Access : Séance 1

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[ UNIVERSITE SULTAN MOULAY SLIMANE ]
[ FLSH Béni – Mellal ]
[ LP: Ingénierie des projets Eco-touristique et payasagers ]
MicrosoftACCESS
2007 | 2010
Adopté par M.BOUTALLINE
Sommaire du cours
 Vue d'ensemble : Conception
 Création des tables
 Langage SQL
 Création des requêtes
 Création des formulaires
 Création des états
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GÉNÉRALITÉS
 Le développement nous amène à :
 Augmenter la quantité de données stockées
 Augmenter et rendre plus complexes les traitements
les prenant
en compte
 Très rapidement : l’accès à ces données et leur organisation
en mémoire secondaire deviennent des problèmes critiques
 La mise en place de réseaux, le recours aux accès distants
introduisent le problème des accès concurrentiels
 Les Systèmes de Gestion de Base de Données (SGBD) ont
traité et continuent de traiter de tous ces problèmes.
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BASE DE DONNÉES
 Une base de données est un fichier qui permet de stocker des
données structurées relatives à un sujet.
 Les données d’une base de données peuvent être organisées
selon différents modèles (Relationnel, Hiérarchique, …)
Une base de données est un ensemble structuré de données :
 Interdépendantes
 Stockées sur des supports accessibles par l’ordinateur,
 Sans redondance (répétition inutile )
 Pour satisfaire simultanément plusieurs utilisateurs.
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SGBD

Un Système de Gestion de Base de Données est un
programme qui permet de gérer les données d’une base de
données.

Gérer une base de données inclut les opérations suivantes :
 Insérer de nouvelles données
 Mettre à jour (Modifier) les données
 Chercher les données
 Supprimer les données
 Sécuriser les données

(SGBD) ou Data Base Management System est un logiciel
qui permet aux utilisateurs d’interagir avec une base de
données.
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SGBD
Les buts et propriétés de ces systèmes sont multiples :
• fournir une description des données stockées dans la base en
toute indépendance des programmes accédant à ces données
• permettre l’interaction avec la base grâce à des interfaces
d’accès multiples (rechercher, modifier, ajouter, détruire).
• fournir un langage de manipulation des données (LMD) pour
les interactions entre l’utilisateur et la base
• éviter les redondances, soit par la présence de la même
donnée plusieurs fois dans des fichiers différents, soit par la
présence physique d'une donnée qui peut se déduire d’autres
données.
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SGBD
• offrir un accès multiple aux données et régler le problème de
la concurrence d’accès
• assurer la sécurité d’accès aux données (confidentialité,
identification des utilisateurs).
• gérer les possibilités de pannes et les rendre transparentes à
l’utilisateur (point de reprise).
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BDD RELATIONNELLE
 Une base de données relationnelle est une base de données
qui stocke les données dans des tables qui sont liées par des
relations.
 Le modèle relationnel est le plus exploité vue ses
performances pour les bases de données volumineuses.
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SGBDR

Un SGBDR (SGBD relationnel), est un SGBD qui permet de
gérer les données d’une base de données relationnelle.

Exemple de SGBDR:
 Access : utilisé pour gérer des petites bases de données
 ORACLE : Très performant pour les grandes bases de
données, coute très cher
 SQL Server : Outil de Microsoft, Concurrent de Oracle,
coute cher
 MYSQL : Performant, Gratuit.
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PROCESSUS
BD
Relationnelle
SGBDR
SQL
Application
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Fichier : Les données structurées relatives à un
sujet sont stockées des tables liées par des
relations
Programme qui permet de gérer les données
d’une BDDR (insérer, modifier, supprimer et
sélectionner)
Langage de requêtes qui permet d’interroger un
SGBDR
Programme qui définit les interfaces graphiques
Homme Machine et qui permet à l’utilisateur final
de gérer les données de la base de données
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Niveaux de représentation d’une base de données
La description d’une BD s’effectue à trois niveaux :
 Externe : il est nécessaire de définir des types d’utilisateurs qui
pourront chacun avoir une vue différente d’une même base.
Chacune de ces vues est déduite du schéma conceptuel décrit
ci-après
 Interne ou physique : c’est le niveau correspondant aux
programmeurs. L’organisation physique des données et les
fonctions d’accès sont alors définies (organisation des fichiers,
index, structure...).
 le niveau conceptuel intègre toutes les vues externes sans
souci de l’implantation des données (description abstraite).
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Niveaux de représentation d’une base de données
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Ce qui a changé et pourquoi ?
Il faut définir un modèle de description permettant d’exprimer les
propriétés des composants de la base et les liens existant entre eux.
Plusieurs modèles ont été proposés, parmi lesquels on peut citer :
- le modèle hiérarchique (historiquement le premier) : le schéma
conceptuel est visualisé sous forme d’arbres dont les nœuds
correspondent aux classes d’objets et les arcs entre les nœuds aux
associations.
- le modèle réseau : le schéma conceptuel est représenté par un graphe
ce qui augmente les possibilités de liens entre les objets.
- le modèle relationnel, fondé sur la notion de « relation », représente
les objets et les liens entre eux par des tableaux à deux dimensions.
- le modèle objet : une donnée est une instance d’une classe. Chaque
champ est un objet et la notion d’héritage peut être utilisée lors de la
définition des tables.
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Conception d’une base de données
Schéma simplifié de la conception d'une base de données
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Les utilisateurs d’une base de données :

