Le cerveau

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Sète Lamalou Agde
Le cerveau
Introduction
(système nerveux,encéphale, moelle épinière, nerfs moteurs et sensoriels, neurone)
A: LE CERVEAU DANS LE MONDE ANIMAL
A1 les invertébrés
A2 les vertébrés
B: HISTORIQUE DE L'OBSERVATION DU CERVEAU
B1: dissection...coupes...méninges... De Broca
B2: observations microscopiques
B3: EEG
B4: imagerie médicale
C: LES TROIS CERVEAUX D' HOMO SAPIENS
C1 : le cerveau reptilien
C2: le cerveau limbique
C3: le néocortex
D: LES AIRES CORTICALES
D1: les aires sensorielles
D2: les aires motrices
D3: les inter-connections
E:LE NEURONE
E1: Structure
E2: Notion de message nerveux
E3: Les deux sortes de synapses
E4: Notion de circuit neuronal
E5: Notion de plasticité cérébrale
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introduction
Nerfs crâniens : 12 paires
Nerfs rachidiens : 31 paires
* le crural
* le sciatique
5 plexus:
cervical,brachial,lombaire,sacré
et coccygien
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Émetteur
Conducteur
Récepteur
Les nerfs crâniens: communication essentielle
A: LE CERVEAU DANS LE MONDE ANIMAL
A1 les invertébrés
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La seiche
L' abeille
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A: LE CERVEAU DANS LE MONDE ANIMAL
A2 les vertébrés
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Chez les mammifères
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Évolution boite crânienne chez les Primates
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Les Méninges
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B HISTOIRE DE L'OBSERVATION DU CERVEAU
B1 dissections
L’année 1861 marque le début de l’identification de régions du cerveau impliquées dans le langage.
Cette année-là, le neurochirurgien français Paul Broca examine le cerveau d’un de ses patients qui
vient de décéder. Ce patient ne pouvait prononcer d’autres syllabes que « tan », bien qu’il comprenait
ce qu’on lui disait. Sans être atteint d’aucun trouble moteur de la langue ou de la bouche qui aurait pu
affecter son langage, ce patient ne pouvait produire aucune phrase complète ni exprimer ses idées par
écrit.
En faisant l’autopsie de son cerveau, Broca a trouvé une lésion importante dans le cortex frontal inférieur
gauche. Par la suite, Broca a étudié huit patients aux déficits semblables qui tous avaient une lésion dans
l’hémisphère frontal gauche. Cela l’amène à déclarer son célèbre « Nous parlons avec l'hémisphère
gauche » et à identifier pour la première fois l’existence d’un « centre du langage » dans la partie
postérieure du lobe frontal de cet hémisphère. En fait, l’aire de Broca fut la première région du cerveau
associée à une fonction précise, en l’occurrence le langage.
Dix ans plus tard, Carl Wernicke, un neurologue allemand, met en évidence une autre région impliquée
celle-là dans la compréhension du langage. Elle est située dans la partie postérieure du lobe temporal
gauche. Les patients qui ont une lésion à cet endroit peuvent parler, mais leur discours est souvent
incohérent et dénué de sens.
