Terminale S .QCM de révision. I. Cinétique chimique et dosage. 1 - La vitesse d'une réaction chimique : A : Augmente avec la concentration des réactifs B : Augmente avec la c oncentration des produits C : Est indépendante de la concentration des réactifs 2 - Quelle(s) affirmation(s) est(sont) correcte(s) ? A : La vitesse d'une réaction augmente généralement avec la température B : La vitesse d'une réaction diminue quand la température augmente C : La vitesse d'une réaction est indépendante de la concentration des réactifs 3 - La trempe A : Consiste à rajouter de l'eau au milieu réactionnel B : Consiste à vaporiser le milieu réactionnel C : Désigne le refroidissement brutal du milieu réactionnel 4 - Le temps de demi-réaction, noté t ½ est la durée au bout de laquelle : A : L'avancement de la réaction est égal à la moitié de l'avancement maximal B : L'avancement de la réaction est égal à la moitié de l'avancement final C : L'avancement de la réaction est égal à l'avancement final 5 - Le suivi temporel d'une transformation à partir de dosages d'oxydoréduction est : A : Une méthode chimique B : Une méthode physique C : Une méthode biologique 11 - Avec le spectrophotomètre, on mesure l'absorbance A d'une solution de permanganate de potassium de concentration C inconnue : A = 0 ,30. 6 - Le suivi d'une transformation chimique par titrage est : A : Une méthode non destructrice B : Une méthode destructrice C : Adapté pour des échantillons de petite taille 7 - Pour réaliser un dosage, on utilise : A : Une éprouvette graduée B : Une burette graduée C : Une fiole jaugée 8 - Un spectrophotomètre mesure : A : L'absorption d'une solution B : La longueur d'onde d'une solution C : L'absorbance d'une solution 9 - Le suivi temporel d'une transformation à l'aide d'un spectrophotomètre est : A : Une méthode chimique B : Une méthode physique C : Une méthode biologique 10 - L'absorbance A d'une solution colorée de concentration C : A : Est proportionnelle à la concentration de la solution si celle-ci est suffisamment diluée B : Est donnée par la relation : C : Dépend uniquement de la couleur de la solution À l'aide du graphique ci-dessus, on trouve que, la concentration : A : C ≈ 1,5 x 104 mol /L B : C ≈ 1,5 x 10–4 mol /L C : C ≈ 1,5 x 10–3 mol /L 12 - 15 - La vitesse volumique de la réaction v (t) à la date t, 17 A : Est la dérivée par rapport au temps de l'avancement x de la réaction. B : Est la dérivée par rapport au temps de du rapport entre l'avancement x de la réaction et le volume V du milieu réactionnel C : Est égale au coefficient directeur de la tangente à la courbe x = f (t) à l'instant considéré 16 - On donne ci-dessus la courbe d'évolution de la concentration C d'un produit de réaction en fonction du temps t. D'après la courbe, on peut dire que le temps de demi réaction t ½ : A : Est égal à 1 h 12 min B : Est égal à 35 min C : Est égal à 20 min Avec un spectrophotomètre, on trace le spectre d'absorption d'une solution de permanganate de potassium. On obtient la courbe ci-dessus. La solution absorbe dans : A : Le bleu B : Le vert C : Le rouge 13 - la solution précédente est : A : De couleur magenta B : Incolore C : De teinte cyan 14 - Le spectre de la lumière blanche après le passage dans la solution précédente est : A: B: C: On donne ci-dessus la courbe représentant l'évolution de la concentration C d'un produit de la réaction en fonction du temps. La vitesse de la réaction étudiée à la date t peut s'écrire : . D'après la courbe, on peut dire que la vitesse initiale de la réaction : A : Est inférieure à la vitesse de la réaction à la date t = 2,0 min B : Est supérieure à la vitesse de la réaction à la date t = 2,0 min C : Est égale à la vitesse de la réaction à la date t = 2,0 min II. pH, acide et Base, couples Acide / base. 9 - Une base est : A : Toujours une molécule B : Toujours un ion C : Une molécule ou un ion 1 - Les propriétés acides et basiques des solutions aqueuses : A : Dépendent de la concentration en ions hydroxyde HO– B : Dépendent de la concentration en ions oxonium H3O+ C : Dépendent de la quantité d'eau 10 - L'ion hydroxyde HO– est la base conjuguée de : A : H3O+ B : H2O C : H2O2 2 - La relation suivante : pH = - log [H3O+] est valable : A : Quelle que soit la concentration C de la solution B : Pour les solutions diluées 3 - La relation :pH = - log [H3O+]est équivalente à : A : [H3O+] = 10–pH mol / L B : [H3O+] = 10pH mol / L C : [H3O+] = e–pH mol / L 6On effectue la mesure du pH d'une solution aqueuse. Après agitation et stabilisation, on obtient la valeur du pH indiquée sur la photo ci-dessus. La valeur de la concentration en ions oxonium vaut : A : [H3O+] ≈ 1,3 x 10–4 mol / L 4 - Pour mesurer le pH d'une solution avec précision, on B : [H3O+] ≈ 1,26 x 10–4 mol / L utilise : A : Le papier pH C : [H3O+] ≈ 1,0 x 10–3,90 mol / L B : Des indicateurs colorés C : Le pH-mètre 7 - Selon Bronsted, un acide est une espèce chimique capable : A : De capter au moins un proton H+ 5 - Pour effectuer une mesure de pH avec un pH-mètre, B : De céder au moins un proton H+ il faut avant tout : A : Plonger la sonde dans la solution, mettre le C : De céder au moins un électron e– commutateur sur la position pH et effectuer la lecture B : Étalonner le pH-mètre C : Une solution acide 8 - Selon Bronsted, une base est une espèce chimique capable : A : De capter au moins un proton H+ B : De céder au moins un proton H+ C : De céder au moins un électron e– 11 - L'eau est une espèce amphotère, on parle d'ampholyte. Elle peut se comporter : A : En tant qu'acide seulement B : En tant que base seulement C : En tant qu'acide ou en tant que base 12 - Une réaction acido-basique est caractérisée par : A : Un transfert d'électron de l'acide d'un couple acide / base vers la base d'un autre couple acide / base B : Un transfert de proton de la base d'un couple acide / base vers l'acide d'un autre couple acide / base C : Un transfert de proton de l'acide d'un couple acide / base vers la base d'un autre couple acide / base 13 - Dans une fiole jaugée de volume V = 500,0 mL, partiellement remplie d'eau distillée, on verse avec précaution mapp = 3,00 g d'acide éthanoïque. On mélange puis on complète avec de l'eau distillée jusqu'au trait de jauge et on mélange. (masse molaire de l'acide éthanoïque : 60,05 g.mol-1) La valeur de l'avancement maximal xmax de la réaction entre l'acide éthanoïque est l'eau vaut : A : xmax ≈ 5,00 x 10 –2 mol B : xmax = 3,00 g C : xmax ≈ 5,00 x 10 –2 mol / L 14 - Le pH de la solution précédente vaut 2,90. L'avancement final xf de la réaction entre l'acide éthanoïque et l'eau vaut : A : xf ≈ xmax B : xf ≈ 1,3 x 10–2 mol III. Réactions acido-basiques en solution aqueuse. C : xf ≈ 6,3 x 10–4 mol 1 - À 25 ° C, le produit ionique de l'eau : Ke = [H3O+]eq . [HO– ]eq Cette constant d'équilibre est associée à la réaction : 15 - L'avancement final d'une réaction est toujours : A : 0 ≤ xf < 1 A: B : 0 ≤ xf ≤ xmax C : 0 ≤ xf < xmax 16 - Une solution d'acide éthanoïque de concentration C = 5,0 x 10–4 mol / L a un pH = 4,5. L'avancement final de la réaction de l'acide éthanoïque sur l'eau : A : Est égal à l'avancement maximal B : Est supérieur à l'avancement maximal C : Est inférieur à l'avancement maximal 17 - Le taux d'avancement d'une réaction est égal : A : Au quotient de l'avancement final sur l'avancement maximal B : Au produit de l'avancement final par l'avancement maximal C : Au quotient de l'avancement maximal sur l'avancement final B: C: 2 - L'autoprotolyse de l'eau : A : Est une réaction très limitée B : Est une réaction totale C : Est une réaction acido-basique 5 - Au produit ionique de l'eau, on associe une autre grandeur nommée pKe. Cette grandeur est définie par la relation : A : Ke = – log (pKe) B : Ke = 10–pKe C : Ke = – pKe 6 - Une solution neutre : A : Contient plus d'ions hydroxyde que d'ions oxonium B : Contient moins d'ions hydroxyde que d'ions oxonium C : Contient autant d'ions hydroxyde que d'ions oxonium 7 - Une solution basique : A : Contient plus d'ions hydroxyde que d'ions oxonium B : Contient moins d'ions hydroxyde que d'ions oxonium C : Contient autant d'ions hydroxyde que d'ions oxonium 8 - On donne : 3 - On affirme que seulement 2 molécules d'eau sur 556 À 25 ° C, pKe = 14 millions participent à la formation des ions H3O+ et À 60 ° C, pKe = 13 HO– . À 60 °C, une solution de pH = 7,0 est : Le taux d'avancement final τ de la réaction A : Acide d'autoprotolyse de l'eau vaut : B : Basique A:τ≈1 C : Neutre B : τ ≈ 3,6 x 10– 9 C : τ ≈ 3,6 x 10– 7 4 - La constante d'équilibre associée à l'équation d'autoprotolyse de l'eau, notée Ke est appelé produit ionique de l'eau. On donne : À 25 ° C, pKe = 14 À 60 ° C, pKe = 13 A : La constante Ke est valable pour toutes les solutions aqueuses B : La constante Ke augmente avec la température C : La constante Ke diminue avec la température 9 - La constante d'acidité KA associée à la réaction entre A : L'espèce prédominante est NH3 (aq) un acide AH (aq) et l'eau a pour expression : B : L'espèce prédominante est l'ion ammonium NH4+ (aq) A: C: 12 - Pour les solutions d'acides de mêmes concentrations C : A : Le pH est d'autant plus grand que le KA est grand B : Le pH est d'autant plus faible que le KA est grand B: C: 10 - L'expression de la constante d'acidité du couple NH4+ (aq) / NH3 (aq) est : C : Le taux d'avancement final τ est d'autant plus grand que le KA est grand 13 - Pour les solutions de bases de mêmes concentrations C : A : Le pH est d'autant plus élevé que le KA est petit couple A1H / A1–, KA1) B: et la base A2– (du couple A2H / A2–, KA2 ) C: À cette réaction est associée une constante d'équilibre K d'expression : B: IV. Titrages acido-basiques. 1 - On réalise le suivi pH-métrique du dosage de l'acide chlorhydrique par la soude. À l'équivalence, la courbe représentant l'évolution du C : La base est d'autant plus dissociée que le KA est grand pH en fonction du volume V de soude versé présente : B A: A: concentration en ions hydroxyde de 1,0 x 10 – 5 mol.L-1. Son pH, à 25 ° C, vaut : A : pH ≈ 5,0 B : pH ≈ 9,0 C : pH ≈ 7,0 B : Le taux d'avancement final τ est d'autant plus grand que le KA est petit 14 - On considère la réaction entre l'acide A1H (du 11 - Pour tout couple Acide / Base, noté A / B : C : Il n'y a pas d'ions ammonium 16 - Une solution de soude de formulea une Il se produit la réaction chimique : A: A : Un bond de pH B : Un saut de pH C : Un pic de pH 2 - La formule de la solution aqueuse de soude est : A : NaOH (aq) B : NaOH (s) C : {Na+ (aq) + HO– (aq)} B: 3 - L'équation de la réaction de dosage de l'acide chlorhydrique par la soude est : C: A: 15 - Une solution de chlorure d'ammonium a un pH = 11. Le pKA du couple NH4+ (aq) / NH3 (aq) vaut 9,2. B: C: 4 - Plus généralement, l'équation de la réaction de dosage d'un acide AH par la soude est : A: 12 - La courbe ci-dessous représente l'évolution du pH 9 - La courbe ci-dessous représente l'évolution du pH en en fonction du volume de soude versé lors du dosage fonction du volume de soude versé pour le dosage acido-basique. d'une solution d'acide chlorhydrique. B: C: 5 - Lorsque l'on dose une solution d'acide chlorhydrique par de la soude, à l'équivalence le : A : pH > 7 B : pH = 7 C : pH < 7 6 - À l'équivalence du dosage d'un acide par la soude, la dérivée de la courbe pH = f (VB) donnant l'évolution du pH en fonction du volume de soude versé est : A : À son maximum B : À son minimum C : nulle 7 - Une réaction de dosage : A : Est totale, rapide, unique B : À un taux d'avancement final inférieur à 1 C : À une constante d'équilibre K supérieure à 104 8 - On dose un acide AH par une base B. À l'équivalence : A : L'acide est la base ont été mélangés dans les proportions stœchiométriques définies par les coefficients de la réaction B : La quantité de matière d'acide apporté est égale à la quantité de matière de base apportée C : Le pH est toujours égal à 7 On peut repérer l'équivalence à l'aide : A : De la valeur du coefficient directeur de la tangente à l'origine B : À l'aide de la méthode des tangentes C : À l'aide de la méthode de la moyenne On dispose de trois indicateurs colorés dont on donne les caractéristiques ci-dessuus. 10 - Les coordonnées du point d'équivalence E de la courbe précédente sont : A : pHE ≈ 7,0 ; VBE ≈ 9,8 mL B : pHE ≈ 8,0 ; VBE ≈ 9,8 mL C : pHE ≈ 7,0 ; VBE ≈ 12 mL 11 - Les indicateurs colorés sont : A : Des espèces chimiques acido-basiques B : Des espèces chimiques oxydant-réducteur C : Des espèces chimiques neutres Pour réaliser le même dosage avec un indicateur coloré, il faut utiliser : A : La phénolphtaléine B : L'hélianthine C : Le Bleu de bromothymol (B.B.T) 13 - On a dosé 10,0 mL d'une solution SA d'acide, de concentration inconnue, par 15,0 mL d'une solution de SB de soude de concentration CB = 0,20 mol / L. La concentration de la solution dosée est : A : CA ≈ 0,13 mol / L B : CA ≈ 0,30 mol / L C : CA ≈ 0,3 mol / L 14 - On réalise le dosage de l'acide éthanoïque par une solution aqueuse de soude. À l'équivalence, le pH du point d'équivalence est : A : Inférieur à 7 B : Supérieur à 7 C : Égal à 7 V. Un peu de mécanique. 