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LATIN AIDE-MÉMOIRE DE GRAMMAIRE
Table des matières
Avertissement ........................................................................................................................................ 1
Première partie : morphologie ................................................................................................................... 1
I. MORPHOLOGIE NOMINALE ..................................................................................................... 1
II. MORPHOLOGIE VERBALE ...................................................................................................... 4
A. Conjugaison régulière ................................................................................................................... 4
B. Verbes remarquables ..................................................................................................................... 5
Deuxième partie : syntaxe ........................................................................................................................... 6
I. SYNTAXE DES CAS .................................................................................................................... 6
A. L’Accusatif ................................................................................................................................... 6
B. Le Génitif ...................................................................................................................................... 6
C. Le Datif ......................................................................................................................................... 6
D. L’Ablatif ....................................................................................................................................... 7
E. Le complément circonstanciel de lieu ........................................................................................... 7
F. Le complément circonstanciel de temps ........................................................................................ 8
II. SYNTAXE DES PROPOSITIONS .............................................................................................. 8
A. Propositions indépendantes ou principales ................................................................................... 8
B. Propositions subordonnées ............................................................................................................ 9
III. GÉRONDIF ET ADJECTIF VERBAL ....................................................................................... 14
IV. TRADUCTION DE “ON” ......................................................................................................... 14
V. RÉCAPITULATION : EMPLOIS DES CONJONCTIONS LES PLUS FRÉQUENTES ................ 14
Troisième partie : méthode pour aborder une version .......................................................................... 15
Quatrième partie : la justification grammaticale ................................................................................... 16
Cinquième partie : éléments de prosodie et de métrique ....................................................................... 17
I. PROSODIE .................................................................................................................................... 17
II. MÉTRIQUE .................................................................................................................................. 17
Avertissement
Ce condensé veut donner aux élèves les moyens de se remémorer rapidement, selon leurs besoins, les
éléments de la langue latine nécessaires à la compréhension des cours d’auteurs. Il ne saurait se substituer
ni aux cahiers de grammaire, ni aux grammaires proprement dites.
En marge, les traits doubles signalent les paragraphes relatifs à la matière de 1e année, les traits
simples à la matière de 2e année, les traits ondulés à la matière de 3e année.
Première partie : morphologie
I. MORPHOLOGIE NOMINALE
(Voir tableaux)
(1) Première déclinaison (thèmes en -a). Genres : féminin, sauf les noms d’hommes ou de métiers
d’hommes” (agricola, collega, nauta, poeta, pirata...), de peuples (Belga…) ou de fleuves (Garunna...),
qui sont masculins.
(2)-(5) Deuxième déclinaison (thèmes en -o). Genres : noms en -us masculins (sauf humus [f], vulgus
[n], les noms d'arbres [f], Aegyptus [f], Corinthus [f]…) ; noms en -er masculins ; noms en -um neutres.
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(6)-(9) Troisième déclinaison. Règles permettant de savoir si un nom a un thème consonantique ou un
thème vocalique :
a) les noms qui ont un nombre de syllabes différent au Nsg et au Gsg (dits “noms imparisyllabiques”)
ont un thème consonantique (6) et (8). Cependant, les noms imparisyllabiques qui ont plus d’une
consonne devant le -is du Gsg ont un thème vocalique : mons, G montis, thème monti- et Gpl montium.
b) Les noms qui ont le même nombre de syllabes au Nsg et au Gsg (dits “noms parisyllabiques”) ont
un thème vocalique (7). Une rie de noms parisyllabiques ont néanmoins un thème consonantique :
pater, G patr-is, thème patr- et Gpl patrum. Appartiennent à ce groupe, outre pater, les mots mater,
frater, senex, iuvenis, sedes, canis, ainsi que le pluriel parentes.
Les noms à thème vocalique ont toujours un Nsg en -is ou en -es. Leur Gpl est en -ium (et non en -um
comme pour les noms à thème consonantique), et leur Accpl est souvent en -is (au lieu de -es).
Certains noms, parmi lesquels animal et mare, présentent les finales -i à l’Ablsg, -ia aux N/V/Accpl
et -ium au Gpl (9).
Genres :
a) sont masculins les noms en -os, -or et -er, comme mos ou dolor. Est cependant minin le mot
arbor, et sont neutres quelques mots comme iter et os.
b) Sont le plus souvent féminins les noms en -o et en -s, ainsi que les thèmes vocaliques (sermo,
collis, ignis, orbis... sont cependant masculins).
c) Sont neutres les noms en -us, -ur, -men, -ma, -e, -al et -ar. Tellus est toutefois féminin.
(10)-(12) Quatrième déclinaison (thèmes en -u). Remarques :
a) le Dsg présente parfois la finale -u au lieu de -ui ;
b) les noms en -us sont masculins, sauf quelques mots comme domus ou manus qui sont féminins ;
les noms en -u sont neutres.
c) la déclinaison de domus est remarquable (12).
