La CROISADE du ROSAIRE Bulletin trimestriel N°106 « Je suis

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La CROISADE du ROSAIRE
79, rue Rémy DUMONCEL, 77 210 AVON
Bulletin trimestriel N°106
Octobre, Novembre, Décembre, 2012
« Je suis Notre Dame du Rosaire »
Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous.
CENTENAIRE DE LA NAISSANCE DU RÉVÉREND PÈRE Jean REYNAUD
Le R.P Jean REYNAUD, fondateur de l’Association « La Croisade du
Rosaire », aurait eu 100 ans le 03 octobre 2012, jour de la fête de Sainte
Thérèse de l’Enfant Jésus.
Lors de la prochaine Assemblée Générale de la C.R, le 17 novembre 2012,
l’aumônier de l’Association, M. l’abbé Fabrice Delestre, célébrera la
Sainte Messe à son intention, ainsi que pour le repos de l’âme de M. Re
Duverger, qui présida si longtemps aux destinées de « La Croisade », et
qui, par une délicatesse toute spéciale du Cœur Immaculé de Marie, a été
rappelé à Dieu le premier samedi du mois de mars dernier (03 mars 2012).
Ainsi, ce jour-là, tous les Croisés qui en auront la possibilité pourront
s’unir d’intention à cette Messe, (en principe fin de matinée) et prier pour
le fondateur et pour l’ancien président de « La Croisade ».
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LE MOT DE L’AUMÔNIER
L’essence du message de Notre Dame du Rosaire de Fatima
Bien chers Croisés,
Vous lirez ce « Mot de l’aumônier » au début du mois d’octobre,
« Mois du saint Rosaire », et j’ai pensé, pour vous aider à renouveler et
enrichir encore votre ferveur mariale au cours de ce mois, qu’il convenait de
vous exposer ce qui constitue l’essence du message de Notre Dame du
Rosaire de Fatima : le point central de ce message de portée mondiale,
autour duquel tout le reste gravite, et cela d’après la voyante elle-même, Sœur
Lucie.
Si je vous interrogeais à brûle-pourpoint pour savoir quel est, à votre
avis, le noyau essentiel de ce message, je suis sûr que j’obtiendrais des
réponses diverses, et parmi celles-ci, les trois qui reviendraient le plus
fréquemment seraient sans doute : 1) la récitation quotidienne du chapelet ; 2)
la consécration de la Russie au Cœur Immaculé de Marie ; 3) la dévotion
réparatrice, en particulier le premier samedi du mois, à ce même Cœur
Immaculé. En revanche, je ne suis pas sûr de trouver, ne serait-ce qu’une seule
fois, parmi toutes vos réponses, ce que Sœur Lucie a expliqué en 1946 à M.
John Haffert, l’un des principaux responsables de l’Armée Bleue fondée pour
répandre et faire pratiquer par le plus d’âmes possible le message de Notre
Dame de Fatima. C’est pourquoi je suis convaincu que la plupart d’entre vous
seront surpris et étonnés, en lisant les affirmations suivantes de Sœur Lucie,
rapportées par John Haffert lui-même dans son livre : Fatima, Apostolat
mondial (édité en français par Téqui en 1984, 316 pages ; citation en page 17).
« Apparemment, je n’exprimais pas seulement ma propre ignorance,
mais aussi celle de beaucoup d’autres personnes (qui furent surprises en
apprenant ce qui suit) en déclarant au début de la conversation : " Bien
entendu, ma sœur, la première et la principale requête de Notre Dame de
Fatima est la récitation du Rosaire, mais que faut-il faire d’autre pour obtenir
la conversion de la Russie ? " Elle répondit aussitôt : " Le Rosaire n’est pas la
requête la plus importante."
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« Et elle se mit à expliquer que la principale demande de Notre
Dame de Fatima fut transmise aux enfants dans la toute première
question qu’elle leur posa [le 13 mai 1917] : "Seriez-vous disposés à
accepter tout ce que le Bon Dieu vous enverra, à l’offrir pour la conversion
des pécheurs, en réparation des offenses commises contre le Cœur
Immaculé de Marie ?"
