Vaincre le cancer différemment

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Le cancer, l’éviter, ou le guérir
Oui, c’est possible, pour autant faut il écouter son médecin ? Il
devrait nous apprendre surtout, comment ne pas développer cette
saleté. Ça parait simple, il suffit d’une bonne alimentation, sans abus.
Mais ce qu’on ne nous dit pas, la moitié des aliments que nous
ingérons peut provoquer la venue d’un cancer. Sans oublier le tabac,
l’alcool, la drogue.
La drogue reste interdite, pour le tabac, taxé à 80 pour cent, ça
devrait freiner les ardeurs des adeptes de Nicot.
L’état à la bonne excuse d’encaisser des millions de taxes, c’est
pour notre santé. Pourtant, il devrait en être de même avec la viande,
les produits laitiers, le sucre, le sel, les pesticides, le glutamate, sans
oublier beaucoup de médicaments qui sont comme le tabac et
l’alcool, accusés de développer toutes sortes de cancer.
Oui, mais ce sont des produits de première nécessité, imaginez
si le steak haché passait de quatre euros le kilo à soixante douze
euros, (80% de taxes) c’est impensable, pourtant tout ces produits de
grandes consommation tuent autant que la cigarette. Le fumeur peut
se passer de fumer, mais on ne peut pas se passer de viande. Il serait
si simple d’interdire la vente de tabac, oui, mais comment tout nos
politiques percevraient ils des cadeaux somptueux venant des
marchand de cigarettes, et finalement, un bon fumeur atteint de cette
vilaine tumeur va enrichir, le médecin, les laboratoires
pharmaceutiques, les hôpitaux, puis pour finir, les pompes funèbres.
Les sociétés dans le monde qui font le plus de profits sont le
grand cigarèttier Philip Morris, les labos pharmaceutiques, les filiales
1
de la viande, du lait, Mac Donald, Coca Cola, les pesticides
Monsanto. Tous des empoisonneurs !
Pour continuer à vendre leurs produits, tous les gouvernements
perçoivent des pots de vin pour fermer les yeux, après tout, l’homme
est responsable de ses choix de consommation, alors pour faire bonne
figure, ils n’oublient pas de rappeler que consommer cinq fruits et
légumes par jour, bio de préférence, c’est très bon pour la santé.
Ça commence souvent bêtement, un divorce, un décès, du mal à
dormir, le moral à zéro, première chose à faire, une visite chez le
médecin traitant, qui heureusement, à tout les remèdes. Il vient d’être
visité par une visiteuse médicale, qui lui a donné les promos de la
semaine.
-
si vous me vendez cent boites de ce médicament anti dépresseur
nous vous verserons une prime en cadeau
-
c'est-à-dire ?
-
une semaine pour visiter le grand Canyon du Colorado, mais si
vous vendez cent autres boites d’anxiolytiques, c’est en plus,
trois jours à Las Vegas
-
il y a un délai ?
-
un mois
-
bien, je vais essayer, ça devrait aller !
Vous entrez dans le cabinet, vous vous plaignez de mal dormir,
d’être amorphe au travail, le docteur vous consulte, s’installe à son
bureau, consulte l’écran de son ordinateur où sont affichés les
2
promos, rédige l’ordonnance. Vous vous rendez à la pharmacie la
plus proche puis vous rentrez chez vous avec quatre boites qui
contiennent la fameuse molécule qui va vous sortir de votre torpeur.
Après une semaine de traitement, vous avez de douleurs à
l’estomac, pour vous, sans aucun doute, c’est du aux médicaments.
Vous retournez voir votre généraliste, qui ne parait pas surpris
-
j’ai oublié de vous indiquer les effets secondaires, pas de
problème, continuer la prise du traitement, je vous rajoute deux
boites contre les brûlures d’estomac, ça devrait bien se passer, si
vous sentez des effets indésirables, n’hésitez pas à revenir me
voir.
Voilà, vous vous sentiriez mieux, si vous ne ressentiez pas des
problèmes intestinaux, vous vous inquiétez, si j’arrêtais le
traitement, ben non, sinon, il me l’aurait dit, je préfère aller le
consulter.
-
vous savez, pendant ce traitement, il est déconseillé de manger
épicé, est ce le cas ?
-
bien non, je mange comme d’habitude
-
je vais vous donner une boité d’Imodium, si ça ne va pas mieux,
il faudra envisager une coloscopie, pour voir si il n’y aurait pas
de polypes
-
ah bon, c’est grave ?
