THEME : FEMININ MASCULIN Chapitre 1 : Devenir homme ou femme : le développement du phénotype sexuel : mise en place des structures et de la fonctionnalité des appareils sexuels. Dès la fécondation, l’embryon présente des différences chromosomiques : - Chromosomes sexuels XX pour la femme. - Chromosomes sexuels XY pour l’homme. L’observation des caractères sexuels primaires révèle des différences morpho-anatomiques. A la puberté, l’individu subit des transformations morphologiques avec mise en place des caractères sexuels secondaires : les appareils sexuels deviennent fonctionnels avec l’apparition des règles chez la fille et des premières éjaculations chez le garçon. Des différences physiologiques distinguent également les deux sexes : les testicules assurent une production continue de spermatozoïdes et d’hormone (testostérone), alors que les ovaires et l’utérus ont un fonctionnement cyclique jusqu’à la ménopause et produisent ovules et hormones (œstrogènes et progestérone). La différenciation des appareils sexuels pendant le embryonnaire : mise en place des caractères sexuels primaires. développement Pendant les premières semaines de la vie embryonnaire, les gonades sont indifférenciées; en effet, au tout début du développement embryonnaire, aucune différence n’est visible entre les appareils génitaux internes des embryons mâles et femelles: Appareil génital indifférencié Si l’embryon est de sexe génétique masculin, c’est-à-dire s’il possède un chromosome Y, les gonades jusque-là indifférenciées se transforment en testicules En l’absence de chromosome Y (sexe génétique féminin XX), les gonades se différencient en ovaires Pourtant, certaines personnes de sexe masculin possèdent 2 chromosomes X et inversement, des femmes possèdent des chromosomes sexuels de type XY ! Cette situation, rare, montre que dans ces cas, il manque un gène appelé SRY sur le chromosome Y des filles XY, et au contraire les garçons XX, ont un chromosome X porteur de ce gène SRY. L’observation de ses chromosomes montre que le gène SRY s’est « déplacé » sur le chromosome X. Ce gène SRY (Sex determining Region of the Y chromosome) que l’on a caractérisé en 1990 est le gène de la masculinité, il sécrète une protéine appelée TDF (Testing Determining Factor) • En sa présence, les ébauches gonadiques se transforment en testicules • En son absence, les ébauches gonadiques se transforment en ovaires Schématisation des chromosomes sexuels X et Y et positionnement du gène SRY En présence du gène SRY, les testicules se développent et sécrètent des hormones : - l’AMH (Hormone antimüllérienne) qui provoque la régression des canaux de Müller (ébauche embryonnaire des voies génitales femelles) - la testostérone qui permet le développement des canaux de Wolff en voies génitales masculines. En l’absence du gène SRY, les canaux de Müller évoluent en voies génitales féminines (vagin, utérus et trompes). L’absence de testostérone entraîne une régression des canaux de Wolff. Les transformations de la puberté : La puberté constitue la dernière étape de la mise en place du sexe phénotypique de l’adulte. La puberté est marquée par un ensemble de modifications physiques (= caractères sexuels secondaires), physiologiques et psychologiques. Elles sont provoquées par une augmentation de la de la concentration sanguine des hormones sexuelles dans le sang : testostérone sécrétée par les testicules pour les garçons et œstrogènes sécrétée par les ovaires pour les filles. Définitions : Caractères sexuels primaires : Organes génitaux visibles à la naissance. Caractères sexuels secondaires : Modifications physiques apparaissant à la puberté caractéristiques de chaque sexe. Gonade : Organe qui produit les gamètes (testicule ou ovaire) Génotype = ensemble des gènes portés par les chromosomes d’un organisme. Celui-ci détermine le phénotype d’un individu. Phénotype = ensemble des caractères qui participent à la construction et au fonctionnement d’un individu. SCHEMA-BILAN THEME : FEMININ MASCULIN Chapitre 2 : Vivre sa sexualité I. Le contrôle du comportement sexuel. Contrôle hormonal du comportement sexuel. 