4 - Dans un référentiel d'origine O, un mobile M est en mouvement sous l'action d'une force. Parmi les grandeurs ci-dessous, relative au mobile, quelle est celle Deux billes de masse M et m (M > m), assimilables à des qui ne dépend pas du référentiel dans lequel on étudie points matériels, sont lâchées sans vitesse initiale à une le mouvement . A : la masse hauteur h du sol, dans une région où le champ de pesanteur est constant. On néglige la résistance de l'air. B : le vecteur position C : l'accélération Parmi les affirmations suivantes, laquelle est exacte ? D : L'énergie cinétique A : la bille M atteint le sol en premier E : la vitesse B : la bille m atteint le sol en premier C : Les deux billes atteignent le sol simultanément 5 - Dans le référentiel d'étude, les normes de la vitesse et de l'accélération d'un point matériel sont constantes 2 - Une masse m, soumise au champ de pesanteur terrestre de valeur g = 9,81 N / kg peut se déplacer sans au cours du temps et non nulles. frottement d'un point A à un autre point quelconque C Quelles est la nature du mouvement ? A : rectiligne uniforme en suivant deux trajets différents : B : circulaire uniforme Trajet 1 : le trajet vertical AB puis le trajet horizontal BC 15 - On réalise, le dosage d'une solution d'ammoniac C : rectiligne uniformément varié (BC = a) NH3 (aq) par de l'acide chlorhydrique. Trajet 2 : le trajet suivant le segment AC de longueur b. D : circulaire non uniforme À l'équivalence : E : curviligne varié A : On est en présence d'une solution aqueuse de On désigne par W1 et W2 le travail du poids dans chlorure d'ammonium chacun des deux cas. Indiquer laquelle des expressions 6 - Vous êtes assis dans une voiture de chemin de fer, B : Le pH du mélange réactionnel est inférieur à 7 dans le sens de la marche. Les fenêtres sont fermées et proposées est correcte : C : Le pH du mélange réactionnel est supérieur à 7 le train roule à vitesse constante sur une voie horizontale. A : W1 = W2 16 - On veut doser 10,0 mL d'une solution SA d'acide, de Vous jetez une boule en l'air, verticalement, puis votre B : W1 = m . g . b main s'immobilise. concentration inconnue, par une solution SB de soude C : W2 = m . g . a Où la boule retombe-t-elle ? de concentration CB = 0,20 mol / L. A : en avant de votre main D : W1 > W2 Pour prélever les 10,0 mL de la solution SA d'acide, on B : sur votre main C : en arrière de votre main utilise : D : ailleurs A : Une pipette graduée 3 - Pour un mouvement circulaire uniforme : E : ne se prononce pas B : Une éprouvette graduée A : l'accélération est nulle C : une pipette jaugée B : le vecteur vitesse reste constant C : le vecteur accélération est centripète D : le vecteur accélération est tangentiel E : Le vecteur accélération est constant 7 - Dans un référentiel géocentrique supposé galiléen, 3 - Dans le vide la lumière se propage avec une vitesse un satellite terrestre décrit une orbite circulaire de rayon de : R. A : 300 000 km / h B : 3,0 x 108 m / s A : la norme de sa vitesse est constante C : 3,0 x 108 km / s B : son accélération est nulle C : sa période de révolution est proportionnelle au rayon 4 - Lorsque l'on passe d'un milieu transparent à un de sa trajectoire. autre, la fréquence d'une radiation monochromatique : D : si le satellite est géostationnaire, sa vitesse est nulle A : Est modifiée B : Reste inchangée C : Une radiation monochromatique n'a pas de fréquence 8 - Quand un corps tombe en chute libre dans un champ définie de pesanteur uniforme : A : il est soumis à une force constante. 5 - La célérité de la lumière dans le vide et dans l'air est B : son accélération est d'autant plus grande que sa c = 3,0 x 108 m / s. Si on envoie un rayon lumineux dans masse est grande un prisme CROWN d'indice n = 1,5, la célérité de la C : sa vitesse augmente proportionnellement à sa lumière sera : distance de chute D : sa variation d'énergie potentielle sur une distance de A : 2,0 x 108 m / s chute donnée est indépendante de sa masse B : 4,5 x 108 m / s E : son accélération au bout d'un temps de chute donnée C : 3,0 x 108 m / s est indépendante de sa vitesse initiale 6 - La longueur d'onde λ0 d'un rayonnement lumineux VI. Modèle ondulatoire de la lumière. 1 - Les ultraviolets sont des rayonnements dont la longueur d'onde λ : A : Est inférieure à 400 nm B : Est située entre 400 nm et 780 nm C : Est supérieure à 780 nm 2 – Un des phénomènes qui permet de mettre en évidence le caractère ondulatoire de la lumière est : A : Le phénomène de réflexion B : Le phénomène de propagation C : Le phénomène d'interférence de fréquence ν = 6,00 x 1014 Hz se propageant dans le vide est vaut : A : 500 nm B : 2,0 µm C : 1,8 x 1024 m 7 - On donne ci-dessous la figure obtenue par diffraction d'un pinceau lumineux par un obstacle de petite taille. 8 - La largeur d de la tache centrale d'une figure de diffraction est liée à D, la distance qui sépare l'écran de la fente et θ, l'écart angulaire entre le milieu de la frange centrale et la première extinction, par la relation : A: B: C: 9 - En plaçant un cheveu devant un rayon laser de longueur d'onde λ = 632 nm, on observe sur l'écran, placé à la distance D = 7,05 m, une figure de diffraction. Si la largeur de la tache centrale vaut d = 52,0 mm, le diamètre a du cheveu mesure A : 1,71 μm B : 17,1 μm C : 171 μm 10 - Si c représente la célérité de la lumière, ν la fréquence et λ, la longueur d'onde, l'indice n d'un milieu transparent dépend de la fréquence de la radiation selon la relation : A: L'obstacle qui conduit à cette figure de diffraction est : A : Un trou circulaire B : Une fente C : Un trou carré B: C: 11 - Si n1 et n2 représentent respectivement les indices de réfraction des milieux traversés par un rayon lumineux, l'angle d'incidence i1 et l'angle de réfraction i2 sont liés par la relation : A : n1 . sin i1 = n2 . sin i2 16 - Des interférences destructives s'observent si les ondes cohérentes qui interférent : A : Sont en opposition de phase B : Sont décalées d'un nombre entier de longueurs d'onde C : Sont décalées d'un nombre impair de demi-longueurs d'onde B : n1 . i1 = n2 . i2 C : n1 . sin i2 = n2 . sin i1 12 - Des interférences stables se produisent lorsque deux ondes : A : Se superposent B : De même fréquence se superposent C : Cohérentes se superposent 17 - Une onde sonore est une onde : A : Longitudinale B : Transversale C : De même nature que la lumière 22 - Pour observer la figure d'interférence obtenue avec des fentes d'Young en lumière monochromatique, il faut placer l'écran : A : À n'importe quelle distance des fentes B : À une distance précise qui dépend de la longueur d'onde C : À une distance précise qui dépend de la distance qui sépare les eux fentes 23 - Pour observer une figure d'interférence en lumière monochromatique, il faut : A : Deux lampes monochromatiques identiques 18 - Lorsqu'une source d'ondes est en mouvement et qu'un récepteur est immobile par rapport au milieu de indépendantes B : Deux lampes monochromatiques identiques propagation : 13 - L'écart angulaire de diffraction θ est plus important branchées sur le même générateur A : L'onde émise est modifiée au cours du temps pour une onde de longueur d'onde : B : L'onde perçue est modifiée par rapport à l'onde émise C : Une seule lampe monochromatique munie d'une seule A : 400 nm C : La vitesse de propagation de l'onde dans le milieu est fente et un système permettant d'obtenir deux sources B : 600 nm secondaires modifiée. C : 800 nm VII. Les Ondes Mécaniques. 