-
non, c’est un examen de routine, juste une journée
d’hospitalisation
3
(4200 personnes décèdent tous les ans en France dans le milieu
hospitalier, infection nosocomiale)
Ce jour là, si vous n’étiez pas aller voir ce médecin, vous seriez
en bonne santé, maintenant, il faut espérer que ces polypes ne soit
pas des tumeurs malignes.
Les hôpitaux sont équipés de nouvelles technologies tellement
chères qu’ils les louent, vous savez à qui ? Aux laboratoires
pharmaceutiques. Un appareil pour effectuer un IRM, ça chiffre en
millions, alors ils payent un loyer mensuel, ils doivent en faire trois
par jour pour amortir le prix de la location, alors vous imaginez, les
cancéreux, vous êtes les bienvenus.
Quand une tumeur est détectée, un long traitement commence,
radiothérapie, chimiothérapie, chirurgie. Souvent, dès la première
chimio, le patient ne s’en remet pas, il meurt empoisonné par ce
poison qui a coulé dans ses veines.
Un traitement chimiothérapique est facturé 25000 euros à la
sécurité sociale, sans compter la radio et la chirurgie. Les petits
chercheurs qui découvrent un traitement alternatif sont très mal vus
par les puissants des laboratoires, pourtant, ils existent.
Pourtant, on a beaucoup de chances, l’espérance de vie
recule d’année en année, sauf que c’est un mensonge.
Ce qui a changé, c’est la mortalité infantile, le pourcentage
d’enfants qui mourraient avant l’age de cinq ans était énorme
dans les années cinquante, à l’accouchement, la polio, la
tuberculose, la malnutrition, la variole, la rougeole, et j’en
passe. A ce niveau là, la science a fait de gros progrès, plus
4
d’épidémie, des vaccins efficaces, ce qui fait qu’il y a beaucoup
plus de personnes vieillissantes, mais pour la mortalité due au
cancer, pas beaucoup de changement, alors qu’on a marché
sur la lune il y a presque cinquante ans, la recherche médicale
n’avance plus beaucoup, c’est à croire que ce n’est pas sans
raison, trop de monde sur terre, peut être !
Il y a quelques années, les guerres décimaient la jeunesse
française, puis les accidents de la route, 12000 tués en 1970,
avec vingt fois moins de voitures, vous comprenez pourquoi on
vit plus longtemps, mais c’est une moyenne, il y a cinquante
ans, il y avait des personnes très âgées, mais moins, car pour
arriver à ce stade, il fallait passer à travers, la naissance, les
maladies et épidémies qui touchaient les enfants, à 20 ans,
défendre les couleurs de son pays, puis les accidents de la
circulation très nombreux à cette époque, si on arrivait à la
trentaine, l’espérance de vie était presque égale à celle de
maintenant.
Si il y a une légère progression, c’est du à la baisse de la
consommation d’alcool, de tabac, tout les ménages sont
équipés de frigo, congélateur, on mange plus sain, les
soixantenaires veulent rester jeunes, ils font des activités
sportives, ils voyagent.
Alors, je me demande quand même, qu’y a-t-il de changer
dans les soins de cette terrible maladie. Le dépistage ?
Je n’y crois pas, quand une mammographie décèle une
tumeur, celle-ci s’est formée dix ans auparavant, alors que
faire, le parcours médical classique, chimio, etc.…
5
Le dépistage permet d’enrichir les labos, les émissions
santé à la télé ne parlent que de ça, faites vous dépister, les
sites Internet vous expliquent comment savoir si le petit bobo
que vous avez à un endroit précis ne va pas se transformer en
tumeur maligne, ils vous conseillent, il faut consulter !
Il doit y en avoir du monde dans le grand Canyon du
Colorado, des médecins, des animateurs télé, des pharmaciens
et pourquoi pas des entrepreneurs de pompes funèbres, tout le
monde doit profiter, chaque malade contribue et participe à la
bonne marche de toutes ces entreprises.
