ÀBÛNHESIEHT. iSausMur t On an INSERTIONS, Annonces, la ligne. ; . Réclames, — . . . Faits divers, — . . . 30 fr. Sii mois T.-oii mois .«H POLITIQUE, LITTÉRATURE , SCIENCES, INDUSTRIE '8 HÉSEHVES SONT FAITES Poste > l'nan mois Tfois mois . . . 20 c. 30 DU ILFOIT (I, REFUSER LA PULILICALTOI! 35 fr. 18 .10 DES INSCRTIOIIG REÇUES ET MÊME PAY<!EÏ 8IUL RCSLITULION DANS CE DERNIER CAS; E( DU DROIL DE MODIFIER LA RE'DACLLO»; DES AUIICD ES. On s'isEsonaie: A SAKMLLN , Chez tous les I.ibnircs: A P A R I S, A JOURNAL D'ANNONCES JUDICIAIRES ET AVIS DIVERS A Place de la Bourse, 8. Les abonfletnents de trois mois pourront Otrc payés en timbres-poste de 25 cent., envoyés dans une lettre affranchie. s'est toujours sacrifiée pour les intérêts allesiir et le plus naturel de l'Autriche, dans le mands, a cessé d'être un Etat de nationacas d'une guerre défensive contre la Prusse , lité allemande ; il 'pourrait donc être, en est encore la France. La triple alliance nous 30 Janvier 1 S T 5. réalité, d'un intérêt commun pour les deux fait négliger l'amitié de cette dernière puisempires que l'Autriche s'efforçât d'étendre sance , et qui pourrait affirmer que la triple son influence vers l'Est. Mais on est bien en alliance soit assurée dans tous les cas? Il est droit de se demander si la politique de Bisnaturel que la France cherche à consolider Bulletin politique. mark, cette politique avide de conquête, se son influence à Belgrade, mais à aucun contenterait de ce résultat purement moral. point de vue cette influence n'est une provoN'est-il pas à craindre, au contraire qu'à cation ou une menace conlre ^'Autriche. La on n'entende ce glissement do l'Autri- France ne saurait chercher en Serbie un Sous ce titre : Complications clans l'Est, Berlin, le Vaterland du 22 janvier 1875 examine, dans che vers l'Orient d'une façon tout autre que allié contre l'Autriche, mais elle peut y troune l'entend plus d'un honnête Autrichien, un remarquable article, toutes les éventuaver un confédéré contre une Allemagne quelque fortement entiché qu'il puisse être agrandie outre mesure. lités que peut faire redouter la situation dénoncée par plusieurs faits qui viennent de de l'alliance prussienne. » La véritable politique de l'Autriche conse passer en Orient : » En ce qui nous concerne, le caractère sisterait donc à tendre la main, à Belgrade, à l'influence française, et à faire cas d'un « D'un instant à l'autre, nous pouvons bien co^inu de la politique prussienne nous fait craindre que ce désir de la Prusse de allié dont le territoire est petit sans doute, apprendre la nouvelle de la chute du grand vizir, comme nous pouvons apprendre aussi voir l'Autriche déplacer son centre de gra- mais dont lesfinances sont prospères et dont vité et le reporter plus vers l'est, ne s'allie à l'état militaire n'est point trop à dédaigner. qu'un conflit sanglant vient d'éclater entre modifications territoriales certaines idées de C'est encore un allié sacrifié è la triple alles Monténégrins et les Turcs. auxquelles ne pourra jamais se prêter la liance. L'influence russe est loin d'être pré» Dans un cas comme dans l'autre, la maison impériale d'Autriche, ni dans le prépondérante à Belgrade, la politique arrosituation de la Sublime-Porte est des plus sent ni dans l'avenir. Le ministre autrichien gante de Bismark y produit une grande irridifficiles. Céder, dans une question aussi qui ne saurait prévoir ce danger, ou qui tation. Faut-il donc que l'Autriche, comme grave , c'est encourager l'audace des rajahs tout au moins n'en pressentirait pas la posmembre de la triple alliance , se mette en de la Bosnie et de l'Herzegowine, toujours sibilité, assumerait une responsabilité terridevoir de soutenir l'influence prusso-russe , mécontents, toujours prêts à la révolte. Une ble. Mais le ministre autrichien qui, en paralors que les intérêts bien entendus de sa campagne dans le Monténégro se terminefaite connaissance de cause , prêterait la politique devraient la guider dans la voie rait inévitablement par la victoire des Turcs,, main à de pareils arrangements, se ren- contraire? » mais il n'est pas douteux qu'une iiïtèîféndrait coupable de haute trahison, queltion étrangère suivrait immédiatement, et les que pussent être ses raisons déterminanviendrait annihiler les résultats de cette vic- tes. toire, Chronique générale. » Notre situation doit paraître d'autant » On comprend donc qu'en présence de plus grave, que la position prise par la Ruscelle alternative, la patience puisse échapper, même au plus pacifique des grands- sie dans la triple alliance continue d'être à La séance du 27 a été consacrée à la loi vizirs, et qu'un jour ou l'autre il pourra être tout le moins suspecte ; car à côté de cette alliance, et parallèlement, nous en voyons nouvelle sur les allumettes chimiques. Il y a tenté de jouer le tout pour le tout, et , au une autre d'une nature particulière, se des- deux ans, l'Assemblée a demandé une quinrisque d'une catastrophe, de savoir enfin à zaine de raillions à un impôt sur les alluquoi s'en tenir sur la complicité des grandes siner nettement entre la Prusse et la Russie. La note récente de Gortschakoff transmise à mettes ; mais les résultats n'ont pas été puissances dans la ruine de la Turquie. En Belgrade ne laisse aucun doute à cet égard. pour le Trésor ce qu'il pouvait espérer. La apparence, on lie peut douter qui les trois Le nouveau ministère serbe est lout simpleperception directe sur la fabrication au puissances du nord ne soient d'accord entre ment gênant pour la Prusse. Ce ministère a moyen des timbres apposés sur les boîtes elles ; on pourrait se demander toutefois produit à peine une recette de 400,000 fr. comment se comporterait cette alliance théo- manifesté des sentiments amicaux à l'égard par mois. C'est le fabricant qui gagne à ce rique inaugurée à Berlin, les hoslihlés ve- de l'Autriche, et, dans tous les cas, il n'a mode d'impôt, puisqu'il augmente le prix nant à éclater sur la frontière turque. S'il donné aucun prétexte à représentations. des allumettes dans une proportion très-sufaut en croire les organes inspirés par le Mais à Berlin, le nouveau ministère serbe périeure à la taxe. II y a une différence de est vu d'un mauvais oeil ; ses membres comte Andrassy, on ne saurait concevoir le moitié entre la taxe perçue et le prix actuel ont reçu leur éducation en France et ne moindre doute sur la solidité absolue de la de la boite d'allumettes. C'est donc le condissimulent pas leurs sympathies pour ce triple alliance. Nous ne saurions, quant à sommateur qui paie et le fabricant qui propays. Ils en ont incontestablement le nous, partager celle confiance. fite. L'Etat