14 - La figure de diffraction de la lumière blanche présente une tache centrale : A : Blanche B : Noire C : Colorée 19 - Un émetteur d'onde se rapproche d'un récepteur fixe. On note fE la fréquence de l'onde émise et fR. la fréquence de l'onde perçue A : fR < fE B : fR > fE 1 - Lors de la propagation d'une onde mécanique, il y a : A : Transport d'énergie B : Transport de matière C : Ni transport de matière et ni transport d'énergie C : fR = fE 15 - Des interférences constructives s'observent en tout point de l'espace où deux ondes cohérentes : A : Se superposent B : Sont en phase C : Sont en opposition de phase 2 - Une onde est dite progressive A : Si son amplitude augmente avec le temps 20 - Dans la figure d'interférence obtenue avec des fentes d'Young en lumière monochromatique, la frange B : Si elle se propage dans l'espace C : Si elle reste «immobile» dans l'espace centrale est : A : Deux fois plus large que les franges latérales B : De même largeur que les autres franges C : Beaucoup plus lumineuse que les autres franges 3 - Deux ondes qui se croisent A : Sont obligatoirement modifiées après leur rencontre B : S'arrêtent ; il n'y a plus d'onde C : Peuvent poursuivre inchangées après le croisement 4 - La hola dans un stade de football est une onde progressive à : A : Une dimension B : Deux dimensions C : Trois dimensions 9 - Dans une piscine, Juliette se trouve en un point M situé à 5,0 m de la machine à vagues placée en S. Comme elle est juste assez grande pour sortir la tête de l'eau, elle doit sauter à chaque fois qu'une crête de vague l'atteint. La vitesse des vagues est de 2,0 m.s-1. 5 - Une onde est dite transversale : Juliette doit sauter : A : Quand la perturbation se fait perpendiculairement à la A : 2,5 s après la création de la vague en S direction de propagation B : 0,40 s après la création de la vague en S B : Quand la perturbation se fait dans la même direction C : En même temps que se crée une vague en S. que la propagation C : Quand la perturbation se fait de proche en proche 10 - Parmi les ondes progressives suivantes, laquelle est périodique ? 6 - Si on place la flamme d'une bougie à quelques A : L'onde créée par un caillou dans un plan d'eau centimètres d'un HP, on remarque que la flamme de la initialement calme bougie suit le mouvement de la membrane. Cette B : L'onde sonore du « la » d'un diapason (sur une courte observation permet de montrer que l'onde sonore est : durée) A : Une onde transversale C : L'onde de choc d'un avion qui passe le mur du son. B : Une onde plane C : Une onde longitudinale 11 - Les ondes progressives périodiques présentent : A : Une périodicité temporelle 7 - La célérité d'une onde : B : Une périodicité spatiale A : Augmente avec l'inertie du milieu C : Une périodicité temporelle et une périodicité spatiale B : Diminue avec l'inertie du milieu C : Diminue avec la rigidité du milieu 12 - La fréquence d'un phénomène périodique : A : Est donnée par l'inverse de la période 8 - Si d représente la distance parcourue par la B : Est le nombre de fois que se répète le phénomène par perturbation et Δt la durée mise à la parcourir, la seconde célérité c d'une onde est donnée par la relation : C : Représente la durée du phénomène A: B: C : c = d . Δt 14 - La période d'une onde progressive sinusoïdale est : A : La durée la plus courte séparant deux perturbations identiques en un point donné B : La durée séparant deux perturbations identiques en un point donné C : La distance séparant deux perturbations identiques 15 - Une onde de période T = 10 ms se propage à la vitesse v = 250 m.s-1. Sa longueur d'onde λ vaut : A : 2,5 m B : 2,5 km C : 25 km 16 - Un milieu dans lequel la célérité d'une onde dépend de sa fréquence est : A : Diffusant B : Diffractant C : Dispersif 17 - Une onde qui rencontre un obstacle sera diffractée : A : Si l'obstacle à la forme d'une fente ou d'un trou B : Si la taille de l'obstacle est de même ordre de grandeur que la longueur d'onde C : Quelle que soit la dimension de l'obstacle 18 - La diffraction modifie : A : La fréquence de l'onde B : La longueur d'onde de l'onde C : Ni l'un ni l'autre VIII. Stéréochimie des molécules. 1 - Lorsqu'une molécule est chirale : A : Elle est superposable à son image dans un miroir. B : Son image dans un miroir plan est une molécule chirale. C : Elle présente un plan de symétrie. C: 4 - La molécule ci-dessous comporte : A : Est le stéréoisomère Z. B : Est le stéréoisomère E. C : Ne présente pas de stéréoisomérie Z et E. 2 - Soit les molécules A et B ci-dessous : 7 - Un mélange racémique est un mélange équimolaire : A : De deux énantiomères. B : De deux diastéréoisomères. C : De deux stéréoisomères Z et E. A : Zéro atome de carbone asymétrique. B : Un seul atome de carbone asymétrique. C : Deux atomes de carbone asymétriques. A : Elles sont toutes les deux chirales. B : Elles sont toutes les deux achirales. C : A est chirale et B est achirale 5 - Les deux molécules A et B ci-dessous constituent : 9 - La (les) conformation(s) la (les) plus stable(s) est (sont) : 3 - La formule topologique du butan-2-ol est : A: A : Un couple de molécules identiques. B : Un couple d'énantiomères. C : Un couple de diastéréoisomères. 6 - La molécule de 1,2-dichlorométhène représentée cidessous : B: 8 - Deux diastéréoisomères ont : A : Généralement des températures d'ébullition différentes. B : Des formules semi-développées différentes. C : Obligatoirement un atome de carbone asymétrique chacun. A: B: C: B: IX. Transformation en chimie organique : aspect macroscopique. C: 10 - Pour différencier deux énantiomères, on utilise : A : La représentation topologique. B : La représentation de CRAM. C : Des formules brutes. 11 - Si le passage d'un stéréoisomère à l'autre n'implique pas de rupture d'une liaison, les deux molécules sont des : A : Énantiomères. B : Diastéréoisomères. C : Stéréoisomères de conformation. 1 - La chaîne carbonée d'une molécule peut être raccourcie : A : Par craquage catalytique. B : Par distillation fractionnée. C : Par vapocraquage. 2 - Le passage de l'octane au but-2-ène peut se faire par : A : Alkylation. B : Reformage. C : Craquage. 4 - La molécule de 2,3-diméthylbutanamine possède : A : Une chaîne principale à quatre atomes de carbone. B : Quatre atomes de carbone. C : Un atome d'azote. 5 - La molécule de propanoate de méthyle : A : Est un ester. B : Possède un seul atome d'oxygène. C : Possède quatre atomes de carbone. 6 - Les molécules dont les formules topologiques sont données ci-dessous : A : N'ont pas la même chaîne carbonée principale. B : N'ont pas le même groupe caractéristique. C : Ont la même formule brute. 3 - La molécule d'éthanoate de méthyle, dont le modèle moléculaire est donné ci-dessous, est : 7 - Les molécules dont les formules topologiques sont données ci-dessous : 12 - Parmi les objets suivants, lequel n'est pas chiral ? A : Un clavier d'ordinateur. B : Un texte imprimé. C : Un clou. 13 - Parmi les molécules suivantes, laquelle possède un carbone asymétrique ? A: A : Un alcool. B : Un ester. C : Une cétone. A : Ont la même chaîne carbonée. B : N'ont pas le même groupe caractéristique. C : Ont la même formule brute. 