3 médecins sur 4 refusent la chimio pour eux-mêmes
Les enquêtes et les questionnaires montrent que trois docteurs sur
quatre (75 pour cent) refusent toute chimiothérapie sur eux-mêmes en
cas de cancer en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses
effets dévastateurs sur la totalité de l'organisme humain. Voici ce que
de nombreux docteurs et scientifiques ont à dire à propos de la
chimiothérapie :
"La majorité des patients atteints de cancer dans ce pays
meurent à cause de la chimiothérapie, qui ne soigne ni les cancers
du sein, ni ceux du côlon ou des poumons. Cela été consigné
depuis plus de dix ans.
Néanmoins les docteurs continuent à utiliser la chimiothérapie pour
combattre ces tumeurs."
(Allen Lewin, MD, UCSF, "The Healing of Cancer", Marcus Books,
1990)
"Si je devais contracter le cancer, je ne recourrais jamais à un
6
certain modèle thérapeutique pour soigner cette maladie. Les
patients du cancer qui se tiennent éloignés de ces centres ont une
certaine chance de s'en sortir."
(Prof. Georges Mathé "Scientific Medecine Stymied", Médecines
Nouvelles, Paris, 1989)
"Le Dr Hardin Jones, conférencier à l'université de Californie, après
avoir analysé pendant de nombreuses décennies les statistiques de
survie au cancer, est parvenu à cette conclusion : " ... Quand ils ne
sont pas traités, les patients ne vont pas plus mal, ils vont même
mieux." Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n'ont jamais
été réfutées".
(Walter Last, "The Ecologist", vol. 28, n°2, Mars avril 1998.)
"De nombreux oncologues recommandent la chimiothérapie pour
presque tous les types de cancer,
Avec une foi qui n'est pas ébranlée par des échecs presque
constants."
(Albert Braverman, MD, "Médical Oncologie "
"Nos prescriptions les plus efficaces sont très risquées, ont des effets
secondaires et comportent des problèmes pratiques, et après que tous
les patients que nous avons traités ont payé leur dîme,
Seul un minuscule pourcentage d'entre eux est remboursé par
une période éphémère de régression tumorale et généralement
partielle."
(Edward G. Griffin, "World Without Cancer", American Media
Publications, 1996)
"Après tout, et pour une majorité bouleversante de cas,
Il n'y a aucune preuve que la chimiothérapie prolonge les
attentes de survie. Et c'est le grand mensonge de cette thérapie,
7
qu'il y a une corrélation entre la réduction des tumeurs et le
prolongement de la vie du patient."
(Philip Day, "Cancer : Why we're still dying to know the truth",
Credence Publications, 2000)
"Plusieurs scientifiques à plein temps au Centre du Cancer Mac Gill
ont envoyé à 118 docteurs, tous experts du cancer du poumon, un
questionnaire pour déterminer le niveau de confiance qu'ils avaient
dans les thérapies qu'ils appliquaient; on leur a demandé d'imaginer
qu'ils avaient eux-mêmes contracté la maladie et laquelle des six
thérapies expérimentales actuelles ils choisiraient. 79 docteurs ont
répondu,
64 d'entre eux ont dit qu'ils ne consentiraient pas à subir un
traitement contenant du cis platine - un des médicaments
chimiothérapeutiques communs, tandis que
58 sur 79 croient que toutes les thérapies expérimentales cidessus ne sont pas acceptables en raison de leur inefficacité et du
niveau élevé de toxicité de la chimiothérapie."
(Philip Day, "Cancer : Why we're still dying to know the truth",
Credence Publications, 2000)
"Le docteur Ulrich Abel, un épidémiologiste allemand de la Clinique
des tumeurs de Heidelberg Mannheim, a étudié et analysé de manière
exhaustive les principales études et expérimentations cliniques
effectuées sur la chimiothérapie: " ... Abel a découvert que le taux
global mondial de résultats positifs résultant de la chimiothérapie
était effrayant, parce que, simplement,
Nulle part nous n'avons de preuve scientifique à notre disposition
démontrant que la chimiothérapie est capable de "prolonger
8
d'une manière appréciable la vie des patients affectés par les
types les plus communs de cancer des organes."
Able met en lumière le fait que rarement la chimiothérapie améliore
la qualité de vie,
Il la décrit comme désolante du point de vue scientifique et
maintient qu'au moins 80% des chimiothérapies administrées
dans le monde sont sans valeur. Mais, même s'il n'y a pas de
preuve scientifique, quelle qu'elle soit, que la chimiothérapie
marche, ni les docteurs ni les patients ne sont préparés à
l'abandonner."
(Lancet, Aug. 10, 1991)
"Aucun des principaux media n'a jamais mentionné cette étude
exhaustive; elle a été complètement enterrée."