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B1 Coupes
* des replis ou circonvolutions
*une substance grise externe
* une substance blanche interne
* des cavités
Coupe longitudinale
Coupe transversale
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B2 des observations microscopiques
Substance grise : 6 couches de corps cellulaires de neurones
E= 4mm S: 20 m2
N= 5.109
100 fois plus de cellules gliales
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B2 La substance blanche: des faisceaux de fibres nerveuses
Une fibre nerveuse
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B3 : EEG Electro-encéphalographie
1924: à Iéna, Hans Berger effectue le 1er EEG, en 1938 (Gibbs) effectue le
1er EEG de crise d'épilepsie, 1940: 1ere électrode intrusive, généralisation
EEG dés 1950
conclusions:
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TEP : les diff.rents traceurs
¥ 15O Ðeau perfusion Ð d.bit sanguin
¥ 18F Ðdeoxyglucose m.tabolisme du glucose
¥ 11C Ðraclopride r.cepteurs dopaminergiques
¥ 18F Ðdopa synthマse de la dopamine
¥ 11C Ðflumazenil r.cepteurs benzodiaz.pines
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B4 imagerie médicale
1972
TPE cerveau alcoolique
Tomographie par émission de positons
1990 IRM encéphale
Imagerie par résonance magnétique
conclusions:
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IRM
fibro-myalgie
Hématome sous dural
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C LES TROIS CERVEAUX D HOMO SAPIENS
C1 : Le cerveau reptilien
Des neurones fafriquent des molécules
régulatrices des rythmes cardio-respiratoires:
Adrénaline et acétylcholine qui agissent à partir
des nerfs comme le nerf vague(-) et le nerf de
Héring(+)
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C2 le cerveau limbique
un cerveau « limbique, apparu avec les
premiers mammifères, capable de mémoriser
les comportements agréables ou désagréables,
et par conséquent responsable chez l’humain
de ce que nous appelons les émotions. Il
comprend principalement l’hippocampe,
l’amygdale et l’hypothalamus. C’est le siège
de nos jugements de valeur, souvent
inconscients, qui exercent une grande
influence sur notre comportement
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hippocampe
Toutes les informations décodées dans les différentes aires
sensorielles du cortex convergent vers l'hippocampe qui les
retourne ensuite d'où elles viennent. C'est un peu comme un
centre de tri qui comparerait ces sensations nouvelles avec
celles déjà enregistrées. L'hippocampe crée aussi des liens
entre les différentes caractéristiques d'une chose.
La répétition ou
les différents trucs qui nous permettent de retenir des faits nouveaux
correspondent donc à de multiples passages dans
l'hippocampe. Celle-ci va renforcer les liens entre ces
nouveaux éléments, si bien qu'au bout d'un certain temps, son
travail ne sera plus nécessaire : le cortex aura appris à lier luimême ces différentes caractéristiques pour en faire ce qu'on
appelle un souvenir.
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Circuit de la peur
L'amygdale
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L'amygdale
LES CENTRES DU PLAISIR
À l'arrivée d'un signal annonçant
une récompense, donc après
traitement sensoriel par le cortex,
l'activité d’une région particulière
du mésencéphale,
l'aire tegmentale ventrale (ATV),
se trouve augmentée. Celle-ci
libère alors de la dopamine dans
le noyau accumbens mais aussi
dans le septum, l'amygdale et le
cortex préfrontal.
Le noyau accumbens intervient
alors dans l'activation motrice de
l'animal et le cortex préfrontal
dans la focalisation de l'attention.
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Circuit de la RECOMPENSE
Dépendance drogues
Un neuro-transmetteur : la
dopamine
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hypothalamus
Au
cours de la pandémie de grippe espagnole qui
sévit après la première grande guerre en 1918, un
neurologue viennois, Constantin von Economo
observa que certains malades restaient dans un état de
léthargie ou de coma, tandis que d'autres ne
dormaient pas pendant plusieurs jours avant de
mourir.
L'examen post-mortem de leur cerveau permit à von
Economo de constater des lésions différentes dans les
deux cas. Les malades qui avaient été comateux
présentaient une lésion de l'hypothalamus postérieur
ou de la partie haute du mésencéphale. Von Economo
fut ainsi le premier à parler de « centre de l’éveil » pour
désigner ces deux régions du cerveau qui semblaient
essentielles à l’éveil.
Quant au cerveau des malades insomniaques, il présentait
des lésions au niveau de l'hypothalamus antérieur,
dans la région préoptique qui reçut l’appellation de «
centre du sommeil ».
