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Les troubles oculaires ‐ Partie 2 Les maladies des paupières et des conjonctives (= les « annexes » de l’œil)
Les maladies des paupières
Blépharites
Les paupières sont constituées de tissu cutané, de la même nature que tout le reste de la peau du corps. Elles peuvent donc être l'objet d'infection par des bactéries, des
parasites, des champignons. Lorsqu'elles sont enflammées on parle de blépharite : les paupières sont alors rouges et gonflées, douloureuses et présentent un aspect anormal. Des
phénomènes allergiques (prédisposition individuelle, allergie à des médicaments ou allergie alimentaire) et certaines maladies auto‐immunes se manifestent par des blépharites.
Ces blépharites, dont le point de départ n'est pas l'œil, peuvent se compliquer de lésions sur l'œil à cause des mouvements de grattage de l'animal (soit l’animal se frotte le côté de
la tête sur des objets soit il passe sa patte sur ses paupières)
Le traitement dépend de la cause de la maladie ; il peut être local ou général.
Entropion/ectropion
La conformation et la position des paupières sur l'œil sont très importantes : toute anomalie entraîne un frottement des structures des paupières (peau, cils, poils) sur la cornée ou
à l'inverse une exposition importante de la cornée à l’air et à la dessiccation.
L’entropion est le fait que la paupière s’enroule vers l'intérieur de l'œil : les cils et/ou les poils viennent alors irriter les conjonctives et la cornée. Dans les cas graves, l’entropion
peut provoquer un ulcère de la cornée.
L’ectropion est le phénomène inverse : la paupière roule vers l'extérieur ou descend trop bas sur l'œil, exposant la cornée et la conjonctive davantage à l'air et ne permettant pas
un travail correct de la paupière de nettoyage de l’œil.
Entropion et ectropion (images Rhone Mérieux)
Ces anomalies sont le plus souvent congénitales. Elles peuvent être également secondaires à des blessures de la paupière. Chez l'animal vieillissant, les fibres de collagène se
ramollissent et favorisent l'apparition d’entropion.
Dans tous les cas, un traitement chirurgical s’impose.
Masses sur les paupières
Sur le bord de la paupière ou sur sa face interne, peuvent se développer de petits nodules, de nature différente. Le chalazion est une petite tuméfaction non douloureuse,
fréquente chez le chien adulte mais inconnue chez le chat, qui correspond à une inflammation d'une petite glande lacrymale. Le traitement est chirurgical.
L’orgelet est une tuméfaction des glandes ciliaires, douloureuse, relativement rare, plus fréquente chez le jeune chien et qui nécessite un traitement médical.
Des papillomes, tumeurs bénignes des petites glandes lacrymales du bord des paupières, apparaissent chez le chien vieillissant. Leur exérèse est nécessaire lorsqu’ils irritent la
cornée.
Enfin, les paupières peuvent être le siège d'apparition de tumeurs cutanées envahissantes demandant une chirurgie.
Malposition de cils
Les cils qui ne sont pas correctement implantés sur la paupière irritent la cornée et la conjonctive et entraînent un œil rouge et un larmoiement (aussi appelé épiphora). Ces cils
sont parfois implantés sur le bord inférieur de la paupière, côté cornée ou complètement sur la conjonctive.
Seules l'identification et l'épilation de ces cils permettent de résoudre le problème. Chez les chiens coopératifs, les propriétaires peuvent apprendre à épiler. Dans les cas plus
compliqués, il faut réaliser une ablation chirurgicale des cils ectopiques pour empêcher leur repousse.
Luxation de la glande nictitante (ou glande de Harder)
La glande nictitante est une des glandes lacrymales qui se trouve sous la troisième paupière, dans le cantus interne (coin de l’œil vers le nez).