(Tim O' Shea, "Chemotherapy - An Unproven Procédure") "
Selon les associations médicales, les effets secondaires notoires et
dangereux des médicaments sont devenus la quatrième cause
principale de mortalité après l'infarctus, le cancer et l'apoplexie."
(Journal of The American Médical Association, april 15, 1998)
Dans les années 1940, le Dr. Ernst T. Krebs, Sr. et son fils le Dr E.T.
Krebs, Jr. ont publié un document intitulé « La Thèse Unitaire ou
Trophoblaste du Cancer », dans le Médical Record, de New York.
Dans les années qui ont suivi, l’équipe père et fils firent des
recherches sur les co-enzymes et sur la possibilité que le cancer
pourrait résulter de carences, particulièrement en vitamines.
9
Dans le début des années 1950, ils apprirent qu’au royaume des
Hunzas, dans les montagnes himalayennes situées au nord du
Pakistan, il y avait un peuple qui vivait apparemment « sans cancer ».
Cette particularité du peuple des Hunzas interpella beaucoup de
chercheurs et différentes hypothèses ont été émises depuis. Certains
se sont orientés vers l'eau qu'ils buvaient, mais les Docteurs Krebs
s'orientèrent vers une autre piste.
Ils savaient que les habitants de la région mangeaient de grandes
quantités d’abricots, mais ils ne croyaient pas que le fruit contenait
des substances pouvant lutter contre le cancer…
Jusqu’à ce qu’ils aient découvert que les Hunzakuts mangeaient
également les amandes des noyaux d’abricots ;
Leur particularité : on sait que ces amandes sont très riches en
nitrilosides. En outre, on les trouve aussi dans les amandes
(d’amandiers), graines de pêches, pépins de pommes (pectine),
millet, fèves germées, sarrasin, et aussi dans d’autres fruits et noix,
mais en quantité inférieure.
NOTA : seuls les abricots producteurs d’amandes amères sont
efficaces
Les Dr. Krebs ont ensuite défini que le principe actif des nitrolosides
était précisément dans certains glycosides qu’ils réussirent à extraire.
Finalement, ils ont effectué une demande de brevet pour le
procédé de production du métabolite formé par ces glycosides
qu’ils baptisèrent du nom de Laetrile, en vue d’une utilisation
clinique.
Ce Laetrile fut ensuite catalogué Vitamine B17.
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Des noyaux d'abricot tout simplement
Il s’est avéré que les Hunzakuts consomment entre 100 à 200 fois
plus de B17 que l’Américain moyen, en raison principalement du fait
qu’ils consomment des amandes de noyaux d’abricots, et aussi
beaucoup de millet. Fait intéressant, là-bas, la richesse d’un homme
se mesure par le nombre d’abricotiers qu’il détient. La nourriture la
plus convoitée est la semence contenue dans les noyaux d’abricot,
l’une des plus importantes sources de B17 sur la Terre. L’une des
premières équipes médicales chargée d’étudier les Hunza était dirigée
par le chirurgien britannique de renommée mondiale, le Dr. Robert
McCarrison. Écrivant dans le Journal AMA, du 7 janvier 1922, il
indiqua : « Les Hunza n’ont pas d’incidence connue avec le cancer.
Ils bénéficient d’une abondante récolte d’abricots. Ils les sèchent sous
le soleil, et les utilisent en grande partie dans leur alimentation ».
Le cyanure... Voilà pourquoi on n'a pas entendu parler de la vitamine
B17
Cela semble si simple ! La vérité sur cette question, c’est que
l’Industrie du Cancer a supprimé cette information et a même
ordonné le fait qu’il soit illégal de vendre la B17. La Mafia médicale
a monté avec grand succès des campagnes effrayantes, basées sur
le fait que la vitamine B17 contient des quantités «meurtrières»
de cyanure, alors que c’est faux !
Voici pourquoi : chaque molécule de vitamine B17 contient une unité
de cyanure d’hydrogène, une unité de benzaldéhyde, et deux unités
de glucose qui sont verrouillées ensemble et forment une synergie
inoffensive comme cela se passe souvent dans les produits naturels.
