Une petite vue en détails de cette rangée de
dames (au lieu de colonnes)... qu’on
appelle les caryatides :
C’est le nom des habitantes de la ville de
caryatide... Cette ville avait collaboré avec
les ennemis perses, et Athènes, après
l’avoir battue, avait pris ses habitantes
comme esclaves, et les statues sont là pour
rappeler qu’il ne faut pas collaborer avec
l’ennemi !
Le temple d’Athéna Niké
Le temple d’Athéna NikéLe temple d’Athéna Niké
Le temple d’Athéna Niké
Le temple d'Athéna Nikè fut érigé au Ve
siècle av. J.‑C. sur l'Acropole d'Athènes, en
l'honneur de la déesse de la victoire, Athéna
Victorieuse (Ἀθηνᾶ Νίκη) : Nikè signifie
littéralement « victoire » en grec ancien.
Les murailles du bastion étaient protégées
sur la face nord, ouest et sud par un parapet dont
les frises célébraient la victoire et les sacrifices
offerts à la déesse Athéna.
La Victoire étant représentée
sous les traits d'une femme ailée, les
Grecs, qui faisaient parfois montre
d'un sens pratique à toute épreuve,
avaient eu, dit-on, l'idée simple et
logique de couper les ailes de la
statue d'Athéna Nikè placée dans ce
temple, afin d'éviter qu'elle ne
s'envole chez les ennemis, d'où le
nom parfois donné au monument :
temple de la Victoire aptère, c'est-à-
dire sans ailes.
C’est le plus célèbre des temples grecs, parce
que c’est le plus majestueux. Il a des proportions
parfaites. Le temple a été très abîmé, et notamment
par une explosion de la poudre qu’on y entreposait
en 1687... Il abritait une énorme statue d’Athéna (de
16 mètres !) tout en or et en ivoire !
À l’origine, le Parthénon avait une riche
décoration de marbre peint, tant à l’extérieur qu’à
l’intérieur du bâtiment. Une partie de ces décorations
y figure encore, comme sur le fronton est, mais la
plupart des frises et des métopes a été transférée à
Londres, au Louvre ou dans le musée de
l’Acropole...
Le Parthé
Le ParthéLe Parthé
Le Parthé