« A maintes reprises, pendant les précieuses heures que je passai en sa
compagnie, elle insista sur l’accomplissement du devoir quotidien, selon
notre condition de vie, et la sanctification de cet effort en réparation de nos
péchés et pour la conversion des pécheurs. Ceci est la condition fondamentale
qui nous permettra de repousser le flot des forces du mal qui menace de
submerger le monde d’aujourd’hui et qui nous apportera comme satisfaction
la conversion de la Russie et un temps de paix « pour l’humanité ».
« Mais elle expliqua aussi combien le Rosaire est important, parce
que c’est un des principaux moyens qui nous sont donnés par Notre Dame
pour la sanctification de notre devoir quotidien. »
Ces propos de Sœur Lucie datent de 1946, cinq ans après un très
important message du Ciel que la voyante avait reçu, le 12 juin 1941, tout
spécialement pour aider l’Eglise d’Espagne à entreprendre une profonde
réforme spirituelle destinée à favoriser le salut des âmes dans ce pays. Or,
dans ce message, Notre Seigneur exigeait de chaque catholique
l’accomplissement exact de son devoir d’état, comme l’indiquait Sœur Lucie
dans la lettre qu’elle adressait, le 28 février 1943, à Mgr Garcia y Garcia,
archevêque de Valladolid, pour lui transmettre ce message de la part du Bon
Dieu :
« […] Le bon Dieu va se laisser apaiser, mais il se plaint amèrement et
douloureusement du nombre très limité d’âmes en état de grâce, disposées à se
renoncer selon ce que l’observance de sa loi exige d’elles.
« Voici la pénitence que le bon Dieu demande aujourd’hui : c’est le
sacrifice que chacun doit s’imposer à soi-même pour mener une vie de
justice dans l’observance de sa loi. Et il désire que l’on fasse connaître
clairement cette voie aux âmes, car beaucoup donnent au mot « pénitence » le
sens de grandes austérités, et comme elles ne se sentent ni forces, ni
générosité pour cela, elles se découragent et se laissent aller à une vie de
tiédeur et de péché.
« Du jeudi au vendredi, me trouvant dans la chapelle avec la
permission de mes supérieures, à minuit, Notre Seigneur me dit : « Le
sacrifice qu’exige de chacun l’accomplissement de son propre devoir et
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l’observance de ma loi, voilà la pénitence que je demande et que j’exige
maintenant ».
Dans une autre lettre du 04 mai 1943 à son ancien confesseur jésuite,
le Père Gonçalves, parti rejoindre une mission en Zambézie, Sœur Lucie
parlait aussi de ce message de 1941, et écrivait : « Dieu désire que l’on fasse
comprendre aux âmes que la véritable pénitence qu’il veut et exige
maintenant consiste avant tout dans le sacrifice que chacun doit
s’imposer pour accomplir ses propres devoirs religieux et matériels. »
Il est très probable que ce nouveau message du Ciel, de juin 1941,
permit à Sœur Lucie de comprendre plus en profondeur les grands messages
de l’Ange et de Notre Dame qu’elle avait reçus entre 1916 et 1929, et que
c’est cette compréhension plus limpide et plus entière qui la conduisit à penser
ce qu’elle affirma avec tant de clarté et de force à M. John Haffert, en 1946.
Que ces considérations de Sœur Lucie vous aident tous et chacun,
chers Croisés, à méditer votre chapelet quotidien (ou, pour ceux qui le
peuvent, votre rosaire quotidien) dans l’esprit indiqué par la voyante, en
demandant donc à la très Sainte Vierge, dans cette méditation quotidienne, un
zèle ardent et persévérant et une force toute surnaturelle pour
l’accomplissement du devoir d’état de la manière la plus sainte possible,
particulièrement tout au long du « mois du Saint Rosaire ». C’est la grâce que
je souhaite de tout cœur à chacun d’entre vous, et je la demanderai pour vous
tous au Cœur douloureux et immaculé de Marie !