11
Pour que le cyanure d’hydrogène devienne dangereux, il faut le
déverrouiller de la molécule B17
Or ceci ne peut être effectué que par une enzyme appelée betaglucosidase, qui est présente partout dans le corps humain en
quantités infimes, mais par contre que l’on trouve en grande quantité
dans les cellules cancéreuses. Tiens, tiens...Très intéressant !
Le résultat est d’autant plus dévastateur pour les cellules cancéreuses
que les unités benzaldéhyde se déverrouillent en même temps ; or le
benzaldéhyde qui est déjà un poison mortel en lui-même, quand il fait
équipe avec le cyanure, devient 100 fois plus mortel. Les cellules
cancéreuses sont littéralement désintégrées !
Est-ce sans danger
pour les cellules saines ?
Il faut savoir que dans les tissus sains, une autre enzyme, le
rhodanèse, présente en quantités beaucoup plus importantes que
l’enzyme de déverrouillage, la beta-glucosidase, a la capacité de
dégrader entièrement à la fois le cyanure et le benzaldéhyde, en
thiocyanate (une substance inoffensive), et en salicylate (qui est un
antidouleur de la famille de l’aspirine). Fait intéressant, les cellules
cancéreuses malignes ne contiennent pas de rhodanèse, ce qui les
laisse complètement à la merci des deux poisons mortels. Tout ce
processus est connu sous le nom de toxicité sélective, puisque seules
les cellules cancéreuses sont spécifiquement ciblées et détruites.
Les centaines d’études cliniques menées par de nombreux médecins
compétents dans le monde entier, y compris celles qui sont dirigées
par le Dr. Ernesto Contreras à l’Oasis of Hope Hospital au Mexique,
12
nous donnent toute confiance, que le traitement avec la thérapie B17
ne présente aucun danger pour les cellules normales (ce qui est loin
d'être le cas de la chimio). Çà, c’est une très mauvaise nouvelle pour
l’Industrie du Cancer. Les graines d’abricots sont à la portée de
n’importe quel porte-monnaie, au regard des prix exorbitants des
cocktails médicamenteux agressifs de la chimiothérapie.
L'histoire de Jason Vale
Dans les années 90, l'Américain Jason Vale s’est retrouvé avec un
cancer en phase terminale. Il était considéré comme irrécupérable par
les médecins. Grâce à des recherches personnelles, il a appris que les
gens qui avaient eu un cancer avaient pu guérir grâce à la vitamine
B17 des pépins de pommes (pectine) et des amandes de noyaux
d’abricots. Sans attendre il a commencé à en consommer dans le
cadre de son régime alimentaire quotidien et s’est rapidement senti
mieux. Dans un court laps de temps, le cancer de Jason a
complètement disparu.
Lorsque l’histoire extraordinaire de Jason fut diffusée à la télévision
nationale, cela à provoqué une audience si grande que le même
reportage a été diffusé une deuxième fois, la semaine suivante.
L’enthousiasme des spectateurs fut tel que Jason se retrouva inondé
d’appels téléphoniques, provenant de personnes résidant dans tout le
pays. Au cours des années suivantes, Jason a aidé des milliers de
gens à traiter avec succès leur cancer en consommant des amandes de
noyaux d’abricot.
C’est alors que Jason fut victime d’une opération coup de poing,
décidée par la FDA : il fut condamné le 18 juin 2004, à 63 mois
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de prison et 3 ans de liberté surveillée, par un tribunal du
District Est de New York.
Son crime ? La vente d’amandes d’abricot sur son site web, et de
dire aux gens la vérité sur leurs propriétés curatives. On ne joue pas
avec la mafia du médicament !!! Après avoir purgé près de quatre ans
de prison, Jason a été libéré de la maison d’arrêt début 2008.
Extrait des témoignages adressés à Jason
Je n'ai sélectionné ici que quelques témoignages très récents. Il y a
des quantités d’autres témoignages sur le site de Jason
(www.apricotsfromgod.info). Malheureusement c’est en anglais avec
option automatique de traduction charabia...
5 octobre 2014, Laine Crandall
« Il y a deux ans j’ai été diagnostiqué stade 4 d'un cancer de la
prostate et des os. Six mois après j’ai été diagnostiqué en rémission.
