À Maman et Paul,
À ma Tatie Musaraigne (de Mickey à Harrisson, j’ai beaucoup appris) et à mon ptit Jean.
Vive les transports de cailloux, les macarons, les défrichages, les tartes aux pommes, les
fuites d’eau et pannes de chauffage, les glaces Berthillon et le champagne.
À mon Tom et mon Pipou, on a tout le temps de se taquiner (trop d’chance !).
À ma Chanchan et mon Polo, pour les moments de bonheurs passés tous ensemble,
« mon truc en plume,… ».
Aux Fre-fre, autre branche familiale, merci pour votre présence et votre gentillesse.
À Claire et Flo,
Depuis les anniversaires et noëls en robes à smock, collants en laine et cagoule, aux virées
estivales (Martial, toujours unipalmiste ?), en passant par la grande époque du caméscope, les
disparaissez, les spaghetti à la bolognaise, le gâteau de Michelle, les bûchers de barbie, les jeux
de micro-ondes, les revendications, les soirées beatles-coquillettes, les ballades en forêts (qu’on
aurait pu parfois appeler raids), le rugby et Sinclair…
À Juju,
Maman oiseau, pour ta douceur, ta sensibilité et ton humour. Imbattable sur l’univers Buffalo-
206 kéké, le mélange à débordement du yaourt et les valeurs nutritives des pains au chocolat.
Saluons les BTS Force de vente et BACM. N’oublions pas l’époque où nous pouvions profiter
d’une réalité parfois envahissante : Bob (de jour ou de nuit, il n’y a que les paroles et les
mélodies qui changent). Ta présence et tes conseils me sont précieux.
À Nico,
Mon coin-coin, le temps a passé depuis ma première ingestion de tes pâtes 3 minutes et de ton
flan. Tes talents musicaux s’éveillaient, tes cheveux poussaient, tes jeans se trouaient (nous les
avons remplacés), tes pieds se réparaient, et tes exploits en surf se montraient. Merci pour tous
ces moments partagés, tous nos fous rires, ton esprit critique et ta gentillesse. Je serai toujours là
pour toi, même si tu continues à manger si lentement.
À Margaux,
Pour ton amitié, ta disponibilité, ta force de caractère et ton dynamisme. Ensemble nous avons
bu du Milo, allumé des feux de brousse avec Nana Mouskouri, réinventé l’histoire du Livre de
la jungle, fait du bénévolat pour les petits Kwashiorkor et appris le sens du mot patience. On
continuera à défendre l’art contemporain devant certains réticents et à taquiner la galette.