Abbé Fabrice Delestre
« NOTRE-DAME DE GRÂCE ET DE BETHLÉEM DE
MAILLANE. »
MAILLANE, petit village de Provence, dans l’arrondissement d’Arles, à une
dizaine de kilomètres de Tarascon, naquit Frédéric Mistral est bien connu
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des sudistes français mais moins bien par des nordistes. Il fut l’objet d’un
miracle qui a marqué les esprits.
Dans une brochure* parue en 1994, dont l’intitulé est le titre de cet article,
Mme Jacques Dulac et Mademoiselle Jeanne Dulac, après des recherches
minutieuses, ont écrit l’histoire de ce miracle en y associant des significations
intéressantes.
Il ne s’agit ici, que d’en présenter seulement des éléments essentiels, afin
d’inciter nos lecteurs à lire cette brochure et d’en apprécier tous les détails.
Il convient de noter dès maintenant, que la Sainte Vierge, une fois de plus, a
bien choisi son moment pour intervenir.
En 1854, l’Europe fut touchée par une épidémie de choléra. La Provence ne
fut pas épargnée et donc le village de Maillane.
Dès l’apparition de cette épidémie, une partie importante des quinze cents
âmes de ce village était partie.
Les premiers cas commencèrent le 13 août. Entre cette date et le 28 août il y
eu cinquante victimes, et à cette dernière date trente personnes étaient
malades et huit à l’agonie.
C’est alors que des paroissiens organisent une procession en l’honneur de
Notre- Dame de Grâce, et y entraînent le clergé pour en prendre la tête sans en
avoir l’autorisation de l’Evêque. Pour ce faire ils remettent à l’honneur la
petite statue délaissée de Notre-Dame de Grâce, qui n’était plus dans l’église
paroissiale de Maillane, mais à l’école dirigée par des Sœurs. Cette statue,
dans le passé, avait déjà été vénérée lors de périodes de malheur.
En cette présente circonstance, pour la procession, la statue fut habillée avec
ses vêtements de deuil.
La procession se déroula aux chants du Miserere, du Sub Tuum proesdium et
du Magnificat, après une oraison du Curé de la paroisse. Les cloches de
l’église sonnèrent à toute volée pendant le temps de la procession.
Puis la procession rentra dans l’église il fut décidé de pratiquer une
neuvaine à partir de ce 28 août pour demander la fin de l’épidémie.
Mais, « pendant ce temps, les malades et les mourants se sentaient revenir à
la vie, comme ils l’ont raconté eux-mêmes.
A partir de cette procession, les trente-huit malades guérirent et, de ce jour,
il n’y eut plus aucun cas de choléra, tandis que les habitants exilés
regagnaient peu à peu le village ».
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Par la suite le village ne connut plus jamais d’épidémie du choléra, même en
1884, alors qu’aux alentours d’autres villages étaient touchés.
Tel fut le Miracle de N.D de Grâce et de Bethléem de Maillane. Ce fut bien un
miracle reconnu par tous les témoins touchés par la maladie ou non. De plus
ce fut l’arrêt soudain d’un mal qui atteignait son extrême. Même la préfecture
du département signala « l’arrêt brutal » de la maladie à Maillane alors
qu’elle continuait dans les communes avoisinantes. Cet arrêt de la maladie a
bien été consécutif à la procession de la statue sans autre manifestation
particulière de la Sainte Vierge. Cette statue délaissée attirait d’un seul coup
l’attention et depuis elle devenue un objet miraculeux.
Aussi, depuis le 28 août 1854, à Maillane cette journée est celle de la
commémoration du miracle avec procession, Salut du Très Saint Sacrement
et veillée de prière.
Cette journée est précédée d’un Triduum les 25, 26, et 27 août, avec
prédication sur la Sainte Vierge.
Le 29 août est la journée de la Reconnaissance chacun peut porter la
statue le temps d’un « je Vous Salut Marie », puis du Salut du Saint
Sacrement.
Ensuite, du 30 août au 5 septembre, neuvaine, avec récitation du
chapelet et lecture du récit du miracle.
Il convient de noter que le pape Pie IX accorda, le 12 avril 1859, une
indulgence plénière pour les pèlerins effectuant ce pèlerinage et remplissant
les conditions nécessaires.