ne touche qu'une taxe bien infédroit, et la Prusse n'avait pas l'ombre » Cette question turque, précisément, a rieure à ses prévisions, soit que la taxe soit toujours exercé une influence des plus déci- d'un prétexte pour traduire diplomatiquetrop faible, soit que la fraude se fasse sur ment le mécontentement qu'elle en éprouve. sives sur les rapports de l'Autriche avec la une trop grande étendue. » C'est alors que Gortschakoff, par une Russie et avec la Prusse, et fait surgir de Il a donc fallu recourir au monopole. Une tout temps les plus étranges combinaisons nota caractéristique, se hâte de faire parvecompagnie adjudicataire s'est présentée, et politiques. Les vingt-cinq dernières années nir au prince Milan l'expression de la maule ministre desfinances a passéavec elle une du dix-huitième siècle présentent une série vaise humeur de Bismark, mauvaise humeur que rien ne justifie. En tout cas, ni convention le 11 décembre 1874, laquelle à peine interrompue de vicissitudes et d'all'intérêt de la Russie, ni celui de l'Autriche, convenlion déroge à l'ariicle 4 de la loi du 2 ternatives imprévues dans les relations inn'ont dicté cette démarche. Ces deux puisaoût '1872, en ce qui touche le prix de vente ternationales des trois puissances de l'Est, qui proviennent presque toutes de la ques- sances n'ont par devers elles aucun motif des allumettes en bois ou phosphore ordide se plaindre de la tenue du cabinet de Bel- naire par boîtes de 1 50. tion turque. Mais la Pologne leur olfrait C'est cette convention qu'il s'agissait de alors une base d'accommodement ; c'était grade. Il faut donc que Gortschakoff fasse passer son amitié pour Bismark avant l'in- discuter et d'approuver. un fonds d'indemnités commun au moyen térêt de la Russie ; ou bien alors l'entente Nous ne pouvons guère parler des disduquel on parvenait toujours à s'entendre. entre Berlin et Saint-Pétersbourg devient en cours qui ont été prononcés, car il a été Ce dérivatif fait défaut de nos jours. impossible de les entendre, soit à cause » On insiste tout particulièrement sur les réalité tellement étroite, qu'elle nous fait appréhender que si la Serbie est menacée du manque absolu d'attention de l'Assemintérêts communs de l'Autriche et de l'Alleblée, soit à cause du bruît des conversain praxi. en théorie, l'Autriche ne le soit magne dans la question d'Orient. Rien de tions. Ces considérations nous autorisent pleineplusdouleux et de plus équivoque en réament à révoquer en doute la solidité de Nous savons tout ce qu'on peut dire conlité que celte communauté d'intérêt. Il y a l'alliance des trois empereurs, et nous font tre les monopoles, et les arguments pour tengtemps déjà que la Prusse cherche à présager de grands dangers, pour le cas où les combattre ont été produits à la séance pousser l'Autriche vers l'Orient. Si, dans des événements de guerre viendraient en du 27. Mais nous sommes dans une situacelte circonstance, la Prusse avait uniqueeffet à compliquer la situation dans l'Est. tionfinancière qui nous oblige à recourir à ment pour but d'amener l'Aulriche à ne » On pouvait espérer, on doit même es- des moyens énergiques. M. Mathiou-Bodet plus s'immiscer dans les affaires de l'Allepérer encore que la diplomatie russe aura a défendu son projet contre M. Tolain, au magne, nous renoncerions volontiers, pour enfin conscience des dangers que courent nom des intérêts du Trésor, on peut même cette fois, à suspecter la loyauté de ses intous les Etats , en présence de la politique dire au nom de la nécessité. tentions. Si l'Etat avait repris les allumettes en » L'Autriche qui, sans profit pour elle, conquérante de Bismark. Mais l'allié le plus SÂUMUll, P A R I S, Cbe! MSI. liAYAS-lAFFiTE et Cio, Chez MJf. RICIIAR» et C", Passage lies Princss. i;,)bonneinent continue jusqu'à léceplion d'un avis conlriii;e. — L'abonncinenl doit ftre payé d'avance. S A C M O N, Clicz tous les Libraires ; stock, comme on le lui proposait, cette opération lui aurait coûté 12 ou 13 millions. Il a dû traiter avec une compagnie adjudicataire, parce qu'il ne peut entrer lui-même dans es détails de la fabrication et de la vente. Il y trouvera un bénéfice de 16 millions régulièrement payés, tandis qu'avec le mode de perception actuel il n'en touche pas la moitié. f.e projet de loi a été voté, sauf un amendement de M. Leurent qui a été renvoyé à la commission du budget. Cet amendement est ainsi conçu: « La compagnie sera tenue de fournir des allumettes à tous les commerçants patentés qui en feront la demande, et de leur appliquer à tous le même tarif de remises. » Cet amendement a pour but d'empêcher la compagnie d'avoir dans chaque commune un ou plusieurs représentants privilégiés qui seuls obtiendraient une remise sur les allumettes, tandis que les autres épiciers n'en auraient aucune. Les agents de la compagnie monteraient alors des magasins d'épicerie, et comme ils seraient seuls détenteurs des allumettes, ce privilège leur permettrait de faire pour leur commerce d'épicerie une concurrence déloyale aux autres commerçants. L'ordre du jour portait pour le lendemain la discussion de la loi sur la poudre dynamite. La Chambre a décidé qu'elle discuterait en seconde délibération la loi sur la transmission des pouvoirs. Cette loi vient donc entre les allumettes et la poudre dynamite I Faut-il voir un présage de tumulte et de violence ? * * On a placardé les affiches annonçant l'emprunt de 220 millions de la ville de Paris. Ces affiches font connaître que l'emprunt est émis à 440 francs, et que la souscription aura lieu les 5 et 6 février. M. le maréchal Canrobert refuse la candidature que les électeurs du Lot lui avaient offerte, et il expose les motifs de son refus dans une lettre qu'il adresse au comte Joachim Murât. Le maréchal veut, dans les circonstances difficiles que nous traversons, rester étranger « aux luttes dangereuses de la parole. » Là-dessus, la Liberté félicite le maréchal Canrobert de sa réserve, et lui signifie qu'il doit se tenir prêt à toutes les éventualités que l'avenir petit réserver à un maréchal de France. Un rapprochement avec le maréchal de Mac-Mahon, devenu le chef du gouvernement français, dit YOpinion nationale, après avoir tenu une conduite expectante analogue, achève de faire comprendre toute la pensée du journal bonapartiste. i A props des manifestations qui se sont produites à l'arrivée de Garibaldi à Rome et à la séance du Parlement, durant laquelle l'ermite de Caprera a prêté serment à la Constitution et au roi, le Moniteur universel fait les réflexions suivantes : « Les foules peuvent se montrer avides de pareils spectacles. Nous devons dire, nous, que les gouvernements qui sont obligés de les subir sont bien près de la Révolution. Le souffle qui anime ces manifestations bruyantes, qu'on ne s'y trompe pas, est un souffle funeste aux monarchies. Il nous souvient, à nous aussi, qu'il y a quelques années, les Parisiens se pressaient dans les tribunes du Palais-Bourbon pour entendre M. Raspail députés. Il sera procédé, en ce cas, h l'éied Les nôtres ne sont que de 30 bataillons Avant l'expiration de cette convention, la d'une nouvelle Chambre dans le délai de poste, française a d e m a n d é qu'elle reste en et 40 pièces. mois. Le nombre est pour eux, mais la situa- vigueur jusqu'au jour de la mise à exécuArt. 