Prise de position sur les reproches les plus courants - fms

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Prof. Dr. Dr. med. Johann Bauer
La pratique Prof. Dr. Dr. med. J. Bauer, Falkenweg 1, CH-6340 Baar, Suisse
Prise de position par rapport aux reproches les plus courants – Réponses
1. Confusion entre points « trigger » et points « tender ».
Réponse : Comme on peut lire chez Pongratz, on peut trouver également les points « trigger » et « tender » chez les fibromyalgiques. Les deux ont en commun de correspondre aux points d'acuponcture connus de la Médecine Traditionnelle Chinoise. Les points d'acuponcture malades peuvent être sans douleurs subjectives et peuvent faire mal uniquement en touchant ou sous pression (points « tender »). Mais il est possible de déclencher une douleur ailleurs par pression sur un point d'acuponcture. Il existe chez les patients fibromyalgiques aussi des points d'acuponcture qui font déjà mal et peuvent par pression, en plus, déclencher une douleur ailleurs (points « trigger »). 2. Il n'existe pas une graduation des phases de la fibromyalgie
Réponse : Par utilisation des points d'acuponcture, le diagnostic est amélioré d’ une manière qu'on peut, en fait, diagnostiquer la douleur dans un quadrant ou dans une moitié Du corps. De cette manière, le phénomène de douleurs dans un quadrant ou dans une moitié du corps, inexpliqué par des spécialistes de la douleur, devient explicable. Même le « Complex Régional Pain Syndrom » (CPRS) de Stanton‐Hicks peut être démontré. Il correspond à la phase 1 de la fibromyalgie. 3. Le lieu des points douloureux (« tender « points, « trigger « points) change.
Les douleurs
changent. Alors les douleurs ne peuvent pas être liées à ces points.
Réponse : Il est recommandé de lire le livre « Le Moi et Ses Cerveaux » de Popper/Eccles. Si on s’intéresse à la neurophysiologie et neuropsychologie, on arrivera à comprendre le problème de la qualité des « afférences » pathologiques et de leurs représentations centrales. 4. La réussite d’une opération va s'annuler par une nouvelle obstruction des
points d'acuponcture.
Réponse : Pendant l'enlèvement des tissus obstruants et souffrants, les passages du trias anatomique (artère, veine, nerf = arbrisseau de vaisseaux et nerfs) sont élargis . Cette zone du corps a alors plus de place pour les autres tissus . En hiver, les petits étangs gèlent plus rapidement que les grands. Ce principe est le même pour l'élargissement des points d'acuponcture. Le danger d'une obstruction répétée est banni. 5. « Je connais 4 patients pour lesquels l'opération n'a rien apporté. »
Réponse : Demandez aux centaines d’autres auxquels elle a apporté. Toutes les opérations ne sont pas couronnées de succès chez tous les patients. Une opération du disque lombaire n'est pas controversée, même si elle a 50% d'échec. L’essentiel est la qualité du résultat. 6. « Je connais quelques patients qui ont été opérés au bras, et chez lesquels,
après un succès de quelques mois, les mêmes douleurs sont revenues. »
Réponse : Le problème a été reconnu et résolu. Les statistiques sur 10 ans ,ont permis de trouver et d’opérer le point « colon7 » . 7. Le Patient est défiguré par tant d’ incisions.
Réponse : L'opération n’a besoin que d'une seule incision, à partir de laquelle 6‐8 points d'acuponcture sont approchés. Prof. Dr. Dr. med. J. Bauer
Tel: 0041 (0)41 763 1660
Fax: 0041 (0)41 544 2722
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8. Il est nécessaire d'opérer toutes les quatre extrémités.
Réponse : En règle générale, une opération suffit, dans le quadrant où la maladie avait commencé. La stratégie particulière d'opération sera décidée avec le patient. 9. L'incision provoque elle-même des champs de perturbation.
