trouvent douloureux des chaleurs radiantes immédiatement, chez les irlandaises et les américaines de
souche on trouve une chaleur banale).
Les niveaux de tolérance à la douleur sont encore plus nettement déterminés en fonction de la culture,
les Italiennes sont les premières à se plaindre. Chez les américains de vieille souche il y a plutôt un
repli, ils prennent sur eux → retard de consultations.
5. Réponses : AC
• Les classes moyennes (voir supérieure) : On est à l’écoute de son corps ; beauté et
performance font partie des valeurs porté par ces classes (salle de sport, esthétiques,…) par
rapport à la douleur on est un peu anxieux. Dans ces classes on a le temps et la place pour faire
de la prévention. Réponse A JUSTE
• Monde ouvriers : Le monde ouvrier est en grande mutation depuis quelques décennies. Le
corps sera un instrument de travail. Le corps est investi d’une valeur, marchande. Monde de
virilité, on est fort, on ne se plaint pas couplé à une forme de pudeur on ne le montre pas.
Souvent ceux qui ont les boulots les plus pénible cherchent le moins l’arrêt de travail. On ne
s’écoute pas trop, on parle de plus en plus souvent d’épuisement. La priorité ce n’est pas la
santé, mais la paye à la fin du mois !
• Milieu rural : On est « dur au mal ». Valorisation du travail donc on parlera plus de fatigue que
de douleur. On prend sur soi avec beaucoup de pathologies que l’on ne traitera pas
(lombalgies, plaies, abcès…) La douleur est une espèce de luxe : dans cette univers-là on n’a
pas le loisir de s’y intéresser donc on le relaie au second plan, la nature et le temps feront les
choses. Sous consommation de soin et de médicament
• Sans-logis : On a quelques choses de proche du monde rural. On consulte en dernier recours.
Parfois cette douleur n’est pas ressentie parce qu’elle est recouverte par les psychotropes ou
des litres d’alcool. Il y aura une souffrance psycho-sociale au premier plan. Froid, faim, solitude
en avant. La douleur vient donc « en plus » de cette souffrance psychosociale, la souffrance
morale anesthésie la souffrance physique. Cela nous rappelle que la souveraineté de leur corps
leur appartient. La souffrance est réprimée. Réponse D FAUSSE, c’est dans le monde ouvrier
• Autres influences : Il s’agit du contexte et/ou de l’environnement (sociales ou familiales…)
o Le relationnel : le seuil de tolérance varie en présence de témoin ; elle peut être
exacerbé autour de ma famille ou minimiser pour leur cacher.
o L’inactivité : le chômage ou l’infortune sont des marqueurs qui feront que la douleur
sera plus présente chez ces gens, aggravation des symptômes.
o Selon le contexte, la douleur peut être exacerbée ou diminuée. Il y a donc une grande
variabilité individuelle Réponse C Juste
o Selon le contexte, la douleur peut être exacerbée ou diminuée. Il y a donc une grande
variabilité individuelle Réponse B Fausse
6.
A. Vrai : l’universalisme des médecins acquis grâce à des longues études est garant d’une
connaissance universelle (il dispose de l’ensemble des connaissances nécessaire à l’exercice
de son activité). Chaque médecin est légitime d’exercer.
B. Vrai : la spécificité fonctionnelle limite la relation entre médecin et patient au domaine de la
maladie. Le médecin a une situation de domination par son savoir et sa performance mais
uniquement dans le domaine de la maladie. Ce qui lui donne le critère d’universalisme
(légitimité), est qu’il ne profite de cette situation de domination au-delà du traitement du
malade.