3. Les ministres sont solidairement respo tion topographique, l'eulhousiasnKi et sur- tion du traité international de Berne. Le sables devant les Chambres de la politique générale gouvernement égyptien a fait observer qu'il tout la foi sont pour tious. du gouvernement et individuellement de leurs actes lie pouvait pas faire un traité de transit par Confiance générale dans une prochaine personnels. Le maréchal de Mac-Mahon, président le Caire, attendu que depuis longtemps il victoire. se fait par le canal de Suez ou par le che- de la République, n'est responsable que dans le cas Seo de Urgel, 24, malin. * •* min do tw direct d'Alexandrie à Suez, et Le général Lizarraga, d'accord avec le de haute trahison. que la ligne de transit ne passe plus par le général Dorregaray, parcourt les provinces On a beaucoup remarqué que, l'autre Art. 4. A l'expiration du termefixé par la loi du jour, à l'enterrement de son beau-frère M. de Murcie et de Guadalojarra [près de Ma- Caire. '20 novembre 1873, comme en cas de vacance du L'administration des postes égyptiennes a Paul Foucher, M. Victor Hugo est entré drid), réquisilionnanl des chevaux et des pouvoir présidentiel, le conseil des ministres con ' dans l'église, et a suivi avec un profond re- armes, et percevant partout les contribu- offert de transporter les lettres, journaux, voquc immédiatement les deux Assemblées quj etc., au Caire, en les recevant séparément et cueillement l'office religieux ; il a jeté de tions. — Plusieurs centaines -de Castillans réunies en Congrès, statueront sur les résolutions à en faisant payer aux destinataires une sursont venus grossir son armée. l'eau bénite sur le cercueil. Que vout dire prendre. Pendant la durée des pouvoirs confiés au taxe de deux piastres (52 cent.) par lettre les frères et amis? Durango, 25, midi. maréchal de Mac-Mahon, la révision des lois cens Nous lisons à ce sujet dans le Figaro : Les dépulations des provinces basco-na- de lO grammes, et de cinq paras [3 c. 1/4) par journal; les autres articles en propor- , titutionnelles ne peut être faite que sur saproposi varraises, seules légales d'après les fueros, « Ceux qui ont lu notre récit des obsèques viennent de répondre aux proclamations de lion. ! tion. de Paul Foucher ont remarqué la conduite La direction de la poste française a rejeté \ M. Naquct présente et soutient le contre-projet don Alphonse par une autre Irès-éncrgique plus digne de pitié que de colère de MM. ces offres, quoiqu'elles soient conformes aux suivant : se résumant ainsi : Paul Meurice et Vacquerie, directeurs du règlements de la poste. Alors, l'administraArt, 1", Le pouvoir législatif s'exerce par une As« Guerre à outrance à !a révolution, Rappel, restés à la porte de l'église pendant tion égyptienne a fait une autre proposi- semblée unique composée du nombre de députés qu'elle se nomme Trium\irat, Aciukiée, !'i que tous les amis du défunt avaient tenu tion ; elle a oflert de recevoir la malle en pa- qui a étéfixé par la constitution de 1848, défalcaà l'accompagner jusqu'au pied de l'autel. y Margall, Castelnr, Serrano ou don Al- quets ; elle délivrerait reçu de tant de pation fuite de ceux qui appartenaient aux départe» Qui les retenait donc là ? Si l'un de vos phonse. quets et se chargerait de les remettre à convenio » Arrière tout avec ces faux paments cédés à l'Allemagne. Les députés sont élus amis se marie, qu'il soit juif, protestant ou l'agent français du Caire qui en donnerait triotes, qui seront quand môme de faux mocatholique, restez-vous ù la porte du temreçu ; la même chose serait faite au Caire par le suffrage universel d'après les prescriptions narchistes et de fiiux catholiques. » de la loi électorale actuelle. La Chambre est élue ple ? s'il meurt, ne le suivez-vous pas jusque au départ des courriers pour Alexandrie, pour deux ans, et se renouvelle intégralement à l'exdans l'église de sa religion ? Bayonne, 28 janvier, 9 h. Cette proposition a été acceptée par M. piralion de cette période. » Qui empêchait donc ces messieurs d'enIl est faux que Dorregaray se soit battu Tardel, directeur des postes françaises en trer? Etait-ce la terreur des foudres céles- avec un ofTicior français et que le roi ait fait Egypte. Mais, la semaine dernière, à l'arriArt. 2. A partir du mois de novembre 1880, le tes auxquelles ils ne croient pas ? Voulaient- fusiller des carlistes demandant Vindulio. véiîdu bateau français, M. Tardel a envoyé pouvoir exécutif est confié à un président ou conils, par leurs mines rébarbatives, empêcher Aucune défection n'a eu lieu ; le dévoue- la malle comme d'habitude au chemin de seil sans portefeuille, responsable devant la Chamles amis de leur allié de franchir les marment de nos volontaires est plus héroï(iue fer. Le directeur du chemin de fer a refusé bre et révocable par elle, et qui prend le titre do ches de Saint-Eugène? Non, car le bruit de la faire partir, disant que la convention LARZAT. que jamais. Président de la République. court que ces messieurs ont encore des préétait expirée, et qu'il avait reçu des ordres Les ministres ne sont responsables de leurs actes tentions. en conséquence. SUISSE. » Nous la connaissons, nous, la raison Le lendemain, un employé de la poste que '^is-à-vis du président ; ils ne peuvent point Genève, 26 janvier. qui le^ forçait à faire ainsi le trottoir penfrançaise se présente à la gare, avec un bil- faire partie de la Chambre, Le village de Compesières, silué sur les confins Art. 3, Les modifications à la présente loi consdant qu'on disait le De Profundis sur Paul let de chemin de fer pour le Caire et la malle de la Savoie, est habité par une populalion cnliètitutionnelle et à la loi électorale ne pourront être Foucher1 qu'il voulait faire enregistrer comme bareraent calholiqiie. Aussi, le conseil municipal faites que par une Assemblée de révision convoquée gage. i.e directeur du chemin de fer consent » Il fallait que, pour le bien du Rappel, décida-t-il que l'église serait fermée aux curés aposspécialement à cet