A l'écriture de ces remerciements, je pense tout particulièrement à mes amis, qui sont pour
beaucoup dans la réussite de cette thèse, parce qu'ils ont toujours cru en mes capacités. Je pense à
Gaëlle, Laetitia, Agathe, Kirsten, Raphaël, Maxime. Mais aussi tous mes amis ingénieurs de la Meute
parmi lesquels Fred, Mione, Ben, Bourl't, Gigi't, Twirl't, Quentin, Birl't, Alizée, Adirl't, JBirl't, Rime,
Inès et tous les autres ! Je pense aussi à Boris Guillerey, Antoine Le Méné, Caroline Le Floch. Et
Arantxa Suarez.
Dans un autre genre, je remercie M. Pierre-Yves DALLE CARBONARE, qui a su me trouver un
violon avec lequel je me sens capable d'exprimer une quantité infinie de choses. Je remercie également
Marc DEMEREAU, professeur d'improvisation libre, ou à tendance inclassable pour les intimes. Il a
su énormément m'apporter sur le lâcher prise, la confiance en soi et la prise d'initiative, compétences si
importantes à la fois dans la vie professionnelle et personnelle.
Je pense à mon cousin, Gauthier JOMIN, qui a partagé avec moi presque deux années de thèse, en
cohabitation, et un moment douloureux. Merci à lui pour tous les moments agréables, et ses
encouragements. Je le remercie aussi d'accorder de l'attention à nos échanges.
Enfin, je pense très fort à ma famille, dans son ensemble, recomposée. Sans elle, rien n'aurait été
possible. Je pense à mes grands-parents, tous, à mes oncles et tantes que je remercie. Je pense à mes
quatre charmantes petites sœurs, et à ma grande sœur, qui toutes, sans le savoir peut être, m'ont
beaucoup aidé. J'aimerais remercier profondément ma mère et mon beau père, qui n'ont eu de cesse de
m'encourager pendant ces huit années d'étude, surtout les trois dernières. Je pense particulièrement à
toutes les riches et ouvertes discussions que je peux avoir avec mon beau père, et ses précieux
conseils, qui me renforcent chaque fois, dans le questionnement des choses, et pour vivre le monde.
J'aimerais partager ici aussi ma pensée la plus forte et sincère envers ma belle mère, avec qui je peux
partager de l'écoute, de l'attention et des conseils dans une réciprocité fort agréable. Je tiens
particulièrement à souligner la force incroyable dont elle a fait preuve, face à l'évènement, me
soulageant de bon nombre de préoccupations...
Finalement, j'aimerais, s'il est possible, remercier profondément mon père, décédé en début de
2ème année de thèse, sans qui, mon regard sur le monde n'aurait jamais pu être le même. Il a su tout au
long de mon enfance m'apporter une complémentarité essentielle à mon éducation. M'amenant à ce
que je crois être de l'ouverture d'esprit, et la recherche de compromis. Bien que lui même ne le
cherchait pas toujours. Grâce à lui j'ai toujours senti que je gardais un accès à ce que j'appellerais un
autre monde, comme une porte restée entrouverte. Le monde du cœur et de l'esprit rationnel et
spirituel, rassemblés entre les deux mains du corps. Le monde du beau environnant, de la sobriété
heureuse et de l'humain dans le partage. Mais aussi le monde de la volonté, de l'exigence et de l'effort
au service de ses convictions. Lui, le potier et le père de cinq enfants, continue d'être et d'exister, de
par sa présence en moi et en toutes les personnes qu'il a croisées, présence que je sens étrangement
bien plus grande aujourd'hui. En ce sens où il constitue chaque jour une source d'inspiration profonde
et motivante pour guider chacun de mes pas, encore trop dispersés, mais de plus en plus sûrs et
constants.
Je remercie les amis potiers pour leur soutien à la famille. Je pense à Jérémy BOYER, David
LAGNIER, Armelle BARBERO et Josiane FROIDEVAUX. Je remercie Denis l'apiculteur de
s'occuper de la ruche laissée par mon père, et de me permettre de découvrir aujourd'hui le monde
fascinant des abeilles. Et au combien important !!
Même si je crois qu'il n'y attacherait pas autant d'importance, je souhaite donc dédier à mon père
ce manuscrit, ne serait-ce que pour l'embêter un peu.