8 - Une molécule qui subit une réaction de substitution : A : Gagne un groupe caractéristique supplémentaire. 1 - Données : B : Peut perdre un groupe caractéristique. C : Perd certains atomes qui sont remplacés par d'autres. 9 - Une molécule qui subit une réaction d'addition : A : Gagne une double liaison. B : Perd une double liaison. C : Perd une liaison multiple 10 - Une molécule qui subit une réaction d'élimination : A : Gagne un groupe caractéristique supplémentaire. B : Perd des atomes. C : Perd une liaison multiple. 11 - La réaction d'équation représentée ci-dessous est une réaction : A : De substitution. B : D'addition. C : D'élimination. 12 - La réaction d'équation représentée ci-dessous est une réaction : A : De substitution. B : D'addition. C : D'élimination. B: L'électronégativité d'un atome traduit son aptitude à : A : Former une liaison avec un autre atome. B : Attirer à lui le doublet d'électrons qui le lie à un autre atome. C : Porter des charges partielles négatives. 2 - Les polarisations données ci-dessous sont-elles correctes ? C: 4 - L'ion hydrogène H+ est un site : A : Donneur de doublet d'électrons. B : Accepteur de doublet d'électrons. C : Ni donneur, ni accepteur de doublet d'électrons. 5 - L'ion hydrure H - est un site : A : Donneur de doublet d'électrons. B : Accepteur de doublet d'électrons. C : Ni donneur, ni accepteur de doublet d'électrons. A: B: 6 - La représentation correcte de la première étape du mécanisme de saponification du méthanoate d'éthyle est : C: A: 3 - Les polarisations des liaisons multiples ci-contre sont-elles correctes ? B: X. Transformation en chimie organique : aspect microscopique A: C: 7 - L'ion cyanure CN - réagit en une seule étape avec le méthanal pour donner XI. Stratégie d'une synthèse et sélectivité en chimie organique. . 1 - Le montage représenté ci-dessous est un montage : 4 - La recristallisation : A : Consiste à refroidir le milieu réactionnel une fois la synthèse terminée. B : Est une technique de purification des solides. C : Est une technique de purification des liquides. Cette étape peut s'écrire : 5 - Pour contrôler la pureté d'un solide, on peut : A : Réaliser une chromatographie sur couche mince. B : Mesurer son indice de réfraction. C : Mesurer sa température de fusion. A: 6 - Soit la réaction suivante : A + 2 B → 3 P + Q ; Avec n0 (A) = n0 (B) = n0 La quantité maximale nmax de produit P susceptible B: A : De chauffage à reflux. B : D'hydrodistillation. C : De distillation fractionnée. d'être obtenue est égale à : A : 3 n0 B : n0 C: C: 8 - Dans la molécule de méthanal (voir ci-dessous), l'atome : A : De carbone porte une charge partielle négative. B : De carbone porte une charge partielle positive. C : D'oxygène porte une charge partielle positive. 9 - La liaison C = O est : A : Chargée. B : Polarisée. C : Non polarisée. 2 - Le pictogramme signifie : A : Que le produit est toxique. B : Qu'il faut manipuler le produit avec des gants. C : Que le produit est corrosif 3 - L'introduction d'un catalyseur dans le milieu réactionnel permet : A : D'accélérer la réaction. B : D'augmenter la valeur de l'avancement maximal. C : De réaliser la réaction en chauffant éventuellement moins. 7 - La molécule ci-dessous possède : A : Une fonction cétone, une fonction amine et une fonction alcool. B : Une fonction amide et une fonction alcool. C : Une fonction amine et une fonction acide carboxylique. 8 - Pour réaliser la synthèse peptidique ci-dessous, il faut : Dans cette synthèse le produit d'intérêt est : A : De l'eau. B : Un ester C : Un amide 10 - Dans cette synthèse, l'APTS joue le rôle de : A : Réactif. B : Produit. C : Catalyseur. A : Protéger la fonction amine de A et la fonction acide carboxylique de B. B : Protéger les deux fonctions de A. C : Protéger la fonction amine de B et la fonction acide carboxylique de A. 9 - On étudie la transformation décrite par l'équation de la réaction suivante : Lors de cette synthèse, on introduit 10 mL d'alcool, 30 mL d'acide et 1,0 g d'APTS. APTS M3 = 172 ; ester M4 = 130. 1 - On lance un solide de masse m verticalement, vers le haut, à partir d'une hauteur h. La valeur de la vitesse initiale est v0. On étudie le mouvement du bouton dans le repère contenu dans le plan de la trajectoire. L'intensité de la pesanteur est notée g. Schéma de la situation à l'instant t : 11 - Sachant que la masse volumique de l'alcool est 0,81 kg . L–1 et celle de l'acide 1,05 kg . L–1 , le réactif limitant est : A : L'alcool. B : L'acide. C : L'ester. 12 - Une manipulation a permis d'obtenir 7,6 g d'ester. Le rendement est de : A : 10 % B : 64 % C : 76 % 13 - Le produit obtenu est liquide. Par conséquent, il ne pourra pas être caractérisé par : A : Sa masse volumique. B : Une chromatographie sur couche mince. Un référentiel pertinent pour étudier le mouvement du C : Sa température de fusion. bouton est : Données : Masses molaires en g . mol-1 : Alcool = M1 = 88, acide : M2 = 60 XII. Applications des lois de Newton et Kepler. 14 - Pour purifier le produit liquide obtenu, on peut réaliser : A : Une distillation. B : Une chromatographie sur couche mince. C : Une recristallisation. A : Le référentiel héliocentrique. B : Le référentiel géocentrique. C : Un référentiel terrestre. 2 - Dans l'hypothèse d'une chute libre, le solide est uniquement soumis : A : À son poids et aux forces de frottements de l'air. B : À son poids C : Aux forces de frottements de l'air. 3 - Le vecteur accélération du solide est : A : Vertical ascendant. B : Vertical descendant. C : Horizontal et dans le sens du mouvement. 6 - Les équations horaires du mouvement sont : 8 - Le référentiel le plus adapté à l'étude du mouvement de la Lune autour de la Terre est : A : Le référentiel héliocentrique. B : Le référentiel géocentrique. C : Le référentiel terrestre. A: 9 - Dans l'approximation d'une trajectoire circulaire, le mouvement de la Lune dans ce référentiel est : A : Rectiligne uniforme. B : Circulaire uniforme. C : Circulaire non uniforme. 4 - À chaque date t, l'abscisse vx du vecteur vitesse du solide est : A:0 B : v0 C : - v0 B: 10 - D'après la loi des aires, le segment de droite reliant les centres de gravité de la Lune et de la Terre : A : Balaie des aires égales pendant des durées égales. B : A une trajectoire elliptique. C : A une longueur constante 5 - À chaque date t, l'ordonnée vy du vecteur vitesse du 11 - Un satellite est en orbite autour de la Terre. Il effectue une révolution de rayon r avec une période T. La troisième loi de Kepler s'écrit : solide est : A : - g . t + v0 B : + g . t + v0 C : - g . t - v0 A: C: 7 - La trajectoire du solide est : A : Parabolique. B : Circulaire. C : Rectiligne. B: C: 12 - La valeur de l'accélération d'un point mobile en mouvement circulaire uniforme : A : Est nulle. B : Quadruple si la valeur de la vitesse double. C : Augmente si le rayon de la trajectoire augmente. 15 - Dans la relation correcte précédente : A : k dépend de la masse du satellite. B : k dépend de la masse de l'astre autour duquel le satellite tourne. C : k est une constante universelle. 