Mon PSA était passé de 128 à 0,2. Je n'ai pas eu de chimio ni de
radiothérapie, j’ai seulement pris des amandes amères d'abricot. Je
continue à en manger 12 par jour et je continuerai à le faire. J’ai 74
ans. Je parle constamment de vos graines d'abricot aux autres et je
leur donne une carte que j'ai imprimée avec votre site web, numéro
de téléphone ». <[email protected]>
Septembre 2014. Jason Browning avait un gliome kystique. Il était
toujours là après la chimio et la radiothérapie. Jason a commencé à
prendre les graines d'abricot ; la tumeur rétréci et finalement disparu.
En plus, il a pu arrêter son médicament contre l'hypertension
artérielle. <[email protected]>.
14
28 avril 2014. Jefferson Moore qui a été diagnostiqué avec le cancer
de la prostate il y a trois ans m’a appelé pour me dire que son PSA
était passé de 12 à 8 ; mais surtout son cancer du nez qui avait été
diagnostiqué l'année dernière par une biopsie, est apparu résolu à la
dernière biopsie. Il mange les graines d'abricot, prend de l'herbe de
blé, et du curcuma - il a aussi supprimé complètement le sucre.<
[email protected]>
13 avril 2014. La chienne Labrador de Diane Duhaime avait été
diagnostiquée avec le cancer de la mamelle l'an dernier à l'âge de 10
ans et opérée. Diane lui a immédiatement donné 6 graines d'abricot
matin et soir. Aujourd'hui, un an plus tard, la chienne va bien, et
signe important, son poil est plus beau que jamais.
Réflexions et conclusions
•
Il est évident que concernant le cancer, cette cure est beaucoup
moins compliquée que la cure Gerson ou Breuss.
•
En revanche, on peut remarquer que la maladie risque de
redémarrer si l’on arrête les amandes amères d’abricot, ce qui signifie
que l’on n’a pas traité le problème à fond.
Dans la cure Gerson, il est bien expliqué que la cause première des
maladies est l’intoxication massive, et que la désintoxication
cellulaire est la priorité absolue qui bien souvent suffit à débloquer
les processus de guérison.
•
La logique du raisonnable est donc d’associer les deux
protocoles, ce qui ne peut qu’accélérer le retour à la santé. D’ailleurs,
on peut constater dans les témoignages que beaucoup ont modifié
15
leur alimentation en supprimant radicalement les produits laitiers, la
viande et le sucre.
-
Il paraît un peu surprenant que certains malades prennent à la fois
des amandes amères et du Laetrile (vit B 17). Et pourquoi pas
simplement augmenter les doses d’amande ? Car on sait que les
mélanges naturels présentent un équilibre synergique rarement
agressif pour l’organisme, ce qui n’est pas le cas des molécules
isolées – d’autant plus si elles sont de synthèse.
- La vitamine B17 permet effectivement de tuer des cellules
cancéreuses en labo, là où cela devient dangereux pour le patient
c'est que l'organisme lui fabrique naturellement des éléments dont
certaines enzymes qui elles mises en association avec cette
vitamines, provoque un cocktails meurtrier, tout est poison a forte
dose, mais a faible dose ça peut se révéler efficace.
Lorsque nous ajoutons du Laetrile à une culture de cellules
cancéreuses sous le microscope à condition qu'.il y ait aussi
l'enzyme glucosidase, nous voyons les cellules cancéreuses mourir
comme des mouches "
Or ceci ne peut être effectué que par une enzyme appelée betaglucosidase, qui est présente partout dans le corps humain en
quantités infimes, mais par contre que l’on trouve en grande quantité
dans les cellules cancéreuses. Tiens, tiens...Très intéressant !
Reste le problème de l’approvisionnement en amandes amères. Il y a
le choix entre différents sites de vente dont les prix se tiennent de
près. Certains proposent les amandes amères en poudre ; je ne sens
pas bien cette version car je crains une oxydation accélérée risquant
d’altérer l’efficacité du produit. Il est facile de pulvériser les amandes
soi-même avec un petit blender ou un ancien moulin à café
électrique.
16
La posologie :
En préventif au long cours : 3 amandes pulvérisées au petit-déjeuner
En curatif : 8 amandes pulvérisées matin et soir. Attention ! La dose
est forte et certaines personnes pourraient ne pas la supporter,
notamment les personnes dont le foie, très engorgé, pourraient ne pas
supporter le supplément de déchets cellulaires généré par les
amandes. Ceci concerne en particulier les personnes atteintes de
cancers avancés dont le foie est surchargé par le traitement
allopathique. Dans ce cas, il faut commencer par un solide drainage
préventif avec du Desmodium (en cure de trois semaines à démarrer
après les traitements).