1. Chez les non primates. Document 1 : Evolution du comportement sexuel chez le cochon de guinée. a) A partir du document 1 : Répondez au QCM Montrez que les hormones sexuelles jouent un rôle sur le déclenchement des comportements sexuels chez les mammifères non primates. Chez les non primates, les hormones jouent un rôle majeur dans le déclenchement du comportement sexuel. 2. Chez les primates hominoïdes Doc 3 et 4 p 181 ; doc 1 p. 182 : L'action des hormones sexuelles est-elle aussi importante chez les primates? Chez les primates hominoïdes, l’influence des hormones existe mais elle n’est pas majeure. Chez l’homme, la présence d’activités variées (caresses, baisers, …) ne sont pas forcément liés à l’acte reproducteur mais plutôt à la stimulation de zones érogènes dans le but d’obtenir du plaisir. L'influence du contexte culturel est importante; les comportements sexuels varient en fonction des lieux et des époques. Contrôle cérébral du comportement sexuel. L’évolution du comportement de reproduction vers un comportement érotique est graduelle et traduit le développement du cortex dans le cerveau des mammifères (chez l’homme le cortex représente 80 % des neurones du cerveau; c'est une zone de mémorisation et de perception). Livre p. 182 Des études scientifiques (doc 3 et 4 p.183) ont montré que le plaisir sexuel est associé à l'activation de zones précises du cerveau. Ces zones interconnectées par des circuits de neurones, forment ce que l'on appelle les « systèmes de récompense » car leur activation par divers facteurs sensitifs (vision, odeurs, sensations tactiles,...) produit automatiquement une sensation de plaisir (composante affective). Ces zones étant reliées à la mémoire (composante cognitive), nous avons alors tendance à reproduire les actions qui ont généré cette sensation de plaisir. Rq : La dépendance qui se met en place lors de la prise de drogue relève du même circuit, la sensation de plaisir liée à la prise amène le consommateur à reprendre le produit pour en éprouver les mêmes effets. II. Identité sexuelle et normes sociales. L’identité sexuelle correspond au fait de se sentir homme ou femme. Elle dépend pour beaucoup d’un conditionnement social et diffère selon les cultures. (ex : p. 176 « Un troisième genre en Polynésie ») Les transsexuels sont des personnes qui estiment que leur identité sexuelle ne correspond pas à leur genre biologique. L’orientation sexuelle, c’est-à-dire le fait d’être hétérosexuel, homosexuel ou bisexuel relève totalement de l’intimité des personnes et de la sphère privée. THEME : FEMININ MASCULIN Chapitre 3 : Prendre en charge de façon conjointe et responsable sa vie sexuelle I- Fonctionnement de l'appareil génital de la femme. Anatomie : voir livre p.144 à 147. A) Les cycles sexuels féminins. Chez la femme, deux cycles ont lieu sur 28 jours de manière synchrone : le cycle utérin et le cycle ovarien. 1. Le cycle utérin L’utérus est l’organe où pourra se développer un embryon. Il est constitué d’un muscle (le myomètre) tapissé intérieurement par une muqueuse (la muqueuse utérine ou endomètre). L’utérus subit au cours d'un cycle de 28 jours en moyenne une série de transformations qui le préparent à une éventuelle grossesse. Au début du cycle, la muqueuse utérine est détruite partiellement lors des menstruations (règles). Ensuite, au cours d'une phase de prolifération, la muqueuse se reconstitue. Elle s'épaissit puis se creuse de glandes utérines. Dans la deuxième partie du cycle, ces glandes se ramifient, formant la « dentelle utérine ». La muqueuse, richement vascularisée, est prête à l'implantation d'un embryon. Par ailleurs, le col de l'utérus sécrète une glaire cervicale constituée par un réseau de filaments aux mailles serrées. Celles-ci s'élargissent vers le 14ème