Mais
avec le développement des techniques
d’imagerie cérébrale au milieu des années
1990 , on a découvert d’autres structures
cérébrales, souvent situées en profondeur sous
le cortex, dont l’activité était grandement
modifiée durant le sommeil paradoxal. Dans
certaines régions l’activité augmentait alors que
dans d’autres elle diminuait. Mais ce qui est
remarquable, c’est que cette augmentation ou
diminution d’activité était compatible avec
le genre de rêve particulier qui survient durant le
sommeil paradoxal.
On note également une forte activité dans
le système limbique, un regroupement de structures
fortement impliquées dans les émotions. Parmi cellesci, deux sont particulièrement actives :
la région de l’hippocampe et, surtout, l’amygdale. Il
est encore une fois intéressant de noter que cette forte
activité limbique ne se retrouve pas dans les phases
de sommeil lent où l’on a des rêves beaucoup moins
riches en émotions.
Ach: acétylcholine
Gaba: acide gamma butyro acétique
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Le Neo-cortex
2 hémisphères cérébraux
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D LES AIRES CORTICALES
* des stimuli
(lum, odeur,saveur,son,toucher)
D1 Les aires
sensorielles
*des récepteurs
(rétine,nez,langue,tympan,peau)
* des conducteurs
(n.opt,auditif..........)
* des effecteurs
* primaires: je reçois les stimuli
* d'association: je perçois...
tactile
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Voir DVD
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LES AIRES VISUELLES
On
a découvert dans l’aire IT des neurones qui répondent
spécifiquement à la présentation d’images de visage. Ces
enregistrements cellulaires faits chez le singe ont été corroborés
par des études d’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle
chez l’humain. Cette découverte n’est pas sans intérêt pour les
neuropsychologues qui connaissent depuis longtemps un
syndrome rare dénommé prosopagnosie où les patients ont de la
difficulté à reconnaître les visages malgré le fait que le reste de
leur vision est normale. De plus, on sait que ce syndrome apparaît
justement à la suite de lésions des aires extrastriées du cortex
visuel.
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Aire somato sensorielle (tactile) 1
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Aire somato sensorielle 2
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D2 les aires motrices
Les expériences de stimulation corticale de Penfield ont permis de dresser une
cartographie complète du cortex moteur appelée "homoncule moteur" (car il y a d'autres
homoncules, comme le sensoriel par exemple). Le détail le plus frappant de cette
cartographie est que les surfaces allouées sur le cortex ne sont pas proportionnelles à la
taille de la partie du corps correspondante, mais plutôt à la complexité des mouvements
que cette partie peut effectuer. Pour cette raison, les surfaces allouées à la main et au
visage ont une taille disproportionnée par rapport au reste du corps. Pas étonnant puisque
c'est justement la dextérité et la rapidité de mouvement des mains et de la bouche qui
confèrent à l'homme deux de ses facultés les plus spécifiques: se servir d'outils et parler.
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L’accès
D3 Les inter connections ex: le language
au sens semble fonctionner selon des catégories qui sont
localisées physiquement dans le cerveau : la catégorie « personnages
célèbres » est perdue quand le pôle temporal (l'extrémité antérieure du
lobe temporal) est touché et la catégorie « animaux » quand la lésion a
lieu dans la partie intermédiaire et inférieure du lobe temporal. Il
semble aussi que les réseaux qui participent à l’encodage des mots
fassent appel à des aires faisant partie du système moteur ou visuel.
Nommer des outils active les aires prémotrices frontales alors que
nommer des animaux recrute des aires visuelles, alors que dans les
deux cas les aires de Broca et de Wernicke ne sont même pas activées.
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Les aires corticales: Bilan
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Les gauchers
Le somnambulisme
Le bégaiement
La dyslexie
Les 2 cerveaux
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Le somnambulisme
Pathophysiologie
Le somnambulisme survient généralement durant les phases 3 et 4 du sommeil, ou sommeil profond. Cette phase correspond au premier
tiers du cycle du sommeil (pendant les deux premières heures suivant l'endormissement).