Réponse : Les champs de perturbation à cause des cicatrices sont uniquement provoqués lorsqu’un opérateur supprime les points d'acuponcture par négligence. S'il sait où ils se trouvent, il est capable d'éviter la provocation d'un champ de perturbation. Indication : l'effet d'une injection d'un anesthési‐ que local dans un champ de perturbation d'une cicatrice en fait la preuve, les petits nerfs avec leurs neurones sont « endormis » pendant un certain temps. 10. Un syndrome de plusieurs nerfs est opéré.
Réponse : Tous les patients ont été examinés plusieurs fois par des médecins différents et diagnostiqués multi‐modale et interdisciplinaire. Ils ont subi des traitements usuels pour la fibromyalgie. La plupart des patients passe pour incurable. De tels patients ont été libérés de leurs plaintes après une opération par le Prof. Bauer. Est‐ce que les critiques veulent prétendre sérieusement que tous les neurologues, psychiatres, psychosomaticiens, orthopédistes, rhumatologues et thérapeutes de douleurs dans le monde entier ne sont pas capable de reconnaître un tel syndrome ? L'expérience recommande instamment qu’ une découverte dans le sens propre a été effectuée sur le diagnostic d'acupressure et la thérapie chirurgicale. Les critiques opposées sont priées de présenter leurs statistiques annuelles et leurs recherches sur la qualité de leurs concepts de traitement. Le fait que la fibromyalgie soit traitable est une constatation irréaliste et trompeuse pour les patients : On peut traiter avec ou sans succès. Elle est seulement convaincante pour les patients si une possibilité de guérison est offerte. 11. Si la méthode est si efficace, pourquoi tant de problèmes pour s'établir?
Réponse : A chaque nouveauté, des centaines d’opposants font obstacle au nom de la tradition. Il s’agit d'un phénomène commun dans la recherche et dans l'histoire de la médecine. Il existe beaucoup de littérature sur ce sujet, mais surtout dans les régions anglophones. Une liste de titres de documents peut être envoyée sur demande. 12. On ne peut pas comprendre pourquoi il suffit d'opérer un certain nombre de points dans une maladie avec des douleurs aussi différentes et changeantes. Réponse : La réponse est très simple. Dans le quadrant opéré, ces points sont libérés qui, selon l'expérience, empêchent le surplus d'énergie bioélectrique. Par élimination des « afférents » pathologiques dans le quadrant principal, le total des « afférents »est réduit tellement fort qu'il n’atteint plus le seuil de conscience et le Ego (moi) dit : « Je n'ai plus de douleurs.» Il faut s'occuper scientifiquement de la problématique d'origine de la transmission, de l’ assimilation et de la représentation de la douleur pour comprendre le contexte. Sinon, on finit dans la même crainte que les marins du moyen‐âge qui avaient peur des limites du monde et de tomber dans le néant en dehors du disque terrestre. Prof. Dr. Dr. med. J. Bauer
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13. Si la méthode est aussi bien, pourquoi n'apparaît-t-elle pas aux congrès?
Réponse : La réponse est aussi simple. Dans la région germanophone, les adversaires ont peur de la découverte. Ils ont décidé ce qui suit : Nous nous occupons uniquement des méthodes reconnues. La méthode de Bauer n'est pas reconnue. Si nous ne nous occupons pas de cette méthode, alors elle reste méconnue. Ainsi, le problème est résolu. Ces médecins ont oublié la chose la plus importante : Ce sont les patients, eux, qui guéris par le traitement avec la nouvelle méthode en parlent. La méthode de Bauer donne la possibilité de guérison aux patients tourmentés. Tous les autres concepts peuvent, par contre, seulement les soulager momentanément. 14. Pourquoi les caisses de maladie ne prennent-elles pas en charge, même si
elles peuvent économiser à long terme ?
Réponse : Les caisses et leurs conseils (Service Médical) sont toujours en retard par rapport aux progrès médicaux. Il faut se souvenir des difficultés des premières arthroscopies d'articulation de genoux. Rappelons‐nous le Prof. Semm, qui a développé la « chirurgie trou de serrure », et qu’on voulait interdire d’exercer. Maintenant, après 25 ans, il reçoit les honneurs qui lui reviennent dès le début. Les caisses sont dépendantes du Service Médical. Prof. Dr. Dr. med. J. Bauer
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