jour du cycle pour ensuite se resserrer rapidement. L’évolution de la muqueuse utérine au cours d’un cycle Glandes en tube 5m E m Vaisseaux sanguins spiralés n d o m è t r e M y o m è t r e 1 2 3 Règle 4 4 5 6 7 8 9 11 12 Phase prolifératrice 13 14 15 15 16 17 18 19 20 21 22 23 Phase sécrétrice Dentelle utérine 24 25 26 27 28 Jours du cycle 2. Le cycle ovarien De la puberté à la ménopause, l'ovaire libère de façon cyclique des gamètes, ou cellules reproductrices. Les futurs gamètes, ou ovocytes, sont entourés d'une couche de cellules folliculaires. L'ensemble forme le follicule ovarien. De la naissance à la puberté, les follicules se développent : l'ovocyte croît et les cellules folliculaires se multiplient. À partir de la puberté, l'activité de l'ovaire est cyclique : - durant la première partie du cycle (du 1er au 14ème jour), ou phase folliculaire, un follicule achève son évolution ; - lors de l’ovulation (le 14ème jour en moyenne), l'ovocyte de ce follicule est expulsé de l'ovaire, et recueilli dans une trompe ; - durant la phase lutéale (du 14ème au 28ème jour), le follicule se transforme en corps jaune. Celui-ci finit par dégénérer et un nouveau cycle recommence, sauf en cas de fécondation. Les cellules folliculaires sécrètent des hormones, durant la phase folliculaire, elles sécrètent des oestrogènes et durant la phase lutéale, le corps jaune sécrète de la progestérone. B) Régulation et synchronisation des cycles L’ovaire contrôle l’activité cyclique de la muqueuse utérine par l’intermédiaire de 2 hormones : les œstrogènes et la progestérone. Document 1 p.152 + légende couleurs schéma précédent. Ce sont les hormones libérées par l'ovaire qui agissent sur l'utérus : les œstrogènes agissent seuls pendant la phase folliculaire, puis avec la progestérone pendant la phase lutéale. La progestérone, produite par le corps jaune, est l'hormone de la gestation (grossesse). Elle contrôle les transformations de la muqueuse utérine et empêche les contractions utérines. En l'absence de fécondation, les taux d'hormones ovariennes chutent et les règles se produisent. C) Le contrôle de l’activité ovarienne La FSH (hormone folliculo-stimulante) et la LH (hormone lutéinisante), 2 hormones hypophysaires, stimulent la production d’œstrogènes et de progestérone par les ovaires. Une brusque élévation de la concentration de LH (pic de LH) en fin de phase folliculaire déclenche l’ovulation. Les sécrétions hypophysaires sont elles-mêmes sous le contrôle de l’hypothalamus, qui sécrète une substance, la GnRH. Les hormones ovariennes exercent un contrôle en retour (= rétrocontrôle) sur l’axe hypothalamohypophysaire. Elles inhibent la sécrétion de LH et de FSH pendant la majeure partie du cycle (rétrocontrôle négatif). Les œstrogènes stimulent la sécrétion de LH et de FSH pendant la période précédant l’ovulation (rétrocontrôle positif) ; les œstrogènes sont en effet produit en grande quantité à ce moment-là. Ainsi, il y a synchronisation entre maturation folliculaire et déclenchement de l’ovulation (le follicule mature sécrète beaucoup d’œstrogènes à signal vers l’hypophyse à pic de LH à ovulation). Ce sont les sécrétions cycliques des hormones qui induisent les modifications cycliques de l’appareil reproducteur. Les cycles ovarien et utérin sont synchronisés Quand la muqueuse utérine se construit, les follicules ovariens entrent en croissance. Au moment de l’ovulation, la muqueuse utérine est suffisamment développée pour permettre l’implantation de l’embryon. De plus, les spermatozoïdes peuvent traverser le col de l’utérus (la glaire cervicale a un maillage plus lâche). La phase lutéale correspond à la période où l’endomètre est développé et se maintient. Les cycles sexuels féminins ont une durée moyenne de 28 jours. Ce synchronisme est possible grâce à l'action des hormones ovariennes (œstrogènes et progestérone) et .des hormones hypophysaires (LH et FSH) II- La maîtrise de la procréation. A. La pilule