Les somnambules ont une régulation anormale des ondes courtes (observables sur un encéphalogramme). Cette régulation est liée au
système thalamo-cortical, qui engendre une paralysie musculaire naturelle durant le sommeil.
Ainsi, des séries d'événements moteurs complexes peuvent intervenir sans que le sujet soit conscient.
Le somnambulisme n'est pas dangereux en tant que tel, mais le mouvement sans connaissance consciente peut entraîner des dangers. La
raison pour laquelle il ne faut pas réveiller un somnambule est la suivante: celui ci peut avoir des gestes violents et vous frapper. De plus,
croyant à un mauvais rêve, il peut s`enfuir et trébucher et se blesser grandement.
Le somnambulisme de l'enfant
Le somnambulisme s'observe le plus souvent chez les enfants, surtout les garçons entre 7 et 12 ans. Ces accès de somnambulisme
disparaissent en général à la puberté.
Aux phases ambulatoires les plus courantes s'ajoutent parfois des phases où l'enfant urine dans un lieu innaproprié, utilise des mots
obscènes absents de son répertoire courant. La prévention de chutes dangereuses reste toutefois l'aspect le plus important du
somnambulisme infantile.
Le somnambulisme de l'adulte
Entre 10 et 20% des adultes seraient sujets au somnambulisme, avec des écarts nets dans certains pays (40% en Suède). Chez l'adulte, le
somnambulisme peut avoir des causes psychologiques (notamment en période de stress), psychiques, ou être liée à la consommation
d'alcool. Des prédispositions génétiques ont récemment été envisagées après des études menées par l'hôpital universitaire de Berne. Un
gène spécifique aux somnambules vient d’être découvert. Un chercheur a réalisé une étude portant sur 74 personnes atteintes de
somnambulisme. Il a découvert que 50% d’entre elles possédait un gène appelé HLA DQB1*05 qui fait parti des gènes impliqués dans la
régulation du système immunitaire : ces gènes permettent de faire la distinction entre les cellules de l’organisme et celles qui lui sont
étrangères. Mais il reste encore à définir la relation exacte entre le somnambulisme et ce gène. En conséquence on peut se demander si le
somnambulisme peut être une maladie auto-immune c’est-à-dire provoquée par un mauvais fonctionnement du système de protection de
l’organisme
Les symptômes du somnambulisme
Le somnambulisme simple : on distingue deux cas comportementaux. Pour le premier, l’enfant ou l’adulte s’assoit
sur son lit tout en exécutant des gestes plus ou moins adroits. De temps en temps, il peut se mettre à parler. Dans
le deuxième cas, le somnambule se lève et déambule dans l’habitation pour ensuite retourner spontanément dans
son lit. Ses yeux sont grands ouverts et son regard est inexpressif. Si on lui parle, il peut répondre, il peut même
exécuter des ordres. Mais le somnambule s’irrite très vite et devient grognon. Parfois, il peut réaliser des actes
relativement élaborés, éviter des meubles, descendre des escaliers, vider une armoire, fouiller le réfrigérateur, se
mettre à manger, faire la vaisselle, ou uriner dans un coin; voire chez les adultes, conduire un véhicule. Sauf dans
cette dernière situation, ce type de somnambulisme n’est pas dangereux et se déroule tout au plus une fois par mois
durant 10 minutes. Il tend à disparaître au bout de quelques mois ou à la puberté chez les enfants. Si le
somnambule commet des actes dangereux pour lui ou pour son entourage, nous passons au second type de
manifestation.
Le somnambulisme à risque : c’est une forme accentuée du somnambulisme simple. En effet, la durée dépasse
10 minutes, la fréquence est de 2 à 3 fois par semaine et les actes du somnambule sont dangereux. Par exemple il
peut utiliser un couteau, faire des gestes violents qui peuvent le blesser lui et son entourage ou bien, par sa
maladresse, il peut tomber (d’une mezzanine ou des escaliers). Lors de ce type de somnambulisme, les risques de
défénestrations sont courants.