(13) Cinquième déclinaison (thèmes en -e). Genres : féminin à l’exception de dies, ralement
masculin.
(14) Adjectifs de la 1e classe. Généralement en -us, -a, -um. Certains de ces adjectifs, au masculin,
présentent la finale -er. Selon qu'ils conservent ou non ce -e- dans la déclinaison, ils se déclinent sur le
modèle de puer ou de liber.
(15)-(17) Adjectifs de la 2de classe. Dans leur grande majorité, ils ont un thème vocalique, qu'ils
conservent même à l'Ablsg (-i). Ils présentent en général deux terminaisons différentes aux Nsg (-is
aux masculin et féminin, -e au neutre) (15) ; certains ne présentent qu’une terminaison (16) ; d’autres
en présentent trois (ex : acer, acris, acre).
Les quelques adjectifs de la 2de classe qui ont un thème consonantique prennent la désinence -e- à
l'Ablsg des trois genres (17).
(18) Le participe présent actif. Formation : th. prés. + -ns, -ntis (-ens, -entis aux 3e, 4e et 5e conj.).
Déclinaison semblable à celle des adjectifs de la 2de classe. L’Ablsg est en -e ou en -i suivant que le
participe a une valeur de verbe ou une valeur d’adjectif.
(19) Les degrés des adjectifs. Les adjectifs possèdent trois degrés : le positif (longus), le comparatif
(longior) et le superlatif (longissimus).
Le comparatif se subdivise en trois catégories : le comparatif d’égalité (tam… quam, “aussi... que”),
le comparatif d’infériorité (minus… quam, “moins… que”), et le comparatif de supériorité (“plus…
que”), qui peut s’exprimer par magis... quam, mais qu’il est beaucoup plus fréquent de rencontrer sous
une forme spéciale de l’adjectif, qu’on appelle par commodité le comparatif. Le comparatif se forme par
adjonction du suffixe -ior, -ior, -ius (G -ioris) au thème de l’adjectif : longior, fortior, acrior... Il se
décline comme un adjectif de la 2e classe à deux terminaisons et à thème consonantique (19).
Remarques :
a) le second terme de la comparaison se met soit à l’Abl seul, soit au même cas que le premier terme,
mais alors il est précédé de la conjonction quam : Dexterum bracchium est validius sinistro, ou Dexterum
bracchium est validius quam sinistrum, “Le bras droit est plus fort que le gauche”.
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b) Le comparatif peut marquer l’excès ou l’intensité : Doctior = “plus savant”, mais aussi “trop
savant”, ou “assez savant”.
c) Dans le cas d’une comparaison entre deux êtres ou deux choses, le latin utilise le comparatif (et
non le superlatif comme le fait le français) : Horum duorum fratrum, hic est maior natu, “De ces deux
frères, celui-ci est le plus grand par la naissance (= l’aîné)”.
d) Remarquer la construction comparatif + quam ut + subj. (“trop... pour”) : Haec maior est ratio
quam ut hominum possit cogitatione comprehendi, “Ce concept est trop élevé pour pouvoir être compris
par la réflexion des hommes”.
Le superlatif se forme par adjonction du suffixe -issimus, a, um au thème de l’adjectif : longissimus,
fortissimus... Il se décline comme un adjectif de la première classe.
Cicero doctissimus est, “Cicéron est très savant” (superlatif absolu).
Cicero doctissimus omnium (ou inter omnes, ou encore ex omnibus) est, Cicéron est le plus savant
de tous” (superlatif relatif).
Le superlatif relatif peut éventuellement être renforcé par longe (“de loin”), multo (“de beaucoup”),
vel (“assurément”), unus, unus omnium (“seul parmi tous”)...
Il peut aussi s’accompagner de quam... (potest), “le plus... possible” : Haec quam celerrime facientur,
“Ces choses seront faites le plus vite possible”.
Remarques sur la formation du comparatif et du superlatif :
a) Les adjectifs en -er forment le superlatif par adjonction du suffixe -rimus, a, um au Nmascsg. (et
non au thème de l’adjectif, comme le veut la règle générale) : niger > nigerrimus ; acer > acerrimus.
b) Quelques adjectifs en -ilis forment le superlatif par adjonction du suffixe -limus, a, um : facilis >
facillimus ; difficilis > difficillimus ; similis > simillimus ; dissimilis > dissimillimus ; humilis >
humillimus.
c) Les adjectifs composés de -dicus, -ficus et -volus forment leur comparatif et leur superlatif sur un
thème en -ent- : maledicus, “médisant”, maledicentior, maledicentissimus.
d) Formes remarquables :
Positif
Comparatif
Superlatif
bonus
melior
optimus
magnus
maior
maximus
malus
peior
pessimus
multi
plures (G plurium)
plurimi
novus
recentior
recentissimus
parvus
minor
minimus
(20)-(23) Les adjectifs numéraux cardinaux. Se déclinent unus, duo, tres et, au pluriel, les centaines
(ducenti...) et milia (sont invariables centum et mille au singulier).