effet. Comme la présente loi elles naturellement à laisser passer l'employé, ses deux directeurs fissent bande à part. Il tats de Carouge et autres lieux. Tel ne fut pas l'avis mais il lui dit de s'adresser pour la malle, .a devront, avant d'être promulguées, être soumises ne fallait pas qu'une démarche imprudente compromît les réabonnements et la vente au du Conseil d'Etat de Genève qui ordonna, par trois l'officier égyptien de service dans le wagonpar oui ou non à la ratification directe du suffrage numéro ; il fallait, par cette comédie, dire voix sur sept — quatre membres s'élant abstenus poste. Celui-ci déclare à l'employé français universel. — que l'église devait être livrée aux prêtres excom- qu'il est prêt à recevoir la malle contre reçu, aux lecteurs et aux électeurs: « Nous ne Sans débat, l'amendement ou contre-projet Nam^js qu'il ne peut donner passage à per» changeons pas, nous, môme quand il s'a- muniés, sur leur réquisition. quet est mis aux, voix et rejeté à une énorme majo» git de nos amis. Vous nous avez ordonné Le feu fut mis aux poudres par le citoyen Mau- sonne dans son wagon, les règlements s'y rité. opposant. Alors l'employé français a repris » de manger du prêtre, nous en mangerons rice, de Genève, propriétaire à Compesières, qui L'amendement suivant est présenté par MM. * avec toute la servilité que vous désirerez ! amena, il y a huit jours, un prêtre apostat nommé ses paquets et les a reportés à l'office de la Corne, Bardoux, le colonel de Chadois, Chiris,Daposte française. » Regardez-nous, chers lecteurs, êtes-vous Marchai, pour baptiser son fils. L'église était fer•nelle-Bernardin, Gailly et Laboulaye : » contents ? » Mercredi, dans l'après-midi, une dépêche mée. Le maire, ceint de son écharpe, déclara^quo Le gouvernement de la République « Art. afiichée à la poste du Caire nous prévenait, » Soyez francs, citoyens, et avouez-nous l'église étant une propriété communale, resterait se compose de deux Chambres et d'un président, » comme d'habitude, que le bateau français que, dans ces moments-là, vous vous loisez M. Laboulaye soutient cet amendement ; il a chacun en silence en vous disant : « Le jour affectée au culte professé par la totalité des habi- était arrivé à Alexandrie et que la correspour but de mettre en lumière un fait oublié par • où tu mourras, mon compère, quel bel tants. Plus de. .500 personnes appuyèrent le maire. pondance serait distribuée à dix heures du » enterrement civil, quelle belle réclame L'apostat Marchai dut filer au plus vite avec la soir. Plus tard, une autre dépêche affichée à la commission des lois constitutionnelles, c'est famille Maurice pour échapper à leur indignation. la même place prévenait que la correspon» pour le Rappel ! » que nous vivons en République ; son autre but, Le conseil d'Etat, furieux, ordonna que la prodance serait distribuée le lendemain. Mais » M. Victor Hugo ne partage pas la mac'est de transformer en droit ce qui n'existe qu'en le lendemain, à notre grand étonnement, fanation aurait lieu par la force. L'attentat a été nière de voir de ses deux acolytes ; il ne fait. nous trouvons à la poste française,, au lieu commis hier. Les abords de l'église étaient gardés craint pas d'entrer dans les églises, parce La République est le seul gouvernement actuelde la correspondance, une affiche qui nous par .près de 500 hommes de troupes envoyés do qu'il croit que l'âme est immortelle. Il lement possible en France. En dehors d'elle, quels disait de faire réclamer nos lettres à Alexann'en veut pour preuve que son propre Genève. sont dans celte enceinte les partis qui peuvent dondrie. Ceux qui ont des correspondants ou génie. La municipalité de Compesières avait fait fermer ner à la France un gouvernement, non pas en » En effet, ceux-là peuvent bien creire et sceller les portes de l'église. Un grand drap noir des amis à Alexandrie se sont empressés de 1880, mais en 1875? Si vous ne faites pas la Réleur télégraphier ou de leur écrire d'envoyer que tout est fini pour eux qui ont versé dans en couvrait la façade, et l'inscription suivante s'y publique, vous ne pouvez rien faire et votre manles correspondances, mais beaucoup de perTragaldabas, dans Fanfan la TuKpe, dans les en lettres blanches : détachait dat est terminé. Vous avez peur de la dissolution, sonnes n'ayant aucun correspondant à Menus-Propos, tout ce que contenaient leurs La force prime le droit. moi aussi j'en ai peur, parce que je crains qu'elle Alexandrie, n'ont pu recevoir leurs lettres. cerveaux, comme MM. Vacquerie, Meurice Les profanateurs durent entrer dans l'église par n'entraîne la chute du régime parlementaire ; si et Lockroy, mais celui à qui il reste dans (République française.) une fenêtre. L'édifice était absolument nu. Les vous ne faites pas la République, la disssolution est l'esprit la fin de la Légende des Siècles peut habitants avaient mis en lieu sûr tous les objets forcée : n'assumez pas le redoutable inconnu qui bien croire qu'il emporterait quelque chose nécessaires au culte. s'ouvre devant nous. au-delà de la tombe si la mort venait le A part de nombreuses huées qui ont accompagné prendre avant qu'il eûtfini son oeuvre. M. de Labassetiére monte à la tribune. L'orateur » Nous sommes tout à fait de l'avis de M. à l'aller et au départ les voitures du baptême, il n'y combat l'amendement Laboulaye. Il invoque le a pas eu d'autre incident à noter dans cette triste Victor Hugo. » Séance du 28 janvier 1875. souvenir de la République de 1848. A cet époque, ou M. Rocheforl prononcer le fameux sermenl de fidélilô à l'empereur. Où est le lemps où ces dislraclions complaienl pour des événements? Aujourd'hui, nous avons le traité do Francfort, les lois constitutionnelles et une Assemblée unique et souveraine, mais qui ne veut rien constituer. » î V INIi' I k il it I: journée de dimanche. Etranger. ESPAGNE. L'agence carliste publie les dépêches suivantes, dont la première annonce de source certaine un nouveau succès des carlistes : Hendaye, 27 janvier, 1 h. soir. Sept bataillons carlistes sont entrés à Sagedon, situé à six lieues de Madrid. Démentez les présentations de carlistes qui se seraient offerts à jouir de i'indulio. Les alphonsistes n'osent attaquer les lignes du Carrascal. Dorregaray, avec vingt bataillons, se trouve près de Valence. Estella, 24 janvier, soir. Le roi don Carlos VII est arrivé et commandera en personne la grande bataille que nos ennemis préparent depuis trois mois pour débloquer Pampelune. Nos lignes, malgré leur étendue de huit lieues, sont parfaitement fortifiées. Les forces ennemies s'élèvent à 80 bataillons et 120 pièces. un grand nombre de monarchistes, voulant