remerciements
Parvenue au terme de ces trois années de recherche, je m’aperçois que la liste des personnes à
remercier est assez longue. La recherche en sciences humaines offre la richesse des rencontres et
permet autant d’étudier un objet que de grandir personnellement. Je n’oublie pas tous ceux que je ne
pourrai citer ici sous peine d’allonger le nombre de pages.
Ma reconnaissance va tout naturellement en premier lieu à mes directeurs de recherche qui
m’ont aidée, orientée et soutenue pendant mes trois années de doctorat.
Madame Danièle Hervieu-léger est la première personne que je tiens à remercier. Elle m’a
suivie dès mon DEA, et par sa passion partagée envers mon sujet, m’a permis d’en mieux
comprendre tous les enjeux et intérêts. Ses conseils et réflexions m’auront été très précieux pour
l’avancée de mon étude. Je lui suis aussi reconnaissante de m’avoir conseillée de me présenter au
concours d’entrée en doctorat à l’université de Trente. Outre l’intérêt académique, cela m’a permis
de passer une vingtaine de mois dans une ville magnifique au cœur des Dolomites, et d’apprendre la
langue italienne.
Le professeur Abbruzzese m’a aussi été d’une aide précieuse pour sa fine connaissance de la
sphère religieuse italienne, mais aussi pour son point de vue d’Italien sur des éléments que je
n’aurais pas pu saisir dans toute leur profondeur. Je le remercie en outre pour son accueil
chaleureux à l’Université de Trente.
Je tiens aussi à témoigner ma gratitude envers les professeurs et chercheurs de l’EHESS et de
l’Université de Trente qui m’ont, à un moment ou un autre au cours de ces trois années, apporté un
éclairage intéressant sur mon sujet ou conseillée dans mes lectures. Je pense plus particulièrement
au professeur Enzo Pace, rencontré à l’université de Padoue et Nicolas de Brémond d’Ars, du
Centre d’Etudes Interdisciplinaires des Faits Religieux.
Au cours de mes enquêtes de terrain, il m’a été donné de rencontrer des personnes qui, par
leur accueil et leur disponibilité, ont permis à ma recherche de se faire. Je ne peux citer ici tous les
moines avec qui j’ai eu des entretiens, mais je tiens à mentionner plus particulièrement ceux qui
m’ont accueillie, qui ont été mes référents lors de mes séjours en monastères.
Je remercie ainsi, dans l’ordre chronologie, don Walter de Praglia, Don Emilio de Camaldoli,
Padre Abate Eugenio de Farfa, frater Benedikt de Westmalle, père Christian de Maredsous, frater
Andrea de Plankstetten, sœur Agnès du Carmel d’Angers et frère Pierre de Tamié. Et je n’oublie
pas don Didier de Saint-Wandrille, mère Catherine de Kergonan et frère Matthias de la Pierre-qui-
Vire rencontrés lors des deux années de recherche précédant le doctorat. Le Père Giovanni Dal Piaz,
responsable de la Conférence des Supérieurs Majeurs a été aussi pour moi un précieux informateur
privilégié qui m’a permis d’accéder plus facilement au terrain italien. Rarement rencontres
humaines m’auront autant apporté.
Ma reconnaissance va aussi à mes amis et collègues du doctorat, en France et en Italie, qui se
sont montrés bienveillants pour écouter mes dernières avancées ou mes doutes profonds, mais qui
m’ont aussi aiguillée dans mes lectures ou mes recherches.
Enfin, mes parents et mon frère m’ont été d’un solide appui, autant pour leur soutien que pour
leur relecture et leur aide en informatique.