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AURORE & PASSAGE A L’ACTE
présentent
CONTACT :
Sébastien BERNARD - 06 23 08 70 63 - [email protected]
Claude LAUCOURNET - 06 12 31 38 81 - [email protected]
Retrouvez toutes les informations concernant nos spectacles
(extraits de presse, vidéos, fiches techniques et financières) sur notre site internet
WWW.PASSAGEALACTE.NET
AURORE & PASSAGE A L’ACTE
présentent
Molière 1998 du meilleur spectacle comique
de Isabelle Candelier, Loïc Houdré, Patrick Ligardes,
Denis Podalydès et Michel Vuillermoz
avec la complicité de Rémi de Vos
mise en scène de Sébastien BERNARD
avec
Delphine ATLAN, Thierry DIEZ, Claude LAUCOURNET
Donatien MOUSSET, Hervé TRIDON
décor et lumière de Sébastien BERNARD
Depuis 10 ans en Avignon, nous défendons une écriture contemporaine engagée qui aime
séduire le spectateur. Heureux de vous faire découvrir des histoires qui nous ont touchés,
nous voulons partager un théâtre générateur d’idées, de débats, de plaisirs et d’émotions.
Nos précédentes créations :
- Comedie sur un quai de gare de Samuel Benchetrit
- L’affrontement de Bill C. Davis
- Chambre 108 de Gérald Aubert
- Le grand retour de boris s. de Serge Kribus
- Sur un air de tango de Isabelle de Toledo
Propos de la pièce
Alexis Ader, maire de la petite ville de Vigoulet, veut sauver le théâtre municipal de la destruction. Son plan
d’action est simple : faire jouer “Le retour du chevalier Saint-Germaine”, une pièce historique dont il est l’auteur et
qui raconte la vie du village au Moyen-Age.
Pour l’événement, tout le monde est mobilisé. Jeanine, sa femme, jouera la princesse éplorée. Norbert s’occupera
des affiches et des décors. André, le jardinier municipal, soufflera le texte.
Pour garantir le succès de l’opération, Alexis a décidé de casser la cagnotte de la commune et d’engager JeanPascal Faix, un comédien professionnel de Paris, pour interpréter le chevalier Saint-Germaine. L’enthousiasme est
général mais le parisianisme “égocentré” de Faix va très rapidement remettre en cause la quiétude provinciale du
projet de la troupe.
Intention de mise en scène
Il y a toujours une certaine jubilation à travailler les pièces dont l’action se passe au théâtre. Pour les
spectacteurs, il y a le plaisir d’être la petite souris qui assiste aux préparatifs et qui voit ce qui devrait être
caché. Pour le professionnel il y a la volupté de se reconnaître et de s’amuser de soi. Les auteurs, de tout
temps, ont d’ailleurs régulièrement eu à coeur d’aborder le thème du théâtre, de démonter la mécanique,
d’en livrer les paradoxes, d’en avouer la futilité et de tout remonter pour mieux le magnifier.
Et puis, il y a le travail en lui-même. Les quelques moments où toute l’équipe est soudain prise de vertige,
quand nous répétons depuis des heures une scène compliquée qui met en scène des acteurs qui répètent
pendant des heures une scène compliquée... alors, la frontière entre l’acteur et son personnage se déchire,
l’espace d’une seconde, on ne sait plus qui est qui.
André le magnifique est d’ailleurs davantage une pièce sur l’acteur que sur le théâtre. Les cinq
personnages de la pièce sont d’une truculence qui les rendrait vite caricaturaux s’ils n’étaient pourvus
d’une profonde humanité. Ils sont tantôt forts, tantôt faibles, à la fois victimes et bourreaux. Chaque
intention et chaque enjeu est exploité et entraîne les personnages dans une course loufoque et effreinée
dont la ligne d’arrivée n’est autre que la plus implacable des règles du théâtre, celle qui transcende les
peurs, celle qui sublime les grandes idées et qui évince les concepts poussifs : le jour dit, à l’heure dite...
le rideau se lève.
Dans cet esprit, j’ai dirigé les comédiens, en refusant tout manichéisme, en les amenant sur un fil instable
où ils cherchent constamment l’équilibre entre courage et lâcheté. Je ne sais pas si on peut souhaiter à
un metteur en scène d’avoir à diriger un jour ces cinq personnages. Ce qui reste cependant fascinant, c’est
que malgré leurs maladresses et leurs antagonismes, malgré un décor improbable fait de bric et de broc,
ils fabriquent par moment quelque chose qui les dépasse : du théâtre.
Sébastien BERNARD
Sébastien Bernard, le metteur en scène
Comédien depuis l’âge de 14 ans, il s’intéresse à tous les domaines de la création théâtrale. Tout en poursuivant des études
de mathématiques, il suit une année de cours d’art dramatique au Studio 34. Il travaille en tant qu’administrateur à partir
de 1996 et comme assistant éclairagiste en 1999 avec François-Eric Valentin (Théâtre 14, Théâtre du Ranelagh). A partir de
2000, il passe à la mise en scène et travaille en tant qu’assistant pour Xavier Lemaire et Nicolas Bataille.
