ARTHUR BUTZ
LA MYSTIFICATION
DU XX
e SIÈCLE
LA SFINGE
La présente traduction a été réalisée à partir de l'édition de 1993 de l'ouvrage
original, intitulé The Hoax of the Twentieth Century, publié par l'Institute of
Historical Review. (Onzième édition américaine). Signalons la parution de la
dernière édition, Theses & Dissertations Press, Chicago, septembre 2003, visible sur
l'internet à l'adresse suivante:
<http://aaargh-international.org/fran/livres3/HoaxV2.pdf>
© La Sfinge, Roma, 2002
Finito di stampare nel mese di dicembre 2002
Première traduction française: Internet, 2001, 2002
Troisième édition sur Internet:
Editions de l'AAARGH
octobre 2003
<http://aaargh-international.org>
Conforme à l'édition de la Sfinge, sauf pour le cahier photographique qui n'est pas
reproduit ici.
Première édition originale: 1976
– 2 –
L’AUTEUR
Né et élevé à New York, Arthur Robert Butz obtient une licence et une maîtrise
en électrotechnique au MIT (Massachusetts Institute of Technology) de Boston et, en
1965, un doctorat en génie électrique à l’université du Minnesota. En 1966, il
intègre la Northwestern University d’Evanston (Illinois), – où il est à présent
professeur d’électrotechnique et d’informatique. Il est l’auteur de nombreuses
publications techniques. Depuis 1980, il appartient au comité consultatif de
rédaction du Journal of Historical Review, publié par l’Institute for Historical Review
(Newport Beach, Californie).
– 3 –
L I S E Z
S I VOUS
L'O S E Z
– 4 –
PRÉSENTATION
Pour l’auteur de The Hoax of the Twentieth Century (La Mystification du XXe
siècle) la prétendue extermination physique des juifs européens pendant la seconde
guerre mondiale constitue ce qu’on peut indifféremment appeler un mensonge
historique, un mythe, une imposture ou, comme c’est ici le cas, une mystification (le
mot de “ hoax ” se traduit indifféremment par “ mystification ” ou par
canular ”). En France et en bien d’autres pays cette mystification est devenue une
vérité officielle qui, ayant aujourd’hui force de loi, est protégée par la police, par
l’appareil judiciaire et, surtout, par l’omnipotence des grands médias. Elle a pris les
caractères d’une croyance religieuse, d’un interdit social, d’un tabou. “ La version
casher de la seconde guerre mondiale ”, comme on peut encore l’appeler, est la
seule autorisée à l’école, dans l’Université, dans le commerce des livres, au tribunal,
dans la presse et à la télévision. L’ Holocauste ” ou la “ Shoah sont devenus une
religion, un commerce, une industrie.
On appelle révisionnistes les auteurs selon lesquels, dans la réalité, les
Allemands n’ont jamais exterminé ni cherché à exterminer les juifs. Pour ces
auteurs, les Allemands n’ont ni fabriqué ni utilisé de chambres à gaz ou de camions
à gaz en vue de tuer les juifs. Enfin, les révisionnistes concluent de leurs recherches
que le nombre des juifs européens qui, de 1939 à 1945, sont morts, en réalité par
tous faits de guerre ainsi que par suite de la faim ou des épidémies, notamment de
typhus (à cette époque, le typhus était quasiment endémique en Europe de l’Est),
n’a certainement jamais atteint le chiffre extravagant de six millions mais, plus
probablement, celui de un million, et cela dans un conflit qui, par ailleurs, a causé de
gigantesques boucheries et fait des dizaines de millions de victimes. Comme en toute
guerre moderne, les civils ont été aussi durement touchés que les militaires. Les
enfants ont payé un lourd tribut. Beaucoup d’enfants juifs sont morts tandis que
beaucoup d’enfants allemands ou japonais, eux, ont été atrocement tués au
phosphore ou par le feu nucléaire. On a pris l’habitude de dire que les enfants juifs,
parfaitement innocents, ont été déportés parce que juifs ; à ce compte, et pour
reprendre cette formulation, il faudrait ajouter que, parfaitement innocents, les
enfants allemands et japonais ont été tués parce que allemands ou japonais.
Au siècle dernier, dans les années cinquante et soixante, le plus connu des
révisionnistes a été le Français Paul Rassinier. Ses ouvrages et son combat sont dignes
d’admiration mais P. Rassinier, s’il a étudié certains aspects du Grand Mensonge,
n’a pas eu la volonté ou le temps de présenter une synthèse. Il est mort en 1967.
* * *
C’est en 1976 que l’Américain Arthur Robert Butz a publié la synthèse
attendue. Cette synthèse est si puissante qu’aujourd’hui encore elle dissuade tout
auteur révisionniste d’écrire à son tour une somme qui pourrait se comparer au
1 / 420 100%