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dynamique Sébastien Dalgalarrondo et la stimulante et bienveillante Michèle Lalanne.
Je tiens enfin à signaler, un peu arbitrairement, et pardon à ceux que j’oublie, deux
autres figures incontournables de ce laboratoire qui me reviennent avec le cortège infini
de souvenirs : Jean-Yves Nevers pour son érudition et son humeur, disons
« sagaçantes », m’auront proposé de beaux moments de réflexion — je ne m’étends pas
par orgueil, je sais qu’il les a oubliés… De façon beaucoup moins ponctuelle, la vivacité
intellectuelle et l’amitié de Jens Thöemmes auront accompagné toutes les étapes de ce
travail.
Un paragraphe est certainement trop court pour remercier l’ensemble des
membres de l’Association d’Études Sociales de la Finance. C’est pourtant
indéniablement l’audace collective de ce groupe de chercheurs qui m’a permis
d’avancer, et mon provincialisme forcené m’aura trop souvent privé de leurs lumières.
Je cite un peu en vrac, mais je les remercie sincèrement : d’abord, Fabian Muniesa, et le
mettre en début de liste renvoie à beaucoup plus qu’au simple fait qu’il fut notre
premier Président ; Olivier Godechot, pour ses propositions précoces et ses productions
riches et incontournables ; Vincent lépinay pour son originalité incomparable et sa
passion pour la conditionnalité ; les charmantes économistes : Marie Brière, Valérie
Revest et Yamina Tadjeddine, pour leurs remarques toujours constructives et décisives ;
Sabine Montagne pour sa confiance encourageante dans la piste historique ; François
Sarfati pour son regard sain et salutaire sur les choses ; Emiliano Grossman, Thibaut
Kleiner et Jean-Pierre Hassoun parce que leur personnalité et leurs interventions ont
aussi marqué mon expérience au sein de ce groupe ; enfin, et bien au-delà du cadre de
ce collectif, j’ai beaucoup apprécié de pouvoir bénéficier d’un contact intellectuel avec
Alexandra Bidet, pour sa finesse et son intensivité : ma troisième partie doit beaucoup à
nos échanges, que cela l’encourage à la lire ! Pardon à tous les autres, il est toujours
délicat d’entamer une liste.
Je remercie enfin l’ensemble des participants aux différents colloques et
séminaires auxquels j’ai participé et qui m’ont fait l’honneur d’une lecture attentive et
d’une restitution instructive : je pense notamment à Marie-France Garcia, Jean-Claude
Thoenig et Catherine Grandclément — à qui je ne désespère pas de montrer un jour que
la finance moderne a un caractère paradigmatique de l’activité marchande… euh, disons
quand j’en serai convaincu.
Enfin, parmi mes anciens collègues et néanmoins amis, je tiens à remercier Yann
Barrot, Faouzi Elmestari, Tayeb Elmestari, Yves Bouvier et Juan José Torreiro : des
intellectuels de choix. À leur contact des convictions décisives ont été forgées, ma thèse
leur doit tellement. J’ajoute maladroitement Nathalie Fourcade à cette liste, bien
entendu sa place est à jamais bien plus spéciale dans mon cœur.
Enfin, je vais passer aux phases de remerciement encore plus personnelles :
j’entends par là tous ceux qui m’ont manqué pendant que je me dédiais à ce travail.
Ceux qui y ont mis la patte d’abord : Aurélien et Fabrice pour quelques scans. David,
Peggy, Carlos, Cédric, Blandine, Luc, Agniezscka, Greg, Emma, Manu, Floflo,
Mohamed, Jérôme, Martial, Djeloul, Cruz, Ben, Séb, Bruce, François, Aslam, Marina,
Elsa et les autres je pense à vous.
tel-00158032, version 1 - 27 Jun 2007