fermer l'ère des révolutions et comptant que la RépubliL'Assemblée, après avoir voté chacun des artique pourrait donner l'ordre et la conservation au cles séparément, adopte l'ensemble du projet de loi pays, se rallièrent franchement et loyalement à sur le monopole des allumettes chimiques. forme républicaine. L'ordre du jour appelle la deuxième délibération Quelque temps après, les événements de mai sur le projet de loi relatif ii l'organisation des poude juin détruisirent cette illusion généreuse. L® voirs publics. République de 1848 portait dans sesflancs l'EmM. Raitdot prie l'Assemblée de retirer do l'ordre pire, qui devait conduire le pays aux désastres. du jour les projets constitutionnels, par cette raiPlus près de nous, nous avons assisté aux orgies son qu'il est à peu près certain qu'il ne se trouvera sanglantes de la Commune. Et c'est après de tels pas une majorité pour les voter. précédents que l'on vient aujourd'hui p r o p o s e r à Cette motion de retrait, mise aux voix, est rejel'Assemblée do recommencer une épreuve déjà tée. trois fois faite ! M. Buffet, président, lit le nouveau projet ipré- L'orateur proteste contre une telle suggestion ; à senté par la commission. ses yeux, la cause de la République est une cause Art. 1". Le pouvoir législatif s'exerce par deux absolument perdue. Le pays ne trouvera soa salut Assemblées : la Chambre des députés et le Sénat.que dans le letour à la tradition monarchiqueLa Chambre des députés est nommée par le sufC'est la monarchie qui a fait la France, c'est elle frage universel, dans les conditions déterminées qui nous a donné Robert le Fort, Charles VU. par la loi électorale. Le Sénat se compose de memLouis XIV et tant d'autres créateurs de notre unité bres élus ou nommés dans les proportions et nationale. Les services éminents qu'elle a rend»' aux conditions qui seront réglées par uue loi spéau pays ont fait à la monarchie un prestige de ciale. gloire que rien ne saurait effacer ni amoindrir, et Art. 2. Le maréchal-président de la République lui créent aujourd'hui un titre qu'elle ne saurait est investi du droit de dissoudre la Chambre des abdiquer. PRÉSIDENCE DE M. BUFFET. CHINE. Le gouvernement a reçu une dépêche lui confirmant la mort de l'empereur T'oung Chih. Le jeune souverain de la Chine est mort de la petite vérole. A la nouvelle de sa maladie , plusieurs ambassadeurs étrangers lui ofl'rirent les services des médecins attachés à leur légation. Mais l'empereur ne put se décider à se séparer de Noua-T-sen, son premier médecin. L'empereur T'oung Chih a succombé après onze jours de maladie. Il était dans sa dix-neuvième année. EGYPTE. On écrit du Caire à l'Agence Havas, le 18 janvier : Un différend vient de s'élever entre l'administration des postes égyptiennes et celle des postes françaises. Voici les faits. Je vous les transmets sans commentaires : Le 9 janvier 1865, une convention a été signée entre les deux administrations pour le transport, en transit, de la malle française pour une période de \ 0 ans. » La question est aujourd'hui tranchée et c'est cette nouvelle épée-baïonnette qui va — La clôture !... être très-probablement adoptée. A la deuxième épreuve, la clôture est pronon» Un dernier et important perfectionnecée. ment est celui qui permet d'adapter à un fusil Avant que l'on ne vote sur l'amendement Labou - quelconque la première épée-baïonnette laye, M. Louis Blanc déclare que la question esttrouvée sur le champ de bataille ; la nécesmal posée et qu'elle rend impossible le vote de sité d'ajuster l'ancien sabre-baïonnelte sur ceux qui, comme lui, pensent que l'institution d'un chaque arme séparément était un grave inprésident et celle d'une seconde Chambre sont fuconvénient; cet inconvénient aura disparu. » — A demain !<.. L'évadé, en entrant dans son logement, a salué les gardiens d'un air dégagé ; nous doutons toutefois qu'il ait été aussi content de les revoir que ceux-ci ont eu de satisfaction à le remettre sous les verrous. Deux bijoutiers du Mans ont été arrêtés sous l'inculpation de complicité par récel des objets volés par Mézières. L'un d'eux a été relâché. "L'arrestation de Mézières permettra de s'assurer de la culpabilité du second bijoutier. Celui-ci est le sieur Manceau. nestes à la République. (Mouvements divers.) Il fallait, au lieu de joindre ensemble deux points distincts, présenter un article 1" ainsi conçu : Cliroiîipe Locale el de l'Oiiesl « Le gouvernement de la France est la RépuUn triste événement s'est passé lundi, rue blique. » d'Antrain, à Uennes. M. B..., employé des Celte rédaction eût permis à l'orateur et à ses BUREAU DE BIENFAISANCE. contributions indirectes, né à Vannes, amis de se prononcer. jouait avec un revolver devant un de ses caPar délibéralion du 22 janvier courant, L'orateur ajoute qu'à ses yeux l'existence de la marades. ' MM. les administrateurs ontfixé au 1" féRépublique est hors de cause. — Je te tue, dit-il à celui-ci, et je me vrier prochain l'ouverture des quêtes qui M. le président annonce que plusieurs membres ont lieu, chaque année, dans tous les quar- tuerai après. Il presse la détente ; le premier coup n'éont demandé le scrutin à la tribune sur l'amendetiers de la ville, pour les besoins ordinaires tait pas chargé ; le second, que le malheument Laboulaye. des pauvres en 1875. reux tira, en tournant l'armo vers lui, l'atM. le marquis de Castellane demande le renvoi Voici les noms des Dames qu ont bien teignit en pleine poitrine. voulu accepter, de leur part, celte mission du scrutin au lendemain vendredi, par ce motif L'infortuné jeune homme tomba foucharitable: qu'un certain nombre des amis de l'orateur sont droyé. déjà partis. Il ne faut pas, ajoute l'orateur, qu'une Quartier Saint-Pierre, M"" Gustave Le question aussi grande soil franchie par un vote par Breck et Besnard. Quartier de Nantiliy, M"" de Neuville et T l i é i i t r e d-o Saxirrixir. surprise. Gratien-Rebeilleau. L'Assemblée est consultée sur le renvoi à deQuartier Saint-Nicolas, M"""' Bouchard et main, et décide que le vote est remis à vendredi. t«*MesiE£XHasaai6eBi!