13 - Dans l'approximation des trajectoires circulaires, de rayon r, autour d'un astre de masse M, la valeur de la vitesse d'un satellite vérifie la relation : 16 - Le mouvement de Jupiter est circulaire dans le référentiel : A : Géocentrique. B : Héliocentrique. A: C : Jovicentrique. B: XIII. Travail et énergie. 2 - Une force est dite conservative, si : A : Son travail est nul. B : Son travail est indépendant du chemin suivi. C : Son travail est moteur. 3 - Le travail du poids d'un parapentiste de masse m = 80 kg s'élançant à une altitude de h1 = 1500 m et se posant à une altitude de h2 = 500 m vaut : A : 8,0 x 105 J B : 8,0 x 102 J C : – 8,0 x 105 J 4 - Le travail du poids d'un corps : A : Est toujours positif quand le corps descend. B : Est toujours moteur. C : A un signe qui dépend du choix de l'axe vertical. C: 14 - Dans l'approximation des trajectoires circulaires autour d'un astre, la période T de révolution et le rayon r de la trajectoire d'un satellite vérifient la relation : A: 1 - Le travail d'une force constante dont le 5 - Le travail de la force électrostatique point d'application se déplace de A à B est donné par la s'exerçant sur une particule de charge q se déplaçant relation : d'un point A, où le potentiel est VA, à un point B où le potentiel est VB, s'écrit : A: A: B: B: C: B: C: C: 6 - Une force qui s'exerce sur un point matériel est conservative si : A : Elle garde une valeur constante quelle que soit sa direction. B : Son travail ne dépend pas du chemin suivi par le point matériel pendant le déplacement. C : Elle permet au corps sur lequel elle s'exerce de garder une vitesse constante. 9 - Lorsque le pendule passe par sa position d'équilibre, 14 - Lors des oscillations libres d'un pendule, l'énergie sa vitesse vaut : mécanique du pendule : A : S'exprime par Em = Epp + EC uniquement s'il n'y a pas A : 0,77 m . s–1. B : 0,0 m . s–1. C : 2,4 x 10–2 m . s–1. de frottements. B : Reste constante en l'absence de frottements. C : Reste toujours constante que les oscillations soient amorties ou pas. 10 - Jusqu'à la date t = 0,36 s, il y a : A : Transfert partiel de l'énergie potentielle de pesanteur en énergie cinétique. XIV. Transferts quantiques d'énergie et dualité 7 - On a représenté ci-dessous les évolutions au cours du B : Transfert complet de l'énergie cinétique en énergie temps des énergies d'un pendule de masse m = 100 g, potentielle de pesanteur. onde particule. écarté de sa position d'équilibre et lâché sans vitesse C : Transfert complet de l'énergie potentielle de initiale à la date t = 0 s. pesanteur en énergie cinétique. 1 - La valeur p de la quantité de mouvement d'une particule est liée à sa longueur d'onde λ par la relation : 11 - Lorsque l'énergie mécanique d'un point matériel ne se conserve pas, la variation d'énergie mécanique de ce A: point est égale à la somme des travaux : A : Des forces conservatives et non conservatives B: appliquées à ce point. B : Des forces conservatives appliquées à ce point. C : Des forces non conservatives appliquées à ce point. C: Les énergies du pendule sont représentées de la façon suivante : A : Em en VERT et EC en ROUGE B : Epp en ROUGE et EC en BLEU C : Em en ROUGE et EC en VERT 12 - Un pendule peut servir à construire une horloge si l'amplitude de ses oscillations : A : Diminue au cours du temps. B : Augmente au cours du temps. C : Reste constante au cours du temps. 2 - On note pr la quantité de mouvement d'un photon de lumière rouge et pv la quantité de mouvement d'un photon de lumière violette : A : pr = pv B : pr < pv 8 - La date t = 0,36 s correspond au passage du pendule : A : Par sa position d'équilibre B : Par sa position la plus haute. C : Par sa position la plus basse. 13 - Lors de la chute libre d'un point matériel A : A : Il y a conservation d'énergie de A entre les formes cinétique et potentielle. B : L'énergie mécanique de A diminue quand son énergie potentielle diminue. C : L'énergie mécanique de A diminue toujours. C : pr > pv 7 - L'image ci-dessous représente une figure d'interférences photon par photon. 3 - Le rapport des longueurs d'onde associées à un proton (mp = 1 u) et à une particule α (alpha : mα = 4 u) est égal à 4 lorsqu'ils ont : A : La même vitesse. B : La même quantité de mouvement. C : La même énergie cinétique. A : Cette figure illustre l'aspect probabiliste d'un 4 - Les ondes de matière associées à un électron ou à un phénomène quantique. proton en mouvement ont la même longueur d'onde. B : Cette figure ne permet pas de connaître le lieu A : Les deux particules ont des quantités de mouvement d'impact de chaque photon. de même valeur. C : Cette figure met en évidence la dualité ondeB : La valeur de la vitesse de l'électron est plus importante corpuscule. que celle de la vitesse du proton. C : Les deux particules ont des vitesses de même valeur. 8 - Lors d'une émission stimulée, un photon d'énergie E est émis : 5 - Une lumière monochromatique constituée de A : Spontanément par un atome dans un état excité. photons d'énergie 2,5 eV se situe : B : Lorsqu'un photon d'énergie E est absorbé par un A : Dans le domaine de l'infrarouge. atome dans l'état fondamental. B : Dans le domaine du visible. C : Lorsqu'un photon d'énergie E entre en interaction C : Dans le domaine des ultraviolets. avec un atome dans un état excité. 6 - Dans un microscope électronique, la dimension du plus petit objet observable correspond à la longueur d'onde du rayonnement utilisé. Un faisceau d'électrons se déplaçant à 4,0 x 105 m.s–1 permet d'observer des détails de : A : 2,4 x 10–58 m B : 5,5 x 108 m C : 1,8 x 10–9 m 9 - Une inversion de population est réalisée : A : Lorsque plus d'atomes sont dans un état excité que dans leur état fondamental. B : Lorsque plus d'atomes sont dans leur état fondamental que dans un état excité. C : Lorsqu'aucun atome n'est dans un état excité. 10 - Le laser émet une lumière monochromatique : A : Directive. B : Sélective. C : Cohérente. 11 - L'énergie mise en jeu lors d'une transition électronique est : A : Supérieure à celle mise en jeu lors d'une transition vibratoire. B : Égale à celle mise en jeu lors d'une transition vibratoire. C : Inférieure à celle mise en jeu lors d'une transition vibratoire. 12 - Une radiation d'énergie vibratoire est associée à une radiation : A : Ultraviolette. B : Visible. C : Infrarouge. XV. Temps et relativité restreinte. 1 - En relativité restreinte, la valeur de la vitesse de la lumière dans le vide et dans un référentiel galiléen : A : Est absolue. B : Est relative. C : Dépend du référentiel. 2 - L'invariance dans le vide de la valeur de la lumière dans un référentiel galiléen est un postulat de : A : Galilée. B : Newton. C : Einstein. 3 - En relativité restreinte, l'horloge qui mesure le temps propre séparant deux évènements doit être : A : Fixe par rapport auxdes lieux des évènements. B : Proche des lieux des évènements. C : En mouvement par rapport au lieu où se déroulent ces deux évènements. 