Remarque : il peut être intéressant d’associer à la cure d’amandes un
booster universel tel que le jus d’herbe d’orge ou du GREEN
MAGMA (en diététique)
Le noyau d’abricot est naturel, mais il n’est pas rentable, donc
pas possible de le breveter. Il contient la vitamine B17 qui contient
du cyanure, mais à faible dose, il peut traiter beaucoup de maladies.
Le Curcuma
C’est une racine semblable au gingembre, mais sa couleur est
orangée, il est utilisé par les moines bouddhiques pour teindre leurs
robes. Il est aussi appelé le safran indou. Il est très bon marché en
Asie.
Ses effets sur le cancer ne sont donc pas, et de loin, son seul intérêt.
Toutefois, c’est de son potentiel en tant qu’agent anti-cancer qu’il est
question dans ce livre
17
Dans un article publié dans le Journal of Nutritional Biochimiste du
mois de juillet 2011, des chercheurs expliquent que la curcumine
pourrait être la solution pour stopper un type mortel de cancer du
cerveau appelé glioblastome. L’étude, réalisée sur des souris, vient
appuyer des observations qui avaient déjà été faites auparavant. Les
scientifiques y ont montré qu’elle réduisait la tumeur chez 9 des 11
animaux étudiés (81 %), sans montrer de signe de toxicité. (1)
Mieux encore, la curcumine n’affectait pas les cellules en bonne
santé, suggérant qu’elle cible sélectivement les cellules cancéreuses.
Ils ont aussi constaté qu’elle agissait en synergie avec deux
médicaments utilisés en chimiothérapie, augmentant l’élimination
des cellules cancéreuses.
J’ai connu en Asie une femme atteinte d’un cancer du sein, mal
assurée, elle n’a pas pu bénéficier d’une chimiothérapie, son médecin
lui a conseillé de prendre du curcuma à forte dose, trois gélules, le
matin, le midi, et le soir, six semaines plus tard, sa tumeur avait
disparue.
En 2009, une étude publiée dans la revue scientifique Molecular
Pharmacologie a observé que la curcumine inhibe la croissance des
cellules cancéreuses du pancréas, et accroît la sensibilité des cellules
à la chimiothérapie. (3)
Une étude de 2009 a constaté que la curcumine favorise la mort
cellulaire des cellules du cancer du poumon. (4)
Une étude de 2010 a conclu que la curcumine a la capacité de cibler
les cellules souches cancéreuses. (5)
En Inde, où le curcuma est très répandu dans la cuisine, la
prévalence, c’est-à-dire la fréquence, de quatre cancers très répandus
chez nous – cancer du côlon, du sein, de la prostate, du poumon – est
18
dix fois plus faible. En fait, le cancer de la prostate, qui est le plus
souvent diagnostiqué chez les hommes européens, est rare en Inde, et
ce phénomène est attribué, en partie, à la consommation de curcuma.
Il apparaît que la curcumine agit contre le cancer de plusieurs
façons :
Inhibe la prolifération des cellules des tumeurs ;
o
o
o
o
o
o
-
Aide votre corps à détruire les cellules mutantes, afin de les
empêcher de se répandre dans votre corps ;
Inhibe la transformation de cellules normales en cellules de
tumeur ;
Diminue l’inflammation ;
Empêche le développement des vaisseaux sanguins nourrissant la
tumeur ;
Inhibe la synthèse d’une protéine considérée comme essentielle
pour la formation des tumeurs.
L’impressionnant potentiel de la curcumine pour combattre le cancer
ne doit pas faire oublier qu’un mode de vie sain – et non l’absorption
de quelconques quantités de compléments alimentaires – est la
meilleure façon d’éviter de devenir une nouvelle statistique des
ravages du cancer. Ma conviction est que vous pouvez
potentiellement éliminer votre risque de cancer et d’autres maladies
chroniques, et améliorer radicalement vos chances d’en guérir si vous
êtes actuellement touché, en suivant les stratégies suivantes de
réduction du risque :
diminuez fortement votre consommation de sucres et de
féculents (aliments contenant une grande quantité d’amidon). Cela
vous permettra de normaliser votre niveau d’insuline dans votre sang,
une hormone qui stimule la croissance des cellules cancéreuses. C’est
19
o
o
o
o
l’une des plus efficaces mesures que vous puissiez prendre pour
diminuer votre risque de cancer, et pour ce faire, réduire votre
consommation de sucre, céréales et pommes de terre est la priorité.