La luxation de la glande se manifeste par une modification brutale de l'aspect de l'œil et la présence d'une masse charnue et rosée dans son angle interne. La glande sort de son
emplacement normal et entraîne avec elle une éversion de la troisième paupière qui se trouve retournée. Cette anomalie apparaît généralement chez le chiot de 3 à 12 mois, elle
n'est pas douloureuse. Si vous tardez à consulter, des infections secondaires feront apparaître des sécrétions mucopurulentes.
Il existe de très nombreuses races prédisposées : Mâtin de Naples, Cocker, Lhassa Apso, Shi Tsu, Pékinois, Bouledogue notamment.
Cette affection nécessite un traitement chirurgical, toutefois, il existe des risques de récidive. Il consiste à replacer la glande lacrymale au fond du cul‐de‐sac conjonctival pour
que la troisième paupière retrouve sa forme et sa place.
> Il n'est pas rare qu'un chiot ayant eu une luxation de la glande nictitante sur un œil présente la même chose quelque temps plus tard sur l'autre œil.
Procidence de la troisième paupière
La procidence de la troisième paupière est le fait que celle‐ci remonte sur l'œil en permanence.
Chez le chat, la procidence bilatérale des troisièmes paupières n'est parfois pas une affection oculaire mais peut être le signe d'un inconfort ou d'une douleur gastro‐intestinale. Il
faut penser en premier lieu à vermifuger son animal.
En revanche, une procidence unilatérale, chez le chat ou le chien, est évocateur d'un trouble ophtalmologique.
La troisième paupière réagit comme une conjonctive aux bactéries, virus, corps étranger, allergies... Elle peut être également le siège de tumeur ou d’abcès.
Les maladies de la conjonctive
La conjonctive est une muqueuse fine qui tapisse l'intérieur des paupières et la partie exposée du globe, jusqu'à la cornée. Les anomalies de la conjonctive sont le reflet d'une
atteinte de celle‐ci ou d'une maladie plus profonde de l'œil.
> Un œil rouge ne signifie pas uniquement une atteinte de la conjonctive.
Une conjonctivite se manifeste par une modification de la couleur de la conjonctive prenant une teinte rouge. Elle peut être associée à un œdème, aussi appelé chémosis et un
larmoiement (=épiphora). Certaines affections sont accompagnées de démangeaisons.
Une conjonctivite peut être d'origine virale, bactérienne, allergique ou toxique. Chez le chat, un coryza peut débuter par une conjonctivite. La présence de corps étrangers
(poussières, grains de sable, corps étranger végétal, fumée, vent, pollution générale de l'air) irrite la conjonctive. Dans certains cas, elle est la conséquence d'une autre affection :
maladie des paupières, atteinte de la cornée ou d’une autre partie de l’œil ou maladie générale.
> Ne laissez pas votre chien à la fenêtre de votre voiture : même s'il aime avoir les oreilles qui battent au vent, c'est très mauvais pour ses yeux.
L'examen minutieux de l'œil permet d'identifier la cause de la conjonctive et d'éliminer les autres causes de rougeur de l'œil. Le traitement inclut le retrait des corps étrangers si
besoin et l'application de pommade ou de collyre ophtalmologique.
> N'appliquez jamais de collyre sur l'œil de votre animal sans avoir consulté votre vétérinaire . Vous pouvez en revanche utiliser du sérum physiologique ou des lotions
d’hygiène oculaire : vous enlevez ainsi les micro‐poussières et réhydratez l'œil.
Maladies du système lacrymal
Le système lacrymal est constitué des glandes qui fabriquent le film lacrymal et des voies d'évacuation depuis l'angle interne de l'œil vers les narines. Chaque glande lacrymale
(glande de la 3ème paupière, glande du cantus externe et de glandes ? le long du bord des paupières) sécrète une partie bien précise du film lacrymal qui est constitué d'une
couche lipidique, d'une couche aqueuse et d'une couche muqueuse.
La kératoconjonctivite sèche
Il s'agit d'une maladie secondaire à un défaut de sécrétion des larmes qui se manifeste par un œil sale et rouge. Progressivement, la cornée se teinte de marron puis s'ulcère.