7 - On imagine qu'une personne A munie d'un 10 - Une fusée se dirige avec une vitesse v vers une –1 chronomètre se déplace à 225 000 km . s par rapport source lumineuse immobile dans un référentiel galiléen. Par rapport au référentiel de la fusée, la vitesse de à une personne B. La personne B est également munie d'un chronomètre propagation de la lumière dans le vide est : A : supérieure à c. et les référentiels liés à A et B sont galiléens. A mesure la durée propre séparant deux évènements. B : égale à c. C : inférieure à c. On donne : c = 3,00 x 108 m . s–1 4 - En relativité restreinte, les durées mesurées sont : A : Contractées par rapport aux durées propres. B : Les mêmes que les durées propres. C : Dilatées par rapport aux durées propres. 5 - Les durées mesurée ΔT ' et propre ΔT0 sont reliées A : La durée mesurée par la personne B entre les deux évènements est environ 2 fois plus grande que celle mesurée par la personne A. A : γ s'exprime en m . s–1. B : La durée mesurée par la personne B entre les deux B : γ s'exprime en s–1. évènements est environ 1,5 fois plus grande que celle C : γ est sans unité. mesurée par la personne A. C : La durée mesurée par la personne B entre les deux évènements est sensiblement égale à celle mesurée par 6 - Deux personnes munies de chronomètres, fixes dans la personne A. deux référentiels galiléens, observent les deux mêmes évènements. Les durées séparant ces deux évènements sont 8 - La mécanique classique : sensiblement différentes si : A : Est un cas particulier de la mécanique relativiste. A : Ces deux personnes sont en mouvement l'une par B : Est une généralisation de la mécanique relativiste. rapport à l'autre à une vitesse de valeur élevée. C : Correspond au cas où γ = 1. B : Ces deux personnes sont en mouvement l'une par rapport à l'autre à une vitesse de faible valeur. C : Ces deux personnes ne sont pas en mouvement l'une 9 - Le caractère relatif du temps est-il à prendre en par rapport à l'autre. compte par un observateur fixe dans un référentiel par la relation ΔT ' = γ . ΔT0. terrestre lorsqu'il mesure la période de battement des ailes d'une mouche volant à 10 km .h–1 ? A : Oui. B : Non. C : On ne peut pas savoir sans connaître la période propre des battements. 11 - D'après les postulats de la relativité restreinte, si on décrit le mouvement d'un électron soumis à un champ électromagnétique dans deux référentiels galiléens différents : A : Les trajectoires son décrites de façons identiques. B : Les vitesses sont, à chaque instant, identiques. C : Les mêmes lois de l'électromagnétisme sont respectées. 12 - Une fusée se dirige avec une vitesse v vers une station spatiale immobile dans un référentiel galiléen. Pour un occupant de la station, par comparaison avec une horloge de la station, une horloge embarquée dans la fusée : A : Prend de l'avance. B : Prend du retard. C : Indique le même temps. 13 - Les muons sont des particules instables qui se désintègrent en moyenne au bout d'une durée propre τ. Dans un laboratoire, la durée d'existence mesurée pour des muons animés d'une vitesse proche de c est en moyenne : A : Grande devant τ. B : Égale à τ. C : Petite devant τ. 14 - Une durée mesurée d'un phénomène est toujours : A : Supérieure ou égale à sa durée propre. B : Inférieure ou égale à sa durée propre. C : Égale à sa durée propre. 15 - Concernant les véhicules construits et utilisés par l'homme, la relativité du temps : A : N'est pas vérifiable. B : Est vérifiable mais n'a aucune conséquence pratique. C : Est vérifiable est peut avoir des conséquences pratiques. 8 - Le flux thermique à travers une paroi de résistance 4 - Deux échantillons d'un kilogramme de fer solide sont thermique Rth s'exprime par : à des températures différentes. A : Le plus froid possède davantage d'énergie que le plus chaud. B : Les deux ont la même énergie interne. C : Le plus chaud possède davantage d'énergie que le plus froid. A : Plus l'écart de température est grand, plus le flux thermique est grand. B : Plus l'écart de température est grand, plus le flux 5 - Les trois modes de transfert thermique entre un thermique est petit. système et l'extérieur sont : C : Le flux thermique est deux fois plus grand si T1 est A : La conductivité, la convection et le rayonnement. B : La conduction, la convection et le rayonnement. C : La conduction, la convection et le travail. XVI. Transferts macroscopiques d'énergie. 1 - L'ordre de grandeur du nombre de molécules dans une mole est : A : 10–23 B : 1023 6 - Les trois modes de transfert thermique entre un système et l'extérieur : A : Peuvent avoir lieu simultanément. B : Nécessitent tous un support matériel. C : Contribuent à la variation d'énergie interne du système. C:1 2 - L'énergie interne d'un système macroscopique résulte : A : De contributions microscopiques. B : De contributions microscopiques et macroscopiques. C : De contributions macroscopiques. 3 - L'énergie interne d'un système macroscopique : A : Peut varier suite à des transferts thermiques avec l'extérieur. B : Peut varier suite à des travaux échangés avec l'extérieur. C : Peut ne pas varier. 7 - Le flux thermique à travers une paroi plane : A : Est l'énergie transférée à travers la paroi. B : Est l'énergie transférée à travers la paroi par unité de temps. C : Correspond à un transfert d'énergie de la source chaude vers la source froide. doublée pour un même T2. 9 - Au cours du fonctionnement d'un moteur de voiture, le mélange gazeux d'air et d'essence reçoit par transfert thermique 36,1 kJ et cède un travail de 19,4 kJ à l'extérieur. Ces deux transferts d'énergie sont les seuls à prendre en compte. Pour ce mélange gazeux d'air et d'essence, sur un cycle : A : W = – 16,7 kJ B : W = – 19,4 kJ C : Q = – 36,1 kJ 10 - Pour le mélange gazeux d'air et d'essence de la question précédente, sur un cycle (question 9) : A : ΔU > 0 B : ΔU < 0 C : ΔU = 0 11 - Lorsque l'agitation des entités microscopiques constituant un système macroscopique augmente, la température T de ce système : A : Augmente. B : Diminue. C : Est constante. 12 - La variation de l'énergie interne d'un système condensé de capacité thermique C peut s'écrire sous la forme : A: XVII. Cinématique et dynamique newtonienne. 