UE7 SH
1.
A. VRAI
B. FAUX : Vésale est celui qui enseigne (magister), celui qui dissèque (prosector) et qui montre
(ostensor).
C. VRAI : Galien étudie l’anatomie non sur des hommes mais sur des animaux (porcs, singes,
chiens). Vésale en disséquant des cœurs humains, montre que le sang ne peut pas passer par
le septum qui sépare les deux ventricules du cœur.
D. VRAI : Vésale souhaite dédramatiser le corps. L’homme doit réconcilier la vie d’ici-bas avec la
mort.
Réponses : A, C, D
2.
A. Vrai : Il y a un gradient social ; les inégalités sociales de santé s’aggravent quand on descend
dans les catégories sociales.
B. Faux : La mortalité infantile est augmentée de 5% dans les DOM.
C. Faux : Les catégories sociales les plus concernées par le problème sont les moins touchées
par ce programme.
D. Vrai : Le taux de mortalité cardiovasculaire est plus élevé en Alsace notamment à cause des
cancers et des maladies cardio-vasculaires.
Réponses : A, D
3.
A. Vrai : La CMU-complémentaire est gratuite pour les personnes ayant un revenu inférieur au
plafond. Ceux qui ont un revenu supérieur peuvent aussi l’obtenir mais elle ne sera pas
gratuite.
B. Faux : Il ne faut pas dépasser un certain plafond pour qu’elle soit gratuite.
C. Vrai : La CMU-complémentaire est accordée aux personnes en situation régulière.
D. Faux : L’AME est destinée aux personnes en situation irrégulière mais vivant en France depuis
au moins 3 moins de façon ininterrompue.
Réponse : A, C
4. Réponses : ABCD
- Notion de seuil : le seuil de sensation est l'intensité minimal d'intensité pour avoir une
sensation
- Seuil de perception douloureuse : on commence à sentir la douleur
- Seuil de tolérance à la douleur : c'est le seuil minimum que le sujet supporte avant de
demander l'arrêt de la séance
L'étude de Zborowski a était faite dans un hôpital fait de patient opés d'hernie discale. Il y avait 4
ethnies. Premier groupe de femmes d’origine italienne, juive d’Europe centrale, irlandaise, et des
américaines de vieille souches de religion plutôt réformée.
Le seuil de sensation est uniforme, sans distinction d'origine culturelle. L'appareillage neurosensorielle
est donc le même pour tout le monde
Le seuil de perception est influencé par le marquage culturelle (les femmes juives et italiennes,
trouvent douloureux des chaleurs radiantes immédiatement, chez les irlandaises et les américaines de
souche on trouve une chaleur banale).
Les niveaux de tolérance à la douleur sont encore plus nettement déterminés en fonction de la culture,
les Italiennes sont les premières à se plaindre. Chez les américains de vieille souche il y a plutôt un
repli, ils prennent sur eux retard de consultations.
5. Réponses : AC
Les classes moyennes (voir supérieure) : On est à l’écoute de son corps ; beauté et
performance font partie des valeurs porpar ces classes (salle de sport, esthétiques,…) par
rapport à la douleur on est un peu anxieux. Dans ces classes on a le temps et la place pour faire
de la prévention. Réponse A JUSTE
Monde ouvriers : Le monde ouvrier est en grande mutation depuis quelques décennies. Le
corps sera un instrument de travail. Le corps est investi d’une valeur, marchande. Monde de
virilité, on est fort, on ne se plaint pas couplé à une forme de pudeur on ne le montre pas.
Souvent ceux qui ont les boulots les plus pénible cherchent le moins l’arrêt de travail. On ne
s’écoute pas trop, on parle de plus en plus souvent d’épuisement. La priorité ce n’est pas la
santé, mais la paye à la fin du mois !
Milieu rural : On est « dur au mal ». Valorisation du travail donc on parlera plus de fatigue que
de douleur. On prend sur soi avec beaucoup de pathologies que l’on ne traitera pas
(lombalgies, plaies, abcès…) La douleur est une espèce de luxe : dans cette univers-on n’a
pas le loisir de s’y intéresser donc on le relaie au second plan, la nature et le temps feront les
choses. Sous consommation de soin et de dicament
Sans-logis : On a quelques choses de proche du monde rural. On consulte en dernier recours.
Parfois cette douleur n’est pas ressentie parce qu’elle est recouverte par les psychotropes ou
des litres d’alcool. Il y aura une souffrance psycho-sociale au premier plan. Froid, faim, solitude
en avant. La douleur vient donc « en plus » de cette souffrance psychosociale, la souffrance
morale anesthésie la souffrance physique. Cela nous rappelle que la souveraineté de leur corps
leur appartient. La souffrance est réprimée. ponse D FAUSSE, c’est dans le monde ouvrier
Autres influences : Il s’agit du contexte et/ou de l’environnement (sociales ou familiales…)
o Le relationnel : le seuil de tolérance varie en présence de témoin ; elle peut être
exacerbé autour de ma famille ou minimiser pour leur cacher.
o L’inactivité : le chômage ou l’infortune sont des marqueurs qui feront que la douleur
sera plus présente chez ces gens, aggravation des symptômes.
o Selon le contexte, la douleur peut être exacerbée ou diminuée. Il y a donc une grande
variabilité individuelle Réponse C Juste
o Selon le contexte, la douleur peut être exacerbée ou diminuée. Il y a donc une grande
variabilité individuelle Réponse B Fausse
6.