«*/> cipaux rôles sont tenus, il est vrai, par des artistes d'élite : MM. Marck et Chavannes, d'abord, puis M. et M"" Hems, M. Clausel et Gaugiran, qui se montrent dignes des plus grandes scènes. On dit que Hems est une baronne d'Ange de premier ordre. Des personnes qui ont vu le Demi-Monde à Paris, puis à Angers, et qui ont pu établir un parallèle, affirment que, d'un côté comme de l'autre, la pièce est supérieurement interprétée. Du reste, voici la distribution des principaux rôles avec la troupe de M. Marck, et, en regard , le nom des artistes qui jouent en ce moment le Demi-Monde à la Comedie-Française, et dont quelques-uns , MM. Got, Febvre et M"» Emilie Broizat, sont venus se faire applaudir sur la scène saumuroise : Olivier, .Em. Marck. MM. Delaunay. Nanjac, Chavannes. F. Febvre. Hipp. Richond, Hems. Got. De Thonnerins, Clausel. Thiron. Suzanne d'Ange, Mme^Uems. M""Croizette. Marcelle, Gaugiran. Em. Broizat. Valentine, Hamilton. Tholer. de Vernières, Grisar. Nathalie. La soirée de lundi offrira donc un attrait tout particulier aux spectateurs. Chacun voudra assister à la représentation de l'oeuvre célèbre du nouvel académicien, laquelle n'a peut-être pas été jouée à Saumur depuis l'époque de son apparition au théâtre du Gymnase. Joannard. Qartier des Ponts, M"'" Laroche et Brillalz. Faits divers. Il y a deux mois, la Comédie-Française reprenait le Demi-Monde, joué pour la première fois Le 22 janvier, la femme Martin, Louise, sur le théâtre du Gymnase, le 20 mars 185S. Il a Un incendie occasionné par une explosion de âgée de soixante-trois ans, ménagère à Andonc fallu près de vingt ans pour que la célèbre Une nouvelle série de trois ceats lieutegaz a éclaté à Uzès dans la soirée de lundi. La gers, occupée à laver du linge dans un fond pièce de M. Alexandre Dumas fils^ primitivement nants et sous-lieutenants d'infanterie vient de carrière où il y avait environ I m. 50 mairie, le théâtre et la bibliothèque ont été en destinée au Théâtre Français, y vînt reprendre sa de partir pour les trois écoles régionales de d'eau, perdit l'équilibre en s'appuyant sur quelques heures la d flammes. place légitime et définitive. tir de Châlons, du Ruchard et de la Val- la sellette qui lui servait à laver ce linge. La Dans l'avant-propos de la dernière édition du * bonne. malheureuse femme tomba à l'eau. CepenDemi-Monde, M. Alexandre Dumas rappelle, de la dant bien près du bord, vu son grand âge façon la plus piquante, les diverses péripéties qui I Le ministre de la guerre a décidé, en date et sa faiblesse, elle ne put s'en retirer et s'y précédèrent, accompagnèrent et suivirent la prenoya. Un incendie qui eût pu prendre de très-grandes du 13 décembre 1874, qu'il serait fait remière représentation de son oeuvre aa Gymnase. proportions s'est déclaré à Arras. Il a été allumé mise aux officiers qui ont reçu, pendant leur Lundi dernier,vers trois heures de l'après- Le retour du Demi-Monde à la Comédie-Françaisepar la foudre. Lefluide électrique ayant rencontré captivité en Allemagne , des avances de y est tout naturellement pressenti : midi, le nommé Ménard, âgé de 29 ans, sur sa route lesfils du télégraphe, les suivit jus-i solde faites à titre de gratification, des sommaçon, employé à la construction du châ« Pour enfinir avec l'historique de cette comé- qu'au bureau télégraphique et consuma ce dernier. mes dont ils seraient encore débiteurs. Cette » die, dit M. Alexandre Dumas, M. Thierry étant La stupeur fut grande chez les employés qui étaient mesure bienveillante a été prise par M. le teau de Varennes, commune de Savennières, plaçait une pierre de corniche à ce châ» devenu administrateur général du Théâtreministre de la guerre, afin d'alléger la posià leur travail. Il a fallu les plus grands efforts pour » Français, eut la bonne pensée, pour moi, de la tion pécuniaire de ces ofiiciers, et de rame- teau, quand un coup de vent de la bourrascirconscrire l'incendie et l'empêcher, alimenté 'ner à son état normal la situation financière que qui vient de passer sur le déparle» joindre au répertoire de la rue Richelieu. Le qu'il était par uu vent impétueux, de gagner les ment, l'enleva de dessus l'échafaudage oïi il des corps de troupes, dont la caisse n'a pu » succès qu'elle avait obtenu sur une autre scène autres maisons du quartier. se trouvait et le précipita d'une hauteur de encore être complètement régularisée par » lui paraissait une consécration suffisante, comme * suite des sommes dont ces ofiiciers sont en- 7 mètres. » pour Philiberie, le Gendre de M. Poirier, la * * La mort n'a pas été instantanée, et ce core débiteurs. Voici une définition de la République démocran'est que mercredi matin que ce malheu- » Ciguë, l'Honneur et l'Argent, Lucrèce, et tant » d'autres. » tique, après laquelle il nous semble que l'on peut reux rendait le dernier soupir sans avoir M. le comte Walewski, alors ministre des Beaux- tirer l'échelle : Voici des renseignements empruntés à recouvré sa connaissance depuis l'acciArts, déterminé par d'autres motifs que son prédél'Avenir militaire sur l'épée-baïonnelte dont dent. — Votre République, disait hier un conservateur cesseur M. Fould , crut devoir ajourner l'autorisa- à un radical... votre République, c'est tout simpleseront armés les soldais de la ligne avec le tion qui lui était demandée par M. Edouard Thierry. ment « la recherche de l'absolu ! » fusil chassepot perfectionné suivant le sysLe 18 janvier, une tentative d'assassinat a Depuis lors, les années se sont écoulées ; le été commise sur la nommée Vallais, Désitème Gras : rée, veuve Rondeau, aubergiste au bourg de succès du Demi-Monde s'est toujours affermi, à « Quand, au commencement de 1873, un la Rouaudière, canton de Saint-Aignan-sur- mesure que chacune de ces années lui apportait ordre du minisire prescrivit d'expérimenter Roë (Mayenne). DerBières Nouvelles. la consécration lente et sûre du temps. L'Académie à Vincennes le lir des armes conservant, Cette femme était, depuis environ deux française a ouvert ses portes à M. Alexandre Dumas pendant le feu, les unes l'ancien sabre-baïon-ans, recherchée en mariage par Morel, fils et rendu, pour ainsi dire, classiques des ounette, les autres un sabre plus léger, cinq marchand de chevaux, domicilié au même vrages qui avaient pu sembler un peu téméraires, Versailles, 29 janvier. modèles de baionnettes-épées furent présen- endroit; celui-ci se voyant constamment reIl y avait une grande animation à la gare lors de leur première apparition. tés par la manufacture de Châtellerault. De jeté, en conçut un vif ressentiment. Lundi Saint-Lazare à l'heure des trains parlemenLe moment était donc très-opportun pour proces cinq baïonnettes-épées, quatre furent dernier, vers sept heures du soir, s'étant artaires. écartées tout d'abord, mais le modèle n° 4 mé d'un pistolet, il se rendit chez la veuve duire au Théâtre-Français celle des comédies M. Thiers est parti par le train de 1 heure parut remplir les conditions qu'on n'avait Rondeau et déchargea son arme sur sa fi- de M. Alexandre Dumas fils qui semble être l'ex25 ; un certain mouvement de curiosité s'est point obtenues du sabre-baïonnette. gure, à bout portant. Celle-ci fut: atteinte è pression la plus vigoureuse de son talent, celle en