Le troisième type est nommé le somnambulisme de « terreur ». Les premières crises de somnambulisme de
terreur peuvent apparaître avant 6 ans ou après 10 ans et peuvent persister après la puberté. Les crises débutent
tôt après l’endormissement. Lorsque l’on tente de calmer, retenir, réveiller ou consoler le somnambule, celui-ci peut
devenir encore plus agressif. Chez l’enfant, le risque de défenestration est deux fois plus important lors de cette
crise. Le somnambule est dans un état neurovégétatif (inconscient), il est dans un état de terreur, il court et
déambule violemment en poussant des hurlements. Sa fréquence cardiaque, sa respiration et son activité musculaire
augmentent. Son cortex cérébral* reste probablement en sommeil lent profond ce qui explique l'amnésie lors du
réveil. Ce genre de somnambulisme peut se reproduire plusieurs fois par nuits et cause des problèmes
psychologiques au somnambule.
Causes autres que génétique
- Dans un cadre comportemental:
. Le stress ou les tensions nerveuses: produites chez l’enfant par des histoires familiales ou des événements traumatisants, et chez les
adultes par la vie actives des adultes.
. Le manque de sommeil : si l’enfant comme si l’adulte, se couche tard, ses rythmes du sommeil sont bouleversés. Une privation du
sommeil peut augmenter la fréquence et la complexité du somnambulisme . En effet, il y a plus de cas de somnambulisme lors d’une nuit
de récupération que lors d’une nuit normale (sur 15 patients 100% on eu une crise lors d’une nuit de récupération contre 60% lors d’une
nuit normale).
. Les migraines (en particulier chez les femmes)
- Dans un cadre environnemental :
. une maladie : il existe un lien étroit entre la fièvre et le somnambulisme. Il a été, aussi, associé à la Maladie de Gilles de la Tourette.
Certaines formes de l’épilepsie ou d’énurésie peuvent également entraîner le somnambulisme.
. la puberté : le trouble chez l’enfant peut être lié aux facteurs de croissance comme la puberté.
- Dans un cadre toxique :
. la prise de certains médicaments de la classe des psychotropes est consommé par moins de 10% des jeunes actuels. Il y a moins de
consommation que chez les adultes. Les adultes utilisent plus de médicaments contre le stress(particulièrement le lithium), et pour dormir.
. l’alcool et les drogues.
Quels sont les traitements les plus courants ?
Certains patients souffrent de troubles psychologiques liés à leur propre perception du somnambulisme, qui reste assez peu étudié et est
mal connu du grand public. Les comportements violents peuvent également avoir un impact psychologique important notamment sur le
couple.
Une croyance populaire veut qu'il ne faut pas réveiller un somnambule. Dans les faits il n'y a aucun danger à le réveiller. Il peut seulement
être désorienté ou embarrassé. En tout cas, mieux vaut le réveiller que de lui permettre de se mettre en danger.
En tant que maladie, le somnambulisme peut être traité :
- Dans les cas simples, il faut chercher à supprimer les causes tel que le manque de sommeil, le stress et éviter les exercices violents en
soirée. Ils doivent également dormir à des heures régulières et adapter l’environnement : dormir au rez-de-chaussée ou verrouiller la porte
de sa chambre.
- Si les crises se manifestent trop souvent, les médecins peuvent prescrire des benzodiazépines, du diazepam ou du lorazepam, qui
suppriment les crises en éliminant les phases du sommeil profond. Mais l’efficacité de ces benzodiazépines se limitent au début du
traitement, il s’en suit un phénomène d’échappement.
- On peut aussi utiliser l’hypnose avec un thérapeute: les résultats semblent efficaces. Si des troubles psychologiques surviennent après les
crises, il est préférable de consulter un médecin psychiatre.