contraceptive. La pilule est une méthode de contraception hormonale. Elle est le plus souvent composée d’hormones de synthèse (œstrogènes + progestérone) d’où son nom de pilule « oestroprogestative ». « Pour empêcher l’ovulation, la méthode la plus simple consiste à donner des œstrogènes et des progestatifs de synthèse qui bloquent la stimulation de l’ovaire par l’hypophyse, qui ne fait pas la différence entre les hormones de synthèse apportées par la pilule et les hormones naturelles : elle est mise au repos. C’est la première des contraceptions, simple et efficace. Mais si les premières pilules étaient surdosées, aujourd’hui leur quantité d’hormones est divisée par 10. » D’après F ; KUTTENN « Les limites de la contraception » Pour la science, juillet 2008. Glaire cervicale sous l’effet d’un contraceptif. Effet de la pilule oestroprogestative sur les sécrétions hormonales. La prise quotidienne de ces hormones freine la sécrétion de LH par rétrocontrôle négatif sur l’hypophyse. L’ovaire qui n’est plus stimulée par la LH est au repos, il n’y a pas de croissance folliculaire donc pas de pic de LH et donc pas d’ovulation. La glaire cervicale reste imperméable aux spermatozoïdes durant tout le cycle. La muqueuse utérine se développe peu sous pilule et n'est pas propice à la nidation. La pilule agit par l’intermédiaire d’hormones de synthèse en freinant le système de commande hypothalamohypophysaire ce qui met les ovaires au repos. B. La contraception d’urgence. La pilule du lendemain est une pilule à prendre dans les 3 ou 5 jours suivant un rapport sexuel non protégé. Elle contient des molécules (le lévonorgestrel) bloquant l’ovulation ou modifiant la muqueuse utérine. Document 1 : Graphique montrant les variations de la concentration de LH au cours du temps chez une femme sans traitement et chez une femme après un traitement au lévonorgestrel. La LH est une hormone naturelle sécrétée par l’hypophyse. LHO: jour du pic de LH chez une femme sans traitement LH + 2: deuxième jour suivant le pic de LH chez une femme sans traitement Le graphique précédent montre l’absence de pic de LH sous lévonorgestrel ; l’ovulation est donc bloquée et la fécondation ne peut avoir lieu. La contraception d’urgence perturbe l’ovulation (si celle-ci n’a pas eu lieu) ; agit sur l’utérus en gênant le déplacement des spermatozoïdes et en empêchant la nidation : fixation de l’embryon dans l’utérus). Cette pilule ne peut constituer un moyen de contraception régulière en raison de ses effets secondaires et de son efficacité inférieure à celle de la pilule. C. L’IVG médicamenteuse. L’Interruption Volontaire de Grossesse est réalisée par aspiration de l’embryon ou par administration d’une pilule abortive : le RU 486. (voir livre p.155) La progestérone est indispensable au maintien de la muqueuse utérine durant la grossesse. L’administration du RU 486 interrompt la grossesse en provoquant le retour des règles et l’expulsion de l’embryon. En effet, la muqueuse utérine se maintient au cours de la grossesse à condition de recevoir en permanence de la progestérone par voie sanguine. La progestérone se fixe sur des récepteurs spécifiques de la muqueuse. Le RU 486 se fixe sur les mêmes récepteurs que la progestérone grâce à une similitude de forme et empêche celle-ci de se fixer. Tout se passe comme s’il n’y avait plus de progestérone dans le sang et les règles reviennent. Molécule de progestérone Molécule de RU 486 III- L’infertilité et l’aide à la procréation (PMA : Procration Médicalement Assistée) 1. Les causes d’infertilité. On différenciera la stérilité (incapacité pour un homme ou une femme de concevoir un enfant naturellement) de l’infertilité (couples qui, après un an de rapport sexuels réguliers, n’ont pas débuté de grossesse). Les causes d’infertilité sont multiples (1 couple sur 6 consulte un jour un médecin pour des difficultés à procréer). Chez la femme, les causes les plus fréquentes sont l’absence d’ovulation (lié à des troubles hormonaux d’origine ovarienne ou hypophysaire) et l’obturation des trompes (souvent liée à une infection par des IST). Chez l’homme, les anomalies concernent surtout le nombre, la mobilité ou la structure des spermatozoïdes. Le pouvoir fécondant du sperme est alors insuffisant. 