Cette maladie est le plus souvent l'expression d'une affection auto‐immune de la glande lacrymale. Elle est congénitale dans certaines races pour lesquelles la glande lacrymale n'est
pas correctement développée : Cavalier King Charles, Jack Russel. Sinon, une lésion traumatique des glandes lacrymales ou une maladie générale comme l'hypothyroïdie,
l’hypercorticisme ou le diabète sucré sont des facteurs d'apparition d'une kératoconjonctivite sèche.
Le pronostic de ces affections est souvent réservé et le traitement est généralement poursuivi à vie. Certains cas très particuliers peuvent être gérés chirurgicalement.
Imperforation du point lacrymal inférieur
La présence d'un écoulement oculaire excessif, clair, sans aucun autre inconfort est le reflet d'un défaut d'évacuation des larmes. Il est souvent congénital bien que les troubles
apparaissent à partir de l'âge de 3 à 4 mois.
Chez l'animal adulte, des maladies très inflammatoires de l'œil (conjonctivite grave, abcès par exemple) peuvent obstruer le point lacrymal.
Le diagnostic est établi en déposant une goutte de fluorescéine dans l'œil : dans les conditions normales, une coloration verte arrive au bout de quelques instants sur la truffe du
chien (ou du chat).
Si l'écoulement est minime et n'entraîne pas de dermatite au coin de l'œil, il suffit de nettoyer régulièrement les sécrétions et d'assécher la lésion. Une solution oculaire
antiseptique spécifiquement conçue pour l'usage vétérinaire est utilisée.
La correction chirurgicale d'une imperforation des points lacrymaux est proposée dans les cas compliqués. Le pronostic de l'intervention est à moduler en fonction de la
morphologie globale de l'œil et des écoulements persistent par exemple chez le caniche dont l'angle interne est très pileux.
Les troubles oculaires - Partie 2

Les troubles oculaires ‐ Partie 2 Les maladies des paupières et des conjonctives (= les « annexes » de l’œil)
Les maladies des paupières
Blépharites
Les paupières sont constituées de tissu cutané, de la même nature que tout le reste de la peau du corps. Elles peuvent donc être l'objet d'infection par des bactéries, des
parasites, des champignons. Lorsqu'elles sont enflammées on parle de blépharite : les paupières sont alors rouges et gonflées, douloureuses et présentent un aspect anormal. Des
phénomènes allergiques (prédisposition individuelle, allergie à des médicaments ou allergie alimentaire) et certaines maladies auto‐immunes se manifestent par des blépharites.
Ces blépharites, dont le point de départ n'est pas l'œil, peuvent se compliquer de lésions sur l'œil à cause des mouvements de grattage de l'animal (soit l’animal se frotte le côté de
la tête sur des objets soit il passe sa patte sur ses paupières)
Le traitement dépend de la cause de la maladie ; il peut être local ou général.
Entropion/ectropion
La conformation et la position des paupières sur l'œil sont très importantes : toute anomalie entraîne un frottement des structures des paupières (peau, cils, poils) sur la cornée ou
à l'inverse une exposition importante de la cornée à l’air et à la dessiccation.
L’entropion est le fait que la paupière s’enroule vers l'intérieur de l'œil : les cils et/ou les poils viennent alors irriter les conjonctives et la cornée. Dans les cas graves, l’entropion
peut provoquer un ulcère de la cornée.
L’ectropion est le phénomène inverse : la paupière roule vers l'extérieur ou descend trop bas sur l'œil, exposant la cornée et la conjonctive davantage à l'air et ne permettant pas
un travail correct de la paupière de nettoyage de l’œil.
Entropion et ectropion (images Rhone Mérieux)
Ces anomalies sont le plus souvent congénitales. Elles peuvent être également secondaires à des blessures de la paupière. Chez l'animal vieillissant, les fibres de collagène se
ramollissent et favorisent l'apparition d’entropion.