Un fait remarquable est à signaler, à savoir que la même année de ce miracle,
le 6 décembre 1854, ce fut la promulgation du dogme de l’Immaculée
Conception. La Sainte Vierge n’était plus mise à l’honneur seulement
dans l’église d’un village de Provence mais dans l’Eglise entière.
Une question se pose naturellement : comment ce présentait cette statue
miraculeuse ?
Sans dévoiler toutes les richesses de l’étude faite, par les auteurs de la
brochure, tant du point de vue historique, artistique, mystique et symbolique
essayons de savoir l’origine de son double vocable de Notre Dame de Grâce
et de Bethléem ? Il semblerait qu’originellement, le vocable de cette statue
aurait été Notre Dame de Bethléem mais sans savoir pourquoi et d’où elle
vient. Une corrélation pourrait être faite avec la période des croisades. Quand
au vocable de Notre Dame de Grâce, pas de légende ni d’histoire locale. Cette
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dénomination serait donc due à ce que gageait cette statue par rapport à ce
que nous connaissons de la Sainte Vierge.
L’histoire de cette statue révèle qu’elle a été appelée tantôt d’un vocable tantôt
de l’autre.
Cette statue en bois redoré, de hauteur 46cm, serait d’époque romane (XIII
ième siècle), de position assise, la Sainte Vierge tenant l’enfant debout, celui-
ci tenant une mappemonde dans sa main gauche. Elle a la particularité d’avoir
été mutilée des bras droits de la Mère et de l’Enfant Jésus (cela pourrait
expliquer son délaissement temporaire, pour raison esthétique). L’enfant
regarde la terre, la Vierge porte la couronne royale de France surmontée d’un
fleur de lys, l’enfant est aussi couronné ce qui serait rare dans les statues
romanes.
Il s’en suit une étude très intéressante sur le symbolisme de cette statue.
En ce qui nous concerne suivons l’exemple de foi de ces Maillanais et, en
cette période de difficultés en tous genres, dans notre société, implorons la
Sainte Vierge de venir à notre secours. Invoquons Notre Dame de Fatima
afin qu’elle intercède pour nous accorder les grâces dont nous avons
besoin, afin de nous sanctifier et d’être digne d’aller « La voir un jour ».
* :Brochure éditée par l’association G.A.S.P.A.R. de Maillane.
Rolland Droux
MÉDITATIONS DES MYSTÈRES DU ROSAIRE
Textes de SAINT BERNARD (1090-1153)
Cinquième Mystère joyeux.
JÉSUS AU MILIEU DES DOCTEURS.
Chercher la science et la sagesse.
«Au bout de trois jours, ses parents trouvèrent Jésus au Temple, assis au milieu
des docteurs, les écoutant et les interrogeant, et tous ceux qui l’entendaient
étaient stupéfaits de son intelligence et de ses réponses. »
(Luc.2, 46-47)
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Jésus avait déjà grandi en âge, en sagesse et en grâce devant Dieu et devant les
hommes, il avait atteint l’âge de douze ans lorsqu’ étant demeuré à Jérusalem,
il fut retrouvé par Marie, et Joseph, au milieu des docteurs, les écoutant et les
interrogeant. (Circoncision.3, 7)
Que fit le verbe ? Il partit avec ses parents et il leur était soumis…Qui est-ce
qui maintenant, ne rougira pas d’être obstinément attaché à ses idées
personnelles, en voyant que la Sagesse même renonce aux siennes et y renonce
si bien que Jésus ne commença son œuvre que lorsqu’il eut atteint l’âge de
trente ans. (Pâques.3, 4)
L’apôtre dit : « …je demande à chacun d’entre vous de ne pas se vouloir plus
sage qu’il n’est nécessaire, mais de l’être avec modération » (Romains
12,3)…Qu’est-ce donc qu’être sage avec modération ? C’est chercher avec
la plus grande attention quelle science il importe d’acquérir de préférence car
la vie est brève. En elle-même toute science est bonne pourvu qu’elle se
subordonne à la Vérité.