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Section du corps calleux:
Cerveau droit , cerveau gauche
Lucien Israël
chez Plon
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Cerveau gauche
Cerveau droit
La parole
Silencieux
Crée la conscience
Perception globale des choses
même à partir de fragments
Analyse
Est rapide
Il structure.....la raison
Il est musicien
Il gère la complexité
Cerveau de la synthèse
Serait un ordinateur à SON image
Car utilise les leçons des expériences de
sa vie
Perçoit la réalité et les non-dits
Identification au groupe
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E: le neurone
E1 structure de base
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Types de neurone
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E2 notion de message nerveux
La membrane des neurones, comme celle de toutes les cellules, possède de
petits trous appelés canaux. C'est par ces canaux que les molécules chargées
traversent la membrane.
Mais contrairement aux autres cellules, les canaux de la membrane des
neurones se sont spécialisés à un point tel qu'ils arrivent à coordonner le
mouvement de ces charges à travers la membrane pour produire la
conduction nerveuse.
Cette séquence d'événements de la conduction nerveuse peut être ramené
très schématiquement à trois étapes (cliquez sur chacune pour voir l'image
correspondante) :
ANIMATION
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E3 Les deux sortes de synapses
La synapse neuro-neuronique
La sérotonine contribue à diverses foncions comme
la régulation de la température, le sommeil, l'humeur,
l'appétit et la douleur. La dépression, le suicide, les
comportements impulsifs et l'agressivité
impliqueraient tous certains déséquilibres de la
sérotonine.
La
noradrénaline est un neurotransmetteur important
pour l'attention, les émotions, le sommeil, le rêve et
l'apprentissage. La noradrénaline est aussi libérée
comme une hormone dans le sang où elle contracte
les vaisseaux sanguins et augmente la fréquence
cardiaque. La noradrénaline joue un rôle dans les
troubles de l'humeur comme la maniaco-dépression.
Le glutamate est un neurotransmetteur excitateur majeur
associé à l'apprentissage et la mémoire. Il serait aussi associé
à la maladie d'Alzheimer dont les premiers symptômes se
font sentir au niveau de la mémoire
L'acétylcholine est un neurotransmetteur
excitateur très répandu qui déclenche la
contraction musculaire et stimule l'excrétion
de certaines hormones. Dans le système
nerveux central, il est entre autre impliquée
dans l'éveil, l'attention, la colère, l'agression, la
sexualité et la soif.
La maladie d'Alzheimer est associée à un
manque d'acétylcholine dans certaines régions
du cerveau.
La dopamine est un neurotransmetteur qui est
impliqué dans le contrôle du mouvement et de la
posture. Il module aussi l'humeur et joue un central
dans le renforcement positif et la dépendance.
La perte de dopamine dans certaines parties du
cerveau entraîne la rigidité musculaire typique de la
maladie de Parkinson.
Le GABA (pour acide gamma-aminobutyrique) est un
neurotransmetteur inhibiteur très répandu dans les
neurones du cortex. Il contribue au contrôle moteur, à la
vision et à plusieurs autres fonctions corticales.
Il régule aussi l'anxiété. Des drogues qui augmentent le
niveau de GABA dans le cerveau sont utilisées pour traiter
les crises d'épilepsie et pour calmer les tremblements des
gens atteints de la maladie d'Huntington.
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La synapse neuro-musculaire
anesthésiants
acétylcholine
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E4: notion de circuit neuronal
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Autre exemple:
Le réflexe myotatique
contrôle
* 1 neurone sensitif
* une synpase excitatrice
* 1 neurone moteur(motoneurone)Ex
* 1 interneurone inhibiteur
* 1 motoneurone Inh
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E5 notion de plasticité cérébrale
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Plasticité cérébrale( 2)
DVD
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En guise de conclusion
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Sens rotation heure=CD
?
En guise de conclusion
sens inverse heure= CG
?
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