Dans tous les cas, un traitement chirurgical s’impose.
Masses sur les paupières
Sur le bord de la paupière ou sur sa face interne, peuvent se développer de petits nodules, de nature différente. Le chalazion est une petite tuméfaction non douloureuse,
fréquente chez le chien adulte mais inconnue chez le chat, qui correspond à une inflammation d'une petite glande lacrymale. Le traitement est chirurgical.
L’orgelet est une tuméfaction des glandes ciliaires, douloureuse, relativement rare, plus fréquente chez le jeune chien et qui nécessite un traitement médical.
Des papillomes, tumeurs bénignes des petites glandes lacrymales du bord des paupières, apparaissent chez le chien vieillissant. Leur exérèse est nécessaire lorsqu’ils irritent la
cornée.
Enfin, les paupières peuvent être le siège d'apparition de tumeurs cutanées envahissantes demandant une chirurgie.
Malposition de cils
Les cils qui ne sont pas correctement implantés sur la paupière irritent la cornée et la conjonctive et entraînent un œil rouge et un larmoiement (aussi appelé épiphora). Ces cils
sont parfois implantés sur le bord inférieur de la paupière, côté cornée ou complètement sur la conjonctive.
Seules l'identification et l'épilation de ces cils permettent de résoudre le problème. Chez les chiens coopératifs, les propriétaires peuvent apprendre à épiler. Dans les cas plus
compliqués, il faut réaliser une ablation chirurgicale des cils ectopiques pour empêcher leur repousse.
Luxation de la glande nictitante (ou glande de Harder)
La glande nictitante est une des glandes lacrymales qui se trouve sous la troisième paupière, dans le cantus interne (coin de l’œil vers le nez).
La luxation de la glande se manifeste par une modification brutale de l'aspect de l'œil et la présence d'une masse charnue et rosée dans son angle interne. La glande sort de son
emplacement normal et entraîne avec elle une éversion de la troisième paupière qui se trouve retournée. Cette anomalie apparaît généralement chez le chiot de 3 à 12 mois, elle
n'est pas douloureuse. Si vous tardez à consulter, des infections secondaires feront apparaître des sécrétions mucopurulentes.
Il existe de très nombreuses races prédisposées : Mâtin de Naples, Cocker, Lhassa Apso, Shi Tsu, Pékinois, Bouledogue notamment.
Cette affection nécessite un traitement chirurgical, toutefois, il existe des risques de récidive. Il consiste à replacer la glande lacrymale au fond du cul‐de‐sac conjonctival pour
que la troisième paupière retrouve sa forme et sa place.
> Il n'est pas rare qu'un chiot ayant eu une luxation de la glande nictitante sur un œil présente la même chose quelque temps plus tard sur l'autre œil.
Procidence de la troisième paupière
La procidence de la troisième paupière est le fait que celle‐ci remonte sur l'œil en permanence.
Chez le chat, la procidence bilatérale des troisièmes paupières n'est parfois pas une affection oculaire mais peut être le signe d'un inconfort ou d'une douleur gastro‐intestinale. Il
faut penser en premier lieu à vermifuger son animal.
En revanche, une procidence unilatérale, chez le chat ou le chien, est évocateur d'un trouble ophtalmologique.
La troisième paupière réagit comme une conjonctive aux bactéries, virus, corps étranger, allergies... Elle peut être également le siège de tumeur ou d’abcès.
Les maladies de la conjonctive
La conjonctive est une muqueuse fine qui tapisse l'intérieur des paupières et la partie exposée du globe, jusqu'à la cornée. Les anomalies de la conjonctive sont le reflet d'une
atteinte de celle‐ci ou d'une maladie plus profonde de l'œil.
> Un œil rouge ne signifie pas uniquement une atteinte de la conjonctive.