produit ; quelques personnes ont salué » On sait qu'avec le fusil modèle 1866, la joue gauche. Heureusement la blessure qui se retrouve comme un résumé de ses nombreux l'ancien chef du pouvoir exécutif, mais il il est impossible ou du moins fort difTicile succès. L'administrateur actuel de la Comédien'est pas grave. n'y a pas eu la plus modeste manifestade tirer avec le sabre-baïonnette au bout du Le parquet de Châteaugonlier instruit Française a repris les négociations commencées tion. canon ; on comprend cependant qu'une l'affaire; Morel est entre les mains de la jus- par son prédécesseur ; il a été assez heureux pour On remarquait aussi dans le train les femarme de guerre doit toujours être, en même tice. (Journal de Maine-et-Loire.) les mener cette fois à bonne fin. mes élégantes qui ont l'habitude d'assister temps, arme à feu et arme de hast, et qu'en De tout temps, d'ailleurs; ce fut un privilège aux séances importantes. conséquence un soldat doit pouvoir faire feu du Théâtre-Français de réunir à son domaine Si M. Thiers monte à la tribune, ce ne On arrêté cette semaine, endormi sur une avec un fusil portant toujours la baïonnette. certaines oeuvres produites sur d'autres scènes, sera que pour prendre la parole sur le droit route, le nommé Mczières, âgé de 41 ans, » La nouvelle baionnelle-épée, proposée de dissolution. et que lui recommandait leur succès ou leur né à Saint-Georges-le-Gauthier (Sarlhe), qui par le comité d'artillerie à la commission A deux heures trente-cinq, l'Assemblée s'était évadé de la prison d'Alençon le 17 mérite, comme destinées à occuper une place imd'infanterie, est moins longue que l'ancien procède en séance publique au scrutin sur sabre-baïonnette de cinq centimètres; la janvier dernier. Il était porteur d'une sorte portante dans son répertoire. On sait que la Comépoignée, au lieu d'êlre en laiton, est en bois de bissjic formé d'un surplis et d'une nappe die-Française est le seul théâtre qui offre aux ou- l'amendement de MM. Corne, Bardoux, le d'autel, renfermant un certain nombre de vrages, une fois entrés dans ce répertoire, la per- colonel de Chadois, Chiris, Danelle-Bernarde noyer. manence du succès. C'est un grand musée littéraire, din, Gailly et Laboulaye. » La lame est triangulaire, à dos courbé vases sacrés en or et en argent d'un poids L'Union républicaine a blâmé le discours de 8 kilogrammes 500 grammes. Il a sans pans creux ; le fourreau est, comme une collection d'élite. de avoué être l'auteur des vols commis dans par le passé; en tôle d'acier. Le Demi-Monde a donc pris, dans le répertoire M. Louis Blanc, et lui reproche surtout d'avoir fait ajourner un vete qui eût pu être les églises de Charchigné, de Chantrigné » La matière du fourreau a été longtemps de notre première scène française, une place imenlevé hier. Mayenne), de la Chapelle-Moche et d'Avriet en discussion et cela s'explique : en effet, si portante : c'est, avec le Gendre de M. Poirier , — Orne). Elle se ralliera en majorité, pour le vote la tôle d'acier est solide et plus résistante quoique d'un genre bien différent, - une des Interrogé sur ce qu'il faisait des objets comédies les plus vivantes, les plus curieuses, les d'aujourd'hui, à la gauche républicaine. que k cuir, elle a le défaut de donner, par volés, il a déclaré qu'il les vendait à an bisuite du choc, un son métallique qui a fait plus complètes, et, osons le dire, un des chefséchouer plus d'une tentative de surprise et joutier du Mans, dont il a donné le nom, Versailles, 4 heures 20, d'oeuvre du théâtre moderne. ajoutant qu'il en avait livré pour 500 francs Dernière heure. — L'amendement Labouplus d'une embuscade. Nous devions prévoir, après une reprise aussi laye a été repoussé. Votants 694. Pour l'a» D'un autre côté, le cuir offre peu de l'année dernière. importante, que M. Emile Marck, en directeur mendement et la République : 335. Contre : Les vases sacrés de Chantrigné et de Charsolidité ; la pluie et la boue le pourrissent chigné ont élé reconnus parmi les objets habile, ne manquerait certainement pas de monter le 359. Différence: 24. '«pidement, et de fréquentes réparations Demi-Monde. En effet, depuis quelques semaines, dont il était nanti. sont nécessaires : le comité et la commission Pour les articles non signés ! P. GODET. l'oeuvre de M. Dumasfils a été représentée plusieurs Ce dangereux malfaiteur a été dirigé sur ont cru devoir donner définitivement la préfois déjà à Angers avec un plein succès. Les prinAlencon. férence au fourreau en acier. Nouvelles militaires. proie* kes Malle «le l a N u l r l e. On a'omis d'y faire mention du conc ours rendue sans médecine, Dimanche 3î janvier 1875, à huit heures du soir,que veut bien -prêter une artiste de notre ra-' sans purge et sans ville, laquelle nous fera entendre l'air des Dragons de Villars : Espoir charmant, puis une frais, par la délicieuse farine de Santé de Du Barry, de CONCERT délicieuse romance de la Poule aux oeufs d'or. Londres, dite : Uouné aux SouscrliHeurs On nous promet aussi plusieurs chansons par la comiques qu'un amateur, qui excolle en ce IJi musique des sapeurs-pompiers genre, voudra bien nous foire entendre. Avec le concours de PLUSIEURS ARTISTES et AMATEURS de la VILLE. T h é â t r e de Saumur. Voici le programme de celte soirée musicale : Trounn du Grand-Théâtre d'Angers, sous la diroclion do M. EMILE MAUCK. PRKMIÈRE PARTIE. Lundi r-' février 1875 , 1. Hommage à VAUace-Lorraine, fantaisie, exécutée parla musique militaire (Bléger). Avec le concours de .MM. E M I L E MAUCK 2. La Création^ quatuor, pour orgue, piaet CHAVANNES. no, violon et violoncelle (Haydn). 3. Le Trouvère, fantaisie, pour piano J(Verdi). 4. Élégie, pour violon et piano (Brison). Pièce en 5 actes, de M. A lexandre Dumas fils. 5. Choeur, cantate guerrière (X..,). M. Emile MARCK remplira le rôle à'Olivier de Jalin. DEDXIÈME PARTIE. M. CiiAYANNEs remplira le rôle de Ray6. Si fêlais roi, fantaisie, exécutée par la mond de Nanjac. musique militaire (Adam). Les autres principaux rôles seront joués par 1. Echo iles Pyrénées, ^diïop, pour piano, MM. Ilems, Clauzel, M™«' Hems, Gaugiran, Hamilexécuté par l'auteur (Casas). ton et Grisar. 8. La Prière de J/oïse.quatuor, pour piano, Mise en scène de la Comédie-Française. orgue, violon et violoncelle (Uossini. 