A. Vrai : l’universalisme des decins acquis grâce à des longues études est garant d’une
connaissance universelle (il dispose de l’ensemble des connaissances nécessaire à l’exercice
de son activité). Chaque médecin est légitime d’exercer.
B. Vrai : la spécificité fonctionnelle limite la relation entre médecin et patient au domaine de la
maladie. Le médecin a une situation de domination par son savoir et sa performance mais
uniquement dans le domaine de la maladie. Ce qui lui donne le critère d’universalisme
(légitimité), est qu’il ne profite de cette situation de domination au-delà du traitement du
malade.
C. Faux : le médecin doit traiter tous les patients avec les mêmes égards, la sphère des
sentiments, des affects et des opinions ne doit pas troubler la relation entre médecin et
patient.
D. Vrai : le médecin est garant de la protection du patient : de son incompétence (le patient n’a
pas le savoir sur ses maux), de son irrationalité supposée (le fait que le patient ne sait pas ce
qui est bien pour lui), et contre l’exploitation qui peut être faite de l’impuissance du malade.
Réponses : A, B, D
7.
A. Faux : Il faut la voir comme une médecine complémentaire à la médecine traditionnelle à
proprement parler, c’est une approche globale du malade de son entourage et de son
environnement, elle ne s’arrête pas qu’à la proche organique. On utilise des moyens comme
l’auto guérison. Alors que la médecine traditionnelle sur concentre surtout sur le cure, c’est
une approche mécanique fondée sur la biologie.
B. Vrai
C. Faux : il y a 20 ans elle n’était pas reconnue mais elle s’impose de plus en plus comme par
exemple avec l’homéopathie
D. Faux : c’est la médecine conventionnelle
Réponse : B
8.
A. VRAI : Ce pic de réminiscence correspond à une période de la vie où on emmagasine le
plus de souvenirs
B. VRAI : les images de soi participent à la construction de la mémoire autobiographique
C. FAUX : la capacité à raconter un récit autobiographique n’est pleinement atteinte que
vers 20ans.
D. VRAI
Mère élaborative
Mère peu élaborative
- Questions ouvertes
- Encouragent l’évaluation
émotionnelle
- Questions fermées
Réponses : A, B et D
9.
A. FAUX : il est légal
B. VRAI
C. FAUX : c’est interdit en France
D. FAUX : rarement utilisé : environ 200/an
Réponse : B
10.
A. FAUX : les informations doivent transiter par le patient, car la médecine de prévention n’est
pas considérée comme une action de soins directe
B. FAUX : le secret professionnel n’est PAS opposable au patient
C. FAUX : l'accès n'est pas libre, il fait suite à une demande écrite et les notes personnelles du
médecin ainsi que les informations obtenues auprès de tiers n'intervenant pas dans la prise
en charge du patient ne sont pas communicables.
D. VRAI
Réponses : D
11.
A. FAUX : d’autres professions sont soumises au secret professionnel notamment les avocats, la
police par ex
B. VRAI
C. FAUX : la confiance
D. FAUX : le secret professionnel est instauré dans l’intérêt des patients
Réponses : A, C, D
12.
A. FAUX : le pervers n’a pas traversé le complexe d’Œdipe
B. VRAI
C. VRAI
D. FAUX : 2ème topique
Réponses : B, C
13.
A. VRAI : il y est sensible dès la 6ème semaine
B. FAUX : il est capable de détecter la direction du regard à 6 mois
C. VRAI
Rappel : développement cognitif selon Piaget
- stade « sensori-moteur » : 0 - 2ans
- stade préopératoire : 2 - 6/7ans
- stade opératoire : 7 12 ans
- stade de l’intelligence formelle : à partir 12 ans
D. FAUX : il est dans un stade oral
Rappel : développement affectif selon Freud
- stade oral : 0 1 an
- stade anal : 1 3 ans
- stade phallique ou oedipien : 3 6 ans
- phase de latence : 6 12 ans
- stade génital : à partir de 12 ans adolescence
Réponses : B, D
14.
A. VRAI :
- Taille absolue de l’encéphale < 500cm3 : lignée non humaine
- Taille absolue de l’encéphale > 500cm3 : lignée humaine
B. FAUX : au contraire il possède un front fuyant
C. VRAI
D. FAUX : au contraire on observe une réduction du prognathisme chez les lignées humaines
Réponses : A, C
15.
A. VRAI : monophylétique = un ancêtre commun
B. FAUX : Au contraire chez les strepsirhiniens l’olfaction est très développée (dite
macrosmatique) —> En opposition à l’odorat des haplorrhiniens qui est réduite (dite
microsmatique)
C. FAUX : au contraire l’organe voméro-nasal disparaît chez les haplorrhiniens
D. VRAI
Réponses : A, D
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