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Le cancer, l’éviter, ou le guérir
Oui, c’est possible, pour autant faut il écouter son médecin ? Il
devrait nous apprendre surtout, comment ne pas développer cette
saleté. Ça parait simple, il suffit d’une bonne alimentation, sans abus.
Mais ce qu’on ne nous dit pas, la moitié des aliments que nous
ingérons peut provoquer la venue d’un cancer. Sans oublier le tabac,
l’alcool, la drogue.
La drogue reste interdite, pour le tabac, taxé à 80 pour cent, ça
devrait freiner les ardeurs des adeptes de Nicot.
L’état à la bonne excuse d’encaisser des millions de taxes, c’est
pour notre santé. Pourtant, il devrait en être de même avec la viande,
les produits laitiers, le sucre, le sel, les pesticides, le glutamate, sans
oublier beaucoup de médicaments qui sont comme le tabac et
l’alcool, accusés de développer toutes sortes de cancer.
Oui, mais ce sont des produits de première nécessité, imaginez
si le steak haché passait de quatre euros le kilo à soixante douze
euros, (80% de taxes) c’est impensable, pourtant tout ces produits de
grandes consommation tuent autant que la cigarette. Le fumeur peut
se passer de fumer, mais on ne peut pas se passer de viande. Il serait
si simple d’interdire la vente de tabac, oui, mais comment tout nos
politiques percevraient ils des cadeaux somptueux venant des
marchand de cigarettes, et finalement, un bon fumeur atteint de cette
vilaine tumeur va enrichir, le médecin, les laboratoires
pharmaceutiques, les hôpitaux, puis pour finir, les pompes funèbres.
Les sociétés dans le monde qui font le plus de profits sont le
grand cigarèttier Philip Morris, les labos pharmaceutiques, les filiales
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de la viande, du lait, Mac Donald, Coca Cola, les pesticides
Monsanto. Tous des empoisonneurs !
Pour continuer à vendre leurs produits, tous les gouvernements
perçoivent des pots de vin pour fermer les yeux, après tout, l’homme
est responsable de ses choix de consommation, alors pour faire bonne
figure, ils n’oublient pas de rappeler que consommer cinq fruits et
légumes par jour, bio de préférence, c’est très bon pour la santé.
Ça commence souvent bêtement, un divorce, un décès, du mal à
dormir, le moral à zéro, première chose à faire, une visite chez le
médecin traitant, qui heureusement, à tout les remèdes. Il vient d’être
visité par une visiteuse médicale, qui lui a donné les promos de la
semaine.
- si vous me vendez cent boites de ce médicament anti dépresseur
nous vous verserons une prime en cadeau
- c'est-à-dire ?
- une semaine pour visiter le grand Canyon du Colorado, mais si
vous vendez cent autres boites d’anxiolytiques, c’est en plus,
trois jours à Las Vegas
- il y a un délai ?
- un mois
- bien, je vais essayer, ça devrait aller !
Vous entrez dans le cabinet, vous vous plaignez de mal dormir,
d’être amorphe au travail, le docteur vous consulte, s’installe à son
bureau, consulte l’écran de son ordinateur où sont affichés les
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promos, rédige l’ordonnance. Vous vous rendez à la pharmacie la
plus proche puis vous rentrez chez vous avec quatre boites qui
contiennent la fameuse molécule qui va vous sortir de votre torpeur.
Après une semaine de traitement, vous avez de douleurs à
l’estomac, pour vous, sans aucun doute, c’est du aux médicaments.
Vous retournez voir votre généraliste, qui ne parait pas surpris
- j’ai oublié de vous indiquer les effets secondaires, pas de
problème, continuer la prise du traitement, je vous rajoute deux
boites contre les brûlures d’estomac, ça devrait bien se passer, si
vous sentez des effets indésirables, n’hésitez pas à revenir me
voir.