Claude Laucournet, avec qui il collabore depuis plus de quinze ans, lui met le pied à l’étrier et lui permet de signer ses
premières mises en scène. Il aborde des auteurs aussi divers que Agatha Christie, Jean Cocteau, Jean-Claude Grumberg ou
encore Gérald Sibleyras.
En 2003, pour défendre ses propres projets il impulse la création de la compagnie Passage à l’acte. Depuis, sept
spectacles qu’il a mis en scène ont vu le jour : Comédie sur un quai de gare de Samuel Benchetrit, La nuit du soupçon
de Claude Broussouloux, L’Affrontement de Bill C. Davis, Le Galant Sanguinaire de Jacques Rampal, Le Voyage de
Gérald Aubert, Le grand retour de Boris S. de Serge Kribus, Sur un air de tango de Isabelle de Toledo.
Claude Laucournet, Jean-Pascal Faix
Directeur artistique de la compagnie Aurore depuis vingt ans, il a joué dernièrement dans : Un air de famille de
Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri, Pauvre France de Jean Cau, Un ami imprévu de Agatha Christie, Mademoiselle de
Jacques Deval, Piège pour un homme seul de Robert Thomas, Le Minotaure de Marcel Aymé, Le Conte d’hiver de
Shakespeare, Les monstres sacrés de Jean Cocteau, La terrasse de Jean-Claude Carrière et Les vérités vraies de Didier
Caron.
Parallèlement, il a joué depuis 2003 au festival Off d’Avignon : Comédie sur un quai de gare de Samuel Benchetrit, La
nuit du soupçon de Claude Broussouloux, l’Affrontement de Bill C. Davis (m.e.s. Sébastien Bernard), Chambre 108
de Gérald Aubert (m.e.s. Frédéric Beaumont), Le grand retour de Boris S. de Serge Kribus et Sur un air de tango de
Isabelle de Toledo.
Au cinéma, il travaille avec Roger Coggio (Le mariage de Figaro) et Michel Wlasikoff (Place Sainte Marthe).
Hervé Tridon, Alexis Ader
En 1998, il débute au conservatoire de Toulouse , aborde le travail sur le clown et l’improvisation. En 2001, il intègre les
cours Périmony et participe à plusieurs pièces dont Jeux de Massacre de Ionesco, Pop Corn de Ben Elton et Harold et
Maud de Colin Higgins. Il crée en 2003 avec d’autres comédiens une compagnie avec laquelle il monte plusieurs Feydeau
dont Chat en poche, Le Dindon et Le système Ribadier.
En 2005 il travaille sous la direction de Françoise Kerver au pavillon des ateliers de l’ADAC où il monte Doute de JohnPatrick-Shanley et Le Premier de IsraëlHorovitz.
En 2007, il rejoint la compagnie Aurore avec laquelle il aborde sous la direction de Sébastien Bernard des auteurs aussi
divers qu’Eric-Emmanuel Schmitt, Jean-Michel Ribes, Serge Kribus et Didier Caron.
Donatien Mousset, André Lagachigue
Comédien formé à l’école-théâtre du Chien (Paris 15), il a joué avec plusieurs compagnies et interprété des personnages
aussi différents que Lelio (La Serva Amorosa - Goldoni), André (Les Trois Soeurs - Tchekhov), Ferdinand Roi d’Espagne
(Le Village en Flammes - Fassbinder), Robert Chiltern (Un Mari Idéal - Wilde), Angelo (Le Sénateur Fox - Lunari).
En février 2002, il a participé à La Folle de Chaillot de Jean Giraudoux avec Judith Magre au théâtre de l’Athénée et a
rencontré Aziz Arbia du théâtre du Campagnol (Le Bal) avec qui il fonde sa propre compagnie. Depuis, deux spectacles ont
vu le jour : Célimène et le Cardinal de Jacques Rampal et Entre Brecht et Brel, spectacle musical, dont Aziz Arbia a
signé les mises en scène.
Parallèlement, il joue de 2003 à 2005, lors du Festival Off d’Avignon : Comédie sur un quai de gare de Samuel
Benchetrit et l’Affrontement de Bill C. Davis, mis en scène par Sébastien Bernard avec qui il travaille régulièrement.
Delphine Atlan, Jeanine Ader
Formée au cours Florent en 2004 et 2005 puis à l’école de théâtre de Malakoff « Le Magasin », elle joue dans La Terrasse
de Jean-Claude Carrière, l’Atelier de Jean-Claude Grumberg, Théâtre sans animaux de Jean-Michel Ribes, L’hôtel des
deux mondes de Eric-Emanuel Schmitt, Un vrai bonheur et Les vérités vraies de Didier Caron.
Thierry Diez, Norbert
Formé dans le cadre des ateliers dirigés par Sébastien Bernard, il a joué dans L’atelier de Jean-Claude Grumberg, Si je
peux me permettre... de Robert Lamoureux, Mademoiselle de Jacques Deval, Un vrai bonheur de Didier Caron
et Théâtre sans animaux de Jean-Michel Ribes.
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