2. Les aides à la procréation (PMA = Procréation Médicalement Assistée) Des examens médicaux permettent de rechercher l’origine des problèmes d’infertilité chez un couple. Chez l’homme, un spermogramme permet d’évaluer la qualité du sperme. Chez la femme des dosages hormonaux (LH, FSH, hormones ovariennes) renseignent sur un défaut d’ovulation. - La stimulation ovarienne : Lorsque l’infertilité d’un couple provient d’un défaut d’ovulation, on peut stimuler les ovaires en injectant des hormones sexuelles. Cette technique est également utilisée lors des fécondations in-vitro ou lors d’inséminations artificielles. - L’insémination artificielle. Cette technique permet de pallier certains problèmes d’infertilité d’origine masculine : le sperme du conjoint peut être traité puis transféré dans les voies utérines de la femme. - La fécondation in vitro avec transfert d’embryon (FIVETE) Les étapes de la fécondation in vitro. Cette technique est indiquée dans le cas d’obstruction des trompes qui empêche la rencontre des spermatozoïdes et des ovules. Les ovules sont prélevés après stimulation hormonale puis mis en contact avec les spermatozoïdes dans un récipient et la fécondation s’effectue spontanément. Après les premières divisions cellulaires, les embryons sont transférés dans la cavité utérine dans laquelle l’implantation se fera. Cette implantation est difficile (10 % de réussite seulement), c’est pourquoi on transfère 2 ou 3 embryons. Les embryons non transférés peuvent être congelés, ce qui pose un problème quant à leur devenir possible (utilisation, don, abandon, destruction, recherche médicale …) - L’ICSI (Intra Cytoplasmic Sperm Injection) Il s’agit d’une fécondation in vitro avec injection directe sous microscope d’un spermatozoïde dans le cytoplasme de l’ovule. Procréation médicalement assistée et éthique*. Au regard de la loi française, la PMA est considérée comme une intervention thérapeutique destinée à pallier l’infertilité pathologique d’un couple, médicalement constatée, ou à éviter un risque de transmission d’une maladie. Elle est réservée à de s couples engagés dans un projet parental, mariés ou en mesure d’apporter la preuve d’une vie commune d’au moins deux ans, formés d’un homme et d’une femme, tous deux vivants et en âge de procréer. La PMA n’est pas envisagée en France comme un mode de procréation alternatif, susceptible de pallier les impossibilités de procréer au sens large, qu’elles soient physiologiques ou sociales, dans une logique d’aide à la parentalité. Certains pays reconnaissent l’infertilité dite « sociale » comme condition de recours à l’AMP et ouvrent donc l’accès à cette technique aux femmes célibataires et aux couples de femmes homosexuelles, notamment en Grande-Bretagne, en Grèce, en Espagne, en Belgique, aux Pays-Bas, en Finlande, aux Etats-Unis, au Canada et plus récemment au Danemark. Extraits du bilan d’application de la loi de Bioéthique 2004 *Ethique=Science qui cherche à établir des règles dans la conduite et les pratiques humaines. Doc Livre p.162 Les lois de bioéthique. IV- Sexualité et IST Infections Sexuellement Transmissibles. Doc p 158 et 159 Les IST représentent un problème de santé publique majeur et peuvent être à l’origine d’un problème d’infertilité ultérieure (infection à Chlamydia qui provoque une obstruction des trompes). Une bonne utilisation des préservatifs masculins et féminins assure à la fois une contraception fiable et une bonne protection contre les IS dont le virus du VIH responsable du SIDA. Des campagnes de vaccination visent à limiter la propagation d’autres IST causées par des virus (papillomavirus, hépatite B)