L’élimination des aliments à index glycémiques élevés est
particulièrement importante car ce sont eux qui stimulent le plus
votre insuline.
Optimisez votre niveau de vitamine D, pour le maintenir entre
50 et 70 ng/mL. Les preuves scientifiques qui témoignent du fait
qu’une déficience de vitamine D joue un rôle crucial dans le
développement du cancer sont écrasantes. Les chercheurs dans ce
domaine ont estimé qu’environ 30 % des décès par cancer pourraient
être évités chaque année en optimisant les niveaux de vitamine D de
la population générale. (6) A votre niveau personnel, vous pouvez
diminuer votre risque de cancer de moitié ou plus, simplement en
vous exposant assez au soleil toute l’année, mais cela est rarement
suffisant dans nos pays à faible niveau d’ensoleillement. L’utilisation
d’un complément oral de vitamine D s’avère souvent indispensable.
Si vous êtes traité pour un cancer, il est probable qu’un niveau
supérieur de vitamine D (de 80 à 90 ng/ml) vous soit bénéfique.
Faites régulièrement de l’exercice physique : il existe des
signes probants que l’exercice physique diminue fortement votre
risque de cancer, principalement en réduisant les niveaux d’insuline
et en normalisant les hormones anabolisantes. Par exemple, les
femmes qui font régulièrement de l’exercice peuvent diminuer leur
risque de cancer du sein de 20 à 30 % par rapport aux inactives.
L’exercice n’a pas besoin d’être intensif, au contraire, mais il doit
être fréquent et varié.
Augmentez vos apports d’acides gras oméga-3 d’origine
animale (EPA et DHA). De nombreuses recherches suggèrent qu’ils
jouent un rôle dans le contrôle de l’inflammation et dans l’efficacité
du système immunitaire à combattre les cellules cancéreuses (7) ;
Mangez beaucoup de légumes, idéalement frais et bios, en
privilégiant les légumes colorés et en particulier les légumes verts à
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feuilles ainsi que les crucifères, c’est-à-dire toutes les sortes de chou
mais aussi les radis et le cresson, qui ont des propriétés anti-cancer
intéressantes.
Dotez-vous d’une technique personnelle pour diminuer vos
émotions négatives qui risquent d’activer vos gènes de cancer. Le
yoga, la prière, la méditation, la sophrologie font partie des moyens
de rétablir un équilibre intérieur propice. Si vous êtes déjà touché par
la maladie ces techniques peuvent vous aider à mieux combattre la
maladie.
Conservez votre poids idéal ;
Dormez assez, et d’un sommeil de bonne qualité ;
Réduisez votre exposition aux toxines environnementales,
comme les pesticides, les produits chimiques ménagers, les
désodorisants d’ambiance, la pollution atmosphérique et les toxines
des plastiques comme le bisphénol A.
Cuisinez en privilégiant les modes de cuisson doux : pochage,
cuisson à la vapeur, ébullition, plutôt que friture. Evitez absolument
la cuisson au barbecue.
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Une liste de dix épices à consommer sans modération
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Le curcuma
Le thym
Le gingembre
Le basilic
L’origan
Le romarin
Le cumin
Le clou de girofle
Le piment de Cayenne
La cannelle
Une liste d’autres aliments
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Les tomates
toutes les sortes de choux
Oignons, ails, échalotes
Le thé vert
Les fruits rouges
Les légumes
Les céréales complètes
Si c’est possible évitez,
-
les viandes telles que le bœuf, le porc, l’agneau, les abats,
toutes sortes de charcuterie
tous les produits laitiers, hormis de temps à autre un yaourt
les aliments frits ou grillés
ne pas trop saler ni sucrer
les quiches, ainsi que tout les produits transformés
industriellement
Il faut privilégier les protéines végétales, très présentes dans
beaucoup d’aliments, notamment le soja.
Que de fréquenter les salles d’attente médicales, privilégiez une
promenade à la campagne, beaucoup moins chère et moins risquée.
Ne pas prendre de médicament à la légère, toutes les molécules
sont toxiques.
Premières causes de mortalité en France
Les effets secondaires notoires et dangereux des médicaments
sont devenus la quatrième cause principale de mortalité après
l'infarctus, le cancer et l'apoplexie."
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Fin
23
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