Voilà, vous vous sentiriez mieux, si vous ne ressentiez pas des
problèmes intestinaux, vous vous inquiétez, si j’arrêtais le
traitement, ben non, sinon, il me l’aurait dit, je préfère aller le
consulter.
- vous savez, pendant ce traitement, il est déconseillé de manger
épicé, est ce le cas ?
- bien non, je mange comme d’habitude
- je vais vous donner une boité d’Imodium, si ça ne va pas mieux,
il faudra envisager une coloscopie, pour voir si il n’y aurait pas
de polypes
- ah bon, c’est grave ?
- non, c’est un examen de routine, juste une journée
d’hospitalisation
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(4200 personnes décèdent tous les ans en France dans le milieu
hospitalier, infection nosocomiale)
Ce jour là, si vous n’étiez pas aller voir ce médecin, vous seriez
en bonne santé, maintenant, il faut espérer que ces polypes ne soit
pas des tumeurs malignes.
Les hôpitaux sont équipés de nouvelles technologies tellement
chères qu’ils les louent, vous savez à qui ? Aux laboratoires
pharmaceutiques. Un appareil pour effectuer un IRM, ça chiffre en
millions, alors ils payent un loyer mensuel, ils doivent en faire trois
par jour pour amortir le prix de la location, alors vous imaginez, les
cancéreux, vous êtes les bienvenus.
Quand une tumeur est détectée, un long traitement commence,
radiothérapie, chimiothérapie, chirurgie. Souvent, dès la première
chimio, le patient ne s’en remet pas, il meurt empoisonné par ce
poison qui a coulé dans ses veines.
Un traitement chimiothérapique est facturé 25000 euros à la
sécurité sociale, sans compter la radio et la chirurgie. Les petits
chercheurs qui découvrent un traitement alternatif sont très mal vus
par les puissants des laboratoires, pourtant, ils existent.
Pourtant, on a beaucoup de chances, l’espérance de vie
recule d’année en année, sauf que c’est un mensonge.
Ce qui a changé, c’est la mortalité infantile, le pourcentage
d’enfants qui mourraient avant l’age de cinq ans était énorme
dans les années cinquante, à l’accouchement, la polio, la
tuberculose, la malnutrition, la variole, la rougeole, et j’en
passe. A ce niveau là, la science a fait de gros progrès, plus
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d’épidémie, des vaccins efficaces, ce qui fait qu’il y a beaucoup
plus de personnes vieillissantes, mais pour la mortalité due au
cancer, pas beaucoup de changement, alors qu’on a marché
sur la lune il y a presque cinquante ans, la recherche médicale
n’avance plus beaucoup, c’est à croire que ce n’est pas sans
raison, trop de monde sur terre, peut être !
Il y a quelques années, les guerres décimaient la jeunesse
française, puis les accidents de la route, 12000 tués en 1970,
avec vingt fois moins de voitures, vous comprenez pourquoi on
vit plus longtemps, mais c’est une moyenne, il y a cinquante
ans, il y avait des personnes très âgées, mais moins, car pour
arriver à ce stade, il fallait passer à travers, la naissance, les
maladies et épidémies qui touchaient les enfants, à 20 ans,
défendre les couleurs de son pays, puis les accidents de la
circulation très nombreux à cette époque, si on arrivait à la
trentaine, l’espérance de vie était presque égale à celle de
maintenant.
Si il y a une légère progression, c’est du à la baisse de la
consommation d’alcool, de tabac, tout les ménages sont
équipés de frigo, congélateur, on mange plus sain, les
soixantenaires veulent rester jeunes, ils font des activités
sportives, ils voyagent.
Alors, je me demande quand même, qu’y a-t-il de changer
dans les soins de cette terrible maladie. Le dépistage ?
Je n’y crois pas, quand une mammographie décèle une
tumeur, celle-ci s’est formée dix ans auparavant, alors que
faire, le parcours médical classique, chimio, etc.…
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