Une conjonctivite se manifeste par une modification de la couleur de la conjonctive prenant une teinte rouge. Elle peut être associée à un œdème, aussi appelé chémosis et un
larmoiement (=épiphora). Certaines affections sont accompagnées de démangeaisons.
Une conjonctivite peut être d'origine virale, bactérienne, allergique ou toxique. Chez le chat, un coryza peut débuter par une conjonctivite. La présence de corps étrangers
(poussières, grains de sable, corps étranger végétal, fumée, vent, pollution générale de l'air) irrite la conjonctive. Dans certains cas, elle est la conséquence d'une autre affection :
maladie des paupières, atteinte de la cornée ou d’une autre partie de l’œil ou maladie générale.
> Ne laissez pas votre chien à la fenêtre de votre voiture : même s'il aime avoir les oreilles qui battent au vent, c'est très mauvais pour ses yeux.
L'examen minutieux de l'œil permet d'identifier la cause de la conjonctive et d'éliminer les autres causes de rougeur de l'œil. Le traitement inclut le retrait des corps étrangers si
besoin et l'application de pommade ou de collyre ophtalmologique.
> N'appliquez jamais de collyre sur l'œil de votre animal sans avoir consulté votre vétérinaire . Vous pouvez en revanche utiliser du sérum physiologique ou des lotions
d’hygiène oculaire : vous enlevez ainsi les micro‐poussières et réhydratez l'œil.
Maladies du système lacrymal
Le système lacrymal est constitué des glandes qui fabriquent le film lacrymal et des voies d'évacuation depuis l'angle interne de l'œil vers les narines. Chaque glande lacrymale
(glande de la 3ème paupière, glande du cantus externe et de glandes ? le long du bord des paupières) sécrète une partie bien précise du film lacrymal qui est constitué d'une
couche lipidique, d'une couche aqueuse et d'une couche muqueuse.
La kératoconjonctivite sèche
Il s'agit d'une maladie secondaire à un défaut de sécrétion des larmes qui se manifeste par un œil sale et rouge. Progressivement, la cornée se teinte de marron puis s'ulcère.
Cette maladie est le plus souvent l'expression d'une affection auto‐immune de la glande lacrymale. Elle est congénitale dans certaines races pour lesquelles la glande lacrymale n'est
pas correctement développée : Cavalier King Charles, Jack Russel. Sinon, une lésion traumatique des glandes lacrymales ou une maladie générale comme l'hypothyroïdie,
l’hypercorticisme ou le diabète sucré sont des facteurs d'apparition d'une kératoconjonctivite sèche.
Le pronostic de ces affections est souvent réservé et le traitement est généralement poursuivi à vie. Certains cas très particuliers peuvent être gérés chirurgicalement.
Imperforation du point lacrymal inférieur
La présence d'un écoulement oculaire excessif, clair, sans aucun autre inconfort est le reflet d'un défaut d'évacuation des larmes. Il est souvent congénital bien que les troubles
apparaissent à partir de l'âge de 3 à 4 mois.
Chez l'animal adulte, des maladies très inflammatoires de l'œil (conjonctivite grave, abcès par exemple) peuvent obstruer le point lacrymal.
Le diagnostic est établi en déposant une goutte de fluorescéine dans l'œil : dans les conditions normales, une coloration verte arrive au bout de quelques instants sur la truffe du
chien (ou du chat).
Si l'écoulement est minime et n'entraîne pas de dermatite au coin de l'œil, il suffit de nettoyer régulièrement les sécrétions et d'assécher la lésion. Une solution oculaire
antiseptique spécifiquement conçue pour l'usage vétérinaire est utilisée.
La correction chirurgicale d'une imperforation des points lacrymaux est proposée dans les cas compliqués. Le pronostic de l'intervention est à moduler en fonction de la
morphologie globale de l'œil et des écoulements persistent par exemple chez le caniche dont l'angle interne est très pileux.
Les troubles oculaires - Partie 2