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Communiqué de presse
« Shazamer » au service de la cosmétique et du luxe...
point sur les applications tendance
Comparer, rechercher, s’informer, tester virtuellement des produits ou retrouver le site
marchant d’un objet vu dans la rue, tout cela est possible grâce aux nombreuses
applications de reconnaissance numérique permettant de « shazamer » son environnement.
Puissants outils de communication et de vente, ces nouveaux outils ouvrent de nouvelles
perspectives en termes d’expérience clients.
Paris, le 28 septembre 2016 - De nombreuses applications de reconnaissance d’image ou d’objet
fleurissent sur l’Apple Store ou Androïde allant de l’utilisation simple d’un code barre, en passant par
la caractérisation d’images point par point, à la reconnaissance d’objets dans un environnement réel.
Aujourd’hui la reconnaissance d’objets est centrée sur les consommateurs et la communication des
annonceurs. La technologie est à ses débuts et les difficultés techniques limitent encore les
applications. Cependant, « les développements en cours couplés avec l’intelligence artificielle
permettront sûrement d’accroître les performances et permettre la démultiplication des usages. Nos
clients s’interrogent en ce moment sur les utilisations possibles de la reconnaissance numérique dans
leur organisation » ajoute Pierre Gadrat, Directeur associé au sein d’Alcimed.
Code barre et QR codes sont le point de départ de la reconnaissance d’image par leur
simplicité d’identification.
Dans le domaine des cosmétiques, les applications indépendantes comme Pretty in my pocket
permettent d’accéder aux notes et commentaires d’utilisateurs grâce au scan du code barre d’un
produit beauté, permettant de se renseigner au-delà des informations fournies par les marques. De la
même manière, les applications GoodGuide et Think Dirty permettent d’avoir des informations sur les
ingrédients des produits cosmétiques et leurs effets sur la santé, l’environnement.
Images source: Goodguide.com
Images source: Goodguide.com; thinkdirty.com
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La reconnaissance d’images s’est par la suite complexifiée en permettant la comparaison point
par point d’une image bien définie, comme une publicité ou une page de magazine, pour la
« matcher » avec une banque de donnée des images de références.
S’appuyant sur ce principe, un utilisateur peut « flasher » une publicité, un catalogue, un magazine et
d’avoir accès, ainsi, à du contenu numérique supplémentaire. L’application Shazam, a diversifson
activité dans le domaine du visuel en étendant sa technologie de reconnaissance pour tous les
supports imprimés signalés par leur logo. Basé sur le même principe des applications comme Teasy,
Snap’nSee, Smartsy ont vu le jour en 2012. Depuis, seul Smartsy (Chiffre d’affaire de 1 M en 2014)
continue d’avoir des actualités, l’entreprise a annoncé en 2015 travailler avec de nombreux
magazines et boutiques de mode (Vogue, Glamour, les Galeries Lafayette etc.) afin de référencer
environ 500 000 produits.
Image source: smartsy.com
Plus récemment de nouvelles applications permettant de reconnaitre des vêtements et d’autres
produits souples dans un environnement réel ont vu le jour.
« Les vêtements et autres produits souples sont, d’un point
de vue technique, beaucoup plus difficiles à reconnaître
mais de nombreux travaux et progrès ont permis à des
applications comme Asap54 et Slyce d’être aujourd’hui
performantes » précise Pierre Gadrat.
La première permet de retrouver rapidement le site
marchand d’un article aperçu dans la rue ou un magazine.
L'application possède une base de données comprenant
plus de 700 000 objets. Slyce utilise une image prise par
l’utilisateur “real world” qui est ensuite analysée suivant une
douzaine de paramètres définis par le programmateur
(couleur, motif, style etc.) et retourne un produit similaire du
catalogue. Moodstock, qui vient d’être rachetée par Google
est également un des pionniers du genre. Sa première
version de reconnaissance 2D a été lancée il y a 5 ans, de
nombreuses améliorations plus tard Moodstocks a
convaincu plus de 40 détaillants et 10 000 développeurs. En
janvier 2016, l’entreprise a lancé « Object Visual Search »,
une nouvelle version 3D permettant de reconnaitre n’importe
quel objet dans le monde réel grâce à son smartphone
comme des sacs, les fleurs, baskets, etc.
Afin d’améliorer la performance des entreprises, la reconnaissance d’objets pourra-t-elle permettre
d’assister la gestion de la supply chain, la maintenance ou les retours-qualités ? Sera-t-il un jour
possible pour une marque de recenser ses produits neufs et de suivre les dégradations pendant toute
la durée de vie de ses produits ?
Image&source:&techcrunch.com&
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A PROPOS D’ALCIMED
Alcimed (www.alcimed.com) est une société de conseil en innovation et développement de nouveaux marchés,
spécialisée dans les sciences de la vie (santé, biotech, agroalimentaire), la chimie, les matériaux et l’énergie ainsi
que dans l’aéronautique, le spatial, la défense et les Politiques Publiques. ALCIMED s’appuie sur une équipe de
180 collaborateurs, répartis par secteur et capables de prendre en charge des missions extrêmement variées
depuis des sujets marketing & ventes (études de marché, ciblage de nouveaux besoins, positionnement d’un
nouveau produit) jusqu’à des problématiques stratégiques (stratégie de développement, recherche &
évaluation de cibles d’acquisition, organisation d’une activité, conception / évaluation / déploiement de politiques
publiques). La société dont le siège est à Paris, est présente à Lyon et à Toulouse ainsi qu’en Allemagne, en
Belgique, en Suisse, en Angleterre et aux Etats-Unis.
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