(Sermon sur les Cantiques des Cantiques 36,2)
« Et il leur était soumis… ». Dieu obéit aux hommes, Verbe et Sagesse,
à un artisan et à une femme …Dieu est Sagesse, il demande à être aimé d’un
amour non seulement tendre mais sage,…car si tu négliges la science l’esprit
d’erreur se jouera de toi.
(Sermon sur les Cantiques des Cantiques19, 7)
Il en est qui veulent savoir pour édifier : c’est la charité. Il en est d’autres qui
veulent savoir pour être édifiés : c’est la sagesse. Bonne est l’intelligence pour
ceux qui la font passer dans leur vie car il s’agit que notre savoir, à partir du
bien qu’il connaît, se transforme lui-même en bien dans une vie et un
comportement qui porteront témoignage de cette transformation
(Sermon sur les Cantiques des Cantiques 36,3-4)
Dès que survient la Sagesse, les sensations charnelles s’affadissent,
l’intelligence se purifie, le palais du cœur se guérit : il redevient apte à
percevoir la saveur du bien…
Lorsque la lumière de la sagesse a pénétré à flots le plus profond du ur, il
faut qu’elle paraisse comme une lumière brillant dans les ténèbres et qui ne
saurait rester cachée. Elle fait donc irruption et ses rayons, perçant leur
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enveloppe, sont reçus par le corps, image de l’âme, ils se pandent dans les
membres et dans tous les sens.
(Sermon sur les Cantiques des Cantiques 85,9 et 11)
C‘EST LA TRÈS SAINTE VIERGE MARIE QUI INSPIRE NOS
GÉNÉREUX DONATEURS QUAND NOS CAISSES SONT VIDES
VOTRE GÉNÉROSITÉ EST NOTRE SEULE RESSOURCE.
DE TOUT CŒUR, MERCI A NOS DONATEURS
CHÈQUES : à l’ordre de « Croisade du Rosaire »
INTENTIONS DE PRIÈRE
« Si nous sommes embarrassés pour choisir une intention de prière au début
d’un chapelet ou d’une dizaine, souvenons-nous que Dieu a façonné le cœur
de Marie à son image ; il est d’une dimension universelle et personnelle.
Marie s’occupe de tous comme si elle n’avait à s’occuper que d’un seul.
Elle supplée à nos oublis, Elle démêle nos intentions mal définies.
« Prier aux intentions de Marie, en réparation des péchés par lesquels
Dieu est offensé et en supplication pour la conversion des pécheurs »
(Révérend Père Jean Reynaud, fondateur de la Croisade du Rosaire)
Honoraires des messes, une messe : 17 €, neuvaine : 170€, trentain : 680 €
(En ce qui concerne les demandes de messes : afin de faciliter un retour
d’information bien préciser l’adresse, si possible e-mail, ou le téléphone.
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INTENTIONS GÉNÉRALES DE PRIÉRE
Tous les vendredis : Pour la conversion des Musulmans.
Octobre 2012
La conversion des Musulmans.
Novembre 2012
Les Croisés défunts et les âmes du Purgatoire.
Décembre 2012
En réparation des blasphèmes et offenses contre l’lmmaculée Conception.
POUR LES CROISÉS DÉCÉDÉS
Monsieur l’Abbé LAUZIN 32020 Auch
Madame Cécile MEMHELD 77820 Le Châtelet en Brie
Monsieur Guy Le GOUGE 56320 Le Faouët
Mettons en œuvre la Communion des Saints par la prière, pour
demander à la Très Sainte Vierge son secours dans les épreuves.
Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous.
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
INTENTIONS DE PRIÈRE PARTICULIERES DES CROISES
-Pour une rosariste, jeune maman de 5 enfants, atteinte d’une
tumeur au cerveau..
-Pour un paroissien gravement malade.
-Pour la conversion d’un père de famille catholique, subissant une
mauvaise influence extra familiale.
-Pour une maman et son fils handicapé, maltraités par son fils aîné.
Elle a dû quitter sa maison et est obligée de payer 2 loyers car son
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