les concepteurs de la base définissent, décrivent, créent la
base ;
le Data Base Administrator (DBA) gère la base (les accès, les
droits des utilisateurs, les sauvegardes, les restaurations...) ;
 les utilisateurs manipulent la base. Il est possible de distinguer
des familles d’utilisateurs avec des droits différents vis-à-vis de
l’accès à la base.
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MODÈLE DE DONNÉES RELATIONNEL
représenter les liens et les objets de la même façon et le mode de
représentation adopté est extrêmement simple : des tableaux à
deux dimensions.
Une base de données est modélisée par un ensemble de schémas
de relation.
Un schéma de relation caractérise une relation par son nom, une
liste d’attributs et les domaines associés à chaque attribut.
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Clés primaires / Clés étrangères
 Les lignes d’une table doivent être uniques, cela signifie
qu’une colonne (au moins) doit servir à les identifier. Il s’agit
de la clé primaire de la table.
 Il s’agit de une clé primaire de la table qui se trouve dans une
autre table. On parle de la clé étrangère.
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Traduction vers un schéma relationnel
A partir du graphe de couverture minimale , le schéma relationnel
correspondant
apparaît naturellement , en suivant quelques étapes simples.
Etape 1 : il faut repérer et souligner les clés primaires
Etape 2 : tous les attributs qui dépendent directement d’une clé et
d’une seule , forment une relation (avec la clé, bien sûr).
Etape 3 : les attributs (non clés) qui dépendent de plusieurs clés
sont les attributs d’une relation supplémentaire formée des clés
et de ces attributs
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Normalisation des schémas de relation
Le processus de normalisation va contrôler la définition du
schéma relationnel. Il s’agit d’appliquer quelques formes
normales à fin que soit la base de données soit normalisée.
 Éviter la redondance de l’information
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Normalisation des schémas de relation
Définition de la 1ère forme normale :
les attributs de relation sont simples ou atomiques.
Exemple :
La table LIVRE(Numéro, titre, Nom-auteur) n’est en1NF que si un
livre n’a qu’un seul auteur
On peut envisager deux solutions le cas échéant
-LIVRE(Numéro, titre, auteur1,auteur2,...,auteurn) avec n connu
-Ecrit par(Numéro, Nom auteur) en introduisant autant de lignes
pour un livre qu’il a d’auteurs
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Normalisation d’une BDD
Définition de la 2ème forme normale :
La clé peut être composée de plusieurs attributs mais les autres
attributs de la relation doivent dépendre de la clé en entier (et non pas
une partie de cette clé).
Exemple :
la table FOURNISSEUR ( Nom , Adresse, Article, prix) pour laquelle la clé
définie est le couple (Nom, Article) et on a les DF :
(Nom,Article)  Prix et Nom adresse
Où une partie de la clé Nom détermine l'attribut adresse n'appartenant
pas à la clé donc la relation n'est pas en 2FN. Elle devra être
décomposée en deux relations en 2NF:
FOURNISSEUR (Nom, adresse) Et
Produit (Nom,Article, prix)
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Diagramme classe initial (UML)
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Intégrité référentielle
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Mari
M#
1
1
Mari
M#
1
N Femmes
F#
Ami
A#
M
N
Comment faire ?
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Femme
F#
Amie
A#
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Modèle logique de données (MLD)
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Dictionnaire de données
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