3 - La valeur de la vitesse d'un point matériel de masse m = 100 g est v = 36 km / h. La valeur de la quantité de mouvement est égale à cet instant à : 1 - La représentation de x (t) pour un point en A : 3,6 kg .m .s–1 mouvement rectiligne uniforme selon l'axe x'x est : B : 1,0 x 103 kg .m .s–1 C : 1,0 kg .m .s–1 B: C: A: 13 - Le flux thermique a pour unité : A : Le joule (J) B : Le watt (W) C : Le joule. seconde (J.s) 14 - Une paroi constituée d'un matériau de conductivité B : thermique λ a une épaisseur e et une section S. Si une différence de température ΔT existe entre les deux extrémités, sa résistance Rth vaut alors : 4 - Au démarrage, un scooter passe de 0 à 36 km . h–1 en 10 s. Son accélération moyenne est de : A : 3,6 m . s–2 B : 3,6 km . h–2 C : 1,0 m . s–2 5 - La deuxième loi de Newton indique que pour tout point matériel, de masse m constante et de vecteur vitesse : A: B: A: B: C: C: 2 - Un passager est assis dans un train se déplaçant à vitesse constante sur une voie rectiligne : A : Le passager est immobile dans le référentiel terrestre. B : Le passager est en mouvement rectiligne uniforme dans le référentiel terrestre. C :Le passager est en mouvement rectiligne uniforme dans le référentiel du train. C: 6 - Pour que la troisième loi de Newton ou loi des actions réciproques s'applique à deux corps A et B en interaction, il faut que : A : Les deux corps soient en contact. B : Les deux corps aient la même masse. C : Il n'y a pas de condition. 7 - Le document suivant illustre un mouvement : A : Nulle. B : Constante. C : Centripète. 11 - Une dépanneuse D tire une voiture V. 13 - Le vecteur accélération du volant du badminton au point A3 : A : Est nul. B : Est perpendiculaire à la trajectoire. C : A pour valeur a3 = 200 m / s2. XVIII. Analyse spectrale. A: A : Uniforme. B : Uniformément décéléré. C : Dont l'accélération est constante. 8 - Lorsqu'un système est en mouvement circulaire uniforme : A : Son vecteur vitesse est constant. B : Son vecteur accélération est constant. C : Son vecteur accélération est centripète. B: C: 1 - Une solution de couleur verte : A : Absorbe des radiations de couleur verte. B : Peut absorber des radiations de couleur rouge. C : Peut absorber des radiations de couleur violette 12 - On donne la chronophotographique d'un volant de 2 - Un liquide incolore : badminton. A : Absorbe toutes les radiations de la lumière blanche. B : N'absorbe pas dans le visible. C : N'absorbe aucune radiation. 9 - L'accélération d'un système en mouvement circulaire uniforme de rayon R et de vitesse v : A : Est nulle. 3B : à pour valeur C : à pour valeur 10 - Dans le cas d'un mouvement circulaire uniforme, la résultante des forces qui s'exercent sur le système est : A : Est un groupe amine B : Est un groupe amide C : Est un groupe ester Le vecteur vitesse du volant au point A3 : A : Est nul. B : Est tangent à la trajectoire. C : A pour valeur v3 = 0,50 m / s. 4A : Est l'éthanoate de méthyle B : Est une cétone C : Est un ester 5 - La formule topologique d'une molécule est représentée ci-dessous : 8 - La spectroscopie IR permet : A : D'identifier la présence de certains types de liaisons. B : D'identifier la nature de toutes les liaisons d'une molécule. C : De connaître le nombre d'atomes de carbone présents dans une molécule. 13 - Dans un spectre RMN, un signal peut être repéré : A : Par son nombre d'ondes. B : Par sa longueur d'onde. C : Par son déplacement chimique. 14 - Le spectre RMN ci-dessous peut être celui : 9 - L'abscisse d'un spectre IR est généralement : A : Le nombre d'onde B : La longueur d'onde C : La fréquence 10 - Dans un spectre infrarouge, on lit généralement : A : La transmittance en ordonnée B : L'absorbance en ordonnée C : Le nombre d'ondes en abscisse Son nom est : A : 2-méthylbutan-3-one B : 3-méthylbutan-2-one C : 3-méthylbutan-2-ol 6 - Les aldéhydes et les cétones sont des classes fonctionnelles qui ont en commun le groupe caractéristique : A : Hydroxyle B : Carboxyle C : Carbonyle 7 - Le butanoate de méthyle appartient à la classe fonctionnelle des : A : Amides B : Esters C : Aldéhydes 11 - À partir de leur spectre infrarouge, on peut distinguer : A : Un alcane d'un alcène. B : Un aldéhyde d'une cétone. C : Un alcool d'un acide carboxylique. 12 - Lorsqu'il peut se former des liaisons hydrogène. La bande d'absorption de la liaison O — H : A : Est fine B : Est déplacée vers les faibles valeurs de nombre d'ondes. C : Est large A : Du 2-chloropropane B : Du 1,2-diiodoéthane C : Du 1,1-diiodoéthane 15 - Le spectre de RMN du 2-bromopropane : CH3 — CHBr— CH3 : A : Présente 3 signaux. B : Présente un doublet. C : Présente un sextuplet. 16 - Un spectre de RMN qui ne présente qu'un seul triplet peut être celui de : A : CH3 — CH2 — CH3 18 - La formule semi-développée de la molécule étudiée 3- Par rapport à un signal analogique, un signal précédemment est : numérique : A : se transmet de manière plus fidèle B : ne peut pas être régénéré aussi fidèlement C : est plus sensible au bruit B : CH3 — CH2 — CH2 — Br C : CH3 — OH A: 17 - Le spectre de RMN du chlorure de propanoyle, de formule brute C3H5ClO, est représenté ci-dessous : B: 4- Le code RVB « 255 ; 0 ;255 » correspond à un pixel : A : magenta B : jaune C : cyan 5-Si la puissance du signal en sortie de ligne est cent fois petite qu’en entrée, l’atténuation de la transmission vaut : A : 20 dB B : 2 dB C : 100 dB C: XIX. Transmission et stockage de 6- La lecture optique d’un CD est basée sur le phénomène physique : A : de diffraction B : des interférences C : de la réfraction l'information On rappelle que l'atome d'oxygène et l'atome de chlore sont plus électronégatifs que les atomes de carbone et d'hydrogène. L'observation du spectre de RMN permet de dire que : A : Tous les atomes d'hydrogènes sont équivalents. B : Il y a deux groupes d'atomes d'hydrogène équivalents. C : Il y a sept groupes d'atomes d'hydrogène équivalents 1-Un signal numérique est un signal qui évolue de manière : A: continue dans le temps B: discontinue au cours du temps C: continue puis discontinue au cours du temps 2- Lors d’une numérisation : A : Le signal numérique et le signal analogique possèdent rigoureusement la même information B : Le signal numérique contient plus d’informations C : Le signal analogique contient plus d’informations 7- Pour télécharger un fichier de 4,5Gio au débit constant de 1,5 Mio.s-1, il faut environ : A : 3,1.103 s B : 3,0 s C : 3,3 ms 8- Le phénomène physique qui limite la capacité de stockage des disques optiques est : A : la diffraction B : Les interférences C : la réfraction 12- l’échantillonnage du signal analogique consiste à : A : prélever la valeur du signal à intervalles de temps réguliers B : convertir les nombres binaires en tensions C : convertir les valeurs du signal en nombres binaires. 9- Les fibres optiques placées au fond des océans relient les continents. Ces fibres constituent : A : un convertisseur d’informations B : un récepteur d’informations C : un canal de transmission d’informations 13- Observer le dessin ci-dessous. 10- le convertisseur analogique numérique d’une carte d’acquisition possède les caractéristiques suivantes : Calibre : ± 4,5 V n = 12 bits La plage de mesure ce CAN est : A : 4,5 V B : 10 V C:9V Identifier : A : l’émetteur du signal Le pas de ce CAN est : A : 2,2.10-3 V B : 1,1.10-3 V C : 0,0022 V B : le récepteur du signal C : le dispositif de transport de l’information 11- Un signal analogique a une fréquence de fs = 420 Hz. La fréquence d’échantillonnage doit être au minimum de : A : 400 Hz B : 600 Hz C : 840 Hz