(24)-(25) Les pronoms personnels. Aux 1e et 2e personnes, les formes réfléchies et non réfléchies
sont identiques (24). À noter que la préposition cum se place après le pronom l’Abl) auquel elle s’at-
tache : mecum, tecum, nobiscum, vobiscum.
À la 3e personne, le pronom personnel non réfléchi est simplement le démonstratif is, ea, id (ou, en
pratique, n’importe quel autre démonstratif). Le pronom personnel réfléchi de la 3e personne présente des
formes identiques au singulier et au pluriel ; il n’a pas de N (25).
(26) Le pronom relatif s’accorde en genre et en nombre avec son antécédent, mais prend le cas de sa
fonction dans la proposition relative.
Remarques :
a) le démonstratif, et plus particulièrement is, n’est généralement pas exprimé lorsqu’il est antécédent
d’un pronom relatif : Qui vult potest = (Is ) qui vult potest = “(Celui) qui veut peut”.
b) Au début d’une phrase, ou après une ponctuation forte, le pronom relatif est souvent un faux
relatif, ou relatif de liaison, mis pour et (ou sed) suivi du pronom is, ea, id au même cas que le relatif :
Quae cum advenirent..., “Alors que ces choses (ea, Nnpl.) arrivaient...”.
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(27) Le pronom interrogatif quis, quid (“qui?”, “que?”) se décline sur le modèle du pronom relatif,
mis à part le Nmsg et le N/Accnsg. Il n’a pas de féminin.
L’adjectif interrogatif qui, quae, quod (“quel?”) se décline exactement comme le pronom relatif.
(28)-(30) Les indéfinis. Le pronom aliquis, aliquid (“quelqu’un”, “quelque chose”) se décline comme
le pronom interrogatif (27). L’adjectif aliqui, aliqua, aliquod (“quelque”) (28) se décline comme le
pronom relatif, à l’exception du npl. Les déclinaisons de nemo (“personne”) (29) et de nihil (“rien”) (30)
sont remarquables.
Quis s’emploie au lieu d’aliquis derrière si, nisi, ne, num, ou cum (dans le sens de chaque fois
que”) : Si quis hoc dicit, errat, “Si quelqu’un dit ceci, il se trompe”.
(31)-(36) Les adjectifs-pronoms démonstratifs.
Hic, haec, hoc (31) est le démonstratif “de la première personne” : il désigne ce qui est proche de moi
(ou de nous) ; on le traduit alors par “celui-ci”.
Ille, illa, illud (32) est le démonstratif “de la troisième personne” : il désigne ce qui est près d’une
personne dont on parle ; on le traduit alors par “celui-là”, parfois avec une valeur laudative (“ce
fameux...”).
Is, ea, id (33) est le démonstratif “anaphorique” qui, sans nuance particulière, renvoie à un être ou à
une chose déjà mentionné dans le contexte ou connu par ailleurs. Il sert aussi de pronom non réfléchi de
la 3e personne. En outre, l’adjectif de la troisième personne suus, sua, suum ne s’utilise que lorsque le
possesseur est sujet de l’action ; dans le cas contraire, on utilise is, ea, id au G : Amicum video cum eius
equo , “Je vois mon ami avec son cheval” (le sujet n’est pas le détenteur du cheval).
Iste, ista, istud (34) est le démonstratif de la 2e personne : il désigne ce qui est près de l’interlocuteur.
Iste servus, “cet esclave qui est près de toi, cet esclave-là”. À cause de l’habitude judiciaire de désigner
l’accusé par iste, ce démonstratif a souvent une nuance péjorative (“ce mauvais, ce méchant...”).
Idem, eadem, idem (35) (“le même”) est formé par la contraction de is et de la particule -dem. Outre
la perte du -s au Nmsg, on notera l’Acc eundem, eandem et, de même, le Gpl eorundem, earundem . Idem
censeo, “je pense la même chose” ; Eadem via venerunt, “ils sont venus par la même route”.
Ipse, ipsa, ipsum (36) est l’adjectif-pronom adversatif, qui confirme ou souligne l’identité : rex ipse,
“le roi lui-même, le roi en personne” ; Ipse dixit, “Il a parlé lui-même”. On évitera de le confondre avec
idem.