9. Adagio et presto du i r trio d Haydn, ppur piano, violon et violoncelle. Eviter les contrefaçons 10. VEtoile, marche, exécutée par la musique militaire (Ziéglcr). CHOCOLAT 1ER Une erreur s'est glissée dans la rédaction des programmes mis en circulation pour le concert qui aura lieu demain soir h la Mairie. laryngile dot^l je souffre depuis deux disparaître avec le malaise que i'^n,. tous mes membres. ^P'ouvaij'"^ Je vous en exprime toute ma reconnv ' ' Cure N» 68,413, M. I.aran père, de 7 ans de Parah„^„ , bcs, des brus et de la langue. '®Uesj Vingt-six ans d'invariable succès. EIIB cornbal avec sncccs les dyspepsies, mauvaises digestions, gssiriK's, gastralgies, glaires, venis, iii'^renrs. acidiiés. pituites, nausées, renvois, VDiiiisseincnls , tnêroe en grossesse, constipaiioiis, diairliée, dyssenterie, coliques, pliihisie, toux, asilinie, étoutîenienls , étourdissemenis, oppiessioii. congestion, névrose, insomnies, mélancolie, diabèie, faiblesse, épuisement, anémie, chlorose, tous désordies de la poitrine, gorge, lialeiiie, voix , des bronches, vessie, Ibie,reins , intestins, muqueuse, cerveau et sang. — 75,000 cures annuelles, y compris celles de Madame la Duchesse de Castlesluart, le'dnc de Pluskow, Madame la maïquise de Bréhan , Lord Stuart de Decies, pair d'Angleterre, etc., etc. IMus nourrissante que la viande ellp A encore 50 fois son prix en médecino p "O'U,. 1/4 kil., 2 Ir. 25 ; 1/2 lui., 4 fr.; 1 k,l 7 r" '""fi 60 fr. - Les Biscuils de novalexcierp J'ï' 4. 7el.6(l francs.-La /iet^a/emVVc boîtes, de2fr. 25 c. ; de 576 t a ^ î ^ ' K iMivoi contre bon de poste , les boîtes ! » ff fr. franco. - Dépôt à Saumur. cbe» M ^eite épicier, rue Saint-Jean ; M"' CoNORANn' i ^ rue d'Orléans; M. BIÎSSON , pharmacien la lîilange, et ehez les pharmaciens eu,V'Sii; Du BARRY et C°, 26. place Vendôme ' " ' aris. CHEMIN ' Cure N' 65,311. Vervant, le 28 mars 1866. Monsi* ur, — Dion soit béni ! voire Revalescière m'a sauvé la vie. Mon tempérament naturellement f,)ible était ruiné par suiie d'une horrible dyspepsie de huit fins, traitée sans résultat favorable parles médecins, qui déclaraient que je n'avais plus que quelques mois à vivre, quand l'émim nte vertu de votre Revalescière m'a rendu la santé. A. BRUNELIÈUE , curé. Départs de Saumur pour Poitiers • 5 heures 50 minutes du malin. 11 — » _ <! 10 ^ du soir. Cure N" 45,270. — M. Roberts, d'une consomption pulmonaire avec toux , vomissements, constipation 01 surdilé de 25 années. Départs de Poitiers pour Saumur; heures^O minutes du nialin. 1 0 — 4 0 — _ ' 0 — 35 — cUi soir. Cure N" 74 442. Goui mes, par Vonce (Alpes-Maritimes), juillet 1871. Depuis que je fais usage de volte bienfaisante Revalescière, je ressens une nouvelle vigueur, la Tous ces trains sont omnibus. GODET, Valenrs an comptant. ! Dernier cours. 3 7„ jouissance l"juin. 72. . 62 i 1/2 Vojou'ss. mars 92 4 "/„ jouissance 22 septembre. 78 )> 5 Vo Emprunt 1871 Emprunt 1872 KiO Dép. delà Seine, emprunt 1857 222 VilledeParis.oblig. 1855-1860 456 — 1805, 4 % i73 — 1869, 3 V„ t. pajé. . 307 — 1871,3V. 70 fr. payé. •275 Banque de France, j. juillet. . :j8io Comptoir d'escompte, j. août. 565 Crédiiagricole,200 f. p. j. juill. 470 Crédit Foncier colonial, 250 fr. 260 Crédit Foncier, ad. 500f.250p. 845 50 50 b « 60 50 t 0 i) » » » M H a ( Etude de M* LE BLAYE . notaire à Saumur. UNE M A I S ON A Saumur. rue du Petit-Pré. n" H , Composée de quatre pièces au rezde chaussée, trois chambres au premier étage, cave, cour avec bâtiment au fond. Revenu : 240 francs. — Mise à prix : 2,000 francs. S'adresser audit notaire. (56) Elude de M' LE BLAtE , notaire à Saumur. 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EPOUDRY, propriétaire à Saint-Cyr, ou à M' ROBINEAU, notaire à Saumur. liCflinianciiie V février ass-s, à midi, EN ONZE LOTS, Sis sur le canal de la Dîve, enlre Bafou et le pont de Saiul-Jiist-surDî»e, canton de Monireuil-Bellay. ; 2•29928 289 297 288 292 274 245 498 » » « 50 50 50 50 » t) 75 A L'AMIABLE , DE ClIilPEiU] Située près le bourg de Gennes, Comprenant Làtimenisd'h.diitalion cl d'exploitation, paie, jardins cl terres lahourabl."S. Contenance totale: II heit.uis 14 ares GO cenliares. S'adresser à M' BOUBDAIS. (46) Elude de M" ROBINEAU , notaiie à Saumur. '«tJ iO 25 R n » » » B » ir t » » » » » » » a » u » » » » » » » 11 » » » B » n- 85, Actuellemeni orcupée par Pineau. DÉPARTS BS SAUHUR FERS TOURS, ;J heures Oi mitiutt» liu 8 — SO^ — 9 — 50 — 12 — 38 — i — U — a » 1 150I] TÎ<} 11ES Situées à Saumur, rue d'Orléans, Autrefois occupées par la maison de banque Louvel, Trouiliard ei C'% Avec appartements au deuxième et au troisième étages ; Le tout pouvant être divisé ou réuni, au^ré des preneurs. S'adresser à M" ROBINEAU, notaire. LG MAIRB, matin, omnibus-mixlt,^ — omnibus.) — eiptes!. ' io!r, omnibus. — 10 — 28 — — eipress-poste, Le irain (l'Angers, quls'arrêic il Saun>ur. arriveàeb.iîi, » veuve Celle maison comprend : Sa'ou . salle manger, cuisine , sept chambres à coucher, greniers, cave, bâtiment pour bureaux, écurie à quatie chevaux , grande remise el greniers a fourrages, jardin. S'adresser à M FOUCHER . propriétaire, rue de Bordeaux . 50. MAISON ^ m^ ac® 'BtJ j e : m , Rue des Païens, n° 10, S'adresser à M' LAUBIONIEB, Mtaire. (54) A VENDRE BELLE DEVAISTDRE DE MACxASiN. S'adresser à M. LÎÈVIIE, meiiuisiei'. rue Nationale, à Saumur. W OI-N A VENDRE S'adresser à M. PICHAT, qo»'^ Gaz. i®"' aij PBÉSENTEMENT, M A I S ON Hue de l'Echelle. S'adresser au Directeur de l'Ecole des l'Yères. (gcyj M' BEAUIÎEPAIRE, avoué à Saumur, d c m i ï î u l e WM cU'i'i', A UN BON PIANO DROIT S'adresser au bisreaiHbU»^^ M» LAUMOINIER. notaire à SjJ; mur, M» HYGIÈNE - SANTÉ MIDMBMERNÂRD Contre les MALADIES de la Pg" Dartres, Eczémas, Boutons, D é m a n g^ Gonflement des Jambes: GUÉRISON; HYDRORISIEÎ 1 cllicacité du remède : 25 c. D'BOUYER à ANGOULÊMEJ^, G1u0ersioIrn, DE SOIÏE, DKUX 0 u B OEPABTS DE SAUHUR VERS ASGKBS. 3 Ueure» 08 inluuie, du mallB, eipress-pMU g i n ? " («'"réteUnmj 9 — 01 — — omnil)us. 1 ~ 33 lolr, _ • — 12 — — eipresj. 7 _ 27 _ _ omnibus. D Située à Saumur, rue Saint-Nicolas, UNE jst^ 1 » » » 75 25 Pour la Saint-Jean 1895, Etude de M; BOURDAIS, notaire à Gennes. LA FElilfS 3 Baisse. UNE MAISON PRÉSENTEMENT, MA^ SWÎ^ , à Saumur, rue de la Comédie , n° 27. S'adresser audit notaiie. (26) UN MOULIN A Uausse D'ORLÉANS iiàlïE DE Î^AUlliR ' (Service d'hiver, 2 novembre 1874j OBLIGATIONS. & Elude de M* GALBRUN, notaire à Montreuil Bellay. A VE NDR «••«LT ./SB.. 3BC-.OE3»TB::jB: aE33oeBL 75 50 u » propriétaire-gérant. CHEMIN D E FEU GOORS DE LA BOOESE DE PAEÏS DO -2Q JfâWVÎER 1875. 1 DE POITLEI^S ^ ervîc^ «î'IïSver. - pHTHisiE. Exiger le véritable nom DE M \ ïïïîïïïïïOE^®' . d'Aix (Provence^ lesufrlaecoenptopmrompt r etpedudsus lUminiitisni^s I T É Û l l t ^ É il ^uÉwiBïTïi^Sî^iS^n^^^^ Gastralgie, MUSCULINE GElICMiaS pepsie, et surtoutDiarrhées, la G U É R I T An^Jt^ Phthisie P"'®® CA'NCEB Mgcli«mp»,, O, Pari». Saumur. i m p r i m e r i e de P . GODET. Certifié par l'imprimeur soussigné.