
 
Collège Biblique Kédès – Que la liberté règne 
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Leçon 1 – Connaître la vérité 
Actes 22 : 25-28 « Lorsqu'on l'eut exposé au fouet, Paul dit au centenier qui était présent : Vous est-il permis de 
battre de verges un citoyen romain, qui n'est pas même condamné ? 26 A ces mots, le centenier alla vers le tribun 
pour l'avertir, disant : Que vas-tu faire ? Cet homme est Romain. 27 Et le tribun, étant venu, dit à Paul : Dis-
moi, es-tu Romain ? Oui, répondit-il. 28 Le tribun reprit : C'est avec beaucoup d'argent que j'ai acquis ce droit de 
citoyen. Et moi, dit Paul, je l'ai par ma naissance. » 
 
I. Introduction 
La  liberté  signifie  des choses  différentes  selon  les personnes, comme  dans  le  cas du  capitaine 
romain et de Paul. Pour la majorité des croyants, la liberté dans la vie chrétienne est quelque chose 
pour lequel nous devons travailler dur. Mais Paul dit au capitaine : « Peut-être que votre liberté 
vous a coûté un prix élevé, mais moi je suis né libre » 
 
II. Liberté de cœur 
« Car il est tel que sont les pensées de son âme » Proverbe 23 : 7 
Ce que je pense ou crois sur Dieu dans ma relation avec Lui conditionne la façon dont je me vois 
et me situe, par rapport à moi-même et par rapport aux autres. 
 
III. Liberté de cœur 
Jean 8 : 31-36 « Et il dit aux Juifs qui avaient cru en lui: Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment 
mes disciples; 32 vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. 33 Ils lui répondirent: Nous sommes la 
postérité d'Abraham, et nous ne fûmes jamais esclaves de personne; comment dis-tu: Vous deviendrez libres? 34 En 
vérité, en vérité, je vous le dis, leur répliqua Jésus, quiconque se livre au péché est esclave du péché. 35 Or, l'esclave 
ne demeure pas toujours dans la maison; le fils y demeure toujours. 36 Si donc le Fils vous affranchit, vous serez 
réellement libres. » 
Jésus parlait précisément aux Juifs parce qu’ils disaient servir Dieu en essayant d’avoir une relation 
avec lui basée sur un système religieux qui les maintenait sous un esclavage. 
 
A- La tromperie de la religion et du légalisme 
 
B- La plus grande tromperie dans l’église aujourd’hui se nomme la propre-justice.