II. MORPHOLOGIE VERBALE
A. Conjugaison régulière (voir tableaux)
1) Formation des modes et des temps construits sur le thème du présent :
a) Indicatif présent : thème du présent (+ voyelles thématiques i /u) + désinences primaires A ou P.
b) Indicatif imparfait : thème du présent (+ e) + ba + désinences primaires A ou P.
c) Indicatif futur simple : pour les verbes des 1e et 2e conjugaisons : thème du présent + b (+
voyelles thématiques i /u )+ désinences primaires A ou P ; pour les verbes des 3e, 4e et 5e
conjugaisons : thème du présent + a/e + désinences primaires A ou P.
d) Subjonctif présent : pour les verbes de la 1e conjugaison : thème du présent + e (contraction ae
> e) + désinences primaires A ou P ; pour les verbes des 2e, 3e, 4e et 5e conjugaisons : thème du
présent + a + désinences primaires A ou P.
e) Subjonctif imparfait : thème du présent + (e)re + désinences primaires A ou P.
f) Impératif présent : thème du présent (+ désinences). Formes remarquables dic, duc, fac et fer.
g) Impératif futur : thème du présent + désinences.
h) Participe présent A : thème du présent + (e)ns, (e)ntis.
i) Infinitif présent : voix A : thème du présent + (e)re ; voix P, verbes des 1e, 2e et 4e
conjugaisons : thème du présent + ri ; verbes des 3e et 5e conjugaisons : thème du présent + i.
j) Gérondif et adjectif verbal : thème du présent + (e)nd + désinences des 1e et 2e déclinaisons.
2) Formation des modes et des temps construits sur le thème du parfait :
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a) Indicatif parfait A : thème du parfait + désinences secondaires.
b) Indicatif plus-que-parfait A : thème du parfait + era + désinences primaires A.
c) Indicatif futur antérieur A : thème du parfait + er (+ voyelle thématique i) + désinences primaires
A.
d) Subjonctif parfait A : thème du parfait + er + voyelle thématique i + désinences primaires A.
e) Subjonctif plus-que-parfait A : thème du parfait + isse + désinences primaires A.
f) Infinitif parfait A : thème du parfait + isse.
3) Formes périphrastiques composées du supin ou des participes dérivés du supin :
a) Indicatif parfait P : participe parfait P + esse à l’indicatif présent.
b) Indicatif plus-que-parfait P : participe parfait P + esse à l’indicatif imparfait.
c) Indicatif futur antérieur P : participe parfait P + esse à l’indicatif futur simple.
d) Subjonctif parfait P : participe parfait P + esse au subjonctif présent.
e) Subjonctif plus-que-parfait P : participe parfait P + esse au subjonctif imparfait.
f) Infinitif parfait P : participe parfait P + esse à l’infinitif présent.
g) Infinitif futur A : participe futur A + esse à l’infinitif présent.
h) Infinitif futur P : supin + iri (forme invariable).
4) Les verbes déponents (voir tableaux) se conjuguent à la voix passive, mais leur sens est actif. Dans
leur conjugaison, on trouve cependant des formes actives :
a) Participe présent : hortans, “exhortant” ; moriens, “mourant”.
b) Supins : hortatum, “pour exhorter ; hortatu, “à exhorter”.
c) Gérondif : ad experiendum, “pour essayer”.
d) Participe futur : locuturus, “qui va parler, (qui est) sur le point de parler, destiné à parler”.
e) Infinitif futur : locuturum esse, “être sur le point de parler”.
Remarque : certains participes futurs de verbes déponents sont remarquables :
pour nascor : nasciturus, a, um ;
pour orior : oriturus, a, um ;
pour morior : moriturus, a, um.
L’adjectif verbal d’obligation a le sens passif :
Hae res experiendae sunt. “Ces choses sont devant être essayées (= il faut essayer ces choses)”.
Il existe six verbes semi-déponents, qui ne sont déponents qu’au parfait et aux temps dérivés du
parfait : audeo, confido, diffido, fido, gaudeo et soleo.
B. Verbes remarquables (voir tableaux)
1) Sum, es, fui, esse (pas de supin).
Remarques : à l’infinitif futur simple, à côté de futurum, am, um esse, on rencontre également la
forme invariable fore ; au subjonctif imparfait, à côté d’essem, on rencontre également les formes
forem, fores,... forent ; le participe présent de esse n’existe qu’en composition : absens, praesens (“ab-
sent”, “présent”).
2) Possum, potes, posse, potui (pas de supin).
Pot- + esse, avec deux phénomènes phonétiques : ts > ss et tf > t.
3) Eo, is, ire, i(v)i, itum.
Racine ei qui se résout en i devant une consonne, en e devant une voyelle.
Remarques : participe présent iens, G euntis ; gérondif/adjectif verbal eundus, a, um.
4) Fero, fers, ferre, tuli, latum.
La connaissance des temps primitifs permet de résoudre toutes les formes, à l’exception de quelques
temps des indicatifs et impératifs présents A et P.
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