Diversité et complémentarité des métabolismes. Page 4 sur 4
musculaires : 2 CH3-CO-COOH + 2 R’H2 Î 2 CH3-CHOH-COOH + 2 R’
ique de 50% alors que la fermentation alcoolique a un rdt de 2,8%. Mais la fermentation permet la
ie dans les milieux sans oxygène.
III L
La fermentation produit beaucoup moins d’énergie que la respiration : 2 ATP au lieu de 36.
La respiration a ainsi un rdt énergét
v
ien avec le cycle du Carbone.
La biosphère est organisée en écosystèmes, chacun étant formé d’un ensemble d’êtres vivants (biocénose) et d’un milieu où
ils vivent (biotope).
A.
L’autotrophe dans l’écosystème.
Dans tous les écosystèmes, les êtres vivants sont liés par des relations trophiques. Au départ de toute chaîne alimentaire, il y un
organi A partir de lui se construit une chaîne de consommateurs, hétérotrophes, qui sont des producteurs secondaires.
stituer un stock de matière organique morte qui sera utilisée par des décomposeurs, qui vont
sme autotrophe dit producteur primaire, qui va faire entrer dans la biosphère du C et de l’énergie (solaire).
A terme, tous les êtres vivants vont con
oxyder cette MO et relibérer de CO2.
Un écosystème se trouve normalement à l’équilibre : il rentre autant de C par les autotrophes qu’il en ressort par les hétérotrophes.
eule une petite fraction peut leur échapper et à terme se transformer en roche.
B.
La biosphère dans le cycle du Carbone.
S
O avec l’atmosphère, par le double jeu antagoniste de la
phot n flux s’établit aussi vers la lithosphère mais sur une plus grande échelle de temps. Ce C sera rendu plus tard à l’atmosphère.
L’Homme peut modifier ces flux et rompre cet équilibre.
Bilan structural et fonctionnel d’une cellule vivante.
La biosphère réalise donc des échanges équilibrés de C 2
osynthèse/réduction et de la respiration/dégradation/oxydation.
U
vivante est constamment soumise à un bilan d'entrée et de rejet de matière, qu'accompagnent des conversions
nformation génétique qu'il contient, dirige la synthèse des
rotéines, et donc des enzymes nécessaires au métabolisme de la cellule.
iration est consommé dans la photosynthèse. Il y a donc un cycle du CO2
t de l’O2 entre autotrophe et hétérotrophe (voir schéma)
respire en même temps qu’elle photosynthétise (dans les échanges gazeux, la photosynthèse masque
arties autotrophes (chlorophylliennes) et hétérotrophes (non chlorophylliennes). Le
(production de MO) et de la dégradation (respiration, fermentation mais aussi minéralisation
grâce aux décomposeurs)
es ressemblances avec les bactéries :
mes.
•
dans la cellule et y sont demeurés, au bénéfice des deux partenaires qui ont réalisés des échanges. On a donc une
ne interne correspondrait à la membrane de la bactérie, la membrane externe à celle de la cellule qui l’englobe pour la
contrôler.
Schéma cellule eucaryote autotrophe et hétérotrophe
Toute cellule
énergétiques.
La cellule eucaryote est formée de compartiments dans lesquels se déroulent des réactions métaboliques particulières, catalysées par
des enzymes spécifiques : chloroplaste, mitochondrie. Le noyau, par l'i
p
Métabolismes autotrophe (photosynthèse) et hétérotrophe (respiration et fermentation) sont deux voies, des modes de fonctionnement
bien différents. Mais elles sont aussi complémentaires :la matière organique et le dioxygène produits par la photosynthèse sont
consommés dans la respiration, le CO2 produit par la resp
e
Cette complémentarité existe :
- A l’échelle de la cellule : dans la cellule végétale on trouve à la fois des chloroplastes et des mitochondries. La cellule
végétale à la lumière
alors la respiration)
- A l’échelle du végétal, entre les p
transport de MO se fait par la sève.
- A l’échelle de l’écosystème, entre êtres vivants autotrophes (producteurs primaires) et hétérotrophes (consommateurs) par le
cycle de la consommation
Mitochondries et chloroplastes ont d
• présence d’ADN et riboso
Division par scissiparité.
On imagine un scénario de création de la cellule eucaryote dans lequel chloroplaste et mitochondrie seraient des bactéries qui
sont entrés
symbiose.
La membra